Virinia asservit son mari - Eric Leclercq - E-Book

Virinia asservit son mari E-Book

Eric Leclercq

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  • Herausgeber: Ô Plaisir
  • Kategorie: Erotik
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2023
Beschreibung

Virinia et Maxence Dubois ont tout pour être heureux : lui est PDG de banque et elle n'a pas besoin de travailler.
Cependant, la routine est là depuis maintenant plus de vingt ans.
Maxence a des fantasmes où il aimerait que sa belle épouse décide d'en faire son soumis, de le cocufier et le loper, mais c'est hors de question pour elle, quand une intervention chirurgicale pour Maxence va venir bouleverser leur vie à tout jamais...

Eric Leclercq, à travers ce nouveau livre, nous entraîne, à nouveau, sur les chemins du sadomasochisme avec un homme puissant, mais qui rêve de vivre sa déchéance sexuelle jusqu'au bout, avec cocufiage, humiliations, propos dégradants et situations avilissantes pour ce mari qui entend se soumettre à son épouse et qu'elle fasse de lui sa véritable lope, une lope qu'on peut prostituer, une lope qu'on peut pervertir, une lope qu'on peut dégrader, une lope à qui on peut faire subir les pires sévices, une lope qu'on peut mener très bas, toujours plus bas...


À PROPOS DE L'AUTEUR

Après l'énorme succès de L'époux soumis de Nina, Eric Leclercq signe son second roman.

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VIRINIA ASSERVIT SON MARI

 

 

 

Eric Leclercq

Ouvrages du même auteur

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« L'époux soumis de Nina », PLN 2022

 

Epigraphe

 

 

 

 

 

 

« La relation SM expose crûment la vérité de la jouissance :

aucun partage, aucune union, mais l'abandon du sujet à l'ordre de son désir (que met en scène la Dominatrice), et la solitude de son plaisir onaniste.

Aucun égalitarisme dans la jouissance : l'un s'abandonne quand l'autre ordonne. »

 

 

Gilles de Saint-Avit

« Bréviaire SM. »

 

Chapitre premier

 

Virinia chevauche fougueusement Maxence tandis que la queue de son mari va et vient dans sa chatte en faisant des clapotis tellement elle aime cette position dominante où elle se trouve sur lui et qu'elle le défie du regard. Lui bouge bien son bassin pour aller au devant de sa femme qui est en train de le baiser comme jamais :

« Continue, chérie, baise-moi bien, la supplie -t-il, car c'est toi qui me baises et j'adore que tu me baises. »

Tandis que Virinia continue de chevaucher Maxence comme elle le fait depuis quelques minutes, elle se met à lui administrer de magistrales paires de gifles qu'on entend claquer sur les joues de l'homme :

« Ah ouais ? Tu aimes quand je te baise ? Tu sais que là, j'ai tous les droits sur toi et que je fais ce que je veux de toi ? » continue -t-elle d'aller et venir sur sa queue tout en lui donnant plusieurs allers-retours sur les joues. 

« Oui, chérie, j'aime que tu me baises et j'adore être ta baiseuse. Je te suis soumis. »

« Tu feras tout ce que je voudrai ? »

« Oui, je ferai tout ce que tu voudras, » crie -t-il alors que la pluie de gifles continue de s'abattre sur ses joues qu'il sent maintenant brûlantes.

« Ouais, soumis, tu feras tout ce que je voudrai et je te ferai cocu. Tu me verras m'habiller sexy et

ensuite je partirai pour rejoindre un mec qui me baisera mieux que toi et qui sera mieux monté que toi, c'est ça que tu veux ? » lui crie -t-elle en le regardant dans les yeux et en continuant de le chevaucher violemment.

« Oui, chérie, j'ai envie que tu me fasses cocu et que tu couches avec d'autres mecs, » lui répond-il, la voix tremblante d'émotion.

« Je coucherai avec plein de mecs différents et je me donnerai à des grosses bites bien plus grosses que la tienne et qui feront jouir ta femme... et je me refuserai à toi, » lui promet-elle en criant de plaisir tandis qu'il éjacule longuement en elle et qu'elle sent les longues giclées de sperme qui lui jutent profondément dans le ventre.

Virinia s'affale enfin sur son mari, restant contre lui tandis que Maxence apprécie d'avoir le corps de sa femme contre lui et tous deux échangent un baiser plein de fougue.

Après cela, Virinia vient s'asseoir sur la bouche de Maxence :

« Maintenant, puisque tu es mon soumis, tu vas nettoyer ma chatte avec ta langue car tu l'as souillée de ton foutre. Allez, lèche-moi bien, espèce de sous-merde, » lui commande -t-elle.

Alors Maxence sort aussitôt sa langue pour lécher sa femme et Virinia est aux anges en sentant cette langue soumise qui parcourt sa fente entière tout en venant agacer son clitoris. Maxence avale son propre sperme, s'efforçant de curer celle qu'il aime comme si sa vie en dépendait.

De son côté, Virinia plaque bien sa chatte sur la bouche de Maxence en l'ouvrant bien avec ses doigts puis elle la contracte pour en expulser le sperme que son mari continue de boire avec délectation :

« Tu es un bon gobeur de sperme, ça promet pour l'avenir car je te ferai gober le foutre de mes amants, dis-le que tu goberas des litres de sperme et que tu les suceras, » gémit-elle de plaisir.

Virinia adore que celui qui se trouve sous ses fesses lui gobe ses petites lèvres et que sa langue la fouille partout, continuant d'agacer son clitoris, lui faisant agréablement sa toilette intime et que cette langue mâle aille ensuite le plus loin possible à l'intérieur de sa chatte qui dégage des effluves de poisson.

« Je suis ton gobeur de sperme, » lui répond-il avec émotion.

Puis une fois que Virinia estime son sexe propre, elle vient plaquer son cul sur la bouche de Maxence :

« Maintenant, grosse merde, tu vas me lécher le trou du cul comme un bon chien que tu es. »

Aussi, Maxence écarte les fesses de sa femme pour glisser sa langue dans le fond de sa raie :

« Vas-y, soumis, bouffe-moi le cul car tu es fait pour ça : sucer des culs ! »

Ainsi encouragé et humilié, Maxence persévère dans une longue feuille de rose, s'efforçant de lécher l'anus de celle qu'il aime, s'enivrant de l'odeur un peu âcre de ce trou du cul.

« Continue, lèche-cul, je vais te former à lécher des culs et un jour, je te ferai lécher le cul de tes employés de banque, » lui crie -t-elle tandis qu'il nettoie le fondement de sa femme en y enfonçant la langue comme il se doit.

De toute façon, lécher la chatte et le cul de sa femme demeure ce que sait le mieux faire Maxence s'il veut bien la faire jouir.

Plus tard, tous deux reposent côte à côte dans le lit tiède.

Cela fait vingt et un ans qu'ils sont mariés et aujourd'hui, Virinia a apprécié que Maxence n'éjacule qu'au bout de dix minutes car ces dernières années, il jouit, le plus souvent, en cinq minutes, si bien qu'à chaque fois, il la laisse sur sa faim et le fait qu'il la lèche ne compense pas la réalité qu'il la baise si mal.

Depuis un moment, Maxence apprécie de plus en plus la position où son épouse est sur lui et qu'elle le chevauche car cela assouvit ses fantasmes de soumission et d'humiliation qu'il a trop longtemps gardés enfouis au plus profond de lui-même, refoulés, plus précisément.

De son côté, Virinia assouvit les fantasmes de son mari pour faire plaisir à celui-ci, même s'il ne lui est soumis que pendant leurs relations sexuelles et qu'une fois que l'un et l'autre ont joui, Maxence n'évoque plus du tout les paroles qu'il lui a dites pendant qu'elle le chevauchait.

En cette année 2022, Virinia et Maxence ont donc fêté le vingt et unième anniversaire de leur mariage, le 12 février, pour être précis.

Ils se sont connus en 2000 alors que Virinia était âgée de dix-sept ans et était au lycée. Quant à Maxence, du haut de ses vingt-deux ans, il était le jeune directeur d'agence de la banque Hurluberlu où Virinia y avait son compte et c'était ainsi qu'ils s'étaient connus.

Très rapidement, Maxence a obtenu la virginité de Virinia dont il était le tout premier partenaire.

Les mois avaient passé et la jeune fille était tombée enceinte. Aussi, comme les familles de Virinia et Maxence étaient des familles assez conservatrices, membres de la bonne vieille bourgeoisie de Tours, les parents des deux tourtereaux avaient exigé que ceux-ci se marient le plus vite possible et le 12 février 2001, après s'être mariés à l'hôtel de Ville de Tours, place Jean Jaurès, ils s'étaient mariés religieusement, en la cathédrale Saint-Gatien, tandis que Virinia resplendissait dans une longue robe blanche, constellée de perles de nacre, blanches, et que Maxence rayonnait dans son smoking noir, avec sa chemise blanche et son noeud papillon blanc, les jeunes mariés s'étaient jurés que le monde leur appartiendrait.

Au mois de juillet de la même année, Virinia avait obtenu son baccalauréat, avec mention très bien ;et au mois d'août était née leur enfant, une ravissante petite fille qu'ils avaient prénommée Louna.

Malheureusement pour Virinia, elle s'est rendue compte, au fil des années, que Maxence n'était pas un bon baiseur, mais qu'il la baisait comme un lapin, le soir, et qu'il s'endormait aussitôt après.

Aujourd'hui, elle s'est accommodée à ce mari sans fantaisie et sans surprise qui n'avait jamais su la baiser correctement.

La plupart du temps, Maxence éjacule en cinq minutes et Virinia se contente de ce rapport sexuel hebdomadaire.

Et voici quelques temps, Maxence, lors de leurs relations sexuelles, s'était mis à évoquer ses

fantasmes où il se disait le soumis de Virinia en lui demandant qu'elle le fasse cocu et en rêvant qu'elle se refuse à lui, même si ces fantasmes n'allaient jamais plus loin qu'en paroles.

A trente-neuf ans, Virinia est toujours une jolie femme : grande, d'un mètre soixante-quinze, un visage lactescent, satiné et des lèvres de nacre, des yeux d'un vert émeraude intense, sa magnifique chevelure blonde platinée lui descend jusqu'à la taille. Toujours aussi mince qu'à ses dix-sept ans, Virinia dégage une image de beauté, il faut bien l'avouer. Quant à Maxence, mesurant également un mètre soixante-quinze, il est aussi mince que sa femme ; et même si ses cheveux ne sont pas blond platiné comme ceux de Virinia, ils sont néanmoins bien blonds. A quarante-quatre ans, Maxence a l'air de l'homme qu'il est : sûr de lui, avec l'aisance de quelqu'un qui a réussi dans la vie. Ses yeux bleu-vert sont assez expressifs et il regarde toujours le monde comme s'il lui appartenait.

Pourtant, même si Maxence aime maintenant se soumettre à sa femme lorsqu'ils font l'amour, Virinia est lasse de cette routine et si elle est restée avec cet homme qui est un piètre coup au lit, c'est parce qu'elle n'a jamais travaillé, si ce n'est qu'elle a élevé leur fille Louna qui est maintenant à l'Université de Tours où elle y poursuit des études d'Histoire ; de plus, elle est surtout restée avec Maxence parce qu'il gagne superbement bien sa vie. En effet, dès l'âge de vingt ans, son BTS en poche, il est entré à la banque Hurluberlu, de Tours, et il a si bien travaillé que deux ans plus tard, il est devenu directeur d'agence avant d'en être, quelques années plus tard, directeur régional pour la Région Centre.

Puis voici quatorze ans, la richissime famille Hurluberlu a proposé à Maxence qu'il devienne le Président-directeur général de la banque Hurluberlu au niveau national.

Autant dire qu'aujourd'hui, Maxence, Virinia et Louna Dubois vivent très très confortablement dans un chic et grandiose hôtel particulier, situé rue de la Scellerie, non loin du Théâtre de Tours.

Tout pourrait aller dans le meilleur des mondes si Maxence savait mieux baiser sa femme et s'il n'était pas atteint de la maladie de Lapeyronie comme c'est maintenant le cas.

En effet, depuis maintenant un an, la verge de Maxence souffre d'une inexorable déviation, liée au développement d'une fibrose des corps caverneux. Et malgré le traitement médicamenteux que suit Maxence, son pénis continue de se déformer, ce qui entraîne donc des douleurs et une gêne quand il bande. Et aujourd'hui, l'intervention chirurgicale est devenue inévitable.

Alors même s'ils continuent de faire l'amour, Maxence prend des anti-inflammatoires afin d'avoir moins mal.

C'est la veille de l'entrée de Maxence en clinique où il doit subir une opération qui devrait le guérir de cette maladie de Lapeyronie qui survient, en général, à des hommes de cinquante ans quand Maxence en a été atteint à quarante-trois ans.

Ce soir-là, Virinia et Maxence sont tous deux dans le canapé de cuir noir de leur salon.

Vêtu d'un complet gris perle, une chemise blanche et une cravate en soie bleue à pois blancs,

Maxence regorge de prestance. Quant à Virinia, elle resplendit dans un tailleur noir portant la griffe d'une maison de haute couture parisienne. Son chemisier en soie blanche et son foulard noir lui agrémentent le cou et cette vêture lui donne l'air d'une femme distinguée et sure d'elle-même.

Soudain, Maxence se racle la gorge, l'air un peu ennuyé, avant de se jeter à l'eau :

« Tu sais, mon amour, j'aimerais vraiment que tu prennes un amant, » finit-il par lui dire.

Ouf, c'est dit ! Jusqu'ici, Maxence s'est contenté d'évoquer ses fantasmes avec sa femme quand tous deux sont au lit, dans le feu de l'action, mais là, il a tenu à lui dire, à nouveau, ce qui le turlupine, à tête reposée.

« Tu es complètement fou, là, je peux dire que j'ai épousé un débile, » s'écrie Virinia qui le rembarre sèchement.

« Mais enfin, quand nous sommes au lit et que tu me chevauches, tu me promets bien de me faire cocu et de prendre des amants ! » s'étonne -t-il.

« Oui, mais ça, c'est dans le feu de l'action et je te dis ça pour te faire plaisir parce que je suis excitée, mais de là à passer à l'action, non, n'y compte jamais, » lui dit-elle sur un ton qui n'admet pas de réplique.

Maxence est déçu, mais ne veut pas contrarier sa femme, c'est pourquoi il finit par se taire.

Le lendemain, il repart pour Paris où il entre dans une chic clinique où on l'opère enfin de la maladie de Lapeyronie : Maxence s'en réjouit puisque grâce à cette intervention chirurgicale, il va retrouver la bite de ses vingt ans.

 

Chapitre deux

 

Lorsque Maxence se réveille, il sent que son sexe est enroulé par un bandage et il réalise que c'est normal car il se trouve dans un lit d'hôpital, dans une chambre, et il vient de se faire opérer de la maladie de Lapeyronie.

Il sourit, mais il a une drôle de sensation et lorsque quelques jours plus tard, on lui retire le bandage,

Maxence écarquille les yeux en voyant que sa verge a diminué de volume ; elle est certes au repos, mais pour le banquier, le fait que son sexe se soit atrophié lors de l'opération chirurgicale est un fait.

Aussi, Maxence lève le doigt et interroge le chirurgien du regard :

« Oui ? » demande d'un air interrogateur celui qui l'a opéré.

« Il se passe, docteur, que ma verge a diminué de volume, » parvient à dire Maxence qui est tendu.

« En êtes-vous certain, Monsieur Dubois ? Vous savez, elle a peut-être toujours été plus courte que vous ne pensiez, » réplique le chirurgien en éclatant de rire.

« Docteur Richard, je sais ce que je dis, continue Maxence sur un ton affolé, ma verge a diminué de volume, je ne me fais pas d'idée, j'en suis sûr et certain car elle fait vingt centimètres en érection. »

Perplexe, le docteur Richard sort son smartphone pour demander à une infirmière de venir le rejoindre dans la chambre de Maxence Dubois.

Bientôt entre dans la chambre une infirmière.

« Ah, merci d'être venue, Christelle. Il se passe que j'ai opéré Monsieur Dubois et là, il pense que sa verge a diminué de volume, pouvez-vous vérifier cela, je vous prie ? »

La jeune infirmière acquiesce avec un sourire en coin. Grande, mince, un assez joli visage, l'expression mutine, des yeux noisette, ses cheveux châtain lui descendent jusqu'au bas des épaules.

Comme toutes les infirmières, elle porte une blouse blanche, mais sur elle, la blouse rend justice à la jeune femme mignonne qu'elle est.

Soudain, Maxence voit la jeune infirmière venir vers lui pour lui prendre la verge dans ses mains après quoi elle la palpe puis lui décalotte le gland qu'elle se met à lui masturber, et ce sous le regard neutre du chirurgien.

Surpris de ce que lui fait la jeune infirmière, Maxence se laisse néanmoins faire tandis que la jeune femme masturbe maintenant la verge qui est arrivée en érection.

« Maintenant, Monsieur Dubois, je vais vous demander de continuer à vous masturber », l'enjoint- elle sur un ton assez autoritaire et qui n'admet pas de réplique.

Quelque peu hésitant sur le coup, Maxence tient ses testicules poilues de la main gauche pour se mettre à se masturber de la main droite. Tout d'abord, il y va doucement, un peu excité par l'infirmière qui est assez sexy et dont il voit le chirurgien passer la main sous la blouse de la jeune femme qui se laisse peloter devant le patient qui, énervé de voir que sa bite en érection soit devenue moins longue et moins grosse, redouble de vigueur pour faire aller et venir son membre dans sa main.

Puis le chirurgien fait signe à l'infirmière qui s'empare d'une règle et qui revient près de Maxence qui cesse de se masturber pour rester la queue raide devant la jeune femme qui, avec la règle, lui mesure la longueur de son sexe en érection :

« Alors ? » demande le chirurgien.

« Sa verge fait dix centimètres en érection, mais je ne sais pas s'il bande au maximum, » réplique -t-elle en rendant au chirurgien un sourire amusé.

« Mais là, je bande au maximum, s'écrie Maxence, affolé, dix centimètres ? Vous vous rendez compte, docteur ? Ma bite ne fait plus que dix centimètres en érection, que vais-je faire ? »

Puis la bite de Maxence débande pour devenir complètement molle ; aussi, l'infirmière en profite pour la lui mesurer, de nouveau :

« Cinq centimètres au repos, » finit-elle par annoncer au chirurgien qui opine de la tête.

« Eh bien, Monsieur Dubois, vous me voyez désolé de cette baisse de volume de votre sexe qui fait donc dix centimètres en pleine érection et cinq centimètres au repos. Cependant, lors de l'entretien préalable à votre opération que j'ai eu avec vous, je ne vous ai guère caché que la maladie de Lapeyronie était encore une maladie que nous connaissions mal et qu'il existait ce genre de risques :que votre sexe diminue de volume, je crois ne vous avoir rien caché, Monsieur Dubois, » lui fait remarquer le chirurgien.

« Mais là, je me retrouve avec une bite atrophiée, se lamente Maxence, catastrophé. Qu'est-ce que je vais dire à ma femme qui a toujours été habituée à ma bite de vingt centimètres en érection. »

« Oh, votre femme sera bien obligée de s'y faire... et si vous l'aimez, vous pourrez toujours la laisser libre d'aller voir ailleurs, » lance le chirurgien qui croise le regard amusé de l'infirmière qui est, en fait, sa maîtresse.

Maxence rougit sous les paroles glaçantes du chirurgien et sur le coup, il est horrifié, surtout du fait de ne plus pouvoir bander correctement comme c'était le cas jusqu'à son intervention chirurgicale.

Lorsqu'il reprend la route de Tours, Maxence n'en mène pas large et préfère se concentrer sur la route afin de ne pas penser à ses soucis qui commencent.

Quand il retrouve Virinia et leur fille Louna, ce sont les embrassades et les effusions. Puis resté seul avec Virinia, Maxence se sert un whisky pour se donner du courage.

En voyant son époux avaler le breuvage d'un trait, Virinia fronce les sourcils :

« Tu peux me dire ton problème ? » lui demande -t-elle, perplexe.

« Eh bien, la vérité, c'est que l'opération de la maladie de Lapeyronie s'est plutôt mal passée puisque suite à ça, mon pénis a diminué : il est moins gros et moins large. »

« Comment cela ? » s'écrie -t-elle, choquée d'entendre une telle nouvelle

« Suite à l'intervention chirurgicale, mon sexe ne fait plus que dix centimètres en érection au lieu de vingt auparavant, » avoue -t-il, penaud.

Il se fait un long silence durant lequel Virinia se sert un double whisky qu'elle avale d'un trait pour se remettre de ses émotions. Pendant plusieurs secondes, Maxence et son épouse se regardent sans dire un mot, mais c'est Virinia qui finit par rompre le silence :

« Ah ouais, dix centimètres en érection, ce n'est pas terrible, » remarque -t-elle en faisant la moue.

« Il te faudra bien faire avec, » lui fait-il constater.

Durant tout le repas, Maxence constate Virinia assez songeuse tandis que leur fille Louna sent bien que quelque chose ne va pas, même si elle décide de ne pas indisposer ses parents par une question qui leur paraîtrait malheureuse.

Louna est aussi blonde platinée que sa mère de qui elle a hérité les mêmes cheveux ainsi que les mêmes yeux d'un vert émeraude lumineux. Elle est fine car elle pèse cinquante-sept kilos pour un mètre soixante-quinze. Svelte, élégante et stylée, Louna demeure une jeune fille pleine de classe qui, à vingt et un ans, fait la fierté de ses parents.

Quand ils se retrouvent tous les deux dans leur chambre, Virinia regarde son mari se déshabiller, mais quand elle voit sa verge qui est devenue bien petite, elle ne peut cacher un mouvement de recul en se demandant comment il va désormais bien pouvoir la faire jouir.

Maxence se couche enfin sur le dos et Virinia vient sur lui pour s'empaler sur les dix centimètres de la queue en érection et bientôt, elle le chevauche avec fougue :

«  Tu la sens ? » lui demande Maxence en espérant sa femme agréablement surprise et qu'elle va lui répondre qu'il lui fait toujours aussi bien l'amour.

« Si je la sens ? Tu te fous de ma gueule ? Je ne sens plus rien avec ta petite bite, on dirait une bite d'impuissant, » réplique -t-elle en le chevauchant et en lui administrant plusieurs paires de gifles.

Quand Virinia lui dit qu'elle ne sent plus rien, Maxence se sent plus excité que jamais tellement les paroles humiliantes de de sa femme, au lieu de le blesser, lui procurent une certaine jouissance cérébrale.

« Ah bon, tu ne sens plus rien quand ma bite te baise ? » lui demande -t-il en bougeant bien son bassin pour aller à la rencontre du vagin de sa femme qui le besogne.

« Non, je ne sens plus rien car tu as maintenant une bite de minus et n'oublie pas qu'en ce moment, c'est moi qui te baise, » lui réplique -t-elle en continuant de le gifler.

« Répète-moi que tu ne sens plus rien, » persiste -t-il tandis qu'il reçoit avec délectation les allers-retours de sa femme qui lui font rougir les joues.

En s'apercevant que Maxence est excité par le fait qu'elle lui dise qu'avec la petite queue de dix centimètres en érection qui est devenue la sienne, elle ne sent plus rien, Virinia voit rouge et le gifle

alors encore plus violemment.

« Pauvre merde, moi, je ne sens plus rien avec ta petite queue d'impuissant et toi, pendant ce temps-là, tu bandes parce que ça t'excite ? Mais je te baise, tu entends, sous-merde, je te baise ! »

Et le fait que Virinia le malmène, lui parle mal et qu'elle le gifle violemment excite Maxence au plus haut point, si bien qu'il ne peut plus se retenir et sent qu'il va jouir inexorablement, et il finit par éjaculer dans la chatte de celle qui le baise. Et une fois que la bite de Maxence a éjaculé, elle ramollit complètement :

« Tu as vu ? Tu as éjaculé en trois minutes, constate -t-elle, horrifiée. Alors l'opération t'a non

seulement rendu ta bite moins large et moins grosse, mais en plus d'avoir une bite atrophiée, il faut encore que tu sois devenu éjaculateur précoce ; mais c'est quoi, ce mec que j'ai épousé ? » s'écrie -t-elle, révoltée.

« Calme-toi, mon amour, tente de l'apaiser Maxence, ça va s'arranger, ne t'inquiète pas. »

« Que je ne m'inquiète pas ? S'étonne -t-elle. Tu es monté comme un impuissant, avec une bite de gamin, dix centimètres quand tu bandes, tu éjacules désormais en trois minutes, mais à part ça, tout va bien et je ne dois pas m'inquiéter car ça va s'arranger, » s'écrie -t-elle, exaspérée.

« Tu peux prendre un amant, si tu veux, » revient-il à la charge et sentant sa petite queue bander, à nouveau, rien qu'à évoquer la possibilité que sa femme puisse prendre un amant.

« Il n'en est pas question car tu sais très bien que je ne suis pas une femme comme ça, je ne suis pas une pute, » réplique -t-elle sèchement et en le fusillant du regard.

Pourtant, les jours suivants, Virinia et Maxence font, à nouveau, l'amour et quand elle se rend compte qu'elle ne ressent maintenant plus rien quand il met sa bite en elle et qu'il éjacule en trois minutes, la proposition de Maxence la travaille et Virinia est de plus en plus tentée de prendre un amant et de faire son mari cocu.

De son côté, Maxence commence à se faire à l'idée que sa verge ait diminué de moitié et plus ça va, plus il se délecte de se dire « maintenant, j'ai une petite bite et je suis mal monté. »

Car au fil des jours, le banquier réfléchit et se sent finalement heureux que sa queue soit maintenant divisée par deux quand il est en érection et qu'il soit désormais si mal monté ; il se sent dévirilisé et ressent cela comme une chance puisque son fantasme de devenir un mari cocu devient possible, ses fantasmes de soumission et d'humiliation ne sont plus si inaccessibles qu'auparavant, il le sent.

D'ailleurs, Virinia prend de plus en plus l'habitude de se masturber pendant la nuit et Maxence l'entend faire aller et venir ses doigts dans sa chatte ; et elle est tellement excitée qu'il entend les bruits de clapotis tellement Virinia mouille.

Penserait-elle enfin à le faire devenir un mari cocu ?

Un soir, alors que Maxence a encore aussi mal baisé sa femme et que celle-ci a encore réalisé douloureusement qu'elle ne sentait désormais plus rien lorsqu'ils font l'amour, Virinia, tandis que les

lampes sont éteintes et que tous deux sont côte à côte, dans leur lit, toussote :

« Au fait, tu souhaites toujours que je te fasse cocu et que je couche avec un autre homme ? » lui lance -t-elle d'une voix qu'elle veut le plus neutre possible.

« Bien sûr, mon amour, je souhaite même que tu couches non pas avec un autre homme, mais d'autres hommes, » lui répond-il, aussitôt excité du fait que ce soit elle qui revienne sur le sujet.

« Il est vrai que ta petite bite ne me fait plus aucun effet et que je ne sens plus rien, c'est une réalité, constate -t-elle, mais tu serais prêt à accepter que je voie d'autres hommes et que je te fasse pousser des cornes de cocu sur la tête ? » s'écrie -t-elle avec une certaine émotion dans la voix et une certaine démangeaison entre les cuisses.

En entendant sa femme parler de cornes de cocu qu'elle lui ferait porter sur la tête, Maxence se demande s'il ne va pas jouir sur-le-champ tellement cette idée l'excite au plus haut point.

« Oui, je dois te l'avouer, je l'accepterais car ça me plairait d'être ton cocu. J'ai aussi le fantasme que tu me soumettes et que tu me punisses pour être maintenant monté comme un impuissant, je rêve que tu m'humilies, que tu me rabaisses, que tu me fasses sentir que tu es une déesse et que je ne suis qu'un cocu soumis. »

« En somme, tu voudrais que je décide de te cocufier et de te loper, » constate -t-elle avec une certaine excitation. Et, comme Maxence ne lui répond pas, Virinia prend cela comme un aveu. Mais elle veut qu'il lui dise le fond de sa pensée :

« J'exige que tu me répondes tout de suite, » lui ordonne -t-elle sur un ton qui n'admet pas de répliques.

Alors Maxence respire profondément et se lance :

« Oui, je t'avoue que j'aimerais que tu décides de me cocufier et me loper et que tu me fasses pousser des cornes de cocu sur la tête, » lui avoue -t-il enfin.

« Car je crois que je suis prête à prendre un amant et demain soir, je vais sortir en ville, » décide -t-elle, sûre d'elle-même tandis que tous deux sont dans la pénombre et que c'est beaucoup plus facile pour Virinia d'avouer ses bonnes résolutions à son époux qui a encore l'exclusivité de son corps...pour si peu de temps.

Le lendemain, Virinia passe une journée assez sur les nerfs puisqu'elle a tellement hâte d'arriver au soir qu'elle est un peu tendue. Elle va s'acheter des sous-vêtements féminins dans l'une des meilleures boutiques de lingerie.

Le soir venu, le repas est vite expédié.

Et comme leur fille Louna sort avec celui qui est considéré comme son fiancé, un certain Pierre, cela laisse le champ libre à Maxence et Virinia pour préparer psychologiquement la libération de Virinia qui va prendre une longue douche savonnée avant de descendre l'escalier pour apparaître enfin devant Maxence qui reste estomaqué en découvrant sa femme et il peine à avaler sa salive tellement il ne trouve plus ses mots.

En effet, Virinia a décidé, pour sa première sortie de femme adultère, de se vêtir d'une courte robe noire, collante et très échancrée, si bien qu'il apparaît évident qu'elle ne porte pas de soutien-gorge.

Mais ce que Maxence admire, outre la courte vêture de sa femme, c'est que celle-ci ait gainé ses jambes et ses cuisses de superbes bas noirs, retenus par un porte-jarretelles de la même couleur. Et elle a opté pour des bottes qui lui montent jusqu'aux genoux. Ses longs cheveux blond platiné l'encadrent magnifiquement. Quant à ses lèvres, elles sont fardées d'un rouge à lèvres rose brillant, et son visage est très maquillé car Virinia n'a pas lésiné sur le fond de teint.

« Tu es magnifiquement belle et sexy, » finit-il par dire à sa femme après avoir pris une longue inspiration.

« Si tu savais comme j'ai honte de sortir ainsi vêtue, mais je suis tellement en manque que je vais sortir. Reste à savoir si j'aurai le courage de te faire cocu et de passer à la casserole dès le premier soir, » avoue -t-elle en rougissant.

« J'espère, en tout cas, que tu décideras de passer à l'acte car tu as carte blanche, ma chérie, lui dit-il en se jetant aux pieds de sa femme pour lui embrasser les bottes. Quoi que tu fasses, je te soutiendrai sans réserve. »

« Relève-toi, » le prie -t-elle, quelque peu gênée par l'attitude servile de son mari.

Puis tandis que l'horloge vient de sonner les neufs coups pour annoncer qu'il est neuf heures du soir, Virinia, revêtue d'un long pardessus noir, quitte le domicile conjugal pour s'infidéliser.

Passant rue de la Scellerie, elle tourne enfin à droite et se retrouve rue Nationale pour arriver au coeur du vieux Tours après avoir pris la rue du Commerce, c'est-à-dire sur la place Plumereau où s'étalent les vieilles maisons à pans de bois dont les rez-de-chaussée abritent des boutiques ou des cafés. En regardant autour d'elle, elle constate que les terrasses des bars et restaurants sont bondées tellement il fait plutôt beau et Virinia réalise qu'elle a bien fait de cacher sa tenue sexy par un long manteau. Cela n'empêche pourtant pas la jeune femme de se faire siffler par un groupe de jeunes hommes un peu éméchés qui la regardent depuis une terrasse, chacun l'air amusé. Puis Virinia s'engage rue du Grand Marché où s'étalent les brasseries, crêperies et restaurants avant de tourner dans une ruelle adjacente, d'aspect moyenâgeux.

Quand elle aperçoit la devanture d'un café-hôtel, illuminée, dont le nom, les lettres éclairées par une lumière verte, indique ce qui a le mérite d'annoncer la couleur : Bar des Trois Putains.

Virinia essaie de voir ce qui se passe à l'intérieur, mais comme les vitres sont fumées, c'est peine perdue.

Aussi, Virinia prend son courage à deux mains et pousse la porte de cet établissement qui, faut-il le préciser, n'a pas bonne réputation à Tours et surtout pas pour une femme qui se respecte et qui entend garder sa dignité ?

Lorsqu'elle entre à l'intérieur, Virinia aperçoit un long bar devant lequel se trouvent des tabourets sur lesquels sont assises trois jeunes filles, habillées assez sexy. Il ne fait pas très clair à l'intérieur puisque les lumières rouges et roses sont tamisées.

« Bonsoir, jolie dame, » s'écrie un homme d'allure imposante, les cheveux noirs, coupés courts, vêtu d'un blue-jean délavé et d'un tee-shirt blanc qui lui découvre des bras très poilus, tout comme les mains.

« Bonsoir, » réplique -t-elle en rougissant tellement elle est gênée, avant de regarder la salle qui comprend plusieurs tables et banquettes.

Soudain, elle remarque un long canapé de cuir noir sur lequel elle prend place et qui est plutôt moelleux. Une table basse en verre la sépare d'un autre canapé noir sur lequel un homme et une femme se trouvent, échangeant un long baiser à pleine bouche.

Virinia qui a retiré son manteau pour le mettre au vestiaire se demande ce qu'elle fait là, au milieu de ces lampes tamisées, tandis que les hôtesses, restées au bar, échangent avec des hommes qu'elles poussent visiblement à consommer.

Puis le patron vient vers la jeune femme qu'il regarde dans les yeux, la détaillant de haut en bas et regardant ostensiblement sa poitrine qu'on devine aisément dépourvue de soutien-gorge :

« Je me présente, je m'appelle Aldo et je suis le patron de ce bar. Mais j'ai aussi des chambres d'hôtel pour les gens qui veulent prolonger la soirée, » ajoute -t-il avec un sourire et un air pleins de sous-entendus.

En regardant cet homme grand et mince, Virinia éprouve un certain malaise face à celui qui la regarde de ses yeux marron, l'air ironique, le vice dans le regard. Mais tout en lui respire la virilité, et cela détonne complètement avec Maxence qui, depuis son intervention chirurgicale, a beaucoup perdu de sa superbe.

Enfin, Virinia aperçoit une boisson qui se trouve dans un plateau que tient le patron et que celui-ci lui met sur la table basse :

« Un cadeau offert par la maison, précise -t-il en lui esquissant un sourire charmeur. Il s'agit d'un rhum-citron vert-sucre de canne liquide, c'est exquis et d'une grande efficacité pour attiser la libido, je vous ai mis une bonne dose, » ajoute -t-il, l'oeil concupiscent, en regardant les cuisses gainées de bas noirs et la robe si courte de Virinia, si bien que la jeune femme tire sur sa robe pour tenter de se couvrir, en pure perte, évidemment.

Puis Aldo qui regarde toujours Virinia qu'il déshabille du regard finit par la laisser et repartir s'installer derrière son bar, mais en l'observant de loin tandis que de la musique langoureuse se fait entendre dans le café.

Lorsque Virinia boit son verre de rhum, elle se rend aussitôt compte qu'il s'agit d'un breuvage fort, mais elle boit, appréciant le goût du citron vert au sucre de canne liquide.

Soudain, le jeune couple assis en face de Virinia arrête de s'embrasser et celle-ci devient aussitôt l'objet de leur attention :

« Bonsoir, » finit par dire Virinia, ceci pour détendre l'atmosphère tandis que le jeune homme et la jeune femme l'observent avec des regards insistants.

« Bonsoir, dit la jeune femme, je m'appelle Yasmina, et mon mari, ici présent, s'appelle Kamel. »

« Très heureux, » s'écrie Kamel, un sourire canaille sur les lèvres.

« Enchantée, » réplique Virinia qui continue de siroter son verre.

« Santé, » trinque Yasmina en levant sa flute de champagne, imitée par Kamel.

Et bientôt, tous trois boivent à la santé de cette rencontre inopinée.

« C'est la première fois que tu viens ici ? » demande Yasmina à la jeune femme qu'elle sent tendue.

« Oui, » réplique Virinia qui a une vive appréhension.

« On voit ça, » lui retourne Kamel, sarcastique.

Tandis que Virinia regarde son verre, elle ne peut ignorer les regards de ce jeune couple de Maghrébins, plutôt bien faits de leurs personnes. En effet, Yasmina est grande, mince, vêtue d'une minirobe blanche, pailletée, avec bustier assorti, les jambes gainées de bas noirs. Le visage assez dur, des lèvres nacrées, des yeux noisette assez expressifs, la jeune femme incarne vraiment la joliesse maghrébine. Quant à Kamel, il a un visage assez imposant, les yeux noirs, grand et mince.

Quant à ses cheveux noirs, ils sont coupés très court.

Bientôt, Virinia a terminé son verre de rhum-citron vert.

« Pouvons-nous t'offrir un verre ? » l'invite la belle Maghrébine en lui esquissant un sourire engageant.

« Je t'en prie, accepte, » insiste Kamel en voyant Virinia hésitante.

En fait, Virinia hésite tout simplement parce qu'elle sent le jeune homme et la jeune femme qui la détaillent des pieds à la tête, elle sait qu'elle les attire, mais le pire de tout, c'est qu'elle sent sa chatte trempée, peut-être parce qu'elle sent qu'elle va inexorablement fauter et qu'est-ce que c'est bon de s'apprêter à mal faire, réalise -t-elle.

« Viens t'asseoir entre nous, lui propose Yasmina, au moins, toi et nous ne serons plus séparés par cette table basse. »

Aussi, Virinia décide de se lever et de venir rejoindre le jeune couple en s'asseyant entre le jeune homme et la jeune femme.

Aldo, ayant compris la situation, amène aussitôt une troisième flute pour la remplir de champagne avant de reposer la bouteille bien fraîche dans le seau à glace.

« A notre nouvelle amitié, » propose Yasmina en levant sa flute, suivie par Kamel et enfin par Virinia qui, comme ses nouveaux amis, boit le champagne.

« Tout comme Kamel, je suis Algérienne, précise Yasmina. En fait, mon mari et moi sommes ici pour plusieurs mois et nous logeons au-dessus, dans une chambre que nous loue Aldo, le patron de ce bar-hôtel. »

« Et que faites-vous à Tours ? » leur demande Virinia, assez intriguée par l'attitude de ce couple qui ne cesse de la déshabiller du regard, ce qui lui provoque, à sa grande honte, des frissons entre les cuisses.

« Nous sommes en plein tournage d'un film porno, mais où il y a une forte part de sadomasochisme, et Kamel et moi sommes donc acteurs de films pornos, » explique Yasmina.

« Eh oui, ma femme et moi nous sommes rencontrés lors d'un tournage de porno. Elle y jouait le rôle d'une pute qui doit se faire baiser par tout un régiment de soldats. Et je l'ai connue en couchant avec elle. Maintenant, tu sais tout, » lui explique Kamel.

Virinia reste quelque peu estomaquée des révélations de Yasmina et Kamel.

Et tandis que Yasmina lui explique le fonctionnement de leur métier, Virinia se sent parcourue d'une douce excitation.

Aussi, la belle Algérienne profite de la fascination qu'elle exerce sur Virinia qui leur a avoué qu'elle est l'épouse d'un PDG de banque et lui pose bientôt un baiser sur les lèvres.

Virinia, en sentant les lèvres de Yasmina se poser sur les siennes, a une seconde de doute, mais la jeune femme au teint basané l'attire tellement qu'elle ouvre la bouche et aussitôt, les deux femmes échangent un long baiser plein de fougue. C'est la première fois que Virinia embrasse une femme, de surcroît une Arabe, très belle, et elle en est bouleversée.

Bientôt, Yasmina lui impose d'un baiser à pleine bouche après quoi elle regarde Virinia et lui enlève sa robe et son string pour ne lui laisser que ses bas noirs et son porte-jarretelles. Elle lui caresse ses grandes lèvres mauves, la fente humide ne lui échappant pas. Puis elle passe un doigt sur le bord du sillon. Virinia soupire de plaisir. Encouragée par la passivité de l'épouse du banquier, Yasmina lui écarte la chatte et les nymphes se montrent, brillantes et roses.

« Tu es trempée, ma belle, » constate -t-elle en sifflant et en la regardant d'un air triomphant.

Aussi, Yasmina lui passe un doigt de bas en haut et pousse Virinia à écarter les jambes et les cuisses.

Apparaît le clitoris que Yasmina sort du capuchon ; puis elle continue son mouvement et ouvre le sexe, défroissant les petites lèvres. Puis elle enfonce son doigt dans le vagin de la jeune femme qu'elle fait aller et venir, ce qui fait se tordre Virinia qui n'a jamais rien connu de pareil, c'est si vrai que les doigts de Yasmina qui vont et viennent font un bruit de clapotis obscène. Doucement, la pulpeuse Maghrébine crache dans son doigt de la main gauche avant de mouiller la bague de l'anus et en écarte les bords.

En sentant l'actrice porno violer son sanctuaire anal, qu'elle avait toujours interdit à Maxence, Virinia fait non de la tête, mais Yasmina l'embrasse de plus belle, à pleine bouche, et la chair ovale s'ouvre, permettant à Yasmina d'enfoncer son doigt, comme pour fendre le cul de Virinia en deux, si bien que celle-ci cesse d'embrasser sa partenaire et ouvre la bouche pour reprendre sa respiration.

Puis Yasmina fait aller et venir son doigt dans le cul vierge de Virinia et bientôt, elle y entre un deuxième doigt. Puis elle retire les doigts de la chatte et du cul pour effleurer les aréoles et les tétons de Virinia avec ses deux mains, sentant aussitôt les tétons gonfler. Virinia aime les sentir durcir, tout comme son amante qui s'empare des tétons qui s'offrent à elle pour les faire rouler entre ses doigts. Puis elle caresse le corps de Virinia qu'elle sent encore vierge de bien des façons, et ce en dépit de son mariage avec un homme de la finance.

Puis elle caresse le corps de Virinia, touchant les hanches, le sillon des fesses avant de poser sa main sur le pubis glabre et agréable au toucher. Elle sent la fente bien ouverte.

Aussi, Yasmina, sentant le moment venu, lui caresse les grandes lèvres avant de s'accroupir et les effleurer de sa langue pour les écarter avant de trouver le clitoris qu'elle lèche de bon coeur.

Puis elle plonge sa langue dans le vagin de Virinia qu'elle aspire à fond. Enfin, elle se déshabille en vitesse pour se mettre en position soixante-neuf sur Virinia.