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Comment se présente cet ouvrage ? 1- Nous commencerons par une enquête alimentaire. Cette enquête alimentaire sous la forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner, le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires en rapport avec vos diverticules coliques. En fonction des points obtenus au sein de chaque repas, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en relation avec vos habitudes alimentaires actuelles. Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d'une correction de celles-ci. 2- Je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s'agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l'importance de chacune d'entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel vos diverticules coliques. De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les meilleurs choix. 3- Place à la pratique ! En effet, dans la première partie de ce chapitre, je vous proposerai l'élaboration de six jours de menus très détaillés concernant vos petits-déjeuners, déjeuners et dîners. Cette partie ayant pour but l'apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées à vos diverticules coliques. Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus adaptées à vos diverticules. Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel. 4- Les bilans diététiques hebdomadaires. A la fin de chaque semaine, je vous proposerai une nouvelle enquête alimentaire à points. En fonction des points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera alors soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou elle sera excellente. Cette synthèse hebdomadaire vous aidera à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel imposé par vos diverticules coliques : le but étant de toujours vous améliorer, semaine après semaine. En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement, en vous épargnant autant que possible une éventuelle diverticulite.
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Seitenzahl: 174
Veröffentlichungsjahr: 2017
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Merci infiniment d’avoir acheté cet ouvrage.
Je m’appelle MENARD Cédric, et je suis diététicien-nutritionniste diplômé d’Etat. J’ai effectué une partie de mes études de diététique au sein de l’hôpital psychiatrique de Picauville, ainsi qu’aux services de néphrologie et de gastro-entérologie au C.H.U de Rennes. Une fois diplômé, je me suis installé comme diététicien-nutritionniste en profession libérale en 2008. J’ai profité de mes premiers mois d’installation pour me spécialiser en micro-nutrition, et fus diplômé du Collège Européen Nutrition Traitement Obésité (CENTO) en 2009.
Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à la perte de poids. Il fut élaboré pour vous apporter une réponse diététique adaptée à chacune et à chacun d’entre vous, en cas de diverticules coliques. Cet ouvrage s’adapte en partie aux diabètes pancréatiques, ainsi qu’à l’excès de cholestérol sanguin, si ces pathologies sont associées à vos diverticules coliques. Cet ouvrage n’est cependant pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose.
Mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com Mon numéro de certification professionnelle ADELI, enregistré auprès de la DDASS : 509500435.
Important : je précise que cet ouvrage n’est pas adapté aux suites opératoires immédiates d’une diverticulite, mais qu’il s’applique en revanche aux cas de diverticules coliques avérés non compliqués, ou bien, à leur prévention diététique.
Les diverticules coliques
Chapitre 1 : L’enquête alimentaire
Le petit-déjeuner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Points divers importants
Le déjeuner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre déjeuner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en légumes verts
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Le dîner
Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre dîner
Les apports en matières grasses
Les apports en viande, poisson, œuf
Les apports en féculents
Les apports en légumes verts
Les apports en produits laitiers
Les apports en fruits
Les apports en sucres rapides
Et le goûter ?
Récapitulatif de l’enquête alimentaire
Chapitre 2 : Présentation des familles alimentaires
Les matières grasses
Les viandes, poissons, œufs
Les féculents
Les légumes verts
Les produits laitiers
Les fruits
Les sucres rapides
Points divers et variés
Récapitulions !
Chapitre 3 : L’alimentation pour les diverticules coliques
Le petit-déjeuner équilibré conseillé
Le déjeuner équilibré conseillé
Le dîner équilibré conseillé
Trois semaines de menus proposés
Chapitre 4 : Bilan hebdomadaire
Analyse hebdomadaire globale de votre travail diététique
Analyse hebdomadaire globale concernant vos petits-déjeuners
Analyse hebdomadaire globale concernant vos déjeuners
Analyse hebdomadaire globale concernant vos goûters et dîners
Bilan hebdomadaire général
Résultats hebdomadaires globaux
Les diverticules coliques sont des hernies qui font saillie hors de la paroi du côlon. Ce sont les « rides » du côlon. Plus de la moitié des français de plus de 70 ans en sont porteurs.
En général, les diverticules coliques ne se manifestent pas et elles sont très bien tolérées, mais il arrive à ce qu’elles se compliquent en diverticulites (inflammation, infection, perforation voire hémorragie).
Le but de cet ouvrage étant, dans la mesure du possible, de vous épargner ces complications médicales appelées diverticulites, en cas de diverticules coliques asymptomatiques et de diverticules non compliquées, en vous faisant bénéficier des meilleurs conseils diététiques imposés par vos diverticules coliques.
Les mesures nutritionnelles doivent permettre d’accélérer le transit intestinal en augmentant le volume des selles, et ceci en apportant des aliments riches en fibres alimentaires, en hydratant les selles, et en stimulant le transit intestinal grâce à l’activité physique qui doit être régulière et non stressante.
La sophrologie en association des mesures diététiques proposées dans cet ouvrage, peut donner d’excellents résultats, et ce, en évacuant du stress, qui est un très puissant désorganisateur colique.
A savoir : il semble fort qu’une alimentation régulièrement pauvre ou insuffisamment riche en fibres alimentaires végétales, puisse favoriser l’apparition de ces diverticules coliques.
La diététique joue un rôle de première importance dans la prévention des diverticulites, mais également dans l’apparition des diverticules coliques.
Les règles hygiéno-diététiques de base sont les suivantes :
Premier point fondamental
: augmentation du volume des selles en consommant suffisamment de fibres (céréales
complètes,
légumes verts et fruits). En effet,
une constipation doit être absolument éradiquée ou prévenue
.
Hydratation des selles en consommant beaucoup d’eau.
Activité physique suffisante : marche à pied, sport de loisir...
Mode de vie sans stress (si possible), durée de sommeil suffisant, repas consommés dans le calme.
Ne jamais réprimer le besoin d’aller déféquer
.
Il est important de rééduquer le réflexe exonérateur, en se présentant à la selle
chaque jour à heure régulière
(même si vous n’avez pas d’envie de déféquer sur le moment).
Evitez au maximum la prise de laxatif sous la forme de médicament, même ceux dits de naturel (à base de coco, de rhubarbe...)
Ne les utiliser qu’en dernier recours
.
Bien mastiquer vos aliments avant de les avaler.
A savoir : on a longtemps cru que les graines de certains fruits (tomates, poivrons, kiwis, framboises, fraises...) pouvaient se loger dans les diverticules et provoquer une inflammation : la diverticulite. Cette hypothèse est maintenant rejetée. Il n'y aurait pas de danger à consommer ce type d'aliments. Sauf que, chez certaines personnes, les petits grains peuvent provoquer une irritation du côlon, mais sans causer de diverticulite. Il s’agit plutôt d’une question de tolérance individuelle. Vous choisirez alors de rejeter les grains de votre alimentation ou non ! (Personnellement je vous recommande de le faire).
La plupart des fibres alimentaires végétales ne sont pas digérées par notre métabolisme, elles restent alors dans l'intestin où elles contrôlent la digestion des autres aliments, et interviennent dans la consistance des selles qu’elles rendent plus molles, et surtout plus consistantes.
La quantité recommandée en fibres alimentaires végétale, pour avoir un bon transit intestinal, est de trente à quarante grammes par jour environ.
Dans l’ensemble, les aliments qui contiennent une bonne teneur en fibres sont les fruits, les légumes verts, les légumes secs et les produits céréaliers à base de céréales complètes.
Il existe deux types de fibres : les fibres solubles et les fibres insolubles.
En règle générale, les fibres solubles sont rapidement fermentées par les bactéries du côlon et ne favorisent pas l'élimination fécale, et donc n’encouragent pas vraiment le transit intestinal (sauf quelques très rares exceptions).
Par contre, les fibres insolubles sont totalement différentes des fibres solubles, car ce sont elles qui favorisent le transit intestinal.
La plupart des aliments d'origine végétale contiennent les deux types de fibres.
Que les fibres soient consommées crues ou cuites, leurs effets sur le transit intestinal restent identiques (sauf pour la pomme et la carotte). Cependant, nous verrons que consommer trop de fibres crues peut irriter le côlon.
Pour certain(e)s d’entre vous, l’augmentation trop brutale de la consommation de fibres alimentaires végétales peut causer des ballonnements, et éventuellement des douleurs abdominales, ainsi que des flatulences. C’est la raison pour laquelle je vous conseille de débuter votre réalimentation par de petites quantités (au sein des fruits et des légumes verts notamment), et d’augmenter ensuite progressivement leur consommation en fonction de vos propres tolérances personnelles, mais également en fonction des améliorations obtenues au sein de votre transit intestinal (si vous souffrez également de constipation ou de difficultés à aller à la selle).
A noter que chez certain(e)s d’entre vous, l'effet recherché sur votre transit intestinal (si besoin est) peut se faire sentir que deux ou trois mois après le changement de vos habitudes alimentaires, alors que pour d’autres, cet effet se fera dans la semaine !
Enfin, si les mesures diététiques proposées dans cet ouvrage sont (trop) longues à porter leurs fruits (en guise d’amélioration de votre transit intestinal), vous pouvez les accompagner de médicaments phytothérapeutiques très riches en fibres insolubles tels : Citrucel, Benefibre ou Metamucil en respectant les doses recommandées. Cependant, il est également important de noter que certains patients ne tolèrent pas ces médicaments.
Attention, certains laxatifs sont très irritants pour la muqueuse colique, et sont responsables de la maladie des laxatifs. Il est impératif de ne pas les consommer. Il s’agit de spécialités ou de compléments alimentaires à base des plantes suivantes : BOLDO, BOURDAINE, CASCARA, SENE, RHUBARBE. (Cependant, une compote de rhubarbe d’environ 150g par jour ne posera pas de problème).
Les conseils diététiques de cet ouvrage vous sont presque tous parfaitement adaptés. Cependant, afin d’adapter totalement cet ouvrage à votre diabète pancréatique, je vous rappelle que tous les produits alimentaires sucrés vous sont interdits à la consommation ! Ainsi, si vous souffrez également de diabète pancréatique, voici des modifications à apporter à mes menus, afin de les intégrer parfaitement à cette pathologie :
- « Sucré(e) ». Dans le cas du diabète pancréatique, le sucre étant interdit, vous remplacerez ce terme par « édulcoré(e) ». Edulcorer un produit alimentaire, cela signifie y ajouter un édulcorant tels l’aspartame, le sucralose ou l’extrait de Stévia par exemple.
- Tous les desserts proposés seront fabriqués « maison », et/ou, ils seront édulcorés (riz au lait par exemple) et/ou sans sucre.
- Les confitures de fruits seront interdites, même celles qui sont allégées en sucre.
Je vous conseille vivement de vous procurer mon ouvrage « Quelle alimentation pour le diabète ? » afin d’avoir un travail plus complet en parallèle de cet ouvrage, directement adapté à votre diabète pancréatique.
Cet ouvrage n’est pas spécifiquement adapté au traitement diététique de l’excès de cholestérol sanguin. Cependant, suivre les conseils diététiques qui sont proposés dans cet ouvrage, ne portera aucun préjudice sur votre taux de cholestérol sanguin. Vous veillerez, en association des conseils diététiques de proposés, à :
- Ne pas cuisiner dans le beurre, ni dans la margarine végétale, mais privilégiez fortement la cuisson dans l’huile d’olive extra vierge. Ne consommez pas plus d’environ 10g à 20g de margarine végétale par jour (la valeur d’une cuillère à soupe rase environ), idem pour le beurre. Ne consommez pas de crème fraîche standard (à 30% de matières grasses ou plus). Favorisez tous les produits gras qui sont allégés en matières grasses (car ils sont allégés d’autant en cholestérol), tels la crème fraîche inférieure ou égale à 15% de matières grasses, la margarine allégée en matières grasses, le fromage blanc et les petits suisses maigres, le lait écrémé ou demi-écrémé (mais non entier)...
- Privilégiez la consommation des viandes maigres, grillez-les le plus souvent possible. Ne consommez pas le gras des viandes. Privilégiez fortement la consommation des poissons (notamment les poissons gras). Ne consommez pas trop d’œufs (au mieux, pas plus de trois par semaine). Vous veillerez à ne pas consommez de charcuteries grasses (pâtés, saucisson...)
- Votre consommation de fromage affiné sera très limitée : pas plus de deux fois 30g de fromage affiné au choix par semaine.
Je vous conseille vivement de vous procurer mon ouvrage « Quelle alimentation pour le cholestérol ? » afin d’avoir un travail plus complet en parallèle de cet ouvrage, directement adapté à votre excès de cholestérol sanguin.
1er travail : nous commencerons par effectuer une enquête alimentaire. Il s’agit du chapitre 1.
L’enquête alimentaire est un travail diététique absolument indispensable, devant être mis sérieusement en pratique.
Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner et enfin le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires, par rapport à vos diverticules coliques.
En fonction des points obtenus au sein de chaque repas interrogé, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en rapport avec vos habitudes alimentaires actuelles, au regard de vos diverticules coliques.
Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d’une correction de vos erreurs nutritionnelles.
2eme travail : je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s’agit du chapitre 2.
Il s’agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l’importance de chacune d’entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel le soin diététique de vos diverticules coliques.
De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les choix les plus judicieux.
3eme travail : avec les bons outils nutritionnels, place à la pratique ! Il s’agit du chapitre 3.
Ce troisième chapitre concernera la diététique pure.
En effet, dans la première partie de ce troisième chapitre je vous proposerai l’élaboration de six jours de menus très détaillés, concernant votre petit-déjeuner, déjeuner et dîner. Cette première partie ayant pour but l’apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées à vos diverticules coliques.
Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus également adaptées à vos diverticules coliques. Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel.
4eme et dernier travail : les bilans diététiques hebdomadaires.
A la fin de chaque semaine, je vous proposerai de nouvelles enquêtes alimentaires à points, exactement sous la même forme que l’enquête alimentaire que vous allez effectuer dès le début de cet ouvrage.
Evidemment, en fonction de vos points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou je l’espère très bonne.
Cette synthèse hebdomadaire n’aura que pour seule et unique finalité, que celle de vous aider à progresser efficacement et intelligemment dans votre apprentissage nutritionnel imposé par vos diverticules coliques : le but étant de toujours améliorer, semaine après semaine, vos résultats.
En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement ! Bon courage !
Commençons notre collaboration par une enquête alimentaire. C’est l’aspect qualitatif de votre alimentation qui y sera surtout étudié. Remplissez les tableaux qui se succèdent au sein de ce chapitre, en essayant d’être la ou le plus impartial(e) et objectif(ve) possible.
Les astérisques* vous renvoient à la légende qui correspond aux groupes alimentaires concernés à la page N°65 (il est très important de vous y rendre avant de répondre aux questions posées, afin d’éviter des erreurs d’incompréhension, pouvant remettre en cause la fiabilité de votre enquête alimentaire).
Vos habitudes alimentaires.
Point(s) acquis.
Je
ne
consomme
jamais rien
au petit-déjeuner.
(Le fait de ne consommer qu’un jus de fruit, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure).
Comptabilisez 0 point.
Vous pouvez dans le cas présent, vous rendre directement à la page N°22, sans remplir ce tableau.
Il m’arrive
fréquemment
de ne
rien consommer
au petit-déjeuner,
mais je fais des efforts pour manger.
Comptabilisez 2 points.
Je
consomme
toujours
un petit-déjeuner.
Comptabilisez 10 points.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner de matière grasse (beurre, margarine...)
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme au petit-déjeuner,
plus
d’une cuillère à soupe rase de matières grasses* (beurre, MGV*...)
en général
.
Comptabilisez 0 point.
La quantité de matières grasses*
maxi consommée
(lorsqu’elle est consommée) au petit-déjeuner, correspond à environ une cuillère à soupe rase (beurre, MGV*...)
Comptabilisez 8 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, de la viande et/ou du poisson et/ou des œufs et/ou leurs assimilés*.
Comptabilisez 10 points.
Je
ne
consomme
pas à chaque
petit-déjeuner des féculents* (pain, biscotte...)
Comptabilisez 0 point.
Je consomme
à chaque
petit-déjeuner des féculents* (pain, biscotte, céréales...)
Comptabilisez 8 points.
Je
ne
consomme
pas à chaque
petit-déjeuner, des féculents* à base de
céréales complètes.
Comptabilisez 0 point.
Je
consomme
toujours
au petit-déjeuner, des féculents* à base de
céréales complètes.
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de
ne pas
consommer au petit-déjeuner un produit laitier
animal*
(à base de lait de vache, de chèvre...)
Comptabilisez 0 point.
Je consomme
à chaque
petit-déjeuner un produit laitier d’origine
animale
*
(à base de lait de vache, de chèvre...)
Comptabilisez 10 points.
Je suis
intolérant(e)
au lactose.
Comptabilisez 10 points.
(Afin de ne pas être pénalisé(e)).
Je
ne
consomme
pas à chaque
petit-déjeuner un fruit et/ou un jus de fruit et/ou une compote de fruits.
Comptabilisez 0 point.
Je consomme
à chaque
petit-déjeuner, un fruit et/ou jus de fruit et/ou compote.
Comptabilisez 12 points.
Il m’arrive
de consommer au petit-déjeuner des sucres rapides* (
hors
fruits et/ou compotes de fruits).
Comptabilisez 0 point.
Je
ne
consomme
jamais
au petit-déjeuner, des sucres rapides*
(hors
fruits et/ou compotes de fruits).
Comptabilisez 8 points.
Vous calculeriez votre consommation totale de
liquide(s)
dans la matinée (eau, jus de fruit, lait, café...)
à moins
d’un litre.
Comptabilisez 0 point.
Vous calculeriez votre consommation totale de
liquides
dans la matinée (eau, jus de fruit, lait, café...)
à plus
d’un litre.
Comptabilisez 12 points.
Vous avez envie d’aller à la selle :
vous n’avez pas le temps cela attendra
!
Comptabilisez 0 point.
Vous avez envie d’aller à la selle :
vous
y
allez sans attendre !
Comptabilisez 12 points.
TOTAL DE(S) POINT(S).
Rendez-vous à la page suivante.
Baromètre de votre résultat
Vous avez comptabilisé 0 point.
- Rendez-vous à la page suivante.
Vous avez comptabilisé un total de points, compris entre 1 point et 50 points inclus.
- Rendez-vous à la page N°23.
Vous avez comptabilisé un total de points, compris entre 51 points inclus et 101 points inclus.
- Rendez-vous à la page N°24.
Vous avez comptabilisé 102 points.
- Rendez-vous à la page N°25.
- Vous avez comptabilisé 0 point ?
« Je ne consomme jamais rien au petit-déjeuner. (Le fait de ne consommer qu’un jus de fruit, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure). »
Se priver de petit-déjeuner est catastrophique pour votre métabolisme. En effet, votre métabolisme a besoin pour bien fonctionner, d’une alimentation équilibrée quotidienne. Les fondamentaux d’une alimentation équilibrée vous seront expliqués ultérieurement dans l’ouvrage. Ne pas consommer de petit-déjeuner ne peut sous aucun cas vous épargner une éventuelle diverticulite, bien au contraire !
Il vous faut donc corriger cette très mauvaise absence alimentaire dès à présent, même si vous n’avez jamais faim à l’heure du petit-déjeuner. Si vous ne consommez jamais (ou presque jamais) rien au petit-déjeuner, votre estomac ne se prépare donc pas à recevoir, dès le réveil matinal, un bol alimentaire : il est donc toujours en « veille ». Dans ce cas, il fait de la résistance, l’appétit n’est pas présent, vous avez du mal à avaler... Dans ce cas précis, mangez lentement et en de petites quantités au début, afin d’habituer votre estomac à se mettre au travail dès votre réveil, puis vous augmenterez progressivement les quantités, jusqu’à atteindre les objectifs alimentaires proposés ultérieurement dans l’ouvrage.
Evidemment des règles nutritionnelles seront à mettre en pratique, il ne s’agira pas de consommer n’importe quoi. Dans un premier temps vous favoriserez les aliments les plus riches en fibres (fruits et féculents complets). Ces points fondamentaux seront étudiés plus tard dans l’ouvrage.
Vous pouvez vous rendre directement à la page N°25.
- Vous avez comptabilisé de 1 point à 50 points inclus ?
Si vous avez comptabilisé 10 points dans la case du tableau intitulée : « Je consomme toujours un petit-déjeuner. »
Bravo ! C’est très positif. Poursuivez dans cette dynamique nutritionnelle positive.
Si vous avez comptabilisé 2 points dans la case du tableau intitulée : « Il m’arrive fréquemment de ne rien consommer au petit-déjeuner, mais je fais des efforts pour manger. »
Je vous invite à consulter également la page précédente, concernant l’absence de petit-déjeuner et ses conséquences sur vos diverticules coliques.
Quoi qu’il en soit, et quel que soit votre score comptabilisé, compris entre 1 et 50 points inclus, je m’interroge sur la qualité nutritionnelle de votre petit-déjeuner, qui ne peut être qu’anarchique, aléatoire, et totalement déséquilibré. Votre petit-déjeuner doit être retravaillé en profondeur. En effet, la totalité de vos points comptabilisés, à l’issue de votre enquête alimentaire, laisse entrevoir un petit-déjeuner qui n’est pas du tout adapté à vos diverticules coliques. Il est très fortement probable que votre petit-déjeuner soit trop pauvre en fibres végétales, en liquides (eau, jus de fruit, thé...), mais il est également possible que vous vous reteniez trop fréquemment à aller à la selle... Tous ces points, cumulés ou non, favoriseront à terme vos diverticules ou pire favoriseront une éventuelle diverticulite.