Quelle alimentation pour les hémorroïdes ? - Cédric Menard - E-Book

Quelle alimentation pour les hémorroïdes ? E-Book

Cedric Menard

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Beschreibung

Après avoir présenté la pathologie hémorroïdaire et les points diététiques fondamentaux la concernant, l'auteur vous propose une enquête alimentaire sous la forme de questionnaires à points. Cette enquête alimentaire fut spécifiquement étudiée afin de vous proposer un avis critique et constructif, par rapport à vos habitudes alimentaires, suivi des corrections nutritionnelles à y apporter. L'auteur vous propose ensuite une présentation très détaillée de chaque famille alimentaire, accompagnée de conseils hygiéno-diététiques pertinents et complets, en rapport avec vos hémorroïdes. L'ensemble étant illustré par trois semaines de menus parfaitement adaptés à votre pathologie, et qui viennent parfaire votre apprentissage nutritionnel. A la fin de chaque semaine, l'auteur vous invite à remplir une nouvelle enquête alimentaire à points. En fonction des points comptabilisés, une synthèse critique et constructive vous sera alors soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne, ou dans le meilleur des cas elle sera excellente. En faisant ainsi chaque semaine le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement, et vous parviendrez ainsi, très rapidement, à mieux vivre vos crises hémorroïdaires Cet ouvrage est également adapté aux diabètes pancréatiques ainsi qu'à l'excès de cholestérol sanguin.

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Bonjour et merci infiniment de votre confiance.

Je m’appelle MENARD Cédric, et je suis diététicien-nutritionniste diplômé d’Etat. J’ai effectué une partie de mes études de diététique au sein de l’hôpital psychiatrique de Picauville, ainsi qu’aux services de néphrologie et de gastro-entérologie au C.H.U de Rennes. Une fois diplômé, je me suis installé comme diététicien-nutritionniste en profession libérale en 2008. J’ai profité de mes premiers mois d’installation pour me spécialiser en micro-nutrition, et fus diplômé du Collège Européen Nutrition Traitement Obésité (CENTO) en 2009.

Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à la perte de poids. Il fut élaboré pour vous apporter une réponse diététique adaptée à chacune et à chacun d’entre vous, en cas de crises d’hémorroïdes. Cet ouvrage s’adapte en partie aux diabètes pancréatiques, ainsi qu’à l’excès de cholestérol sanguin, si ces pathologies sont associées à votre pathologie. Cet ouvrage n’est cependant pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose.

Mon site Internet : www.cedricmenardnutritionniste.com Mon numéro de certification professionnelle ADELI, enregistré auprès de la DDASS : 509500435.

Sommaire

Les hémorroïdes.

Chapitre 1 : L’enquête alimentaire

Le petit-déjeuner.

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner

Les apports en matières grasses

Les apports en féculents

Les apports en produits laitiers

Les apports en fruits

Les apports en sucres rapides

Le déjeuner.

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre déjeuner

Les apports en matières grasses

Les apports en viande, poisson, œuf.

Les apports en féculents

Les apports en légumes verts

Les apports en produits laitiers

Les apports en fruits

Les apports en sucres rapides

Le dîner.

Résultats de l’enquête alimentaire concernant votre dîner

Les apports en matières grasses

Les apports en viande, poisson, œuf.

Les apports en féculents

Les apports en légumes verts

Les apports en produits laitiers

Les apports en fruits

Les apports en sucres rapides

Et le goûter ?

Récapitulatif de l'enquête alimentaire

Chapitre 2 : Présentation des familles alimentaires.

Les matières grasses

Les viandes, poissons, œufs

Les féculents

Les légumes verts

Les produits laitiers

Les fruits

Les sucres rapides

Points divers et variés

Récapitulions !

Chapitre 3 : L’alimentation pour la pathologie hémorroïdaire.

Le petit-déjeuner équilibré conseillé

Le déjeuner équilibré conseillé

Le dîner équilibré conseillé

Trois semaines de menus proposés.

Chapitre 4 : Bilan hebdomadaire

Analyse hebdomadaire globale de votre travail diététique

Analyse hebdomadaire globale concernant vos petits-déjeuners

Analyse hebdomadaire globale concernant vos déjeuners

Analyse hebdomadaire globale concernant vos goûters et dîners

Bilan hebdomadaire général

Résultats hebdomadaires globaux.

Les hémorroïdes

La pathologie hémorroïdaire ou les hémorroïdes dans le langage courant, désigne la pathologie du canal anal en rapport avec les plexus rectaux (ou hémorroïdaires). Ces plexus veineux sont des anastomoses entre les veines rectales situées dans la paroi du canal anal. Ce type de pathologie est en rapport avec des anomalies mécaniques et vasculaires. Elles peuvent s'exprimer par une douleur, un saignement ou une gêne locale. Plusieurs traitements sont disponibles, et la nutrition y a un rôle à jouer.

Les mesures nutritionnelles doivent permettre d’accélérer le transit intestinal en augmentant le volume des selles, et ceci en apportant des éléments riches en fibres alimentaires, en hydratant les selles, et en stimulant le transit intestinal grâce à l’activité physique qui doit être régulière et non stressante, et cela afin de limiter les efforts à la poussée lors de la défécation. Les mesures nutritionnelles visent également à limiter, ou à prévenir une anémie ferriprive, ou carence en fer.

Parfois, et cela est plus rare, les crises hémorroïdaires sont accompagnées d’épisodes de diarrhée, dans ce cas, il sera important de ne pas surcharger votre alimentation en fibres. Cet ouvrage ne vous sera donc pas, dans ce cas précis, recommandé.

Diététique et transit optimal

La diététique joue un rôle de première importance dans l’optimisation du transit intestinal.

Les règles hygiéno-diététiques de base sont les suivantes :

-Augmentation du volume des selles en consommant suffisamment de fibres (céréales complètes, légumes verts et fruits).

-Hydratation des selles en consommant beaucoup d’eau.

-Activité physique suffisante : marche à pied, sport de loisir...

-Mode de vie sans stress (si possible), durée de sommeil suffisant, repas consommés dans le calme, sans stress.

-Ne jamais réprimer le besoin d’aller déféquer dès que le besoin se fait sentir.

-Evitez au maximum la prise de laxatif sous la forme de médicament, même ceux dits de naturel (à base de coco, de rhubarbe...) Ne les utiliser qu’en dernier recours.

A savoir : une psychothérapie peut vous être très bénéfique. La sophrologie peut également vous aider à évacuer vos tensions, favorisant alors en aval votre transit intestinal.

Les fibres alimentaires végétâles

La plupart des fibres alimentaires végétales ne sont pas digérées par notre métabolisme, elles restent alors dans l'intestin où elles contrôlent la digestion des autres aliments, et interviennent dans la consistance des selles qu’elles rendent plus molles, et surtout plus consistantes.

La quantité recommandée en fibres alimentaires végétale, pour avoir un bon transit intestinal, est de trente à quarante grammes par jour environ.

Dans l’ensemble, les aliments qui contiennent une bonne teneur en fibres sont les fruits, les légumes verts, les légumes secs et les produits céréaliers à base de céréales complètes.

Il existe deux types de fibres : les fibres solubles et les fibres insolubles.

En règle générale, les fibres solubles sont rapidement fermentées par les bactéries du côlon et ne favorisent pas l'élimination fécale, et donc n’encouragent pas vraiment le transit intestinal (sauf quelques très rares exceptions).

Par contre, les fibres insolubles sont totalement différentes des fibres solubles, car ce sont elles qui favorisent le transit intestinal.

La plupart des aliments d'origine végétale contiennent les deux types de fibres.

Que les fibres soient consommées crues ou cuites, leurs effets sur le transit intestinal restent identiques (sauf pour la pomme et la carotte). Cependant, nous verrons que consommer trop de fibres crues peut irriter le côlon, ce qui n’est pas conseillé du tout.

Pour certain(e)s d’entre vous, l’augmentation trop brutale de la consommation de fibres alimentaires végétales peut causer des ballonnements, et éventuellement des douleurs abdominales, ainsi que des flatulences. C’est la raison pour laquelle je vous conseille de débuter votre réalimentation par de petites quantités (au sein des fruits et des légumes verts notamment), et d’augmenter ensuite progressivement leur consommation en fonction de vos propres tolérances personnelles, mais également en fonction des améliorations obtenues au sein de votre transit intestinal.

Enfin, si les mesures diététiques proposées dans cet ouvrage sont (trop) longues à porter leurs fruits, vous pouvez les accompagner de médicaments phytothérapeutiques très riches en fibres insolubles tels : Citrucel, Benefibre ou Metamucil en respectant les doses recommandées. Cependant, il est également important de noter que certains patients ne tolèrent pas ces médicaments.

Attention, certains laxatifs sont très irritants pour la muqueuse colique, et sont responsables de la maladie des laxatifs. Il est impératif de ne pas les consommer. Il s’agit de spécialités ou de compléments alimentaires à base des plantes suivantes : BOLDO, BOURDAINE, CASCARA, SENE, RHUBARBE. (Cependant, une compote de rhubarbe d’environ 150g par jour ne posera pas de problème).

Concernant les risques d'anémies

Il faut distinguer l’anémie ferriprive (ou anémie martiale) qui est due à une carence en fer, de l’anémie mégaloblastique qui est due à une carence en vitamine B12 et/ou en vitamine B9. Les conséquences métaboliques et physiologiques, sont différentes en fonction de l’anémie concernée.

Les patients atteints d’hémorroïdes sont concernés par l’anémie ferriprive.

Toutes les anémies occasionnent des fatigues importantes notamment à l’effort musculaire, une pâleur, des essoufflements, des troubles cardiaques possibles, des ongles cassants, des maux de tête, de l’irritabilité...

Le fer est un constituant indispensable des globules rouges. Le fer est responsable, en leur sein, du transport de l’oxygène des poumons aux organes. Il se charge ensuite de les débarrasser de leur CO2, qu’il transporte aux poumons vers son élimination de l’organisme par l’expiration.

Les besoins quotidiens en fer dans des conditions normales, sont pour les femmes adultes de l’ordre de 2omg/jour. En période de grossesse, ils sont majorés à 28mg/jour. Pour les hommes adultes, ils sont de 1omg/jour. Cela explique que les risques d’anémie ferriprive (carence en fer), sont beaucoup plus élevés chez les femmes que chez les hommes. De plus, plus les règles d’une femme sont abondantes, et plus ses besoins en fer sont majorés.

Le fer est un sel minéral que l’on trouve aussi bien dans nos aliments de sources animales, que dans ceux de sources végétales. En effet, il existe deux formes de fer alimentaire :

- Le fer « héminique » uniquement d’origine animale, qui est apporté par les viandes, les poissons, les œufs, les produits laitiers, ainsi que par les charcuteries, les crustacés, les mollusques, les plats alimentaires à base de viande(s) et/ou de poisson(s) et/ou d’œufs tels des quiches, les pains de poisson, les cordons bleus au jambon, le poisson pané, la levure de bière... Ce fer d’origine strictement animale, est très bien absorbé par le métabolisme, en effet, l’intestin l’absorbe pour environ 80% de ses apports alimentaires.

- Le fer « non héminique » uniquement d’origine végétale, qui est apporté par les légumes verts, les céréales complètes, les fruits, le cacao... Ce fer d’origine strictement végétale est mal absorbé par le métabolisme, en effet, l’intestin l’absorbe pour environ 15% de ses apports alimentaires.

Grâce à ces informations nutritionnelles, il n’est pas difficile de comprendre que les aliments d’origine animale, seront de loin, les plus intéressants apports alimentaires en fer, et donc, ceux qui seront les plus importants à la consommation en cas d’anémie ferriprive (carence en fer). Alors que les végétaux, même si certains d’entre eux apportent du fer, et même pour certains d’entre eux dans de bonnes quantités, ces derniers seront toujours moins intéressants dans le cadre du traitement diététique d’une anémie ferriprive.

Le fer d’origine alimentaire est absorbé au niveau de l’intestin grêle. Lorsque les réserves en fer (au niveau du foie), deviennent trop faibles, l’organisme augmente ses capacités d’absorption intestinale du fer d’origine alimentaire.

A savoir : la vitamine C favorise fortement l’absorption intestinale du fer alimentaire (l’alcool également). Le calcium, le son de blé, la rhubarbe, l’oseille, les céleris (branche, rave), le cacao, le thé, le café, le calcium au contraire, limitent son absorption intestinale.

Je souffre également de diabète !

Les conseils diététiques de cet ouvrage vous sont presque tous parfaitement adaptés. Cependant, afin d’adapter totalement cet ouvrage à votre diabète pancréatique, je vous rappelle que tous les produits alimentaires sucrés vous sont interdits à la consommation ! Ainsi, si vous souffrez également de diabète pancréatique, voici des modifications à apporter à mes menus, afin de les intégrer parfaitement à cette pathologie :

- « Sucré(e) ». Dans le cas du diabète pancréatique, le sucre étant interdit, vous remplacerez ce terme par « édulcoré(e) ». Edulcorer un produit alimentaire, cela signifie y ajouter un édulcorant tels l’aspartame, le sucralose ou l’extrait de Stévia par exemple.

- Tous les desserts proposés seront fabriqués « maison », et/ou, ils seront édulcorés (riz au lait par exemple) et/ou sans sucre.

- Les confitures de fruits seront interdites, même celles qui sont allégées en sucre.

Je vous conseille vivement de vous procurer mon ouvrage « Quelle alimentation pour le diabète ? » afin d’avoir un travail plus complet en parallèle de cet ouvrage, directement adapté à votre diabète pancréatique.

J’ai également trop de cholestérol!

Cet ouvrage n’est pas spécifiquement adapté au traitement diététique de l’excès de cholestérol sanguin. Cependant, suivre les conseils diététiques qui sont proposés dans cet ouvrage, ne portera aucun préjudice sur votre taux de cholestérol sanguin. Vous veillerez, en association des conseils diététiques de proposés, à :

- Ne pas cuisiner dans le beurre, ni dans la margarine végétale, mais privilégiez fortement la cuisson dans l’huile d’olive extra-vierge. Ne consommez pas plus d’environ 10g à 20g de margarine végétale par jour (la valeur d’une cuillère à soupe rase environ), idem pour le beurre. Ne consommez pas de crème fraîche standard (à 30% de matières grasses ou plus). Favorisez tous les produits gras qui sont allégés en matières grasses (car ils sont allégés d’autant en cholestérol), tels la crème fraîche inférieure ou égale à 15% de matières grasses, la margarine allégée en matières grasses, le fromage blanc et les petits suisses maigres, le lait écrémé ou demi-écrémé (mais non entier)...

- Privilégiez la consommation des viandes maigres, grillez-les le plus souvent possible. Ne consommez pas le gras des viandes. Privilégiez fortement la consommation des poissons (notamment les poissons gras). Ne consommez pas trop d’œufs (au mieux, pas plus de trois par semaine). Vous veillerez à ne pas consommez de charcuteries grasses (pâtés, saucisson...)

- Votre consommation de fromage affiné sera très limitée : pas plus de deux fois 30g de fromage affiné au choix par semaine.

Je vous conseille vivement de vous procurer mon ouvrage « Quelle alimentation pour le cholestérol ? » afin d’avoir un travail plus complet en parallèle de cet ouvrage, directement adapté à votre excès de cholestérol sanguin.

Comment se présente cet ouvrage ?

1ertravail:nous commencerons par effectuer une enquête alimentaire. Il s’agit du chapitre 1.

L’enquête alimentaire est un travail diététique absolument indispensable, devant être mis sérieusement en pratique.

Cette enquête alimentaire sous forme de questionnaires, sera partagée en trois tableaux à points : le premier concernera votre petit-déjeuner, le deuxième votre déjeuner et enfin le dernier vous interrogera sur votre dîner. Bien entendu, celle-ci est spécifiquement étudiée, afin de me permettre de vous fournir un avis critique et constructif sur vos habitudes alimentaires, par rapport à votre pathologie hémorroïdaire.

En fonction des points obtenus au sein de chaque repas interrogé, je vous proposerai un avis nutritionnel constructif et critique, en rapport avec vos habitudes alimentaires actuelles, au regard de votre pathologie hémorroïdaire.

Notre premier travail aura donc pour but de vous permettre de prendre conscience de vos erreurs alimentaires, suivi d’une correction de vos erreurs nutritionnelles.

2eme travail:je vous présenterai chaque famille alimentaire. Il s’agit du chapitre 2.

Il s’agira de vous familiariser avec toutes les familles alimentaires, de vous permettre de bien appréhender l’importance de chacune d’entre elles, afin de mieux gérer sur le plan nutritionnel le traitement diététique de votre pathologie.

De nombreux conseils hygiéno-diététiques vous seront proposés, vous aidant ensuite à faire les choix les plus judicieux.

3eme travail:avec les bons outils nutritionnels, place à la pratique ! Il s’agit du chapitre 3.

Ce troisième chapitre concernera la diététique pure.

En effet, dans la première partie de ce troisième chapitre, je vous proposerai l’élaboration de six jours de menus très détaillés, concernant votre petit-déjeuner, déjeuner et dîner. Cette première partie ayant pour but l’apprentissage de vos nouvelles habitudes alimentaires, adaptées à votre pathologie hémorroïdaire.

Dans la deuxième partie, je vous proposerai trois semaines de menus adaptées à votre pathologie hémorroïdaire. Ces trois semaines de menus viendront illustrer et clore votre apprentissage nutritionnel.

4eme et dernier travail:les bilans diététiques hebdomadaires.

A la fin de chaque semaine, je vous proposerai de nouvelles enquêtes alimentaires à points, exactement sous la même forme que l’enquête alimentaire, que vous allez effectuer dès le début de cet ouvrage.

Evidemment, en fonction de vos points hebdomadaires obtenus, une synthèse critique et constructive vous sera soumise : elle sera mauvaise, moyenne, bonne ou je l’espère très bonne.

Cette synthèse hebdomadaire n’aura que pour seule et unique finalité, que celle de vous aider à progresser efficacement et intelligemment, dans votre apprentissage nutritionnel imposé par votre pathologie hémorroïdaire : le but étant de toujours améliorer, semaine après semaine, vos résultats.

En faisant ainsi régulièrement le point sur vos résultats, vous progresserez efficacement et sûrement ! Bon courage !

Chapitre 1

L’ENQUETE ALIMENTAIRE

Commençons notre collaboration par une enquête alimentaire. C’est l’aspect qualitatif de votre alimentation qui y sera surtout étudié. Remplissez les tableaux qui se succèdent au sein de ce chapitre, en essayant d’être la ou le plus impartial(e) et objectif(ve) possible.

Le petit-déjeuner

Les astérisques* vous renvoient à la légende qui correspond aux groupes alimentaires concernés à la page N°65 (il est très important de vous y rendre avant de répondre aux questions posées, afin d’éviter des erreurs d’incompréhension, pouvant remettre en cause la fiabilité de votre enquête alimentaire).

Vos habitudes alimentaires.

Point(s) acquis.

Je

ne

consomme

jamais

rien

au petit-déjeuner. (Le fait de ne consommer qu’un jus de fruits, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure).

Comptabilisez 0 point.

Vous pouvez dans le cas présent, vous rendre directement à la page N°24,

sans remplir ce tableau

.

Il m’arrive

fréquemment

de ne

rien consommer

au petit-déjeuner, mais

je fais des efforts pour manger.

Comptabilisez 2 points.

Je

consomme

toujours

un petit-déjeuner.

Comptabilisez 10 points.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner des matières grasses (beurre, margarine...)

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme au petit-déjeuner,

plus

d’une cuillère à soupe rase de matières grasses* (beurre, MGV* ...)

en général

.

Comptabilisez 0 point.

La quantité de matières grasses*

maxi consommée

(lorsqu’elle est consommée) au petit-déjeuner, correspond à environ une cuillère à soupe rase (beurre, MGV* ...)

Comptabilisez 8 points.

Je

ne

consomme

pas à chaque

petit-déjeuner des féculents* (pain, biscotte...)

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

à chaque

petit-déjeuner des féculents* (pain, biscotte, céréales...)

Comptabilisez 8 points.

Je

ne

consomme

pas

à chaque

petit-déjeuner, des féculents* à base de

céréales complètes

.

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

toujours

au petit-déjeuner, des féculents* à base de

céréales complètes

.

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de

ne pas

consommer au petit-déjeuner un produit laitier

animal

*

(à base de lait de vache, de chèvre...)

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

à chaque

petit-déjeuner un produit laitier d’origine

animale

*

(à base de lait de vache, de chèvre...)

Comptabilisez 10 points.

Je suis

intolérant(e)

au lactose.

Comptabilisez 10 points. (Afin de ne pas être pénalisé(e)).

Je

ne

consomme

pas à chaque

petit-déjeuner un fruit et/ou un jus de fruits et/ou une compote de fruits.

Comptabilisez 0 point.

Je

consomme

à chaque

petit-déjeuner, un fruit et/ou jus de fruits et/ou compote.

Comptabilisez 12 points.

Il m’arrive

de consommer au petit-déjeuner des sucres rapides*

(hors

fruits et/ou compotes de fruits).

Comptabilisez 0 point.

Je

ne

consomme

jamais

au petit-déjeuner, des sucres rapides*

(hors

fruits et/ou compotes de fruits).

Comptabilisez 8 points.

Vous calculeriez votre consommation totale de

liquide(s)

dans la matinée (eau, jus de fruit, lait, café...)

à moins

d’un litre.

Comptabilisez 0 point.

Vous calculeriez votre consommation totale de

liquides

dans la matinée (eau, jus de fruit, lait, café...)

à plus

d’un litre.

Comptabilisez 12 points.

TOTAL DE(S) POINT(S).

Rendez-vous à la page suivante.

Résultats de l'enquête alimentaire concernant votre petit-déjeuner

Baromètre de votre résultat

Vous avez comptabilisé 0 point.

- Rendez-vous à la page suivante.

Vous avez comptabilisé un total de points, compris entre 1 point et 39 points inclus.

- Rendez-vous à la page N°25.

Vous avez comptabilisé un total de points, compris entre 40 points inclus et 79 points inclus.

- Rendez-vous à la page N°26.

Vous avez comptabilisé 80 points.

- Rendez-vous à la page N°27.

- Vous avez comptabilisé 0 point ?

« Je ne consomme jamais rien au petit-déjeuner. (Le fait de ne consommer qu’un jus de fruits, café, thé, verre d’eau... correspond à ce cas de figure). »

Se priver de petit-déjeuner est catastrophique pour votre métabolisme. En effet, votre métabolisme a besoin pour bien fonctionner, d’une alimentation équilibrée quotidienne. Les fondamentaux d’une alimentation équilibrée vous seront expliqués ultérieurement dans l’ouvrage. Ne pas consommer de petit-déjeuner, ne peut sous aucun cas vous aider dans le cadre de votre pathologie hémorroïdaire, bien au contraire !