Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Un nouveau monde religieux est un récit spirituel dans lequel Maurice Lapouble partage l’expérience fondatrice d’un dialogue avec Dieu. Porté par cette voix intérieure, il reçoit une mission : transmettre à l’humanité un message simple et universel, fondé sur trois commandements essentiels – adorer un Dieu unique, ne pas tuer, et aimer son prochain –. Ce texte propose une réflexion sur la conscience, la foi, la famille, la sexualité et le rôle des religions, appelant à une transformation pacifique et responsable du monde. Sans dogme ni prosélytisme, l’auteur invite chacun à retrouver le sens profond de l’existence à travers la bonté, la raison et la liberté intérieure.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 174
Veröffentlichungsjahr: 2025
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
Maurice Lapouble
Un nouveau monde religieux
© Lys Bleu Éditions – Maurice Lapouble
ISBN : 979-10-422-7501-3
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Né en 1941, j’ai aujourd’hui 84 ans.
Mon enfance à la campagne, dans une famille unie, se déroulait bien parmi deux grands frères, et une sœur plus jeune. Mon père et ma mère recevaient à table des « mendiants » pour un ou deux jours dans la ferme familiale. Une sœur de mon père célibataire vivait chez nous, et assurait notre éducation religieuse catholique. Elle était surtout portée vers les autres.
J’ai connu le grand amour, à dix-huit ans, pour une fille de mon âge. Je me suis marié à 21 ans durant mon service militaire effectué en Allemagne. Mon frère aîné était en Algérie sous les drapeaux. Le second rejoignait Pau comme soutien de famille. Quatre mois plus tard, j’étais Papa.
À vingt-deux ans, j’ai laissé ma spiritualité en sommeil, du fait des charges de famille et de mes occupations.
Ma femme a demandé le divorce à mes 58 ans, en 1999.
Je vis actuellement tout seul dans un petit appartement.
La solitude ne m’a jamais pesé. Je supporte très bien cette position face à la vie de tous les jours.
Ma puissance de réflexion est grande.
Depuis les révélations reçues de Dieu, j’ai une mission à accomplir. Je suis décidé à y donner suite !
Pour conforter ma décision, j’ai demandé à Dieu un signe : Un arc-en-ciel.
Celui-ci est apparu, devant mon appartement, sur un ciel avec une lumière particulière de coucher de soleil.
Vous avez pu le voir à Anglet, le soir du lundi 26 mai 2008. Ceux qui l’ont admiré ne peuvent pas l’avoir oublié : C’était féerique, unique.
Même si un phénomène météorologique est naturel, pour moi, qui l’avais demandé, il était le signe de mon lien à Dieu, la preuve qu’il attendait de moi la tentative de divulgation sincère exacte de ce qui suit.
Je suis croyant en le seul et unique Dieu créateur de l’univers.
Je m’exprime en faisant abstraction de tout dogme des diverses religions. Ce que je relate reste uniquement le texte de mes conversations avec Dieu.
Voici une trentaine d’années, après une belle journée du mois d’août, à l’entrée de la nuit, j’étais chez moi dans le jardin. Je bricolais une voix intérieure s’est manifestée, de façon douce et persuasive. Elle me dictait ses décisions.
Après des hésitations sans ne rien dire à personne, j’ai écouté et suivi les directives de cette voix. Je suis sorti seul, en voiture, vers une plage d’Anglet dite « chambre d’amour ». Il n’y avait personne autour. C’était une de ces soirées merveilleuses ou la mer est calme à la tombée de la nuit.
J’ai garé mon véhicule, puis marché sur le sable, en direction de la mer. La voix me demanda alors de me déshabiller complètement, de me mettre à l’eau, de nager vers le large, en pleine mer. Après un long moment d’hésitations, je me suis déshabillé tout nu, assez serein, mais hésitant. La mer était calme. Je pensais que ce ne serait pas très long, vu mes capacités et ma résistance en natation. Je n’avais jamais évolué en pleine mer aussi loin, hors des fanions bleus de plage surveillée, en plein jour. Habituellement, les gens me sécurisaient par leur présence.
À ce moment mes yeux se sont mis à regarder une étoile bien précise. La voix me disait d’aller dans cette direction, de me laisser guider. J’ai donc nagé assez loin du rivage, en direction du sud, vers le phare de Biarritz. Ma brasse incertaine m’a conduit, au-delà des épis de rochers, jusqu’au niveau de la plage de sable fin de la chambre d’Amour. Je me trouvais environ à deux kilomètres et demi de mon point de départ. À aucun instant, je n’ai eu le sentiment de courir un danger. Je suis revenu sur la grève. En dialoguant avec la voix, j’ai marché vers la grotte de la chambre d’amour, où je me suis reposé un grand moment. J’étais épuisé par cet effort. La voix intérieure me dit que :
« Je serais puissant et qu’une mission très importante me serait confiée. »
J’ai récupéré ma voiture en bordure de plage, et toujours tout nu, je suis rentré par Biarritz où la voix m’a demandé de m’arrêter au palais où je suis entré toujours tout nu. Il devait être une heure du matin. L’esprit calme, le corps fatigué, mais je me sentais très bien.
Au retour chez moi, j’ai raconté à mon épouse ce qui m’était arrivé, elle a pleuré en pensant que je n’étais pas bien. Elle me demanda d’aller voir un psychiatre.
Durant plusieurs jours, je suis resté en relation avec cette voix intérieure. Ce n’était pas un dialogue, mais la perception d’un message qui m’était particulièrement destiné.
(J’avais alors 35 ans).
La visite chez le psychiatre ne fut d’aucune utilité sauf des médicaments qui m’abrutirent.
Je continuais mes activités professionnelles, fonctionnaire du Trésor Public normalement.
J’ai découvert alors une hyper sensibilité au regard et à la parole d’autrui.
La découverte de la possibilité de communiquer en transmettant des sensations physiques avec tous les humains de façon continue me vient de cette période. J’ai pris conscience de ma puissance de transmission vis-à-vis des autres, j’en ai fait part au psychiatre consulté qui m’a augmenté les doses d’Aldol.
J’ai quitté ma femme trois mois, ne sachant que faire. Et n’étant compris par personne, j’essayais de saisir le sens de ce qui m’arrivait. Trois mois plus tard, je repris la vie conjugale dans de mauvaises conditions.
Avec des hauts et des bas, dans mon traitement, le temps s’écoula. J’étais assommé médicalement.
Cette révélation, ce dialogue qui s’est instauré avec la Voix intérieure ne m’ont jamais quitté depuis, mais je le cachais, car, personne ne me croyait. Je suis devenu aux yeux des autres, un « fou », je me sentais un peu délaissé, en manque de compréhension en marge de la société.
Il y a trente-quatre ans, j’avais quarante ans après une journée passée dans la famille de ma femme, le soir je me suis couché seul dans une chambre. Sur la table de nuit était posée une petite bible que je me proposais de feuilleter plus tard. La voix intérieure devient, extrêmement puissante, douce et persuasive.
J’allais recevoir la mission, que Dieu me confiait :
« Il faut changer le Monde et unifier les pratiques de toutes les religions en une seule directive monothéiste en conformité avec :
Aimez-vous les uns les autres.
Changer les politiques pour les rendre plus humaines. »
Alors que j’exprimais mon impuissance et mon doute est apparu dans la chambre un merveilleux arc-en-ciel.
En même temps la réponse de la Voix fut :
« Ce que tu feras sera bien fait ! »
Toute la nuit, j’ai ainsi dialogué avec Dieu.
Il n’a jamais voulu la mort ni le malheur de personne.
Il me disait : « Plus jamais de croix ! » J’aperçus clairement une croix métallique, sur le clocher d’une église. Elle se brisa comme un fétu de paille, et tomba en morceaux sur le sol.
J’avais tout le temps l’impression d’être un grain de sable sur la plage par rapport à cette force, inconnue et cachée, mais pleine de douceur. J’ai su par évidence et la vue de l’arc-en-ciel, dès que la Voix a annoncé la suppression de la croix, qu’il s’agissait de Dieu, le Père éternel et créateur.
La journée s’est passée aussi normalement que possible en pareil cas.
Ayant un message politique, « aimez-vous les uns les autres » j’ai tenté de joindre le président Mitterrand, pour le lui transmettre, en téléphonant à la préfecture : impossibilité formelle.
La deuxième nuit, à nouveau, j’ai dialogué avec la Voix, et j’ai revu l’arc-en-ciel.
Le troisième jour, j’allais chez le psychiatre sur le conseil de ma femme.
Le médicament, qu’il m’a prescrit aldol, m’a complètement abattu, mais, les idées sont restées toujours identiques avec autant de force.
Durant une très longue période, j’ai cru que j’avais perdu l’esprit. J’ai pourtant toujours travaillé normalement. Le message persistait se complétait, gravé dans ma mémoire.
Il y a vingt ans, lorsque la presse a relaté qu’en Algérie, les « fous de Dieu » lançaient des enfants sur les murs pour leur éclater la tête, j’ai compris, ce jour-là, que la folie était bien ailleurs que chez moi. J’ai, alors, décidé de donner une suite à ma mission.
Le cheminement entre le message reçu, et la transcription pour transmission peut paraître très long. Il faut se mettre à ma place. Devant une telle mission, le doute s’installe, d’autant qu’il fut nourri par mes proches et les psychiatres. Les médicaments sont des freins terribles, il faut être une force de la nature pour dominer leur effet et garder la tête hors de l’eau.
J’ai fait un premier essai de reconnaissance en 2002 en envoyant à tous les journaux un récit, moins précis. Les autres destinataires étaient : le Pape, le Grand Rabbin, Le Recteur de la mosquée de Paris, la presse et Lionel Jospin. Ce texte figurait sur Internet à cette époque, dans sa forme antérieure incomplète, je pense qu’il a disparu. J’ai interrompu le suivi de cette publication, en mars 2002, sous l’effet d’un très fort traitement.
Je n’ai reçu aucune réponse des personnes destinataires.
À aucun moment, je n’ai eu le sentiment que Dieu voulait me montrer l’apocalypse. Au contraire, un havre terrestre moderne à installer sur une planète très malade, avec des humains complètement désorientés.
Ce message, si clairement signifié à ma conscience profonde, je vais tenter de le définir.
Je représente Dieu, comme une force immense, considérable, invisible, mais perceptible par les humains. Je l’ai qualifiée de positive. Nous vivons tous, individuellement reliés par ce lien invisible, la Conscience.
Dieu a créé la vie. Les hommes sont ses créatures privilégiées. Dans la création, le hasard n’existe pas. En toute chose vivante, il y a la puissance de Dieu. Les hommes sentent le lien qui les relie à Lui, s’ils le veulent. Ils auront, alors, la foi. Ils peuvent aussi l’ignorer ou douter.
Il nous demande de croire et de le reconnaître comme Créateur et détenteur de la puissance universelle Amour. L’importance de la foi détermine la grandeur de cette force d’union.
La créature privilégiée, qu’est l’homme, est le fruit de deux programmations successives.
En premier :
Dieu a créé un homme par référence à toutes les autres créatures dotées :
« Des instincts de survie physique ».
Puis :
Il a voulu qu’il domine la création sur terre et le rejoigne partiellement dans Sa puissance éternelle par l’amour porté aux autres humains.
Pour cela, il lui a donné la Conscience, lien privilégié, constant et perpétuel, intime, infime partie de Sa puissance.
La conscience : partie personnelle individuelle de l’esprit cosmique relié à Dieu. Sa puissance évolutive peut se modifier par le bénéfice des actes, des pensées volontaires positives sur le psychisme personnel. Le conscient est du ressort du psychisme et d’un lien naturel à Dieu. Il ne peut être le fruit d’une projection contraire à la raison individuelle. Elle est seule homologuée, programmée par des textes des règles, un vécu souvent durant une enfance. Dieu possède le pouvoir de créditer automatiquement la conscience d’un humain de façon irréversible et immédiate. L’acte conscient ou non peut être guidé par les religions dans la recherche des enseignements de Dieu. Il demeure inatteignable en profondeur, pas modifiable par les autres humains. Seuls les examens de conscience sérieux permettent de l’explorer de façon exclusivement individuelle. Nous devons découvrir les failles, les manquements aux directives des commandements seuls dignes de guider la raison individuelle. Par ce jugement spécifique, de nous les humains, Dieu attribue une valeur de reconnaissance à chacun. Le résultat de l’examen de conscience reste très différent suivant les motivations profondes des actes individuels.
Sans un effort proportionné, comme dans la fable de La Fontaine « la belette entrée dans un grenier », le psychisme du possédant ne peut en aucun cas s’enrichir au-delà du raisonnable. Ceci vécu au détriment des autres vivants, dans l’ignorance de leurs problèmes. C’est un devoir de prévenir les difficultés propres de tous les humains de façon naturelle. La bonne conscience implique la considération de règles pour le respect du vivant.
Dieu est amour avec nous et nous demande la bonté. Il peut tout oublier et reste toujours à notre disposition au moment où nous le désirons, quels que soient nos tourments.
Chaque enfant est relié à l’esprit du cosmos à sa naissance, au moment de la venue au monde des vivants à l’air libre. C’est ainsi qu’Il nous jauge, nous suit notre vie durant. La conscience est « l’aura » de tout être humain.
Toutes les consciences naissent uniquement à l’air libre et enveloppent l’être comme une enveloppe.
Le corps humain est relié à la conscience par son psychisme qui assure un équilibre positif ou négatif de fonctionnement des différents organes physiques.
Le fœtus dans le corps de la mère n’a pas de conscience, seul le détachement du cordon ombilical provoque le rattachement à Dieu et à l’esprit cosmique. Il devient alors seulement une nouvelle conscience.
Les êtres humains doivent faire fructifier cette Conscience. Malléable, elle peut croître ou diminuer en fonction des actions de tous les jours. « Tu aideras ton prochain du mieux que tu peux » ainsi se réalise la volonté divine.
Attention si elle se réduit, à ce que l’instinct ne la remplace.
Elle doit être éduquée dès la prime enfance, pour se développer, atteindre le stade de la bonté, et procurer le bonheur.
Dieu m’a donné comme règle absolue de la rédemption, trois commandements :
Tu adoreras un seul et unique Dieu, celui de la création.
C’est par la création qui reste permanente dans le cosmos que Dieu a proclamé une partie de sa puissance. C’est la source même de la foi. Reconnaître son maître, c’est croire en Lui et lui faire confiance. Ici il s’agit de suprématie absolue qui ne peut être remise en cause, sous peine de perdre la foi. Le cerveau humain reste insuffisant dans ses connaissances pour concevoir la création. L’œuvre des Hommes ne pourra jamais atteindre celle du créateur et son mécanisme subtil entre énergies et matières. C’est, uniquement, en Lui reconnaissant cette supériorité de créateur, que l’homme trouve la foi nécessaire, indispensable, à son épanouissement personnel. L’homme vit très mal sans la foi. Il se crée des centres d’intérêt technologiques, physiques et financiers qui ne lui permettent pas de transcender sa condition restée exclusivement matérielle.
Par la foi, l’homme augmente le lien qui le relie à la divinité et sa puissance psychique peut devenir énorme. La Foi est la seule voie permettant d’accéder au bonheur, à la plénitude profonde et durable.
Les seuls mystères qui existent pour longtemps encore sont ceux de la vie et de la naissance de l’univers. C’est l’œuvre de Dieu et Il en garde le secret. Les connaître n’est pas enviable pour le moment. La nature humaine pourrait en faire une utilisation néfaste. Sommes-nous en mesure de comprendre individuellement la création ? L’Homme ne découvrira pas intégralement ces mystères.
L’adoration de Jésus, Dieu, comme l’adoration d’un saint, ou autre, est une hérésie. Dieu est un, et doit rester unique destinataire de nos prières et méditations. Toute autre pratique est idolâtrie.
Tu ne tueras pas, les autres humains.
Dieu a donné à tous les hommes une conscience unique. Il appartient à ce dernier de la faire progresser, le plus possible, jusqu’à sa mort. Il la lui donne à la naissance à l’air libre et la reprend à la mort du corps physique. Celui qui provoque la mort sera pénalisé dans la valeur de sa propre conscience. La vie appartient à tout un chacun. Chaque individu doit, dans la mesure du possible, utiliser son existence pour augmenter la force la puissance de sa conscience. Ce peut être par la pensée, la parole, les chants ou les actes.
Les hommes doivent se responsabiliser, apprendre à remettre en cause les ordres qui vont contre la parole Divine. Ils doivent réfléchir, développer leur « esprit critique ».
Dieu veut que nous cherchions à comprendre les directives des différents prophètes.
Il nous prévient que tuer est défendu. Celui ou celle qui est à l’origine du décès même non désiré devient le coupable véritable de la mort de l’individu défunt. En cas de « légitime défense », le problème ne se pose pas.
Tu seras bon avec ton prochain, comme avec toi-même, et tu feras tout pour lui permettre de se réaliser positivement.
L’Humain doit rechercher le bien pour les autres. C’est une composante du bonheur parfait. Par l’épanouissement d’autrui, l’homme s’accomplit.
Cette recherche peut se traduire en s’investissant dans la vie de tous les jours, notamment dans le domaine humanitaire. Dans tous les cas, le partage, l’effort de chacun, à la recherche du bien de l’autre, augmente aussi la conscience positive de l’univers.
L’égoïsme, l’égocentrisme du monde actuel sont dominants. Dieu nous demande de changer radicalement de système de pensée et de comportement. Il faut, éduquer les jeunes pour leur apprendre la bonté. Dès le plus jeune âge, l’enfant est réceptif à cet enseignement. Le rôle des parents, des enseignants, demeure primordial. Si nous voulons un autre monde, éduquons la raison de chaque individu tout au long de la vie et depuis la prime enfance. En premier, les parents doivent l’enseigner avec des règles de vie qui permettront au jeune de s’épanouir. J’entends par là ce fil conducteur, qui permet à chacun de gravir tous les échelons de la connaissance dans l’harmonie, d’atteindre un bonheur simple qui transforme la vie de chaque jour.
La sagesse et la foi sont les deux états qui nous propulsent au-delà de nos capacités physiques et psychiques.
Il appartient aux religions de réhabiliter la famille et de lui donner toute la dimension, la profondeur l’union qu’elle doit avoir. Il faut rétablir un peu d’autorité parentale. Faire une part beaucoup plus importante au dévouement à la noblesse de l’éducation. Rétablir la confiance des parents dans ce qu’elle a de plus beau, de plus grand. La filiation comme les liens d’une Mère et de son enfant sont indélébiles et indestructibles pour les deux parents.
La famille se compose par le mariage, pacs ou autre union tribale officielle. Elle est l’association de deux êtres pour procréer et accompagner en totalité des enfants.
Cette union devient primordiale à la conscience pour les élever, les aider au mieux des possibilités de leurs aspirations dans de bonnes conditions jusqu’à leur majorité.
Religieuses, civiles ou traditionnelles, ces unions doivent être le fait « de sentiments réels » approfondis par des humains consentants qui veulent une communauté de vie de vision d’engagements de respect. Ils ressentent le désir et l’obligation d’élever ensemble leurs enfants au moins jusqu’à la majorité.
À la naissance, organiser une cérémonie d’engagement réciproque des parents pour ce nouveau venu. De ce fait, construire ou augmenter une famille au sens noble du terme avec une échéance et des devoirs, discutés dans le couple et répartis. Solliciter l’aide de Dieu.
La formule :
Dieu est opposé à la gestation pour autrui qui détruit le psychisme de la mère porteuse. Elle doit abandonner après la création, la mise au monde de son enfant, négation même du sens profond de la maternité. Elle ne guérira jamais totalement de cette séparation.
Durant ces périodes en charge d’enfants, respecter dans la liberté le foyer familial. Ne pas les soumettre à dispersion ou abandon. Ils ont besoin de sécurité et de l’amour des deux parents pour s’épanouir.
J’ai entendu un reportage sur les familles recomposées et la garde alternée. Les parents adoptifs étaient fiers de remplacer le papa ou maman de ces enfants. Ils assurent passagèrement la responsabilité, ils en tiraient vanité. Les jeunes comparaient l’autorité différente des vrais ou faux parents, se rapprochant du moins sévère. Ils se vantaient des doubles cadeaux qui viennent régulièrement pour leur plus grande satisfaction !
Je demande aux journalistes un reportage détaillé dans 10 ans et vous laisse réfléchir, pas juger.
La solennité de la cérémonie du mariage ou union doit provoquer la joie de « partager un engagement créatif ». Il s’agit du départ d’une longue aventure, projet ou entreprise dans l’union envers et contre tout. Souvent devenue frivolité, il faut impérativement réhabiliter les mariages ou unions. Les sentiments doivent être vécus pleinement solennellement, ils sont éternels.
La responsabilité des adultes sur le développement des jeunes consciences est totale et sans appel pour la réalisation de leur futur.
Considérons que nous avons tous à gérer, épanouir, découvrir, partager l’évolution de la plus belle mission : la vie des enfants ! Nous sommes tout à la fois explorateurs, guides, éducateurs, consolateurs, comptables, accompagnateurs, et assurons l’intendance. Cette entreprise est complète et exaltante. Elle peut être comparée sans restriction aux plus grandes œuvres des hommes dans le monde et tellement bénéfique pour la conscience.