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Cet ouvrage est dédié à toutes les personnes souffrant d'insuffisance cardiaque, et il offre aux détenteurs de l'ouvrage du même auteur : " Quelle alimentation pour l'insuffisance cardiaque ? " un ouvrage totalement complémentaire. De nombreuses recettes vont sont proposées, toutes très simples à mettre en pratique, vous permettant ainsi de mieux gérer votre alimentation spécifique associée à votre cardiopathie. Le but de cet ouvrage étant d'apprendre très rapidement à ajuster parfaitement toutes vos recettes traditionnelles, et lutter ainsi efficacement contre votre insuffisance cardiaque en toute quiétude. L'auteur vous propose également un mois de menus totalement inédits, idéalement adaptés à votre cardiopathie, complétant ainsi votre apprentissage nutritionnel.
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Seitenzahl: 143
Veröffentlichungsjahr: 2018
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Bonjour et merci infiniment de votre confiance.
Vous avez acheté cet ouvrage afin de vous accompagner sur un plan diététique en cas d’insuffisance cardiaque, et sachez que j’ai tout fait, dans l’écriture de celui-ci, pour vous apporter un maximum de confort et de réconfort sur le plan diététique, mais également de satisfaction. Lisez et suivez attentivement les conseils de cet ouvrage et vous obtiendrez satisfaction. Je vous conseille de vous procurer également mon ouvrage « Quelle alimentation pour l’insuffisance cardiaque ? » afin d’optimiser fortement vos chances de réussite. Vous êtes important(e) à mes yeux. J’ai écrit ces ouvrages pour vous aider du mieux de mes capacités. Merci.
Je m’appelle MENARD Cédric, et je suis diététicien-nutritionniste diplômé d’Etat. J’ai effectué une partie de mes études de diététique au sein de l’hôpital psychiatrique de Picauville, ainsi qu’aux services de néphrologie et de gastro-entérologie au C.H.U de Rennes. Une fois diplômé, je me suis installé comme diététicien-nutritionniste en profession libérale en 2008. J’ai profité de mes premiers mois d’installation pour me spécialiser en micro-nutrition, et fus diplômé du Collège Européen Nutrition Traitement Obésité (CENTO) en 2009.
Attention : cet ouvrage n’est pas adapté à de quelconques intolérances ou allergies alimentaires : il vous appartiendra donc d’être vigilant(e) dans l’application des menus et recettes de proposés, et d’y faire, le cas échéant, une sélection alimentaire appropriée, notamment, par exemple, en cas d’intolérance au lactose.
Mon site Internet : www.cedricmenarddieteticien.com Mon numéro de certification professionnelle ADELI, enregistré auprès de la DDASS : 509500435.
L’insuffisance cardiaque
Présentation des familles alimentaires
Les matières grasses
Quelques vinaigrettes allégées
Présentation de quelques épices
Les viandes, poissons, œoufs
Quelques idées de recettes
Conseils culinaires indispensables
Bœuf ficelle
Blanquette diététique
Bœuf mode
Blanc de dinde meunière
Filet de poisson poché
Darne de saumon en papillote
Bar au four
Filet de poisson au fromage blanc maigre
Filet de poisson au poireau
Salade maritime
Quiche légère
Œuf cocotte à la viande de porc
Œuf cocotte au fromage blanc
Tarte maritime aux épinards
Les féculents
Conseils culinaires indispensables
Gâteau de pâtes complètes
Lasagne de poisson
Lentilles au naturel
Purée de pois cassés (ou st. Germain)
Soissons à la crème fraîche allégée
Gnocchi à la romaine
Semoule complète au poulet
Riz complet pilaf au curry
Semoule aux fruits meringués
Riz complet impératrice aux fruits
Riz complet au lait de soja
Crêpes complètes légères sauce Mornay
Les légumes verts
Conseils culinaires indispensables
Choux de Bruxelles braisés
Roulades d’endives
Potage velouté
Gratin de courgettes
Soufflé de carottes
Flan de légumes verts
Champignons à la grecque
Petits pois à la paysanne
Tarte à la rhubarbe
Quinoa au curry
Les produits laitiers
Conseils culinaires indispensables
Entremet aux fruits
Gâteau de semoule aux fruits
Parfait au fromage blanc de soja
Mousse glacée aux fruits
Crème légère aux œufs
Clafoutis aux pruneaux
Bavarois aux framboises
Œufs au lait
Flan au chocolat
Flan au fromage blanc maigre
Crème au lait d’amande
Fruits secs au fromage blanc de soja
Les fruits
Conseils culinaires indispensables
Poire râpée en gelée
Compote légère
Crème légère à la pomme
Poire au fromage blanc
Tarte aux pommes diététique
Fraises à la crème pâtissière
Petits suisses maigres aux kakis caramélisés
Compote de fruits rouges laitière
Papillote de banane
Velouté de fruits frais
Gâteau aux noix
Brochette de fruits frais
Un mois de menus proposés
L’insuffisance cardiaque correspond à l’incapacité du cœur à assurer de façon efficace la circulation sanguine, dans toutes ou certaines circonstances de la vie courante. Il existe plusieurs stades d’insuffisance cardiaque.
Toutes les insuffisances cardiaques ne nécessitent pas de restriction sodée (restriction des apports alimentaires en sel). En effet, tout dépend du degré de gravité de l’insuffisance cardiaque. Il sera cependant considéré dans cet ouvrage, que votre insuffisance cardiaque est suffisamment évoluée pour vous restreindre au régime sans sel (ou régime pauvre en sodium).
Nous travaillerons sur deux fronts distincts mais complémentaires dans cet ouvrage : celui des apports alimentaires en sodium, et celui des apports alimentaires en cholestérol :
- Le régime alimentaire sera pauvre en sodium (apport journalier d’environ 800mg de sodium). Il s’agit du « régime hyposodé large ». Important : voir avec votre médecin traitant si des apports plus drastiques en sodium doivent être mis en pratique. En effet, dans certains rares cas d’insuffisance cardiaque globale avancée, les apports en sodium doivent être encore plus restreints.
- Le régime alimentaire sera impérativement pauvre en cholestérol (et en acides gras saturés).
Si vous souffrez de surpoids, je vous conseille très vivement de perdre du poids. En effet, une perte de poids associée aux conseils diététiques adaptés à votre cardiopathie, donne de bien meilleurs résultats. Mon ouvrage « Apprenez à manger & maigrissez ! » peut vous y aider très efficacement, en association avec les conseils prodigués au sein de cet ouvrage.
Dans le cadre du traitement diététique d’une insuffisance cardiaque, il est généralement demandé au patient de suivre un régime alimentaire réduit en sodium (sel).
Le sodium est un sel minéral indispensable pour le bon fonctionnement du métabolisme.
L’un de ses rôles essentiels est de retenir l’eau au sein de l’organisme.
Dans la majorité des cas d’insuffisance cardiaque, il est indispensable de réduire plus ou moins fortement ses apports alimentaires en sodium. En effet, les apports alimentaires en sodium, augmentent la teneur du sang en eau. Le volume sanguin augmente, et donc le cœur doit également augmenter son travail en pompant plus de sang. Malheureusement, chez les patient(e)s atteint(e)s d’insuffisance cardiaque, le cœur ne parvient pas à assurer son travail de pompage convenablement, cela peut alors rapidement entrainer une accumulation de sang au niveau des vaisseaux pulmonaires, suivi d’un remplissage des alvéoles pulmonaires de plasma au lieu de l’oxygène : c’est l’œdème aigue du poumon, qui constitue une urgence médicale de premier ordre.
Celles et ceux qui le souhaitent pourront cependant, et très bénéfiquement, consommer du sel « de régime » que l’on achète en pharmacie sauf si vous souffrez d’insuffisance rénale ! Il s’agit de chlorure de potassium. Les recettes seront, en fonction des cas de figure, accompagnées de ce « sel de régime ».
Dans le cadre du traitement diététique d’une insuffisance cardiaque, il est absolument indispensable de suivre un régime alimentaire pauvre en cholestérol.
En effet, soit votre insuffisance cardiaque est consécutive à un infarctus du myocarde, et dans ce cas, il est impératif de soigner la cause de la double cardiopathie par des apports alimentaires en cholestérol faibles (traitement diététique curatif) ; soit il faut prévenir à tout prix un éventuel futur infarctus du myocarde (ou une angine de poitrine), qui risquerait de vous être fatal, en réduisant au maximum les risques par des apports alimentaires en cholestérol faibles (traitement diététique préventif).
Il faut retenir également que les dépôts de cholestérol au niveau de la paroi des artères : l’athérosclérose, freine l’écoulement normal du sang, et donc entraine une augmentation du travail cardiaque pour compenser cette résistance à l’écoulement sanguin, aggravant donc votre insuffisance cardiaque.
Note : dès lors que cet écoulement sanguin ne s’effectue plus au niveau d’une artère coronaire (ou de l’une de ses branches) à cause de l’athérosclérose, c’est l’infarctus du myocarde.
C’est quoi le cholestérol ?
Le cholestérol est un lipide, dont les sources alimentaires sont presque uniquement animales. Les végétaux ne savent pas synthétiser le cholestérol. Le cholestérol est apporté par notre alimentation (matières grasses alimentaires d’origine animale), et par notre propre organisme qui en produit naturellement. En effet, celui-ci est synthétisé par tous nos tissus (environ un gramme par jour en conditions normales). C’est le foie et certaines glandes endocrines qui en produisent le plus. Dans les conditions normales, cette production de cholestérol satisfait les besoins de l’organisme. Dès lors que les besoins sont couverts, la production cesse. Malheureusement, il est fréquent de rencontrer un défaut dans ce processus d’auto-inhibition, et dans ce cas, trop de cholestérol se retrouve alors produit par l’organisme. Cette anomalie est héréditaire, le médecin prescrit alors, en général, des statines pour freiner cette surproduction. Le cholestérol est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Il entre dans la synthèse des membranes de toutes nos cellules, c’est un élément fondamental de certaines hormones, et de la vitamine D3 (vitamine synthétisée sous notre peau sous l’action des UV). Il entre également dans la synthèse des sels biliaires. Le plus gros problème avec le cholestérol en excès, c’est que celui-ci ne cesse de circuler dans le sang, et il risque à terme, de boucher les artères : c’est l’athérome, responsable de l’athérosclérose. En effet, l’organisme ne possède pas d’organe de stockage pour le cholestérol en excès. Il existe deux formes principales de cholestérol circulant dans le sang : le HDL-Cholestérol et le LDL-Cholestérol, le cholestérol étant incapable de circuler tout seul dans le sang.
Le LDL-Cholestérol est aussi appelé le « mauvais cholestérol ». En effet, son excès dans le sang favorise l’apparition des plaques d’athérome au sein de certaines artères, entraînant l’athérosclérose, et toutes les pathologies cardiovasculaires qui en sont issues : infarctus du myocarde, AVC, angine de poitrine... La production de ce LDL-Cholestérol est assurée par le foie. La consommation alimentaire d’acides gras dits « saturés » en excès, associée à un excès sanguin de LDL-Cholestérol, favorise fortement l’athérosclérose. Les sources alimentaires en acides gras saturés sont, comme pour le cholestérol, surtout des graisses animales : gras des viandes, beurre, crème fraîche, saindoux, fromages affinés, mais également certaines sources végétales que sont l’huile de palme et l’huile de coprah (appelée également huile de noix de coco pour cette dernière). La sédentarité, l’obésité et le surpoids, la consommation de sucre « rapide » et de produits sucrés en excès, une mauvaise alimentation générale, favorisent très fortement la production hépatique du LDL-Cholestérol.
Le HDL-Cholestérol est également appelé le « bon cholestérol », car son rôle est d’épurer le sang du LDL-Cholestérol, notamment en excès. L’excès de HDL-Cholestérol est aussi désigné, en médecine, comme un facteur de longévité ! Ce qui en dit long... Le HDL-Cholestérol est également produit par le foie. Il circule dans le sang et piège le LDL-Cholestérol qu’il trouve sur son passage, puis retourne au foie en vue de leur élimination de l’organisme par voie fécale. L’activité physique régulière, l’absence de surpoids ou d’obésité, la faible consommation de sucre « rapide » et de produits sucrés, une bonne alimentation générale, favorisent très fortement la production hépatique du HDL-Cholestérol.
Les matières grasses les plus riches en acides gras « saturés » sont solides à la température ambiante : graisses animales, saindoux, beurre, crème fraîche, huile de palme, huile de coprah...
Les matières grasses les plus riches en acides gras « insaturés » sont liquides à température ambiante, il s’agit des huiles végétales qui sont toutes presque totalement dépourvues de cholestérol...
Les oméga 3 (acides gras polyinsaturés), jouent un rôle très important au regard de l’athérosclérose, dont ils limitent fortement le développement. Ils seront donc très importants dans votre alimentation. Les sources alimentaires les plus importantes sont les noix, certains poissons gras... Les autres acides gras insaturés jouent le même rôle (oméga 6 et 9...) A savoir que les flavonoïdes (apportés par les fruits et légumes verts) jouent un rôle similaire, essentiel dans le cadre de votre cardiopathie.
La diététique est fondamentalement importante pour une bonne régulation de votre cholestérolémie. Certains aliments sont à privilégier, d’autres sont à éviter, voire à supprimer. Je vous conseille la consommation de levure de riz rouge, en plus du suivi des règles hygiéno-diététiques proposées dans cet ouvrage.
Les stérols végétaux se trouvent à l'état naturel dans de nombreux végétaux, et plus particulièrement dans les céréales complètes, les légumes frais et secs et les fruits. Ils sont présents dans la partie lipidique (graisse) des plantes. Les stérols (à l’inverse du cholestérol), ne peuvent pas être fabriqués par l'organisme humain. Ils ne peuvent donc être apportés à l'organisme que par le biais de l'alimentation.
Les stérols possèdent une structure chimique très proche de celle du cholestérol. C’est cette proximité moléculaire qui est mise à profit dans la régulation de la cholestérolémie. En effet, les stérols « trompent » l'organisme en limitant le passage du cholestérol de l'intestin vers le sang. Dans l'intestin grêle, le cholestérol et les stérols sont en compétition, pour leur absorption par l'organisme.
Les stérols végétaux permettent donc, en définitive, de limiter l'absorption du cholestérol alimentaire dans l'intestin, de favoriser son élimination fécale, et de diminuer ainsi le taux sanguin de cholestérol (cholestérolémie).
Les stérols végétaux jouent donc un rôle très positif dans votre alimentation.
Les matières grasses
Les matières grasses regroupent les matières grasses d’origine animale, qui sont sources d’acides gras saturés, de cholestérol et pour certaines de vitamine D, et les matières grasses d’origine végétale, qui sont sources d’acides gras insaturés (oméga 3, 6 et 9), de vitamines A, K, D et E. Cependant, les huiles de palme et de coprah, (que l’on retrouve désormais pratiquement partout), apportent des acides gras « saturés » qui sont réputés pour être très athérogènes (qui bouchent les artères), d’où leur très mauvaise réputation nutritionnelle bien méritée. Parmi les matières grasses animales, nous pouvons citer : le beurre (doux et demi-sel) à 82% de matières grasses ou allégé, le saindoux, la graisse de canard, la graisse d’oie... et parmi les matières grasses végétales, nous citerons : les huiles végétales, les pains de végétaline et les margarines végétales (certaines sont salées, d’autres non). Il existe des « matières grasses composées », qui sont constituées par un mélange de graisses animales et de graisses végétales. La crème fraîche sera étudiée au sein des produits laitiers. Les matières grasses végétales notamment, sont très importantes pour l’équilibre nutritionnel (sauf les huiles de palme et de coprah). Cependant, elles doivent être consommées en quantités modérées. Environ 12g de beurre doux sont conseillés quotidiennement (un micropain), mais dans le cadre du contrôle des apports alimentaires en cholestérol, de la margarine végétale de qualité (St Hubert oméga 3 sans sel par exemple), dans les mêmes quantités sera privilégiée.
Concernant votre régime alimentaire associé à votre insuffisance cardiaque, la plupart des huiles végétales sont totalement dépourvues de sodium (sel), certaines en apportent (telle l’huile de colza, ou des huiles combinées), mais dans des quantités parfaitement négligeables. Les beurres et les margarines demi-sel seront à proscrire. Le beurre doux ne posera aucun problème (cependant pas plus d’environ 12g par jour). Attention à certaines margarines végétales et à certaines matières grasses composées qui sont parfois salées !
Au sujet des apports alimentaires en cholestérol, toutes les huiles végétales en sont pratiquement totalement dépourvues. Le beurre doux sera à surveiller (pas de beurre demi-sel). En effet, il est source de cholestérol et d’acides gras saturés : soit vous en consommez 12g maximum par jour (un micropain de beurre doux du commerce), soit vous privilégiez la margarine végétale de qualité non salée. Je vous conseille vivement la seconde option, en privilégiant « St. Hubert oméga 3 sans sel ». Souvenez-vous de la très certaine nocivité de l’huile de palme sur votre santé, notamment dans le cadre de votre cardiopathie.
A savoir : méfiez-vous de l’hypocrisie de très nombreuses margarines végétales (surtout celles à bas prix), qui vous vantent leurs bienfaits nutritionnels sur le cholestérol. La plupart du temps, celles-ci sont riches en huile de palme et/ou en huile de coprah, qui ne fait qu’exacerber le développement de l’athérosclérose !
Le métabolisme a besoin des apports vitaminiques d’un
minimum
de 10g d’huile végétale par jour (une cuillère à soupe).
Les huiles végétales n’apportent quasiment pas de cholestérol (la plupart pas du tout). Cependant elles apportent des acides gras polyinsaturés (oméga 3, 6 et 9) et des vitamines (A, E et K) qui sont
très importants
.
La vitamine E est une vitamine très importante dans le cadre de
la prévention de l’athérosclérose
.
Le beurre et la crème fraîche d’été sont
plus riches
en vitamines, que le beurre et la crème fraîche d’hiver.
Les matières grasses
ne font pas grossir
, si celles-ci sont consommées dans des quantités raisonnables, et si celles-ci sont bien réparties au cours des trois repas principaux de la journée.
Privilégiez l’
huile d’olive extra vierge
(notamment pour la cuisson) et l’
huile de noix
(pour l’assaisonnement).
L’huile de germe de blé est exceptionnellement riche en vitamine E.
Il est tout à fait possible de consommer des beurres allégés en matières grasses, mais dans des quantités modérées bien entendu.
En effet, dès lors qu’un corps gras d’origine animale est allégé en matières grasses, il est systématiquement allégé en cholestérol et en acides gras
. Cependant, sachez que le beurre sera, dans ce cas,
également allégé en vitamines
.
Le beurre léger (à 39-41% de matières grasses), apporte près
de deux fois et demie moins