Code vit'Al E-Book

Manou Grigri

• Herausgeber: Le Lys Bleu Éditions
• Kategorie: Ratgeber
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 199

Veröffentlichungsjahr: 2022

Beschreibung

Nous passons notre vie entière à avancer grâce à ce merveilleux véhicule terrestre qu’est le corps humain. Mais qu’en est-il de la grande théorie existentielle sur l’homme ? À part être nous-mêmes, quel est notre rôle sur Terre ?


Code vit'Al est parsemé de messages canalisés qui apportent du réconfort et un éclairage certain sur les énergies qui nous entourent. En somme, cet ouvrage est le support idéal qui insuffle douceur et harmonie à notre cheminement.


À PROPOS DE L'AUTEURE


À la suite du décès de son fils, Manou Grigri a établi une connexion particulière avec les mondes parallèles, réalité qu’elle nous livre dans ses quatre romans publiés. Aujourd’hui thérapeute et médium, elle a à cœur de partager ce qu’elle canalise de l’univers et des autres plans de l’invisible.

Leseprobe

Manou Grigri

Code vit'Al

Roman

© Lys Bleu Éditions – Manou Grigri

ISBN :979-10-377-6573-4

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

De la même auteure

- Allaneternellementla, autoédition, 2020 ;

- Merciallan, autoédition, 2020 ;

- Sommet Pyramid’Al, autoédition, 2021.

Pour toi, Sacha, mon fils, mon ado, parti rejoindre

ton frère Allan de l’autre côté du voile le 20 mai 2022,

3 ans et 10 jours après lui. Un même vendredi, au même âge,

sur la même 50, de la même manière.

Faut-il que la fusion de deux personnes sur Terre soit

forte à ce point pour perdurer éternellement ?

Rappelle-toi, Sacha, il y a quelques mois, je t’avais demandé : « Ça te dirait d’être le héros de mon prochain ouvrage ? »

À cela tu avais répondu : « Je sais pas, y a de l’argent à gagner ou pas ? » C’était toi, dans toute sa splendeur.

Sacha, papa et moi t’aimons. Merci pour la communication que j’ai déjà avec toi et pour les signes que tu envoies.

Tu vas l’avoir ton livre, mon chaton, et tu pourras

me souffler tes idées, du haut de ta passerelle.

Introduction

« On dit bonjour d’abord ! » te dira ta mère ou la boulangère quand tu entres en scène quelque part. « Bien le bonjour alors, ami lecteur ! » Il me paraît évident d’expliquer d’emblée l’origine de ce titre. Je te présente mon 4ème ouvrage : Code vit’Al. Pour les 3 premiers, les titres sont « arrivés » sur le papier comme un cheveu sur la soupe. Mais pour celui-ci, une fée me l’a soufflé…

Voilà plusieurs mois, l’info est « tombée du ciel » (à travers les nuages, quel heureux présage pour un aiguilleur du ciel…) que je devais canaliser à grande échelle, l’ensemble des informations ou messages qui pourraient parvenir jusqu’à mon âme, afin de les redistribuer aux terriens. Les Hommes de la Terre s’interrogeraient effectivement sur tout un tas de trucs importants, existentiels, mais terriblement impactant dans leurs décisions quotidiennes, mais aussi sur leur propre vision qu’ils ont d’eux-mêmes.

À en croire les bruits de couloir, l’Humain n’est, d’une manière générale, pas du tout heureux. Il se plaint, n’est pas content de son sort, jalouse son prochain et parfois même, s’attire des problèmes qui n’existent pas encore. Et puisque notre gentil terrien aime un peu la rigueur et se fait très bien apprivoiser par tout ce que représente le mot « hiérarchie », nous en concluons (je t’explique plus loin de qui je parle en disant nous) qu’il a besoin de codes (ou de clefs) pour s’y retrouver.

Alors attention, ce sont bien des codes que tu vas découvrir ami lecteur. En aucun cas je n’ai utilisé le mot « consignes ». Ne commence pas à interpréter n’importe comment. D’ailleurs, je te donne un exemple et tu vas pouvoir faire une comparaison : avant de passer la partie « conduite » de ton permis, tu sais parfaitement que tu dois obtenir le fameux « code », que tu t’empresseras, avec une certaine rigueur d’ailleurs, à adapter en fonction de ce qui t’arrange pour rouler en mode confort dans ta belle auto. La plupart d’entre nous s’accordent pour ne plus mettre les mains en haut du volant mais plutôt au ras des genoux une fois que l’on n’a plus le moniteur à côté de soi… Limite, on s’affale tous à un moment donné, coude sur ce petit accoudoir central que l’on n’osait même pas regarder lors des leçons de conduite.

Le code vit’Al est un condensé de plusieurs notions. Tu vas le lire, et tu en garderas ce qu’il te manque dans la connaissance de qui tu es. Que ce soit au niveau de la théorie ou de la technique et mise en œuvre, garde ce que tu veux. Ton code vit’Al est une sorte de nouvelle bible ! Et si tu te demandes pourquoi j’écris vit’Al de cette manière, sache que parmi les messages que je vais te transmettre, il y aura plusieurs vecteurs. Tout petit aparté (et tu n’es pas à bout d’en avoir…) un vecteur a plusieurs définitions :

- en maths, un vecteur c’est un : segment de droite orienté, formant un être mathématique sur lequel on peut effectuer des opérations… bla, bla, bla.

- en médecine, un vecteur c’est un : organisme susceptible de transmettre un agent infectieux d’un sujet à un autre (retenez bien que je ne donne aucun exemple de type COVID pour que tout le monde reste bien zen et détendu durant sa lecture).

- en langue « grigrisienne », un vecteur c’est plutôt une : énergie provenant d’un être non visible susceptible de transmettre de l’amour et un regard bienveillant au travers d’une dimension parallèle.

J’utiliserais souvent le pronom personnel « nous », qui suppose donc plusieurs ; les messages ou infos que je vais te livrer viennent de mes mains sur le clavier, mais aussi, et surtout « au travers » de mes mains par des anges, archanges, maîtres ascensionnés, pléïadiens, guides, êtres de lumière ou n’importe qui pouvant passer par le réseau de ce que je nomme : le WIFI céleste. Il ne faut normalement pas avoir fait Sciences Po’ pour comprendre que les messages retranscrits viendront de là-haut. Parmi tous ces protagonistes invisibles, il y a aussi Allan (mon fils désormais dans les étoiles) – Al pour les intimes – et le petit clin d’œil est donc directement dans le titre. Et c’est tout ce que tu as à savoir pour le titre.

Pour celui qui me découvre pour la première fois, j’ai un caractère assez vif et je n’y vais pas par quatre chemins. Parfois, j’invente des mots. J’ai, comme toi, tout à apprendre. Mais lorsque je me pose des questions, j’ai cette petite particularité d’obtenir de nombreuses réponses. Comment je fais ? J’écoute mon ami, j’écoute ! Et quand je n’entends pas la réponse, je redemande un peu plus fort. Mon métier, en plus d’écrire pour le plaisir (prendre le temps, de temps en temps…), consiste à écouter le WIFI céleste pour aider les autres. C’est particulier je te l’accorde. À la question : « Et tu fais quoi toi, sinon, dans la vie ? », parfois je suis bien empêtrée pour y répondre.

Finalement, tu peux retenir que je travaille dans les énergies éternellement renouvelables, le tout, au sommet de ma pyramide, avec un immense merci à Al.

Bonne lecture l’ami, et n’oublies pas ce que t’as toujours dit ta mère :

« Tu n’auras jamais ton Code

si tu n’ouvres pas le bouquin ! »

I

Code de l’humain

Ce n’est évidemment qu’une estimation à la louche, mais l’Humain – Homo sapiens de son petit nom si coquet – est apparu il y a plus de 200 000 ans. Chacun va pouvoir y aller de sa propre idée, car les dates sont un peu floues, et ce qui l’est encore plus, c’est : qu’appelle-t-on « Humain » ? Alors là, je t’arrête tout de suite dans ton envie de philosopher là-dessus, car ce n’est pas du tout la teneur du sujet. Je ne chercherais pas qui est venu en premier de l’œuf ou de la poule non plus !

Ce qui est important à retenir, c’est que l’Humain est constitué d’un cœur, d’un cerveau et de tout un attirail d’organes, le tout bien rangé dans un ventre que l’on nomme souvent le 2ème cerveau. L’Homme est pourvu de 5 sens (6 pour être cette fois-ci complètement exacte), qu’il peut se servir à volonté pour évoluer dans sa vie sur Terre : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher… Certains n’ont pas la capacité de se servir de l’ensemble des sens qui sont normalement attribués à l’arrivée sur Terre. À ceux-là, des pros en langue française ont décidé d’octroyer des qualificatifs très politiquement corrects de non-voyant ou malentendant par exemple. C’est une tendance actuelle qui consiste à brouiller les pistes avec du vocabulaire non discriminant pour éviter de choquer les non conformes dans notre société non acceptante.

Pour ce qui est du 6ème sens, il s’agit des perceptions extra-sensorielles. Rien à voir avec la vue, il s’agit cette fois des ressentis. Il fait partie intégrante de nous ce 6ème sens, et il est bien souvent négligé. À tort selon moi car il nous relie à notre origine, la Source, que l’on nommera également Univers. Tu pourras découvrir, bien plus loin, un chapitre concernant le fonctionnement de la médiumnité, et tu auras tout le nécessaire vital en connaissances sur ce 6ème sens. Et si la patience n’est pas ton fort (je compatis pleinement tu sais), cherche le chapitre XVI. Mais reviens là après OK ?

Enfant de la Terre,

Nous sommes heureux aujourd’hui de nous adresser à toi,

Au travers du canal Emmanuelle, celle qui vous retranscrit ces mots,

Nous avons à cœur d’exprimer notre joie de pouvoir communiquer en ce jour.

De là où nous sommes, nous avons envie de te faire savoir que tu peux, à ton tour,

Sentir notre présence divine, avec l’activation de ton 6ème sens.

Que ce soit dans la peine, ou dans les moments où tu fais la fête,

Nous faisons partie intégrante de ton existence.

Tu sais, il n’y a pas de bons ou de mauvais ressentis.

Parfois, tu t’interroges, tu te demandes si tu as une bonne intuition pour une prise de décision.

Apprends à écouter, et tu auras toujours la réponse au plus profond de toi.

Pose-toi un moment, lâche un peu le monde technologique qui t’emprisonne, et remets-toi au contact de toi-même.

Nous sommes là, pour toi, pour t’aider sur ton cheminement.

Garde confiance, y compris dans la difficulté.

L’Humain est la plus belle des créations.

Profite de cet état de vie dans la matière, et vis ton incarnation pleinement.

Enfant de la Terre, nous te saluons.

Pas de panique, tu n’es pas tombé dans une secte ! Explication de texte : lorsque j’écris, en manuscrit ou en tapuscrit (tu ne connaissais pas le mot, mais tu n’es pas bête, tu as pigé ce que c’est), j’ai parfois, des messages auditifs, ou pire : des contractions dans les bras. Ceci m’indique que je dois retransmettre, à la manière de ta radio dont tu vas monter le volume si une chanson te plaît ou si tu as reconnu l’annonce des infos locales. Pour ne pas embrouiller ton cerveau, et encore moins ton âme, mon mode « WIFI céleste » sera à mon avis toujours introduit par « Enfant de la Terre » puisque c’est comme ça que je perçois.

Le canal Emmanuelle c’est moi. Là-haut, ils se fichent un peu de mon surnom Manou. Pour eux, mon prénom est Emmanuelle. C’est non négociable lorsqu’ils s’adressent à moi, y compris si ça ne me convient pas. A priori, mon prénom est de source divine, je l’ai choisi avant ma naissance et soufflé à l’oreille de mes futurs parents. Mais je ne suis pas une exception, tu as fait la même chose ! Sauf que tu ne te le rappelles pas. Comme de ta propre naissance d’ailleurs. Sinon, imagine deux secondes le traumatisme… Non, n’imagine pas en fait. Et zut… trop tard…

Retiens aussi une chose importante : même quand tu fais la fête, ils sont là ! Tu feras moins le malin la prochaine fois où tu tourneras en rond le front sur une canette de bière, ou lorsque tu vomiras dans l’évier parce que les toilettes sont trop loin. Je vois à ta tête que ta visualisation fonctionne très bien, lol !

Il est également important de noter que, lorsque j’ai commencé la réalisation de mon tapuscrit, j’avais prévu de faire tout autre chose. Mais parfois, on doit lâcher prise et se rendre à l’évidence. C’est donc une semaine où je suis seule à la maison, que mon esprit s’agite, que mes bras se contractent, et que je me dis qu’il doit être temps d’allumer le WIFI céleste pour retransmettre ce qu’est l’essence ciel (petit clin d’œil au passage à mon ami Yann Courchelle). La contraction de mon bras est synonyme d’écriture imminente me concernant. Si tu veux une comparaison, c’est un peu comme une envie d’aller aux toilettes : tu as le temps d’anticiper, mais tôt ou tard, il faudra bien y aller.

Ce qu’il peut être bien de comprendre dans cette description du 6ème sens, c’est que nous en sommes tous dotés. Et pour tous ceux qui l’auraient oublié, c’est un peu comme la manière dont on prend un carrefour giratoire. On sait bien le faire au début, et puis, au bout d’un certain temps, on le prend « À la waneguène » (vocabulaire énormément dérivé datant de Jeanne d’Arc lors d’une victoire de guerre, I won again étant le terme véritable en anglais, utilisé aujourd’hui pour dire « à l’arrache »). Bref, un nouvel usager de la route, appelons-le vulgairement le « A » (oui, celui qui est devant toi et qui n’avance à rien, parfois le même qui te dépasse parce qu’il a loupé son réveil et qu’il est à la bourre), va te passer une soufflante si tu le prends mal ton sens giratoire.

J’aimerais que tu considères ton 6ème sens comme un apprenti de la conduite, considère la partie théorique. Tu vas avoir à ton tour un autocollant collé au derrière pendant une bonne partie de ta lecture, et à la fin, tu pourras fièrement dire que tu connais ton code, et retirer ton fameux autocollant, ça te va ?

Puisque l’Humain a un cerveau, alors il peut s’en servir pour apprendre. Malheureusement, le cerveau fait un peu le même boulot que les pros de la langue française : il crée du politiquement correct. Il trie, jette, oublie, reclasse et sélectionne ce dont il a envie. L’Homme en est la principale victime et ne se rend même plus compte que c’est parfois son propre cerveau qui le téléguide au quotidien. Une montre à l’intérieur du ventre, le cerveau ordonne qu’il a faim. Un morceau d’information attrapé au vol au journal télévisé et le cerveau te fait un scénario catastrophique qui te plonge dans des idées noires pour la journée. Ce même cerveau n’arrivera pas à retenir une poésie qu’il faut apprendre pour le lendemain, alors qu’il connaît par cœur des chansons dans une autre langue.

Bref, tu l’auras compris, le code de l’Humain est compliqué à élaborer, car l’Humain est lui-même compliqué à comprendre. Voici un peu d’aide, sorte de résumé, qui peut t’aider à y voir un peu plus clair je l’espère, sur ton origine :

Enfant de la Terre,

Tu as été créé pour un seul but,

Ne cherche pas la complication,

Tu dois avoir le minimum pour être heureux,

Et c’est justement là où tu t’es perdu…

Les biens matériels t’ont souvent fait perdre pied,

La réalité s’est donc échappée.

Nous avons bien plus de points communs avec toi que tu ne le penses.

Parfois, nous avons l’impression que l’Homme s’égare réellement du chemin.

Ce chemin est d’ailleurs propre à chacun,

Mais détient ce dénominateur commun : l’Amour.

Tu le chercheras parfois toute ta vie.

Mais ce n’est pas à sa poursuite que tu dois être !

Sois plutôt assidu en sa distribution.

Enfant de la Terre, écoute ce qui est au fond de toi, retire ce qui entrave ta perception

Va à l’essentiel de qui tu es

Tu es Amour, et tu le distribues autour de toi.

Enfant de la Terre, nous te saluons.

Alors ne commence pas à rire ou à t’affoler par ce genre de messages car tu n’es pas rendu au bout de tes peines. Si j’utilise le mot peine, c’est que même si tu n’es pas convaincu par ce que tu lis, ce n’est pas grave. Avance quand même dans ton apprentissage et tu les remercieras plus tard, lorsque tu obtiendras le permis ! C’est un peu comme ce moment, où il a fallu apprendre les distances de freinage par temps de pluie, avec des pneus sous-gonflés et sous emprise d’alcool… Moment de vie improbable n’est-ce pas ? Alors c’est vrai que le jour où ce scénario se présente réellement à toi, tu ne sors pas la calculatrice pour savoir si tu es trop juste ou pas en distance. Mais il n’empêche que tu as retenu l’essentiel : il pleut, tu fais gaffe à ne pas coller la voiture qui te précède. Pour ce qui concerne notre code vit’Al, tu retiendras ceci :

Le code de l’Humain c’est le verbe AIMER

(qu’il pleuve ou non).

II

Code de l’être

Si un jour tu t’es posé la même question que William (Shakespeare) dans l’ouverture de la tirade d’Hamlet : Être ou ne pas être ? Et que tu en es arrivé à la même conclusion que Descartes dans son cogito, à savoir : Je pense donc je suis, je suis désolée mais tu as beaucoup trop creusé le sujet. Pourtant, il a dû se donner bien du mal pour conclure ça. Figure-toi que je n’ai pas envie de me replonger dans mes quelques années d’études littéraires pour me remémorer le concept de base du philosophe. Alors laissons place à une définition divine qui fera ça très bien, pour le moins, mieux que moi :

Enfant de la Terre,

« Être » est à dévêtir,

Il convient de le déshabiller de sa fonction de verbe,

Pour lui laisser sa pleine existence, rien ne doit l’entraver.

« Être » est un élément fondamental qui colle à l’Humain,

De la plus belle des façons, l’être Humain EST,

Il n’a pas été et ne sera pas,

Il est uniquement au présent, ni avant, ni après,

« Être » demande rigueur et passion,

Pour ne pas se noyer sous son ego,

Pour ne pas mourir oublier,

L’être et Être ne font qu’un,

C’est un état, une manière d’avancer et de respirer,

De profiter de la chance qui t’est donnée de vivre,

Et qu’enfin, tu abandonnes l’idée d’AVOIR.

Enfant de la Terre, nous te saluons.

Il n’est pas un jour où je ne m’interroge sur les fameuses questions existentielles. Pourquoi je suis sur Terre ? est bien la seule question qui peut mettre tout le monde d’accord. Dans toutes les civilisations, sur tous les continents et dans toutes les langues ou religions qui puissent exister, nous sommes tous raccords ! Bon sang mais qu’est-ce qu’on fout là ? La question reste en suspens n’est-ce pas ? Alors il y a vraiment une méthode assez magique qui permet de ne pas se perdre en recherches philosophiques sur la raison de la présence humaine sur Terre, je te la livre :

Mise en pratique

Allonge-toi dehors, au sol ou sur un transat, une nuit où le ciel est parfaitement exempt de tous nuages. Couvre-toi bien car tu vas voir que tu vas tellement aimer cet exercice et que tu vas le faire durer, durer… Ouvre grand tes yeux et laisse-toi envahir par l’immensité de l’Univers et de ses étoiles. Rajout de seconde lecture : fais coucou à Allan, il sera content. Il est à côté de la Grande Ourse, tu ne peux pas te tromper. Je continue : tout ce qui doit fonctionner chez toi est ta respiration et ton observation. Tu vois, tu viens d’ici, parmi tous ces petits points si lumineux. Ce n’est pas une histoire destinée aux petits, nous sommes TOUS des enfants de la Terre, et nous venons TOUS du même berceau qui est situé plutôt là-haut.

Regarde ces étoiles et ce ciel que tu peux deviner si vivant, vibrant et mystérieux. Tu es l’être le plus chanceux du Monde ! Reviens à ton essence et à tes sens. À présent que tu regardes et t’imprègnes de la beauté lumineuse et magique de ce ciel étoilé, que tu respires tout naturellement l’humidité de la nuit, pose ta main sur ton cœur, et ressens ses battements. Ils se font naturellement, sans même que tu y réfléchisses. Ce cœur est ton moteur pour toute ta vie sur la Terre mère Gaïa. Il va alimenter chacune de tes cellules. Elle est tout simplement là, la raison de ta présence ici-bas. Tu es l’assemblage d’un processus parfait, merveilleux et divin qui te permet de vivre une expérience terrestre unique et enrichissante. Respire cette chance. Savoure ce bonheur simple.

Tu sais, je comprends tes doutes lorsque tu me lis. Fais confiance en ta lecture, je n’invente pas un seul mot. Tu es bien là pour un but, une quête, un chemin : TON chemin, dont toi seul décides le tracé. Seulement voilà, il y a deux possibilités concernant ce que tu décides : on peut imaginer que chacune de tes décisions sort de toi, à l’instant T, toi qui es un être humain avec un cerveau des plus perfectionnés. Mais on peut également imaginer que ton expérience sur Terre a été élaborée en amont, avec des points précis à travailler. Si on part sur cette deuxième hypothèse (qui pour moi est une quasi-certitude), comprends alors que tu peux lâcher l’affaire sur tout sur lequel tu n’as pas prise.

Concrètement, je veux que tu comprennes, qu’au travers de ma vision, de mes divers voyages nocturnes dans les autres plans de l’Univers, j’ai la (presque) certitude qu’il ne sert à rien de vouloir contrôler quoi que ce soit. Ni les évènements, ni nos réactions, ni les autres. Rien, absolument rien.

Nous sommes là pour vivre et uniquement vivre. Alors bien évidemment, les années passant depuis l’arrivée de l’Homme sur Terre, la quasi-totalité des besoins de base s’est évaporée, faisant place au confort matérialiste, la malbouffe, la violence et autres joies typiquement terriennes. Mais il n’est jamais trop tard pour retourner à notre essence.

Le code de l’être est un choix de vie. Je choisis d’être, de regarder, de sentir, de toucher, d’écouter et de goûter ce que la Terre m’offre. J’ouvre mes sens. Et pour 5 sens achetés, le 6ème est offert à mon arrivée ! Alors celui-ci je le cultive ! Je me pose, et j’essaie d’entrer en communication avec ce bel univers énergétique et électro-magnétique qui m’entoure. Souvent dénigré car insoluble et invisible, ce vide qui est autour de moi est rempli de traces de passages d’humains, de messages divins, et d’informations très puissantes véhiculées par ce que je nomme le WIFI céleste. Je fais ce choix de lire les messages de ce répondeur géant, bien trop souvent négligé, et pourtant tellement porteur d’amour et de réconfort.

« Être » ne signifie pas se positionner par rapport aux autres. Car dans ce cas, il s’agira plutôt d’ajuster son ego en fonction de ce que l’on a envie de vivre. Il faut visualiser l’individualité de qui je suis en profondeur, ce que je sais de moi si j’arrive à me débarrasser de tous les codes d’éducation ou autres barrières limitantes qui m’entravent. Tu as envie de tenter une deuxième expérience pour te retrouver face à qui tu es vraiment ?

Mise en pratique