Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Le silence est comme l'amour, il émerveille, ébloui, trouble et puis apporte sa grâce, son mystère et la paix intérieure.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 69
Veröffentlichungsjahr: 2021
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
Le silence est comme l’amour, il émerveille,
ébloui, trouble et puis il apporte sa grâce,
son mystère et la paix intérieure.
Il y a des âmes qui rentrent dans nos vies, avec leur
amour infini, comme des rayons de soleil, qui change
soudain le cours de notre existence…
Dédie à cette âme qui restera blottie dans mon cœur a jamais.
Rêve éternel
Jusqu'à ton souvenir
Épanchée d’amour
L’effet du renouveau
Sous l’aile des songes
Tes sourires dans mon âme
Ma certitude
J’attends
Tu es ce silence
Avant l’hiver des aurores
Mon pas te cherche
Miettes des songes
J’aurais aimé
À l’orée du destin
Pour un instant…
Petit cœur d’amour
Je voudrais te parler…
Au pouls de ma peau
A l’interface de nos mondes
Émotions d’octobre
J’ai arrêté le temps
Sensations…
C’était si doux
Effleurée par ton sourire
À travers le temps
Itinérance paisible
Silencieuse douleur
Sous la brise écarlate
Je n’ai jamais oublié
Au carrefour du cœur
Captive à cet ailleurs
Au-delà du hasard
L’éphémère instant
Au nom de notre amitié
Depuis que tu es parti…
Au levis d’un été glacé
Sourire émietté
Et maintenant…
Sur la route des silences
Partout et pour toujours
Ébauche d’octobre
Au penchant du chemin
Palette d’octobre
Au sommet de l’émotion
Mots murmurés
Je sais tant de silences
Pourquoi…
Naufrage
Lueur fragile
Comme pour tenir
Ce matin…
Depuis l’aube
Aux drapés de l’hiver
Cet hiver
Au-devant de cette route
Là où le songe murmure
Au seuil des brisures
Si je devrais…
Le printemps arrive
J’ai dans le cœur
Sans cesse
Mots orphelins
Caresse des cils
Émotions éteintes
À l’antre du soir
Mélancolie fléchie
L’envol des souvenirs
Je me rappelle…
Au détour des rêves
Triste aquarelle
Vers l’infini
Vie dépensée
Sur l’autre rive
Elle est là…
Poussière de temps
Si son cœur…
Elle continuera
Vers l’ascension
Quand l’heure frémit
Petite lueur
Vague de tendresse
Entre ciel et terre
Tressaillement…
Cette rose…
Pour un instant
Par delà du temps
Sous une treille d’iris
Ce soir
Cueillir un sourire
Les rêves
Souvenirs
Dans l’écorce des toiles
Les traces du temps
Silences troublés
Au creux de l’absence
La lune
Tressaillements…
Devant le ciel
J’ai vu à l’aube
Amie de plume
Ton souvenir
Au bord de l’instant
Témoignage du silence
Parmi les silences
Silences voilés
C’est là, sur la grève du cœur, ocrée d’écume,
Que le testament du rêve silencieux,
S’écrit, plissant les draps d’éclairs majestueux,
Et les soupirs des aubes au-delà des brumes.
Juste un instant et l’azur noue sa belle toile,
Lorsque l’éphémère s’invite à l’éternel,
Le violon dans l’âme vibre solennel,
Devant la beauté nue des brillantes étoiles.
Aux creux déracinés de toutes pensées pures,
Il n’est plus de peine, juste un désir flottant,
De t’attendre, toi, mon vertige enveloppant,
Pour que les songes t’accrochent à ma parure.
Les pupilles frémissent, nues, jusqu’à ton ombre,
Émues par ce parfum si doux, au gout d’espoir,
Dans la tiédeur qui cotonne l'œil du soir,
Qui unit mes solitudes aux pierres d’ambre.
Au désert du ciel accoudé à ton absence,
Pareil à ce malheur qui courbe le sommeil,
Le frisson du soir détourne l’émoi vermeil,
Jusqu'à ton souvenir et à ma délivrance.
Je marche sur les ponts de nos songes sublimes,
Vers l'au-delà des pleurs, dans l'étreinte du temps,
Prête à te cueillir, aube d’un exquis printemps,
Sous le miroir du sort engouffré a nos cimes.
Aux parois des cieux il y a cette ondée rose,
Qui voltige, a en remplir l’espace lascif,
Quand ta bouche s’enrobe de désirs naïfs,
D’un bout d’âme perdu dans cette vie morose.
L’œil lamenté du matin brûle la voûte ivre,
Glissant au seuil des secrets ton charnel désir,
Bénie, je garde l’auréole du plaisir,
Lorsque tes baisers doux frémissent sur ma lèvre.
Les échos langoureux des romances charmantes,
Sublime l’étoile, frôle l’air vaporeux,
Et dans le cœur je sens l’azur de tes beaux yeux,
Les aubes parfumées de corail, l’eau dormante.
Sous notre ciel argenté, les flammes astrales,
Bercent le matin et cueillent l’or du soleil,
Tissant l’air de pourpre, la lèvre de vermeil,
Lorsque le silence effleure l’odeur florale.
Le regard façonne mille notes divines,
Et l’âme du violon passe en voyageur,
Sous les vitraux célestes du souffle rêveur,
Éveillant le matin et l’onde sibylline.
Tandis que l’horizon peint les cimes de l’aube,
A son chevet la rose s’épanche d’amour,
D’un seul geste, au creux des paumes, en fin du jour,
L’orée va pétrir le destin, creusant sa courbe.
C’est comme un désir nu au creux béat du cœur,
Qui pourpre d’émois le pouls de mon existence,
Sous les couleurs vifs, inconnues des providences,
Laissant le silence comme seul créateur.
En confessions, les fibres du l’éternel,
T’incruste à ma chair en lenteur cerclée d’opale,
Lorsqu’ à l’appel des mouvances syncopales,
Le temps rejoint le miroir émotionnel.
En frémis d'oracle, l’infaillible flambeau,
Prédit, bien doué, la grâce de l’espérance,
Cambrée au pouls du ventre, où je sens ta fragrance,
Tiède et si légère, tel l’aveu dues berceau.
Sur les canons des éclipses feutrées d’hasard,
Au réveil du corps, sur les anses des épaules,
Se lie l’éternité aux cordes des violes,
Berçant les âmes qui nagent dans le brouillard.
L’odeur des nuits délie le nectar du matin,
Se pose à ton cou, dans l’ocre jaune des roses,
Chatoyant par son souffle langoureux les heures,
Tes lèvres embaumées de baisers libertins.
Un rêve pur valse sur un tapi de vers,
Et l’aube naît d'une douce teinte opaline,
La rosée exhale arômes de vanilline,
Tandis que près de nous vibre tout l’univers.
Le silence règne donnant cours aux aveux,
Sous l’arche des rosiers, sous le zéphyr en flamme,
Vers les nuages froissés le soir cueillit l’âme,
Sans pleurs et sans regrets, à quelques pas d’adieu.
Tandis que l’azur miroite dans ton regard,
Entre les bras qui jettent le sort noyé d’ombres,
Je t’attends encore vers l’orée des nuits sombres,
Parmi les songes, lueur au port du hasard.
Les vagues grisées frissonnent si près des cieux,
Sous la brise triste qui ploient les lourdes cimes,
Ivre, les rêves jouent leur union intime,
A l’orée des aubes, mirée au fond des yeux.
Sur la pointe du jour un soleil tissé d’or,
En plein harmonie, compose des cantilènes,
Prémonition des rosées bohémienne,
Dans le silence de ce sublime décor.
Un rêve voué au néant ourle mes pas,
Le cœur des aveux, des illusions béates,
Vertige des désirs et douceur délicate,
Qui tangue effleurée par l’étreinte de tes bras.
Rêveuse encore, je fends en souffle d’éclat,
Vers ton émoi qui cambre mes lèvres candides,
Aux nuits dérobées de nos paroles avides,
A tes sourires, o, quels délices béats !
J’ai fleuri ma vie sur le rebord des paupières,
Frôlant les rêves naissant d’un confus demain,
Au creux des vœux, en transe, si prés du lointain,
Et du désir de ces mains nappé de poussière.
Sur mon corps un frisson, o, frêle solitude,
S’écoule ce soir, muet, un doux abandon,
Comme l’eau de l’âme, un irrévocable don,
Un temps flou qui devient soudain ma certitude.
J’ai gardé la trace courbée d’insouciance,
De ton sourire, de tes yeux cerclant mon ciel,
La troublante diaprure, un point d’arc-en-ciel,
L’ailleurs exquis et serein a ta ressemblance.
Sur ma peau une perle, goutte d’abondance,
Ton feu sur ma lèvre, ton soupir à mon cœur,
Par-delà des songes qui tissent le bonheur,
Lorsque le sort bat le rythme de l’espérance.
Aux fins plissures du sort ou luit mon histoire,
Tu es le seul collier que je prends à mon cou,
Le serment légué des rêves un peu filous,