Quelle alimentation avec la cortisone ? - Cedric Menard - E-Book

Quelle alimentation avec la cortisone ? E-Book

Cedric Menard

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Beschreibung

Comment se présente cet ouvrage ? Nous commencerons par effectuer une enquête alimentaire. Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner et enfin le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires en rapport avec la corticothérapie par voie orale en cours. En fonction des points obtenus au sein de chaque repas interrogé, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique. Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d'une correction de vos erreurs nutritionnelles. Je vous présenterai ensuite chaque famille alimentaire. Il s'agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l'importance de chacune d'entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel votre alimentation pendant votre corticothérapie. De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les choix les plus judicieux. 3eme chapitre : avec les bons outils nutritionnels, place à la pratique ! Dans la première partie de ce troisième chapitre, je vous proposerai l'élaboration de six jours de menus très détaillés, concernant votre petit-déjeuner, déjeuner et dîner. Cette première partie ayant pour but l'apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées à la corticothérapie par voie orale en cours. Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus adaptées à votre corticothérapie en cours. Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel. 4eme chapitre : les bilans diététiques hebdomadaires. A la fin de chaque semaine, je vous proposerai de nouvelles enquêtes alimentaires à points. Evidemment, en fonction de vos points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou je l'espère très bonne. Cette synthèse hebdomadaire vous aidera à progresser efficacement dans votre apprentissage nutritionnel imposé par votre corticothérapie. En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement !

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Seitenzahl: 160

Veröffentlichungsjahr: 2018

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Bonjour et merci infiniment de votre confiance.

Je m’appelle MENARD Cédric, et je suis diététicien-nutritionniste diplômé d’Etat. J’ai effectué une partie de mes études de diététique au sein de l’hôpital psychiatrique de Picauville, ainsi qu’aux services de néphrologie et de gastro-entérologie au C.H.U de Rennes. Une fois diplômé, je me suis installé comme diététicien-nutritionniste en profession libérale en 2008. J’ai profité de mes premiers mois d’installation pour me spécialiser en micro-nutrition, et fus diplômé du Collège Européen Nutrition Traitement Obésité (CENTO) en 2009.

Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à la perte de poids. Il fut élaboré pour vous apporter une réponse diététique parfaitement adaptée à la corticothérapie par voie orale exclusivement en cas de maladies rhumatismales, respiratoires ou immunitaires, ainsi qu’en cas de maladies oculaires et lors de sclérose en plaque (en dehors de certaines mesures diététiques supplémentaires conseillées lors de cette pathologie). Cet ouvrage n’est cependant pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose. Cet ouvrage n’est pas adapté non plus à la maladie de Crohn ni à la rectocolite hémorragique ou autres colites inflammatoires, il n’est pas non plus parfaitement adapté à la plupart des cancers traités sous corticothérapie.

Mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com

Mon numéro de certification professionnelle ADELI, enregistré auprès de la DDASS : 509500435.

Sommaire

La corticothérapie

Chapitre 1 : L’enquête alimentaire

Le petit-déjeuner

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner

Les apports en matières grasses

Les apports en viande, poisson, œuf

Les apports en féculents

Les apports en produits laitiers

Les apports en fruits

Les apports en sucres rapides

Le déjeuner

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre déjeuner

Les apports en matières grasses

Les apports en viande, poisson, œuf

Les apports en féculents

Les apports en légumes verts

Les apports en produits laitiers

Les apports en fruits

Les apports en sucres rapides

Les apports en sel

Le dîner

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre dîner

Les apports en matières grasses

Les apports en viande, poisson, œuf

Les apports en féculents

Les apports en légumes verts

Les apports en produits laitiers

Les apports en fruits

Les apports en sucres rapides

Les apports en sel

Et le goûter ?

Récapitulatif de l’enquête alimentaire

Chapitre 2 : Présentation des familles alimentaires

Les matières grasses

Les viandes, poissons, œufs

Les féculents

Les légumes verts

Les produits laitiers

Les fruits

Les sucres rapides

Les boissons, condiments, épices

Récapitulons !

Chapitre 3 : L’alimentation pour la corticothérapie

Le petit-déjeuner équilibré conseillé

Le déjeuner équilibré conseillé

Le dîner équilibré conseillé

Trois semaines de menus proposés

Chapitre 4 : Bilan hebdomadaire

Analyse hebdomadaire globale de votre travail diététique

Analyse hebdomadaire globale concernant vos petits-déjeuners

Analyse hebdomadaire globale concernant vos déjeuners

Analyse hebdomadaire globale concernant vos goûters et dîners

Bilan hebdomadaire général

Résultats hebdomadaires globaux

La corticothérapie

Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à la perte de poids. Il fut élaboré pour vous apporter une réponse diététique parfaitement adaptée à la corticothérapie par voie orale exclusivement en cas de maladies rhumatismales, respiratoires ou immunitaires, ainsi qu’en cas de maladies oculaires et lors de sclérose en plaque (en dehors de certaines mesures diététiques supplémentaires conseillées lors de cette pathologie). Cet ouvrage n’est cependant pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose. Cet ouvrage n’est pas adapté non plus à la maladie de Crohn ni à la rectocolite hémorragique ou autres colites inflammatoires, il n’est pas non plus parfaitement adapté à la plupart des cancers traités sous corticothérapie.

L’usage de la corticothérapie par voie orale nécessite certaines règles nutritionnelles indispensables que sont :

- La réduction drastique de vos apports alimentaires en sodium (sel de table et sels cachés dans vos aliments).

- La réduction de vos apports alimentaires en sucres rapides (saccharose et glucose notamment).

- L’augmentation de vos apports alimentaires en calcium et en vitamine D.

- Des apports alimentaires suffisants en protéines animales.

Les règles hygiéno-diététiques de base sont donc en cas de corticothérapie par voie orale :

1- Ne pas consommer les aliments suivants, qui font partie des aliments les plus riches en sodium (sel) :

- Le sel de table.

- Toutes les charcuteries.

- Tous les crustacés, coquillages, œufs de poissons dont le caviar.

- La choucroute (chou fermenté).

- Les condiments, moutarde, câpre, cornichon, sel de céleri.

- Olives, biscuits apéritifs, oléagineux apéritifs (cacahuète, pistache...)

- Le beurre salé et la margarine végétale salée.

- Toutes les viandes fumées et tous les poissons fumés.

- Toutes les viandes et les poissons salés.

- Tous les jambons (blanc, fumé, braisé...)

- Les chips.

- Le pain standard et les biscottes standards.

- Les légumes surgelés si consommés avec leur sachet d’épices de fourni avec.

- Tous les jus de légumes.

- Tous les potages en brique, en sachet ou surgelés.

- Tous les plats du traiteur, frais ou surgelés.

- Tous les plats industriels tout prêts, surgelés ou non.

- Toutes les sauces du commerce.

- La levure alsacienne.

- Les bouillons de viandes ou de légumes en cube (genre KUB).

- Les bonbons, les pastilles Vichy.

- Toutes les conserves ne portant pas la mention « sans adjonction de sel ».

- Le jus de tomate industriel.

- Toutes les pâtisseries du commerce.

- Certaines eaux gazeuses (point étudié plus en détails ultérieurement dans l’ouvrage).

- La majorité des fromages affinés.

Pourquoi ? Ce sont les aliments courants les plus riches en sodium. La suppression alimentaire de tous ces aliments correspond au régime pauvre en sodium « large » (le moins sévère et le plus répandu. En règle général, le respect et le suivi de celui-ci est suffisant).

A savoir : il existe du sel « de régime » (appauvri, voire totalement dépourvu en sodium), en vente dans les supermarchés (« Minisel » de « La baleine » par exemple), ou encore en vente en pharmacie (de la marque Bouillet). Si vous avez du mal à manger sans sel, n’hésitez pas à les consommer. ATTENTION : interdiction formelle de consommer ce sel de régime si vous êtes insuffisant(e) rénal(e), car risque mortel. En effet, dans le sel de régime, le sodium (chlorure de sodium) est remplacé par du potassium (chlorure de potassium), et chez les patients insuffisants rénaux, il est absolument impératif de réduire au maximum les apports en potassium, en plus des apports en sodium (entre autres).

2- Limiter au maximum la consommation de tous les aliments riches en sucres rapides : sucre blanc, confiture, miel, chocolat, gâteaux, viennoiseries, confiseries, biscuits sucrés...

A savoir : les édulcorants que sont l’aspartame, le sucralose, les extraits de Stévia... ne sont pas des produits sucrés, mais ils en apportent la sensation lors de leur consommation. Ils sont parfaitement consommables dans le cadre de votre corticothérapie par voie orale.

3- Avoir une alimentation suffisamment riche en protéines animales : viandes, poissons, œufs, produits laitiers...

4- Veillez à consommer suffisamment de calcium et de vitamine D. Les meilleures sources alimentaires en calcium sont tous les produits laitiers et surtout ceux d’origine animale. On parle d’excellente biodisponibilité du calcium d’origine laitière. C’est dû à la présence conjointe de protéines animales et de la vitamine D. Mais on trouve également du calcium dans les viandes, poissons (notamment dans leurs arêtes), les œufs, les légumes verts, les fruits (notamment les fruits oléagineux), chez certaines graines (les graines de sésame sont les plus grosses sources alimentaires connues à ce jour en calcium), les eaux calcaires (du robinet ou dans certaines eaux minérales : La Talians, Courmayeur, Contrex...) ainsi que dans des laits végétaux tels les laits de soja, d’amande, de noisette...

A savoir : le magnésium et le calcium sont en compétition pour leur absorption intestinale. Si absorbés en même temps, le magnésium est assimilé en priorité par rapport au calcium, ce qui rends donc vos apports alimentaires en calcium nettement moins intéressants, et donc nettement moins efficaces. Donc, si vous devez supplémenter votre alimentation en magnésium, consommez ce dernier en dehors de vos apports alimentaires en calcium. De plus, évitez de boire des eaux riches en magnésium telle l’Hépar par exemple, notamment en mangeant.

Comment se présente cet ouvrage ?

1er travail : nous commencerons par effectuer une enquête alimentaire. Il s’agit du chapitre 1.

L’enquête alimentaire est un travail diététique absolument indispensable devant être mis sérieusement en pratique.

Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner et enfin le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires en rapport avec la corticothérapie par voie orale en cours.

En fonction des points obtenus au sein de chaque repas interrogé, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en rapport avec vos habitudes alimentaires associées à votre corticothérapie en cours.

Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d’une correction de vos erreurs nutritionnelles.

2eme travail : je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s’agit du chapitre 2.

Il s’agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l’importance de chacune d’entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel votre alimentation pendant votre corticothérapie. De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les choix les plus judicieux.

3eme travail : avec les bons outils nutritionnels, place à la pratique ! Il s’agit du chapitre 3.

Ce troisième chapitre concernera la diététique pure.

En effet, dans la première partie de ce troisième chapitre, je vous proposerai l’élaboration de six jours de menus très détaillés, concernant votre petit-déjeuner, déjeuner et dîner. Cette première partie ayant pour but l’apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées à la corticothérapie par voie orale en cours.

Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus adaptées à votre corticothérapie en cours. Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel.

4eme et dernier travail : les bilans diététiques hebdomadaires.

A la fin de chaque semaine, je vous proposerai de nouvelles enquêtes alimentaires à points, exactement sous la même forme que l’enquête alimentaire que vous allez effectuer dès le début de cet ouvrage.

Evidemment, en fonction de vos points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou je l’espère très bonne.

Cette synthèse hebdomadaire n’aura que pour seule et unique finalité que celle de vous aider à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel imposé par votre corticothérapie par voie orale en cours : le but étant de toujours améliorer, semaine après semaine, vos résultats.

En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement ! Bon courage!

Chapitre 1

L’ENQUETE ALIMENTAIRE

Commençons notre collaboration par une enquête alimentaire. Seul l’aspect qualitatif de votre alimentation y sera étudié, l’aspect quantitatif ayant peu d’intérêt. Remplissez les tableaux qui se succèdent au sein de ce chapitre, en essayant d’être la ou le plus impartial(e) et objectif(ve) possible.

Le petit-déjeuner

Les astérisques* vous renvoient à la légende qui correspond aux groupes alimentaires concernés à la fin du tableau, soit à la page N°20. Il est très important de vous y rendre, avant de répondre aux questions posées, afin d’éviter des erreurs d’incompréhension, pouvant remettre en cause la fiabilité de votre enquête alimentaire.

Vos habitudes alimentaires (lors de la corticothérapie)

.

Point(s) acquis

.

Je

ne

consomme

jamais

rien au petit-

déjeuner.

(Le fait de ne

consommer

qu’un jus de fruit, café, thé, verre

d’eau...

correspond à ce cas de

figure).

Comptabilisez 0 point.

Vous pouvez dans le cas

présent,

vous rendre directement à la page N°

22

sans remplir ce tableau

.

Il m’arrive

fréquemment

de

ne rien consommer

au petit-déjeuner, mais

je fais

des efforts pour manger.

Comptabilisez 2 points.

Je

consomme

toujours

un petit-déjeuner.

Comptabilisez 10 points.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner du beurre ou de la margarine

salé(e)

.

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner du beurre ou de la margarine

salé(e)

.

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner, de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.

Comptabilisez 8 points.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner de la charcuterie, des plats du traiteur ou des plats industriels.

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner, de la charcuterie, des plats du traiteur ou des plats industriels.

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de

ne pas

consommer au petit-déjeuner des féculents* (pain, biscotte, céréales...)

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

à chaque

petit-déjeuner, des féculents* (pain, biscotte, céréales...)

Comptabilisez 10 points.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner, des aliments salés

et

sucrés tels des viennoiseries, pains au lait, brioches...

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner, des aliments salés

et

sucrés tels des viennoiseries, pains au lait, brioches...

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de consommer des aliments industriels pour le petit-déjeuner tels : mueslis, céréales soufflées, biscuits...

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

des aliments industriels pour le petit-déjeuner tels : mueslis, céréales soufflées, biscuits...

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de

ne pas

consommer au petit-déjeuner, mon pain ou mes biscottes

sans sel

.

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

toujours

au petit-déjeuner, mon pain ou mes biscottes

sans sel

.

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de

ne pas

consommer au petit-déjeuner un produit laitier*.

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

à chaque

petit-déjeuner au moins un produit laitier*.

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de consommer du fromage

affiné

* au petit-déjeuner.

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

de fromage

affiné

* au petit-déjeuner.

Comptabilisez 10 points.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner, un fruit et/ou jus de fruit et/ou compote.

Comptabilisez 0 point.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner, un fruit et/ou jus de fruit et/ou compote.

Comptabilisez 5 points.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner, des aliments riches en sucre* (

hors

fruits et/ou compotes de fruits).

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner, des aliments riches en sucre* (

hors

fruits et/ou compotes de fruits).

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de petit-déjeuner avec la salière sur la table.

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

petit-déjeune

jamais

avec la salière sur la table.

Comptabilisez 12 points.

TOTAL DE(S) POINT(S)

.

Rendez-vous à la page N°21

.

Légende des tableaux

* Les assimilés des viandes, poissons, œufs sont les plats alimentaires (industriels ou non) à base de viande(s), et/ou de poisson(s) et/ou d’œufs tels des quiches, les pains de poissons, le hachis, les fruits de mer (coquillages, crustacés...), les cordons bleus au jambon, les charcuteries que sont les rillettes, pâtés, saucissons, boudins noirs, saucisses, chair à saucisse, merguez...

* Consultez la liste des féculents sur mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com

* Consultez la liste des légumes verts sur mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com

* Les produits laitiers sont tous les aliments dénommés comme « laits » : les laits de mammifères et les laits végétaux.

* Les fromages affinés sont le camembert, emmental, rouy, bûche de chèvre...

* 30g environ de fromage affiné correspondent à la valeur d’un huitième de camembert par exemple.

* Les aliments riches en sucre sont tous les produits alimentaires à base de sucre. Attention, les produits édulcorés à base d’aspartame, de sucralose, d’extraits de Stévia... ainsi que les produits alimentaires qui sont dits « light » ou « zéro »... ne sont pas des aliments riches en sucre. Les produits sucrés concernés sont : le sucre blanc, sucre roux, les confitures, les gelées, le miel, les chocolats, les sirops, les confiseries, les pâtes à tartiner chocolatées, pain au lait fourré ou non, beignets, sablés, viennoiseries, gâteaux...

* Le sel de régime est un sel uniquement composé de chlorure de potassium (l’idéal) ou composé en partie de chlorure de potassium et en partie de chlorure de sodium (qui est moins intéressant).

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner

Baromètre de votre résultat

Vous avez comptabilisé 0 point.

- Rendez-vous à la page suivante.

Vous avez comptabilisé un total de points,compris entre 1 point et 69 points inclus.

- Rendez-vous à la page N°23.

Vous avez comptabilisé un total de points,compris entre 70 points inclus et 138 points inclus.

- Rendez-vous à la page N°24.

Vous avez comptabilisé 139 points.

- Rendez-vous à la page N°25.

- Vous avez comptabilisé 0 point ?

« Je ne consomme jamais rien au petit-déjeuner. (Le fait de ne consommer qu’un jus de fruit, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure). »

Se priver de petit-déjeuner est catastrophique pour votre métabolisme. En effet, votre métabolisme a besoin pour bien fonctionner d’une alimentation équilibrée quotidienne. Les fondamentaux d’une alimentation équilibrée vous seront expliqués ultérieurement dans l’ouvrage. Ne pas consommer de petit-déjeuner ne peut sous aucun cas vous aider, bien au contraire !

Il vous faut donc corriger cette très mauvaise absence alimentaire dès à présent, même si vous n’avez jamais faim à l’heure du petit-déjeuner. Si vous ne consommez jamais (ou presque jamais) rien au petit-déjeuner, votre estomac ne se prépare donc pas à recevoir, dès le réveil matinal, un bol alimentaire : il est donc toujours en « veille ». Dans ce cas, il fait de la résistance, l’appétit n’est pas présent, vous avez du mal à avaler... Dans ce cas précis, mangez lentement et en de petites quantités au début, afin d’habituer votre estomac à se mettre au travail dès votre réveil, puis vous augmenterez progressivement les quantités, jusqu’à atteindre les objectifs alimentaires proposés ultérieurement dans l’ouvrage.

Evidemment des règles nutritionnelles seront à mettre en pratique, il ne s’agira pas de consommer n’importe quoi. Dans un premier temps vous favoriserez les féculents et les produits laitiers. Ces points fondamentaux seront étudiés plus tard dans l’ouvrage.

Vous pouvez vous rendre directement à la page N°25.

- Vous avez comptabilisé de 1 point à 69 points inclus ?

Si vous avez comptabilisé 10 points dans la case du tableau intitulée : « Je consomme toujours un petit-déjeuner. »

Bravo ! C’est très positif. Poursuivez dans cette dynamique nutritionnelle positive.

Si vous avez comptabilisé 2 points dans la case du tableau intitulée : « Il m’arrive fréquemment de ne rien consommer au petit-déjeuner, mais je fais des efforts pour manger. »

Je vous invite à consulter également la page précédente, concernant l’absence de petit-déjeuner et ses conséquences nutritionnelles.

Quoi qu’il en soit, et quel que soit votre score comptabilisé, compris entre 1 et 69 points inclus, je m’interroge sur la qualité nutritionnelle