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1- Nous commencerons par une enquête alimentaire. Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner, le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires en rapport avec votre gastrite chronique. En fonction des points obtenus au sein de chaque repas, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en relation avec vos habitudes alimentaires actuelles. Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d'une correction de celles-ci. 2- Je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s'agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l'importance de chacune d'entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel votre gastrite chronique, et ainsi mieux prévenir les douleurs inflammatoires qui lui sont dues. De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les meilleurs choix. 3- Place à la pratique ! Ce troisième chapitre concernera la diététique pure. En effet, dans la première partie de ce chapitre, je vous proposerai l'élaboration de six jours de menus très détaillés concernant vos petits-déjeuners, déjeuners et dîners. Cette partie ayant pour but l'apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées à votre gastrite chronique. Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus adaptées à votre gastrite chronique. Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel. 4- Les bilans diététiques hebdomadaires. A la fin de chaque semaine, je vous proposerai une nouvelle enquête alimentaire à points. En fonction des points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera alors soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou elle sera excellente. Cette synthèse hebdomadaire vous aidera à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel imposé par votre gastrite chronique : le but étant de toujours s'améliorer, semaine après semaine. En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement !
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Seitenzahl: 189
Veröffentlichungsjahr: 2017
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Bonjour et merci infiniment de votre confiance.
Je m’appelle MENARD Cédric, et je suis diététicien-nutritionniste diplômé d’Etat. J’ai effectué une partie de mes études de diététique au sein de l’hôpital psychiatrique de Picauville, ainsi qu’aux services de néphrologie et de gastroentérologie au C.H.U de Rennes. Une fois diplômé, je me suis installé comme diététicien-nutritionniste en profession libérale en 2008. J’ai profité de mes premiers mois d’installation pour me spécialiser en micro-nutrition, et fus diplômé du Collège Européen Nutrition Traitement Obésité (CENTO) en 2009.
Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à la perte de poids. Il fut élaboré pour vous apporter une réponse adaptée à chacune et à chacun d’entre vous, pour le traitement diététique de la gastrite chronique, compliquée ou non d’une anémie. Cet ouvrage s’adapte en partie aux diabètes pancréatiques, ainsi qu’à l’excès de cholestérol sanguin, si vous souffrez actuellement également de ces pathologies. Cet ouvrage n’est cependant pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose.
Mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com
Mon numéro de certification professionnelle ADELI, enregistré auprès de la DDASS : 509500435.
La gastrite chronique
Chapitre 1 : L’enquête alimentaire
Le petit-déjeuner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Points divers importants
Le déjeuner
Résultats de enquête alimentaire concernant vote déjeuner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en légumes verts
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Points divers importants
Le dîner
Résultats de l’enquête ‘alimentaire concernant votre dîner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en légumes verts
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Points divers importants
Et le goûter ?
Récapitulatif de l’enquête alimentaire
Chapitre 2 : Présentation des familles alimentaires
Les matières grasses
Les viandes, poissons, œufs
Les féculents
Les légumes verts
Les produits laitiers
Les fruits
Les sucres rapides
Points divers et variés
Récapitulons !
Chapitre 3 : Le soin diététique de la gastrite chronique
Le petit-déjeuner équilibré conseillé
Le déjeuner équilibré conseillé
Le dîner équilibré conseillé
Trois semaines de menus proposés
Chapitre 4 : Bilan hebdomadaire
Analyse hebdomadaire globale de votre travail diététique
Analyse hebdomadaire globale concernant vos petits-déjeuner
Analyse hebdomadaire globale concernant vos déjeuners
Analyse hebdomadaire globale concernant vos dîners
Bilan hebdomadaire général
Résultats hebdomadaires globaux
La gastrite correspond à une altération inflammatoire de la muqueuse gastrique. Il existe des gastrites aiguës et des gastrites chroniques. Cet ouvrage traitera exclusivement de la gastrite chronique.
Une gastrite chronique peut être asymptomatique sur le plan clinique, ou bien se manifester par des douleurs gastriques plus ou moins importantes. Elle peut être associée à une anémie ferriprive (carence en fer) voire à une anémie mégaloblastique (carence en vitamine B12), et des hémorragies locales peuvent apparaître dues à l’apparition d’ulcères.
La cause d’une gastrite chronique est inconnue. Cependant de nombreux facteurs peuvent favoriser son apparition, tels l’abus de l’alcool et/ou du tabac par exemple.
La diététique intervient difficilement dans le traitement de la gastrite chronique, en effet, certains aliments ou groupes d’aliments, non mentionnés dans cet ouvrage, vous poseront peut-être des problèmes, alors que d’autres aliments, qui y sont mentionnés comme vous étant déconseillés, ne vous en poseront peut-être pas... Tout est beaucoup question, dans le cadre d’une gastrite chronique, de tolérances personnelles !
Cependant la diététique joue un rôle non négligeable pour assurer aux patients atteints de cette pathologie, un meilleur confort de vie, en supprimant les aliments entraînant des intolérances digestives, ceux qui sont agressifs pour la muqueuse gastrique, ainsi que la suppression des excitants.
Il est également très important de supprimer totalement le tabac. En effet, le tabac altère la muqueuse gastrique et favorise son inflammation.
L’anémie est une complication fréquente de la gastrite chronique. C’est pourquoi cet ouvrage traitera également en parallèle et en partie, sur un plan diététique, de cette pathologie.
Il faut distinguer l’anémie ferriprive (ou anémie ferriprive) qui est due à une carence en fer, de l’anémie mégaloblastique qui est due à une carence en vitamine B12. Les conséquences métaboliques et physiologiques, sont différentes en fonction de l’anémie concernée.
Les anémies sont très fréquentes chez les femmes enceintes, d’où des apports en vitamine B9 et en fer, qui sont proposés par le médecin traitant à partir du 6ème mois de grossesse. Elles sont fréquentes également chez l’alcoolique, chez les végétariens, et chez les végétaliens. Une alimentation insuffisamment riche en fer, des règles abondantes, les hémorroïdes, les hémorragies « cachées » ou non cachées, le sport de haut niveau (notamment chez les marathonien(ne)s), une parasitose, la suppression d’une partie de l’estomac ou de sa totalité, la drépanocytose (maladie génétique), l’apparition d’ulcère(s) due à la gastrite chronique... sont également responsables d’anémie ferriprive et/ou mégaloblastique.
En règle générale, l’anémie (surtout l’anémie ferriprive) est très fréquente au sein de la population mondiale. Selon l’OMS plus de 30% de la population mondiale est anémiée.
Toutes les anémies occasionnent des fatigues importantes notamment à l’effort musculaire, une pâleur, des essoufflements, des troubles cardiaques possibles, des ongles cassants, des maux de tête, de l’irritabilité...
Le fer est un constituant indispensable des globules rouges. Le fer est responsable, en leur sein, du transport de l’oxygène des poumons aux organes. Il se charge ensuite de les débarrasser de leur CO2, qu’il transporte aux poumons vers son élimination de l’organisme par l’expiration.
Les besoins quotidiens en fer dans des conditions normales, sont pour les femmes adultes de l’ordre de 20mg/jour. En période de grossesse, ils sont majorés à 28mg/jour. Pour les hommes adultes, ils sont de 10mg/jour.
Le fer est un sel minéral que l’on trouve aussi bien dans nos aliments de sources animales, que dans ceux de sources végétales. En effet, il existe deux formes de fer alimentaire :
- Le fer «héminique» uniquement d’origine animale, qui est apporté par les viandes, les poissons, les œufs, les produits laitiers, ainsi que par les charcuteries, les crustacés, les mollusques, les plats alimentaires à base de viande(s) et/ou de poisson(s) et/ou d’œufs tels des quiches, les pains de poisson, les cordons bleus au jambon, le poisson pané, la levure de bière... Ce fer d’origine strictement animale, est très bien absorbé par le métabolisme, en effet, l’intestin l’absorbe pour environ 80% de ses apports alimentaires.
- Le fer « non héminique » uniquement d’origine végétale, qui est apporté par les légumes verts, les céréales complètes, les fruits, le cacao... Ce fer d’origine strictement végétale est mal absorbé par le métabolisme, en effet, l’intestin l’absorbe pour environ 15% de ses apports alimentaires.
Grâce à ces informations nutritionnelles, il n’est pas difficile de comprendre que les aliments d’origine animale, seront de loin, les plus intéressants apports alimentaires en fer. Alors que les végétaux, même si certains d’entre eux apportent du fer, et même pour certains d’entre eux dans de bonnes quantités, ces derniers seront toujours moins intéressants dans le cadre du traitement diététique d’une anémie ferriprive.
Le fer d’origine alimentaire est absorbé au niveau de l’intestin grêle. Lorsque les réserves en fer (au niveau du foie), deviennent trop faibles, l’organisme augmente ses capacités d’absorption intestinale du fer d’origine alimentaire.
A savoir : la vitamine C favorise fortement l’absorption intestinale du fer alimentaire (l’alcool également). Le calcium, le son de blé, la rhubarbe, l’oseille, les céleris (branche, rave), le cacao, le thé, le café, le calcium au contraire, limitent son absorption intestinale.
La vitamine B12 est une vitamine qui est indispensable dans la maturation des globules rouges. Elle intervient également dans la synthèse de certains acides gras et acides aminés.
La vitamine B12 est une vitamine apportée essentiellement par des aliments d’origine animale : viandes, poissons, œufs, les charcuteries, les crustacés, les mollusques, par la levure de bière, les produits laitiers...
La gastrite atrophique biermérienne est une forme de gastrite chronique qui est associée à une carence en vitamine B12.
Que vous souffriez (ou non) de carence(s) en fer et/ou en vitamine B12 associée(s) à votre gastrite, cet ouvrage sera à utiliser de la même manière. En effet, vous ne risquez absolument pas de surcharge sanguine en fer (étant donné que dans les conditions d’alimentation normales, les besoins en fer sont très difficilement couverts), ni en vitamine B12.
Les conseils diététiques de cet ouvrage vous sont presque tous parfaitement adaptés. Cependant, afin d’adapter totalement cet ouvrage à votre diabète pancréatique, je vous rappelle que tous les produits alimentaires sucrés vous sont interdits à la consommation ! Ainsi, si vous souffrez également de diabète pancréatique, voici des modifications à apporter à mes menus, afin de les intégrer parfaitement à votre gastrite chronique :
- « Sucré(e) ». Dans le cas du diabète pancréatique, le sucre étant interdit, vous remplacerez ce terme par « édulcoré(e) ». Edulcorer un produit alimentaire, cela signifie y ajouter un édulcorant tels l’aspartame, le sucralose ou l’extrait de Stévia par exemple.
- Tous les desserts proposés seront fabriqués « maison », et/ou, ils seront édulcorés (riz au lait par exemple) et/ou sans sucre.
- Les confitures de fruits seront interdites, même celles qui sont allégées en sucre.
Je vous conseille vivement de vous procurer mon ouvrage « Quelle alimentation pour le diabète ? » afin d’avoir un travail plus complet en parallèle de cet ouvrage, parfaitement adapté à votre diabète pancréatique.
Cet ouvrage n’est pas spécifiquement adapté au traitement diététique de l’excès de cholestérol sanguin. Cependant, suivre les conseils diététiques qui sont proposés dans cet ouvrage, ne portera aucun préjudice sur votre taux de cholestérol sanguin. Vous veillerez, en association des conseils diététiques de proposés pour votre gastrite à :
- Ne pas cuisiner dans le beurre, ni dans la margarine végétale, mais privilégiez fortement la cuisson dans l’huile d’olive extra-vierge. Ne consommez pas plus d’environ 10g à 20g de margarine végétale par jour (la valeur d’une cuillère à soupe rase environ), idem pour le beurre. Ne consommez pas de crème fraîche standard (à 30% de matières grasses ou plus). Favorisez tous les produits gras qui sont allégés en matières grasses (car ils sont allégés d’autant en cholestérol), tels la crème fraîche inférieure ou égale à 15% de matières grasses, la margarine allégée en matières grasses, le fromage blanc et les petits suisses maigres, le lait écrémé ou demi-écrémé (mais non entier)...
- Privilégiez la consommation des viandes maigres, grillez-les le plus souvent possible. Ne consommez pas le gras des viandes. Privilégiez fortement la consommation des poissons. Ne consommez pas trop d’œufs (au mieux, pas plus de trois par semaine). Vous veillerez à ne pas consommez de charcuteries grasses (pâtés, saucisson...)
- Votre consommation de fromage affiné sera très limitée : pas plus de deux fois 30g de fromage affiné peu gras par semaine.
Je vous conseille vivement de vous procurer mon ouvrage « Quelle alimentation pour l’excès de cholestérol ? » afin d’avoir un travail plus complet en parallèle de cet ouvrage, parfaitement adapté à votre excès de cholestérol sanguin.
1er travail : nous commencerons par effectuer une enquête alimentaire. Il s’agit du chapitre 1.
L’enquête alimentaire est un travail diététique absolument indispensable, devant être mis sérieusement en pratique.
Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner et enfin le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires, par rapport au traitement diététique de votre gastrite chronique.
En fonction des points obtenus au sein de chaque repas interrogé, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en rapport avec vos habitudes alimentaires actuelles au regard de votre gastrite chronique.
Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d’une correction de vos erreurs nutritionnelles.
2eme travail : je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s’agit du chapitre 2.
Il s’agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l’importance de chacune d’entre elles, afin de mieux gérer le traitement diététique de votre gastrite chronique.
De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les choix les plus judicieux.
3eme travail : avec les bons outils nutritionnels, place à la pratique ! Il s’agit du chapitre 3.
Ce troisième chapitre concernera la diététique pure.
En effet, dans la première partie de ce troisième chapitre, je vous proposerai l’élaboration de six jours de menus très détaillés, concernant votre petit-déjeuner, déjeuner et dîner. Cette première partie ayant pour but l’apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées au traitement diététique de votre gastrite chronique.
Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus adaptées à la gastrite chronique (que celle-ci soit associée ou non à une carence en fer et/ou en vitamine B12). Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel.
4eme et dernier travail : les bilans diététiques hebdomadaires.
A la fin de chaque semaine, je vous proposerai de nouvelles enquêtes alimentaires à points, exactement sous la même forme que l’enquête alimentaire, que vous allez effectuer dès le début de cet ouvrage.
Evidemment, en fonction de vos points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou je l’espère très bonne.
Cette synthèse hebdomadaire n’aura que pour seule et unique finalité, que celle de vous aider à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel induit par le traitement diététique de votre gastrite chronique : le but étant d’améliorer semaine après semaine, vos résultats.
En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement ! Bon courage !
Commençons notre collaboration par une enquête alimentaire. C’est l’aspect qualitatif de votre alimentation qui y sera surtout étudié. Remplissez les tableaux qui se succèdent au sein de ce chapitre, en essayant d’être la ou le plus impartial(e) et objectif(ve) possible.
Les astérisques* vous renvoient à la légende qui correspond aux groupes alimentaires concernés à la page N°68 (il est très important de vous y rendre avant de répondre aux questions posées, afin d’éviter des erreurs d’incompréhension, pouvant remettre en cause la fiabilité de votre enquête alimentaire).
Vos habitudes alimentaires
.
Point(s) acquis
.
Je
ne
consomme
jamais
rien
au petit-déjeuner.
(Le fait de ne consommer qu’un jus de fruits, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure).
Comptabilisez 0 point.
Vous pouvez dans le cas présent, vous rendre directement à la page N°22, sans remplir ce tableau.
Il m’arrive
fréquemment de
ne rien consommer
au petit-déjeuner, cependant
je
fais des efforts pour manger.
Comptabilisez 2 points.
Je
consomme
toujours
un petit-déjeuner.
Comptabilisez 10 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner, des aliments gras et sucrés tels des viennoiseries, pains au lait, brioches...
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, des aliments gras et sucrés tels des viennoiseries, pains au lait, brioches...
Comptabilisez 10 points.
La quantité de beurre
consommée
au petit-déjeuner (lorsqu’il est consommé), correspond à
plus de
12g
de beurre à 82% de matières grasses (un micropain*).
Comptabilisez 0 point.
La quantité de beurre
consommée
au petit-déjeuner (lorsqu’il est consommé), correspond à
12g
maximum
de beurre à 82% de matières grasses (un micropain*).
Comptabilisez 8 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner, de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.
Comptabilisez 8 points.
Je
ne
consomme
pas
à chaque
petit-déjeuner, des féculents* (pain, biscotte, céréales...)
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
à chaque
petit-déjeuner, des féculents* (pain, biscotte, céréales...)
Comptabilisez 10 points.
Je
ne
consomme
pas
à chaque
petit-déjeuner, des féculents à base de
céréales complètes
*.
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
toujours
, au petit-déjeuner, des féculents à base de
céréales complètes
*.
Comptabilisez 8 points.
Je
ne
consomme
pas
à chaque
petit-déjeuner, un produit laitier*.
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
à chaque
petit-déjeuner, un produit laitier*.
Comptabilisez 10 points.
Je
ne
consomme
pas
à chaque
petit-déjeuner, un fruit, ou jus de fruits, ou une compote de fruits.
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
à chaque
petit-déjeuner, un fruit, ou jus de fruits, ou une compote.
Comptabilisez 10 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner des sucres rapides*.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, des sucres rapides*.
Comptabilisez 10 points.
Je
petit-déjeune
rapidement
et je
ne
mastique
pas
suffisamment
mes aliments avant de les avaler.
Comptabilisez
0 point
.
Je
petit-déjeune
tranquillement
et
je prends le temps
de bien mastiquer mes aliments avant de les avaler.
Comptabilisez 12 points.
Je
consomme
en général
au petit-déjeuner du café et/ou du thé
fort
.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner du café et/ou du thé
fort
.
Comptabilisez 12 points.
TOTAL DE(S) POINT(S)
.
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Vous avez comptabilisé 0 point.
- Rendez-vous à la page suivante.
Vous avez comptabilisé un total de points, compris entre 1 point et 54 points inclus.
- Rendez-vous à la page N°23.
Vous avez comptabilisé un total de points, compris entre 55 points inclus et 107 points inclus.
- Rendez-vous à la page N°24.
Vous avez comptabilisé 108 points.
- Rendez-vous à la page N°25.
- Vous avez comptabilisé 0 point ?
« Je ne consomme jamais rien au petit-déjeuner. (Le fait de ne consommer qu’un jus de fruits, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure). »
Se priver de petit-déjeuner est catastrophique pour votre métabolisme. En effet, votre métabolisme a besoin pour bien fonctionner, d’une alimentation équilibrée quotidienne. Les fondamentaux d’une alimentation équilibrée vous seront expliqués ultérieurement dans l’ouvrage. Ne pas consommer de petit-déjeuner ne peut sous aucun cas vous aider à mieux gérer votre gastrite chronique, bien au contraire !
Il vous faut donc corriger cette très mauvaise absence alimentaire dès à présent, même si vous n’avez jamais faim à l’heure du petit-déjeuner. Si vous ne consommez jamais (ou presque jamais) rien au petit-déjeuner, votre estomac ne se prépare donc pas à recevoir, dès le réveil matinal, un bol alimentaire : il est donc toujours en « veille ». Dans ce cas, il fait de la résistance, l’appétit n’est pas présent, vous avez du mal à avaler... Dans ce cas précis, mangez lentement et en de petites quantités au début, afin d’habituer votre estomac à se mettre au travail dès votre réveil, puis vous augmenterez progressivement les quantités, jusqu’à atteindre les objectifs alimentaires proposés ultérieurement dans l’ouvrage.
Evidemment des règles nutritionnelles seront à mettre en pratique, il ne s’agira pas de consommer n’importe quoi. Un produit laitier maigre, des féculents au mieux complets, un fruit (hors agrume) seront des indispensables nutritionnels. Ces points fondamentaux seront étudiés plus tard dans cet ouvrage.
Vous pouvez vous rendre directement à la page N°25.
- Vous avez comptabilisé de 1 point à 54 points inclus ?
Si vous avez comptabilisé 10 points dans la case du tableau intitulée : « Je consomme toujours un petit-déjeuner. »
Bravo ! C’est très positif. Poursuivez dans cette dynamique nutritionnelle positive.
Si vous avez comptabilisé 2 points dans la case du tableau intitulée : « Il m’arrive fréquemment de ne rien consommer au petit-déjeuner, cependant je fais des efforts pour manger.»
Je vous invite à consulter également la page précédente, concernant l’absence de petit-déjeuner et ses conséquences nutritionnelles.
Quoi qu’il en soit, et quel que soit votre score comptabilisé, compris entre 1 et 54 points inclus, je m’interroge sur la qualité nutritionnelle de votre petit-déjeuner, qui ne peut être qu’anarchique, aléatoire, et totalement déséquilibré. Votre petit-déjeuner doit être retravaillé en profondeur. En effet, la totalité de vos points comptabilisés, à l’issue de votre enquête alimentaire, laisse entrevoir un petit-déjeuner qui n’est pas du tout adapté au traitement diététique d’une gastrite chronique. Il est très fortement probable pour que vous mangiez trop vite, que votre petit-déjeuner soit trop pauvre en féculents complets et en fruits, peut-être est-il également trop riche en graisses saturées : viennoiserie, pain au lait, brioche... voire même trop riche en café et/ou en thé fort(s)... Des efforts vont vous être réclamés, mais avec de la bonne volonté, votre petit-déjeuner finira par être adapté à votre gastrite chronique.
Vous pouvez vous rendre directement à la page N°25.
- Vous avez comptabilisé de 55 points inclus à 107 points inclus ?
Si vous avez comptabilisé 10 points dans la case du tableau intitulée : « Je consomme toujours un petit-déjeuner. »
Bravo ! C’est très positif. Poursuivez dans cette dynamique nutritionnelle positive.
Si vous avez comptabilisé 2 points dans la case du tableau intitulée : « Il m’arrive fréquemment de ne rien consommer au petit-déjeuner, cependant je fais des efforts pour manger.»
Je vous invite à consulter également la page N° 22, concernant l’absence de petit-déjeuner et ses conséquences nutritionnelles.
Plus votre score comptabilisé est proche des 55 points, et plus votre petit-déjeuner est plus ou moins déséquilibré et peut favoriser l’inflammation de votre muqueuse gastrique. De nombreuses erreurs alimentaires sont présentes et devront être corrigées ! Vous mangez certainement trop vite, ou bien votre alimentation est trop riche en matières grasses et/ou en sucre, voire en café et/ou thé fort(s)... Des changements nutritionnels sont à opérer dès à présent.
Plus vous vous rapprochez des 107 points comptabilisés, et plus vos petits-déjeuners sont plus ou moins convenablement équilibrés, mais ils ne sont cependant pas parfaits non plus. Dans le cas présent, votre petit-déjeuner va notamment dans le sens d’une alimentation adaptée