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Comment se présente cet ouvrage ? 1- Nous commencerons par une enquête alimentaire. Cette enquête alimentaire sous la forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner, le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires en rapport avec votre rectocolite hémorragique en périodes de poussées inflammatoires. En fonction des points obtenus au sein de chaque repas, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en relation avec vos habitudes alimentaires. Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d'une correction de celles-ci. 2- Je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s'agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l'importance de chacune d'entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel vos poussées inflammatoires. De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les meilleurs choix. 3- Place à la pratique ! Ce troisième chapitre concernera la diététique pure. Dans la première partie de ce chapitre, je vous proposerai l'élaboration de six jours de menus très détaillés concernant vos petits-déjeuners, déjeuners et dîners. Cette partie ayant pour but l'apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées aux poussées inflammatoires dues à votre rectocolite hémorragique. Dans la deuxième partie, je vous proposerai quinze jours de menus adaptés aux poussées inflammatoires. Ces quinze jours de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel. 4- Les bilans diététiques hebdomadaires. A la fin de chaque semaine, je vous proposerai une nouvelle enquête alimentaire à points. En fonction des points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera alors soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou excellente. Cette synthèse hebdomadaire vous aidera à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel imposé par votre colite : le but étant de toujours vous améliorer semaine après semaine. En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement !
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Seitenzahl: 169
Veröffentlichungsjahr: 2017
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Merci infiniment d’avoir acheté cet ouvrage.
Bonjour et merci infiniment de votre confiance.
Je m’appelle MENARD Cédric, et je suis diététicien-nutritionniste diplômé d’Etat. J’ai effectué une partie de mes études de diététique au sein de l’hôpital psychiatrique de Picauville, ainsi qu’aux services de néphrologie et de gastroentérologie au C.H.U de Rennes. Une fois diplômé, je me suis installé comme diététicien-nutritionniste en profession libérale en 2008. J’ai profité de mes premiers mois d’installation pour me spécialiser en micro-nutrition, et fus diplômé du Collège Européen Nutrition Traitement Obésité (CENTO) en 2009.
Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à la perte de poids. Il fut élaboré pour vous apporter une réponse adaptée à chacune et à chacun d’entre vous, pour le traitement diététique de la rectocolite hémorragique lors des poussées inflammatoires, traitée sous corticothérapie ou non. Cet ouvrage n’est cependant pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose.
Si vous souffrez d’insuffisance rénale, tous les conseils diététiques de proposés dans cet ouvrage ne doivent pas être mis en pratique.
Mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com Mon numéro de certification professionnelle ADELI, enregistré auprès de la DDASS : 509500435.
La rectocolite hémorragique
Chapitre 1 : L’enquête alimentaire
Le petit-déjeuner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Le déjeuner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre déjeuner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en légumes verts
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Le dîner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre dîner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en légumes verts
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Et le goûter ?
Récapitulatif de l’enquête alimentaire
Chapitre 2 : Présentation des familles alimentaires
Les matières grasses
Les viandes, poissons, œufs
Les féculents
Les légumes verts
Les produits laitiers
Les fruits
Les sucres rapides
Points divers et variés
Récapitulons !
Chapitre 3 : L’alimentation pour la rectocolite hémorragique
Le petit-déjeuner équilibré conseillé
Le déjeuner équilibré conseillé
Le dîner équilibré conseillé
Quinze jours de menus proposés
Chapitre 4 : Bilan hebdomadaire
Analyse hebdomadaire globale de votre travail diététique
Analyse hebdomadaire globale concernant vos petits-déjeuners
Analyse hebdomadaire globale concernant vos déjeuners
Analyse hebdomadaire globale concernant vos dîners
Bilan hebdomadaire général
Résultats hebdomadaires globaux
La rectocolite hémorragique est une maladie intestinale inflammatoire chronique, idiopathique, évoluant par poussées entrecoupées de rémissions. La rectocolite hémorragique ne touche que le colon et/ou le rectum.
La diététique intervient pendant les périodes de poussés inflammatoires afin de :
- Freiner le transit intestinal, car les malades souffrent de diarrhées.
- Si corticothérapie (traitement à base de cortisone), limiter fortement les apports alimentaires en sodium (sel) et en sucre, tout en augmentant les apports alimentaires en calcium.
- Lutter contre l’anémie ferriprive car les hémorragies dont les malades sont victimes favorisent la carence en fer.
En dehors des périodes de poussées inflammatoires, il existe deux possibilités. Soit votre gastro-entérologue considère qu’une alimentation normale et équilibrée est à mettre en pratique, soit il considère que le régime alimentaire strict associé aux poussées inflammatoires doit être maintenu à vie.
La diététique intervient d’une façon fondamentale dans le traitement de la diarrhée, en limitant voire en supprimant les apports alimentaires en fibres végétales notamment, qui favorisent le transit intestinal.
Les règles hygiéno-diététiques de base pour le traitement de la diarrhée sont très simples à mettre en pratique :
- Diminution du volume des selles en supprimant autant que possible les apports en fibres alimentaires végétales (consommation exclusive de céréales raffinées, associée à une consommation minimale voire nulle de légumes verts et de fruits, avec choix judicieux en leur sein).
- Réhydratation en consommant beaucoup d’eau. En effet, ne jamais oublier que la diarrhée entraîne de fortes pertes en eau, favorisant alors la déshydratation.
La diététique intervient d’une façon tout autant fondamentale, si votre médecin use de la corticothérapie dans le traitement de vos poussées inflammatoires, et ce, en limitant fortement vos apports alimentaires en sodium et en sucre, et en augmentant vos apports alimentaires en calcium, en vitamine D et en protéines.
A noter que la corticothérapie n’est pas systématiquement prescrite. Dans ce cas, il vous sera inutile de respecter les conseils diététiques proposés au sein de ce paragraphe.
Les règles hygiéno-diététiques de base sont en cas de corticothérapie :
1- Ne pas consommer les aliments suivants, qui font partie des aliments les plus riches en sodium (sel) :
Le sel de table.
Toutes les charcuteries.
Tous les crustacés, coquillages, œufs de poissons dont le caviar.
La choucroute (chou fermenté).
Les condiments, moutarde, câpre, cornichon, sel de céleri.
Olives, biscuits apéritifs, oléagineux apéritifs (cacahuète, pistache...)
Le beurre salé et la margarine végétale salée.
Toutes les viandes
fumées
et tous les poissons
fumés
.
Toutes les viandes et les poissons
salés
.
Tous les jambons (blanc, fumé, braisé...)
Les chips.
Le pain standard et les biscottes standards.
Les légumes surgelés
si consommés
avec leur sachet d’épices
de fourni avec.
Tous les jus de légumes.
Tous les potages en brique, en sachet ou surgelés.
Tous les plats du traiteur, frais ou surgelés.
Tous les plats industriels tout prêts, surgelés ou non.
Toutes les sauces du commerce.
La levure alsacienne.
Les bouillons de viandes ou de légumes en cube (genre KUB).
Les bonbons, les pastilles Vichy.
Toutes les conserves
ne portant pas
la mention « sans adjonction de sel ».
Le jus de tomate industriel.
Toutes les pâtisseries du commerce.
Certaines eaux gazeuses (point étudié plus en détails ultérieurement dans l’ouvrage).
La majorité des fromages affinés.
Pourquoi ? Ce sont les aliments courants les plus riches en sodium. La suppression alimentaire de tous ces aliments correspond au régime pauvre en sodium « large » (le moins sévère et le plus répandu. En règle général, le respect et le suivi de celui-ci est suffisant).
A savoir : il existe du sel « de régime » (appauvri, voire totalement dépourvu en sodium), en vente dans les supermarchés (« Minisel » de « La baleine » par exemple), ou encore en vente en pharmacie (de la marque Bouillet). Si vous avez du mal à manger sans sel, n’hésitez pas à les consommer. ATTENTION : interdiction formelle de consommer ce sel de régime si vous êtes insuffisant(e) rénal(e), car risque mortel. En effet, dans le sel de régime, le sodium (chlorure de sodium) est remplacé par du potassium (chlorure de potassium), et chez les patients insuffisants rénaux, il est absolument impératif de réduire au maximum les apports en potassium, en plus des apports en sodium (entre autres).
2- Limiter au maximum la consommation de tous les aliments riches en sucre : sucre blanc, confiture, miel, chocolat, gâteaux, viennoiseries, confiseries, biscuits sucrés...
A savoir : les édulcorants que sont l’aspartame, le sucralose, les extraits de Stévia... ne sont pas des produits sucrés, mais ils en apportent la sensation lors de leur consommation. Ils sont parfaitement consommables dans le cadre de votre corticothérapie.
3- Avoir une alimentation suffisamment riche en protéines animales : viandes, poissons, œufs, produits laitiers...
4- Veillez à consommer suffisamment de calcium et de vitamine D. Les meilleures sources alimentaires en calcium sont tous les produits laitiers et surtout ceux d’origine animale. On parle d’excellente biodisponibilité du calcium d’origine laitière. C’est dû à la présence conjointe de protéines animales et de vitamine D. Mais on trouve également du calcium dans les viandes, poissons (notamment dans leurs arêtes), les œufs, les légumes verts, les fruits (notamment les oléagineux), chez certaines graines (les graines de sésame sont les plus grosses sources alimentaires connues en calcium), les eaux calcaires (du robinet ou dans certaines eaux minérales : La Talians, Courmayeur, Contrex...) ainsi que dans des laits végétaux tels les laits de soja, d’amande, de noisette...
A savoir : le magnésium et le calcium sont en compétition pour leur absorption intestinale. Si absorbés en même temps, le magnésium est assimilé en priorité par rapport au calcium, ce qui rends donc vos apports alimentaires en calcium nettement moins intéressants, et donc nettement moins efficaces. Donc, si vous devez supplémenter votre alimentation en magnésium, consommez ce dernier en dehors de vos apports alimentaires en calcium. De plus, évitez de boire des eaux riches en magnésium telle l’Hépar par exemple, notamment en mangeant.
Le fer est un constituant indispensable des globules rouges. Le fer est responsable, en leur sein, du transport de l’oxygène des poumons aux organes. Il se charge ensuite de les débarrasser de leur CO2, qu’il transporte aux poumons vers son élimination de l’organisme par l’expiration.
Les besoins quotidiens en fer dans des conditions normales, sont pour les femmes adultes de l’ordre de 20mg/jour. En période de grossesse, ils sont majorés à 28mg/jour. Pour les hommes adultes, ils sont de 10mg/jour. Cela explique que les risques d’anémie ferriprive (carence en fer), sont beaucoup plus élevés chez les femmes que chez les hommes. De plus, plus les règles d’une femme sont abondantes, et plus ses besoins en fer sont majorés.
Le fer est un sel minéral que l’on trouve aussi bien dans nos aliments de sources animales, que dans ceux de sources végétales. En effet, il existe deux formes de fer alimentaire :
- Le fer « héminique » uniquement d’origine animale, qui est apporté par les viandes, les poissons, les œufs, les produits laitiers, ainsi que par les charcuteries, les crustacés, les mollusques, les plats alimentaires à base de viande(s) et/ou de poisson(s) et/ou d’œufs tels des quiches, les pains de poisson, les cordons bleus au jambon, le poisson pané, la levure de bière... Ce fer d’origine strictement animale, est très bien absorbé par le métabolisme, en effet, l’intestin l’absorbe pour environ 80% de ses apports alimentaires.
- Le fer « non héminique » uniquement d’origine végétale, qui est apporté par les légumes verts, les céréales complètes, les fruits, le cacao... Ce fer d’origine strictement végétale est mal absorbé par le métabolisme, en effet, l’intestin l’absorbe pour environ 15% de ses apports alimentaires.
Grâce à ces informations nutritionnelles, il n’est pas difficile de comprendre que les aliments d’origine animale, seront de loin, les plus intéressants apports alimentaires en fer, et donc, ceux qui seront les plus importants à la consommation en cas d’anémie ferriprive (carence en fer). Alors que les végétaux, même si certains d’entre eux apportent du fer, et même pour certains d’entre eux dans de bonnes quantités, ces derniers seront toujours moins intéressants dans le cadre du traitement diététique d’une anémie ferriprive.
Le fer d’origine alimentaire est absorbé au niveau de l’intestin grêle. Lorsque les réserves en fer (au niveau du foie), deviennent trop faibles, l’organisme augmente ses capacités d’absorption intestinale du fer d’origine alimentaire.
La carence en fer s’appelle anémie martiale ou anémie ferriprive.
A savoir : la vitamine C favorise fortement l’absorption intestinale du fer alimentaire (l’alcool également). Le calcium, le son de blé, la rhubarbe, l’oseille, les céleris (branche, rave), le cacao, le thé, le café, le calcium au contraire, limitent son absorption intestinale.
En définitive, la difficulté réside surtout pendant les périodes de poussées inflammatoires, et notamment si celles-ci sont traitées à l’aide de la cortisone. Dans ce cas précis, une gymnastique diététique assez compliquée il est vrai pour les non initiés, est à mettre en pratique. Mais ne vous inquiétez pas, cet ouvrage est conçu pour vous apporter, dans la mesure du possible, toutes les informations diététiques indispensables, afin que vous puissiez acquérir de bon automatismes nutritionnels.
Si votre gastro-entérologue considère que votre alimentation peut être normale en dehors de vos poussées inflammatoires, je vous propose mes autres ouvrages pouvant vous être très utiles et vous étant alors parfaitement adaptés :
Quelle alimentation pour les enfants et les ados ?
ISBN : 9782322156733
Quelle alimentation pour les adultes en bonne santé ?
ISBN : 9782322156603
Quelle alimentation après 65 ans ?
ISBN : 9782322156719
1er travail : nous commencerons par effectuer une enquête alimentaire. Il s’agit du chapitre 1.
L’enquête alimentaire est un travail diététique absolument indispensable, devant être mis sérieusement en pratique.
Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner et enfin le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires uniquement pendant vos poussées inflammatoires.
En fonction des points obtenus au sein de chaque repas interrogé, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en rapport avec vos habitudes alimentaires associées à vos poussées inflammatoires.
Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d’une correction de vos erreurs nutritionnelles.
2eme travail : je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s’agit du chapitre 2.
Il s’agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l’importance de chacune d’entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel votre alimentation pendant vos périodes de poussées inflammatoires. De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les choix les plus judicieux.
3eme travail : avec les bons outils nutritionnels, place à la pratique ! Il s’agit du chapitre 3.
Ce troisième chapitre concernera la diététique pure.
En effet, dans la première partie de ce troisième chapitre, je vous proposerai l’élaboration de six jours de menus très détaillés, concernant votre petit-déjeuner, déjeuner et dîner. Cette première partie ayant pour but l’apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées au traitement de vos poussées inflammatoires (avec ou sans corticothérapie).
Dans la deuxième partie, je vous proposerai deux semaines de menus adaptées à vos périodes de poussées inflammatoires (la première avec corticothérapie et la deuxième sans corticothérapie). Ces deux semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel.
4eme et dernier travail : les bilans diététiques hebdomadaires.
A la fin de chaque semaine, je vous proposerai de nouvelles enquêtes alimentaires à points, exactement sous la même forme que l’enquête alimentaire, que vous allez effectuer dès le début de cet ouvrage.
Evidemment, en fonction de vos points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou je l’espère très bonne.
Cette synthèse hebdomadaire n’aura que pour seule et unique finalité, que celle de vous aider à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel imposé par vos poussées inflammatoires : le but étant de toujours améliorer, semaine après semaine, vos résultats.
En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement ! Bon courage !
Commençons notre collaboration par une enquête alimentaire. C’est l’aspect qualitatif de votre alimentation uniquement pendant vos périodes de poussées inflammatoires qui y sera étudié. Remplissez les tableaux qui se succèdent au sein de ce chapitre, en essayant d’être la ou le plus objectif(ve) possible.
Les astérisques* vous renvoient à la légende qui correspond aux groupes alimentaires concernés à la fin du tableau.
Attention : les questions notées « » au sein de tous les tableaux qui se succèderont concernent uniquement celles et ceux qui sont sous corticothérapie.
Vos habitudes alimentaires (lors des poussées inflammatoires)
.
Point(s) acquis
.
Je
ne
consomme
jamais rien
au petit-déjeuner.
(Le fait de ne consommer qu’un jus de fruit, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure).
Comptabilisez 0 point.
Vous pouvez dans le cas présent, vous rendre directement à la page N°26, sans remplir ce tableau.
Il m’arrive
fréquemment
de
ne rien consommer
au petit-déjeuner, mais
je fais
des efforts pour manger.
Comptabilisez 2 points.
Je
consomme
toujours
un petit-déjeuner.
Comptabilisez 10 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner du beurre ou de la margarine
demi-sel
.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, du beurre ou de la margarine
demi-sel
.
Comptabilisez 12 points.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.
Comptabilisez 0 point.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.
Comptabilisez 8 points.
Il m’arrive
de
ne pas
consommer au petit-déjeuner des féculents* (pain, biscotte, céréales...)
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
à chaque
petit-déjeuner, des féculents* (pain, biscotte, céréales...)
Comptabilisez 10 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner, des aliments gras
et
sucrés tels des viennoiseries, pains au lait, brioches...
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, des aliments gras
et
sucrés tels des viennoiseries, pains au lait, brioches...
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de consommer des aliments industriels pour le petit-déjeuner tels : mueslis, céréales soufflées, biscuits...
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
des aliments industriels pour le petit-déjeuner tels : mueslis, céréales soufflées, biscuits...
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de consommer des féculents à base de céréales
complètes
au petit-déjeuner.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
des féculents à base de céréales
complètes
au petit-déjeuner.
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de
ne pas
consommer au petit-déjeuner, mon pain ou mes biscottes
sans sel
.
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
toujours
au petit-déjeuner, mon pain ou mes biscottes
sans sel
.
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de
ne pas
consommer au petit-déjeuner un produit laitier*.
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
à chaque
petit-déjeuner un produit laitier*.
Comptabilisez 10 points.
Je
ne
favorise
pas
au petit-déjeuner, la consommation des produits laitiers végétaux*.
Comptabilisez 0 point.
Je favorise
au petit-déjeuner la consommation des produits laitiers végétaux*.
Comptabilisez 10 points.
Il m’arrive
de consommer du fromage
affiné
* au petit-déjeuner.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
de fromage
affiné
* au petit-déjeuner.
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner, un fruit et/ou jus de fruit et/ou compote.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, un fruit et/ou jus de fruit et/ou compote.
Comptabilisez 10 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner, des aliments riches en sucre* (
hors
fruits et/ou compotes de fruits).
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, des aliments riches en sucre* (
hors
fruits et/ou compotes de fruits).
Comptabilisez 12 points.
Je
ne
bois
pas au moins
un litre d’eau* par matinée (café, thé... comptabilisés).
Comptabilisez 0 point.
Je
bois
au moins
un litre d’eau* par matinée (café, thé... comptabilisés).
Comptabilisez 12 points.
Je
ne suis pas
sous corticothérapie.
Comptabilisez 48 points.
(Points acquis afin de ne pas vous pénaliser).
TOTAL DE(S) POINT(S)
.
Rendez-vous à la page N°25.
* Les assimilés des viandes, poissons, œufs sont les plats alimentaires (industriels ou non) à base de viande(s), et/ou de poisson(s) et/ou d’œufs tels des quiches, les pains de poissons, le hachis, les fruits de mer (coquillages, crustacés...), les cordons bleus au jambon, les charcuteries que sont les rillettes, pâtés, saucissons, boudins noirs, saucisses, chair à saucisse, merguez...
* Rendez-vous sur : www.cedricmenarddieteticien.com à la rubrique «- Liste des féculents».
* Les produits laitiers sont tous les aliments dénommés comme « laits » : les laits de mammifères et les laits végétaux.
* Les produits laitiers végétaux sont tous les produits laitiers à base de lait végétal : yaourt ou fromage blanc de soja, lait d’amande, de noisette, de riz...
* Les fromages affinés sont le camembert, emmental, rouy, bûche de chèvre...
* Dans le litre d’eau