Des Graines de l'Eternité - Nicole Delatour - E-Book

Des Graines de l'Eternité E-Book

Nicole Delatour

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Beschreibung

Connaissez-vous ce sentiment de ne plus dépendre du monde en esprit, parce qu'il existe en vous une Force qui agit et oeuvre pour vous ? L'esprit croit en ce que le cerveau lui montre, mais l'esprit est la CAUSE de l'interprétation faite par le cerveau. Rien n'a de consistance. Tout est vibration. Tout est énergie. Tout est vide et plein à la fois. Vous êtes présents dans l'illusion bien réelle que vous avez dans vos esprits, et ces derniers utilisent l'énergie vitale ou Force Créatrice pour engendrer des mondes, des histoires, enfin tout ce qui vous semble réel, alors que tout est fictif. Vous vivez tous un Rêve. Tels sont les messages de Benoit. Lorsque Benoît est décédé dans un accident de voiture en 2011, ce fut un cataclysme qui s'ouvrit en moi. Et ce fut aussi le début d'une multitude de manifestations de mon fils, d'apparitions, et de messages. Sa première parole fut Petite maman.

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Seitenzahl: 266

Veröffentlichungsjahr: 2019

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Table des matières

A propos

Manifestations de Benoît

Messages

Fin

À propos

Des Graines de l’Eternité est un site Internet où je retranscrivais des messages de Benoît, j’ai voulu le mettre sur papier, pour ceux qui préfèrent tenir entre leurs mains un livre bien palpable.

Benoît est né le 25 mai 1987, il nous a quittés dans un accident de voiture le 19 février 2011. Il allait vers ses 24 ans. Quelques jours avant son "départ", il nous avait dit : "Je sais que je mourrai jeune". Et moi aussi je le savais, même si je le refusais.

Deux livres sont déjà parus aux éditions JMG, éditions du Temps Présent : « Messages d’éternité, Un Pas dans le Réel » et « Au Fil d’un Songe, messages de Benoît ». Ces deux livres sont la compilation des messages de Benoît, qui s’est rapidement manifesté à nous. Dans le premier livre, Benoît nous parle de son passage dans cette nouvelle forme de la Vie, puis de sa nouvelle existence. Il nous dit également ce qu’est vraiment la Vie et la grande erreur que nous faisons. Le deuxième livre est le partage de plusieurs messages de Benoît.

Cette nouvelle parution est complémentaire des deux autres. Je souhaite qu’elle vous apporte tous les bienfaits et remises en question nécessaires pour prendre conscience qu’il n’y a aucun chemin à parcourir, aucune recherche à faire, car nous sommes déjà bien présents, bien Réels… mais nous n’en avons pas conscience. Nous nous cachons la Réalité.

Nous t’aimons.

La Vie nous semble ingrate, cruelle, et mortelle. Comment accepter que tout est "faux", alors que la Vie est si présente ?

La Vie, Force créatrice, Principe Aimant, puissant, qui nous relie tous et formant le Tout.

Je suis la Vie, même dans la Mort.

Je suis la Vie, même lorsque je crois ne pas vivre, lorsque je me persuade que je souffre, que je suis seul(e), torturé(e) en esprit ou physiquement... Je me fais une fausse idée de la Vie.

Lorsque Benoît est décédé, ce fut un cataclysme qui s'ouvrit en moi. Mais, dans ce trou béant, dans ce cœur mis à vif, une onde immense s'est engouffrée aussitôt pour combler cette brèche, pour adoucir la douleur : l'Amour.

Le soir même, alors que je suis allongée, les yeux ouverts, je vois soudain l'encadrement d'une porte face à moi. Tout est noir, sauf cette entrée, lumineuse. Elle brille de milliards de points lumineux, dorés ; la lumière qu'elle est scintille. Une silhouette est là, devant cet encadrement de porte, je la sens intriguée et qui va rentrer dans cette lumière. Elle est attirée. A ce moment là je réalise qu'il s'agit de la silhouette de mon fils Benoît, qui est décédé quelques heures auparavant. Je ressens alors une immense douleur, et la vision disparaît.

Ce fut le début d'une multitude de manifestations de Benoît, d'apparitions (une vision autre que celle des yeux physiques), et de messages. La première parole de Benoît fut : "petite maman".

J'étais couchée, n'arrivant pas à dormir, je n'arrêtais pas de parler dans ma tête, lorsqu'une voix coupa tout ce monologue fatigant : "petite maman". Je me fais la remarque : "mais ce n'est pas ce que je voulais dire !", et je comprends. Benoît vient de me "parler".

Les messages se poursuivent toujours, et l’une des dernières visions de Benoît date de juillet 2017, une apparition où il était assis face à moi, me souriant.

Je suis sa mère en ce monde, il me manque, malgré sa "présence" et ses messages. Mes yeux ne le voient plus comme avant, et je ne l'entends plus comme avant. Cependant, il nous a apporté - et continue à le faire - une immense richesse, celle de l'Amour. Ses paroles, ses manifestations, lui et d'autres nous ouvrent une nouvelle voie, une nouvelle vision, une nouvelle perception.

Je leur dis "Merci".

Le 30 juillet 2012, j’écrivais sur ma page Facebook :

« Je suis une mère, et le départ de mon fils Benoît fit ouvrir en moi une porte que je gardais entrebâillée.

Pour tout ce qu'il m'a appris et m'apprends toujours,

Pour toute cette aide qu'il nous donne,

Pour tout cet amour qui nous unit et qu'il partage avec nous tous,

Je lui dis MERCI.

Il n'y a pas d'adieu, pas d'absence.

Il n'existe que la Vie,

Sous ses différentes formes.

C'est Tout,

Et si simple ! »

Ce message est réapparu sur ma page l’autre jour. Une dame me demande alors :

« Ce message date de quelques années. Comment allez-vous aujourd’hui ? ».

Je lui ai répondu :

« De plus en plus "libre", par rapport à notre vision de la société, de son fonctionnement. De plus en plus libérée de l'opinion de "l'autre". Je suis toujours la maman de Benoît, il est toujours mon fils, dans mon histoire. Et dans cette histoire, je ressens le manque de mon fils. La peine est présente, mais une Présence magnifique est également là. Je suis de plus en plus libérée de celle que je croyais être, tout en sachant que je suis toujours celle-ci, comme si j'enlevais au fur et à mesure les feuilles qui n'ont plus aucune raison d'être. Voilà comment je vais aujourd'hui ! ».

Il existe de nombreuses personnes qui perçoivent et transmettent, certaines veulent enseigner, d'autres sont plus discrètes. Pour moi, je reçois et je transmets, je n'impose rien. Chacun prend les messages de Benoît dans la mesure où il est prêt à accepter et à recevoir. Il n'existe pas de chemin à parcourir, de recherche à faire, nous n'avons seulement pas conscience de ce qui EST RÉELLEMENT LA.

Il y a plusieurs années je vis s'écrire devant mes yeux cette phrase : "Je ne cherche pas ; Je suis". Maintenant je sais ce qu'elle veut dire.

MANIFESTATIONS DE BENOÎT (quelques unes)

Nuit du 25 au 26 février 2011 : énergie dans le dos et présence de trois personnes (silhouettes) qui discutent entre elles (décrit dans le livre "Messages d'éternité, un Pas dans le Réel).

28 mars 2011 : la toupie qui se met à tourner toute seule, sans qu'il y ait eu quoi que ce soit.

29 avril 2011 : je sens la main de Benoît dans la mienne.

16 septembre 2011 : chez ma sœur, nous sommes dans le salon. Bruits du magnétoscope qui se met soudain en marche, et un bruit énorme dans une chambre, sans aucune cause. Je rentre chez moi (à côté), je retrouve le sac poubelle, que j'avais laissé dans la cuisine, dans le salon, à l'entrée.

26 novembre 2011 : j'avais mis de l'eau à chauffer dans le four micro-ondes, la porte (manuelle) s'ouvre toute seule, après un bruit comme le lancer d'une pierre sur le mur.

Et d’autres en 2011, puis :

1er janvier 2012 : la couette du lit de Benoît était défaite. Je repasse dans le couloir, elle avait été rangée (toute seule).

4 mai 2012 : vision de Benoît qui me fait une bise sur la joue.

31 juillet 2012 : mon petit-fils voit Benoît dans le jardin, debout à côté d'un arbre. J'ai vu sa tête très étonnée !

25 août 2012 : Benoît sort la porte de sa chambre de ses gonds.

Un jour en 2012 : j'embrasse mon fils D., au même moment je vois en superposition Benoît qui me sourit. J'embrassais mes deux fils en même temps.

...

17 mars 2013 : je vois Benoît et mon fils F. debout devant le portail ouvert et discutant ensemble, alors que mon fils F. était au volant de sa voiture pour rentrer chez lui et venait de sortir du jardin.

...

12 octobre 2014 : je suis seule dans la maison, dans ma chambre. J'entends soudain un léger "plouf" venant du salon. Je m'y rends, intriguée. Je retrouve la poche poubelle de 50 L au milieu de l'entrée donnant sur le salon. Initialement elle était dans la cuisine, la pièce à côté.

...

19 février 2016 : chez ma sœur, éjection d'une capsule de café de son support à dosettes, devant ses yeux. Jour anniversaire de son "départ".

21 février 2016 : à la fin d'un repas familial, j'ai vu Benoît et mon père, assis l'un en face de l'autre, sur les deux chaises vides près de moi (j'étais en bout de table). Ça discutait ferme ! J'ai très bien ressenti la présence de ma mère assise sur une autre chaise vide à côté de moi, ainsi que le passage de Cassy, ma chienne décédée.

20 décembre 2016 : chez la dentiste, vision d'un vieux monsieur sympathique, il regardait vers nous.

...

16 juillet 2017 : vision de Benoît assis à l'autre bout de la table du jardin, où je suis moi-même assise. Il me regarde avec un grand sourire, très content. La vision disparaît lorsque je regarde avec mes yeux biologiques, puis réapparaît (pour la 1ère fois).

Il y a eu beaucoup de manifestations et de visions de Benoît, je n'ai pu les mettre toutes. La dernière vision date de mai 2019.

MESSAGES

14 novembre 2012 : les croyances.

Bonsoir Benoît. Je suis prête.

« OK, maman. Moi aussi, ça tombe bien !

Aujourd’hui je ne vais pas y aller par quatre chemins. Direct, le Beun ! Je veux vous « réveiller » ! OK ? C’est pas compliqué tout de même ! Vous allez enlever une par une toutes ces croyances qui vous compliquent la vie et votre existence. Quelles croyances ? J’entends déjà votre question ! Et comment faire ? Alors que je vous ai déjà dit l’essentiel ! Mais je suis patient, et je vous comprends. Je suis passé par là moi aussi, je me souviens très bien comment j’étais et comment je réagissais lorsque je vivais avec vous, visible. On veut y croire, mais on se sent incapable de s’abandonner à ce qu’on ressent de réel, vrai. Il y a l’excitation de la connaissance et la peur d’y aller. Je sais tout ça. C’est pour cela que je suis patient et que je vous redis les mêmes choses mais d’une autre façon.

Première croyance : la mort, entre autre, la mienne. Le cerveau biologique s’éteint, le corps ne bat plus, ne bouge plus. Les yeux restent hermétiquement clos, les paroles ne sortent plus de la bouche. Niet ! Y a plus rien, que la mort. Alors comment ne pas y croire ? Elle est là bien en évidence, avec toute la douleur qu’elle apporte aux proches. Et bien, la mort est superficielle, juste en surface. C’est la première forme de la pensée qui s’éteint, et la première croyance pour celui ou celle qui meurt. Si la mort reste bien évidente pour les « vivants », la croyance en son existence s’éteint lorsqu’on passe de l’autre côté ! Première croyance qui s’éteint à tout jamais !

Deuxième croyance : que ce monde bien tangible, bien sonore, et bien chaotique est le seul monde qui existe. A part les extra-terrestres ! Vos yeux et vos sens ne perçoivent que sa matière, que sa lumière. Donc, normal qu’il n’existe que lui ! Deuxième croyance qui en prend un coup lorsqu’on passe de l’autre côté ! On se rend compte que ce monde n’a rien de tangible. On peut passer à travers lui et se rendre n’importe où ! On s’aperçoit que la lumière et les couleurs y sont aussi bien fades, alors qu’on les trouvait si belles. Deuxième croyance qui s’éteint à tout jamais ; la matière n’est pas aussi compacte qu’on le croyait !

Troisième croyance : l’être humain est ce corps qui souffre ou qui rit. Cet être qui naît, grandit, puis s’étiole, pour finir par mourir. L’être humain subit toutes les influences extérieures ; il est victime des autres, de la nature, de soi. Il aime aussi régenter, avoir le contrôle de tout, être persuadé qu’il ne connaît pas tout mais ce qu’il apprend ou découvre est une valeur sûre. L’être humain est le « roi » de la Terre, puisqu’il s’est prouvé – et qu’il a été dit aussi qu’il dominerait tout – qu’il était le seul à pouvoir comprendre ce qui se passe et qu’il pouvait en prendre les rênes. Là, ça va se corser lorsqu’on décède ! Tout va dépendre jusqu’à quel point toutes ces croyances sont en nous.

Ces croyances qui forment un bloc, une entité, qui est le premier personnage, c’est-à-dire l’identité prise par le mental (la pensée du cerveau biologique). En décédant, selon la densité de « vie » de ces croyances en nous, nous réalisons, ou non, ou plus ou moins, que l’être humain est plus que ce qu’il croit être sur Terre. On se rend compte que ce corps biologique qui nous « habille » est bien putrescible, mais qu’il contient aussi en lui une Force inimaginable, une Energie qui n’a pas de nom et que les appareils de mesure ou de détection n’ont toujours pas décelée. Cette Energie, c’est la Vie. Pas le souffle, pas les battements du cœur, ni le sang qui circule. La Vie, pure, puissante, lumineuse, subtile, intouchable, invisible, mais présente. On se rend compte (selon toujours l’intensité de nos vieilles croyances) que nous avions un trésor en nous et que nous l’avons toujours laissé dormir. Nous ne savions pas qu’il était là et nous ne l’avions donc jamais utilisé.

Puis, en allant plus loin dans notre découverte, notre évolution, nous remarquons soudain que notre esprit, notre conscience, notre façon de penser, ne correspond pas du tout à ce que nous croyions. Nous réalisons que notre esprit peut utiliser la pensée et créer grâce à elle, créant du beau ou du laid, selon l’étape de notre évolution. Puis, en allant plus loin encore, nous nous apercevons qu’il existe une autre Pensée, c’est-à-dire, une autre façon de penser. Et là, nous recevons en nous la joie, la paix, et nous « voyons » l’Amour. Nous comprenons que nous sommes Amour, qu’il a toujours été là, présent dans la Vie qui sommeillait dans le corps biologique, et présent dans notre esprit, mais nous l’avions oublié.

Au terme de notre évolution, lorsque nous avons accompli notre réveil (nous sommes sortis du « lit » !), l’être « humain » devient l’être avec ou sans corps (comme il le désire), et un être uni en esprit et en nature, avec le seul Etre qui existe, c’est-à-dire notre Parent, sans forme, infini, présent en tout. Nous sommes Lui tout en étant nous, individuellement.

Donc, la troisième croyance s’écroule totalement lorsque nous redevenons nous-mêmes, vrais, réels. L’être humain ne fait qu’emprunter un corps pour pouvoir participer à une histoire sur Terre, lorsqu’il entre sur la scène humaine. Et le véritable être est le véritable maître de la Terre, pas sa copie, qui a du mal à sortir de sa « bulle ».

En conclusion, si vous voulez sortir de toutes ces croyances erronées, rappelez-vous qu’elles ne sont vraies en partie que pour le monde où votre esprit est cloisonné. Mais vous n’êtes pas obligés d’y adhérer. Vous reconnaissez qu’elles sont vivantes là où vous êtes puisqu’elles font partie de la « normalité », des normes de votre culture, mais réalisez que ce ne sont pas les vôtres. Elles appartiennent à l’identité du mental, comme par exemple, Nicole Delatour, F., A., S., etc. vont le croire en eux tant que Nicole, F., A., S., etc. croiront au personnage qu’ils représentent sur cette terre. N’y adhérez plus, mais ne faites pas un refus. Cela existe en ce monde, mais ne les prenez pas pour votre pensée. Vous vous êtes uniquement contentés, depuis toujours, d’accepter pour vrai ce que des générations et des générations avant vous ont cru pour vrai, pour la Réalité.

Aujourd’hui vous savez, alors mettez-le en pratique. Mettez un espace entre les idées du personnage du mental et les vôtres, réelles, vivantes.

Vous êtes plus qu’un être humain. Réalisez-le dès maintenant. OK ?

Je vous laisse. J’ai assez parlé ! J’ai « soif » maintenant !! Un p’tit coup pour moi, entre potes… !! J’aime !!

Bisous à vous tous. Soyez heureux, c’est cela votre nature. Pas toute cette misère.

Je vous aime.

A+.

Benoît. »

Le brouillard de nos croyances

21 mai 2013 : lorsque l’Épreuve est là

Pourquoi lorsque l’épreuve est là, perdons-nous la présence de l’Union ? Notre esprit s’affole et il imagine le pire.

« Mon enfant, tu laisses alors la peur te guider et t’emplir, cherchant une solution ou un final qui te sera favorable à toi ou à ceux que tu aimes. Cela ne marche pas ainsi.

L’Union est toujours présente, et le canal que tu es est toujours ouvert, mais le mental s’affole et, malgré sa bonne volonté, il ne parvient pas à entendre notre voix et à ressentir notre Union. Laisse donc tout cela : l’histoire et tous les problèmes qui vont avec ! Est-ce une fuite vers l’indifférence ? Non, car ce que Je te demande, c’est de ne pas t’accrocher aux problèmes, à l’épreuve qui vient frapper. Je te demande de t’élever au-dessus de tout ce remous que crée l’épreuve. Et il n’existe qu’une seule façon, mon enfant, pour y réussir. C’est mettre la lumière et la clarté de l’Amour.

Que chacun de vous ne me dise pas : « Je ne ressens pas l’Amour. Je ne ressens que la peur de perdre l’enfant que j’aime ou cette personne, etc. » Je suis là, Je vous Aime. Comment pourrais-Je vous laisser dans toute cette tempête effrayante qui vous secoue ? Personnalisez-moi. Donnez-moi un visage, une forme, mêmes flous, qu’ils vous fassent ressentir ma présence, mon aide. Cela vous aidera à croire en moi et à m’accepter petit à petit tel que Je suis réellement. C’est-à-dire VOUS, chacun de vous.

Élever son regard, sa vision : à la place du pire, de la vision de l’épreuve, mettez le regard sur l’Amour. Ressentez-le dans votre cœur, aimez l’enfant ou les personnes qui semblent vous faire du mal ou apporter une situation qui fera mal. N’oubliez jamais : l’Amour est puissant, même si la situation semble s’aggraver dans l’apparence. Le travail se fait en profondeur. N’imaginez rien. RIEN. Laissez notre Amour agir.

C’est tout ce qu’il y a à faire. Mais voudrez-vous mettre l’Amour au-dessus de toutes ces forces que vous déployez pour vous rendre maître de la situation, pour essayer de ne plus souffrir ? C’est cela vous abandonner à l’Amour. Accepterez-vous ma Main ?

Je ne suis pas un être abstrait. Je le redis. Je suis bien VIVANT, tout comme vous, puisque nous sommes l’un et l’autre ensemble, unis. Comprenez-vous ?

Il en est ainsi, et croyez-le.

Je vous AIME, chacun. AIMEZ-MOI.

Merci.

Celui qui EST. »

Lorsque l'épreuve est là, la route reste fluide.

Quelques mots que j'avais reçus le 23 mai 2013 : Le Chemin de l'Amour

"Imaginez que vous marchez sur un chemin ; c'est le chemin de votre vie, de votre existence.

Vous vous arrêtez, parce que vous savez que quelque chose de puissant attend derrière vous pour pouvoir passer.

Vous vous écartez alors sur le chemin, laissant le passage à un fluide très puissant, lumineux,

joyeux, qui va prendre toute la largeur de votre chemin et s'écouler à l'infini, sans barrage, sur votre route.

C'est le fluide de l'Amour.

Et vous vous sentez enfin libérés, soulagés, en paix.

L’Amour s'occupe de votre vie.

Et vous savez qu'en reprenant la marche de votre existence sur ce chemin devenu éclairé,

lumineux, vous serez en plein dans l'Amour.

Tout votre être marchera dans le fluide de l'Amour, vous serez unis à cet Amour."

Je m'appelle Benoît.

26 mai 2013 : Un déclic, s'il vous plaît !

Bonsoir Benoît. Que pourrais-tu nous dire qui nous permettrait de faire un bond en avance ? ! Je t’ennuie peut-être avec ma question ?

« Non, maman, tu ne m’ennuies jamais ! Vous avez l’impression que quelque chose vous échappe. Vous êtes prêts et près à l’attraper, mais il se défile entre vos doigts ! Ça, c’est votre impression, et c’est très désagréable !

Que pourrai-je dire pour que vous fassiez ce fameux bond ? Que je suis là, bien vivant ? Que le Beun vous taquine par moments ? Ça vous le savez ! Alors, quoi, Benoît, qu’est-ce qui nous échappe ? Oh, pas grand-chose, je dirai même que rien ne vous échappe. Vous vous le laissez croire !

Vous rêvez, vous espérez. Vous vous faites des « images » dans votre tête avec l’espoir qu’elles se réaliseront. Et ça, c’est le « quelque chose » qui vous donne l’impression que quelque chose vous échappe. Faut pas chercher plus loin : vous vous mettez dans un état d’attente, au lieu de vous abandonner.

Vous « courez » après un espoir, après une « image » que vous vous mettez dans l’esprit.

Si l’image se réalise, vous vous sentez heureux, comblés, jusqu’à ce que votre réalité ne corresponde plus à votre « image ». Et là, c’est à nouveau une recherche, une nouvelle « image » qui s’impose dans votre esprit.

Pour que plus rien ne vous échappe, ne mettez plus rien dans votre tête ! C’est aussi simple. Vous ne pourrez pas lâcher prise tant que vous garderez des images que vous vous fabriquez dans la tête. Elles viennent de l’espoir, de la possibilité que votre vie devienne ainsi, qu’elle sera mieux si elle correspond à vos images.

Je ne suis pas dans ces images, et VOUS non plus. Seul l’esprit « fantôme » y est. Elles sont la base de son existence. Comment pouvez-vous entendre votre propre voix, la mienne, et celles de ceux qui ont soi-disant disparu, ainsi que celle de la présence de l’Esprit originel, si vous vous « perdez » dans l’attente d’une réalisation de ces « images » ? Si vous vous perdez dans les rêves ? Vous n’entendez alors que la voix de l’esprit « fantôme ».

Le seul truc que je peux vous donner pour faire un bond en avance, c’est celui-ci : Aimez être avec VOUS !

C’est bête et compliqué pour vous ! Je veux dire par là, appréciez votre présence, là, maintenant, pas dans les rêves, dans l’attente. Appréciez de ne plus vous sentir seuls, même si la solitude fait partie de votre existence. Appréciez et reconnaissez la Présence de l’Esprit originel (acceptez-le enfin !), la mienne (si vous la désirez), et celle de ceux qui vous aiment et ne sont vraiment pas loin. C’est ça l’Union ! Et vous verrez que votre Vie changera, que la perception de la Réalité se fera de plus en plus sûre et exacte. OK ?

J’y vais !

Je vous embrasse. Gros, gros bisous.

A+.

Benoît. »

Message

« Laisse le soleil entrer dans ton cœur, mon enfant. Il est le symbole de ma Lumière. Mais pourquoi la nuit et la lune sont-elles les symboles des Ténèbres dans vos croyances ? Elles sont aussi un reflet de ma Lumière, une autre forme d’expression de ma Lumière. Dans le monde que Je vous ai créé existent aussi la nuit et une lune. Aurais-je créé des Ténèbres, telles que vous les entendez ? Jamais.

La mort, ma fille, n’est qu’un passage dans une autre étape. Cependant cette étape est importante, elle vous emmène là où vous vous êtes préparés durant toute cette existence de matérialisme. La mort est une forme des Ténèbres auxquelles vous croyez. Je n’y suis pas.

Tout cela ne sont que des redites, je ne fais qu’étayer les propos de votre frère Benoît. Je ne pourrai vous donner la Vie tant que vous croirez en la disparition, en l’Absence. Tant que vous ferez un refus que la Vie poursuit réellement son existence.

Écoute les chants de la Nature, mon enfant, ma Voix y est, à peine perceptible à ton ouïe. Et cependant, J’y suis.

Je n’ai pas de propos encourageants, qui te permettraient d’avoir ce déclic que tu attends. Le déclic est déjà en toi. Quand tu arrêteras de chercher, d’espérer, tu verras. Quand tu renonceras complètement à l’Absence due à la mort, due au changement, tu verras et tu entendras.

C’est ainsi, mon enfant. Laisse mon Amour te montrer le fils que tu aimes tant et que tu crois avoir perdu. Il est aussi présent que tes autres enfants et petits-enfants, que tous ceux que tu aimes.

Il n’en est pas autrement. »

Je suis la rosée du Monde.

14 juin 2013 : le rire pour nous libérer

Bonsoir Benoît. Malgré tout ce que tu nous dis, nous avons du mal à laisser les pensées, les images, et les émotions dues au cerveau. Nous y sommes très ancrés.

« Je sais, maman. Ce n’est pas pour rien que je me répète ! Ta question est finalement « comment avoir la paix, être bien présent aux pensées et à l’état de conscience Réelle ou éveillée ? ».

Vous êtes face à un « mur », contre lequel vous vous cognez à chaque fois. A ce « mur », on va lui donner une forme, celle du cerveau biologique. C’est comme si vous et le cerveau étiez continuellement en opposition, chacun résiste de son côté. Et si tous les deux vous baissiez les bras ? Ce ne serait pas une bonne idée ?

Maintenant, je vous montre une autre image, celle d’un cerveau, toujours biologique, et une autre forme, vous.

Vous entrez dans le « mur » que représente le cerveau.

Vous entrez donc dans le fonctionnement du cerveau, sa façon de faire. Et vous regardez tout autour de vous. Que voyez-vous ? Des neurones ? Des arcs électriques entre les neurones ? Non. Vous ne voyez pas la physiologie du cerveau (elle ne nous intéresse pas). Vous regardez autour de vous, dans le cerveau, et vous voyez tout votre environnement actuel, là où vous êtes. Vos yeux regardent toutes les images que vous montre le cerveau dans sa réalité. Vous ne voyez rien d’autre. Pourquoi ? Parce que vous laissez l’imagination de côté. Vous n’entrez pas dans l’imaginaire du cerveau, que ce soit le passé ou le futur. Vous ne voyez que ce que vous montrent vos yeux, et vous ne faites aucune interprétation. N’analysez pas, ne jugez pas.

Pendant que vos yeux regardent, votre esprit va ressentir le corps où il habite.

Que dit ce corps à l’esprit qui l’écoute enfin ? Que vous dit-il ? Écoutez-le bien.

« Je suis tendu ; quelque chose m’inquiète dans ce corps ; j’ai mal… ». A vous d’écouter ce corps, car il vous dira ce qui ne va pas dans votre esprit.

Puis, écoutez l’esprit qui « écoute et qui répond » au corps. Il va lui dire « j’ai peur ; je suis contrarié ; j’ai attendu quelque chose, mais j’ai été déçu… »

Ensuite, lorsque vous l’aurez entendu, je vous demande de faire une chose qui va beaucoup vous surprendre ! Vous allez RIRE, même si le rire est uniquement intérieur (regardez-vous rire dans votre tête).

Le RIRE vrai, le RIRE qui est une véritable joie, vous mènera plus « haut », vous libèrera du cerveau et de son mode de fonctionnement. Vous riez à ce que vous présente le cerveau, que ce soit une représentation joyeuse ou malheureuse.

Le RIRE vous rendra plus léger et CONSCIENT. Oui, car vous prendrez conscience que celui ou celle qui rit n’a rien à voir avec le personnage du mental. Ce dernier vous mettra des bâtons dans les roues en vous disant « Il n’y a rien de risible ! ». Mais vous, vous saurez que le RIRE que vous lui « donnez » est un remerciement. En riant (même uniquement à l’intérieur, en silence), vous remerciez le cerveau de vous avoir montré et réalisé que vous n’êtes plus seuls ; que tous ces tracas, toutes ces douleurs (physiques ou affectives ou psychologiques) ne viennent que de lui, qu’ils sont à lui. En riant, vous remerciez le cerveau de vous avoir apporté la lumière de la vérité. En riant, vous ne vous opposez plus, vous et le cerveau. Vous n’êtes pas des amis, et ni des ennemis. Et le cerveau va aimer ce nouveau mode de fonctionnement que vous lui proposez, car le cerveau est fatigué de tous ces problèmes et de cette façon de vivre. Sans qu’il s’en rende compte, il va vous laisser passer de plus en plus en lui (le « mur »), vous ouvrant ainsi le passage vers la Réalité.

Faites ce RIRE le plus souvent possible, quelques secondes, dès que l’occasion se présente. Vous apprenez ainsi à vous Aimer et à vous démarquer de la présence du personnage du mental. Vous commencez à vous retrouver. Car, qui RIT ainsi ? L’être Réel que vous êtes.

Compris ?

J’y vais.

A+.

Gros bisous.

Benoît. »

Un beau rire pour voir la Vie autrement !

8 septembre 2013 : Message

Il suffit de quelques mots pour que toute une vie change. Il suffit de quelques actes pour que l'histoire tourne une page. Alors n'ayez pas peur... agissez. Mais prenez le bon sens de la Vie, suivez son cours, ne la contrariez plus. Elle Vous Aime, apprenez à l'Aimer. Personne n'est seul, même s'il pense en lui qu'il l'est.

Si limpide... !

28 novembre 2013 : Trop de questions !

Bonsoir Benoît. Peux-tu répondre à ces questions, elles viennent d’un de tes lecteurs sur FB ?

- Dans "Un cours en miracle" on parle de "nos créations" qui sont vraies alors que notre monde illusoire ne l'est pas. Quelles sont ces créations ? Nous avons été créés pour créer alors qu'est-ce que nous avons créé ?

Il reste toujours cette fichue question. Pourquoi est-il possible que des créations divines s'inventent un rêve d'un monde alors qu'il y a une réalité ? Comment peut-il être possible que la création de Dieu puisse tomber dans un piège pareil ? Tu parles d'un "instant" où on a cru qu'il n'y avait rien et où on a eu peur de ce vide apparent. Comment est-il possible qu'il y ait eu cet instant ? Et ce résultat !

« Bien sûr, maman, que je peux répondre, et avec plaisir !

Tout d’abord, pourquoi cherchez-vous à tant creuser, à savoir à tout prix, à mettre des explications bien rationnelles ? Je vais vous le dire : le cerveau se pose beaucoup de questions, il a besoin de concret qui puisse s’adapter à tout ce qu’il connaît. Il a besoin de réponses, qu’il acceptera ou non, si elles conviennent à ce qu’il peut croire.

Alors, que s’est-il passé, ce fameux instant ? Je dis «instant » pour que vous compreniez que le temps existait, qu’il a été créé en même temps que nous, mais pas celui que vous connaissez. Donc, un instant n’est qu’un mot !

Je veux aussi que vous sachiez que toutes les explications que vous récoltez, les « preuves », d’une énergie, d’une certaine forme de vie, etc. ne pourront jamais vous dire ce qu’il en est Réellement. Toutes vos idées, tous vos appareils qui prouvent (comme montrer les auras), ne vous apportent que des explications qui ne concernent que le domaine psychique, donc celui de l’illusion.

La Réalité ne peut être expliquée. Elle peut être vue, ressentie, vécue, mais aucun mot ne pourra la définir. Le cerveau biologique est incapable (biologiquement, fonctionnellement) de comprendre.

Je reprends avec nos origines.

Il existe une seule Force, qui a donné toutes les Forces existantes, que ce soit en Réalité ou de façon déformée.

Il existe un seul Esprit, qui a donné une multitude de personnalités à partir de son propre Esprit, de sa Puissance, de sa Pensée. Il nous englobe tous, ainsi que le Tout. Pour nous créer, cet Esprit a utilisé la Puissance de sa Force. Une telle puissance que notre cerveau (de notre véritable corps, énergétique) n’a pas interprété tout de suite ce qu’il voyait, et notre esprit n’a donc rien « vu », rien « entendu ». Comme nous étions tous liés les uns aux autres (en réseau), tous, nous n’avons vu que le « néant » (ce n’est qu’un mot pour essayer d’expliquer). Que font des esprits lorsqu’ils sont tous persuadés que RIEN n’existe, qu’ils sont dans RIEN ? Ils créent, et tous ensemble, la même chose. Ils créent tout un monde et des êtres vivants, mais les esprits ne réalisent pas encore qu’ils perçoivent déjà un monde et des êtres vivants. Notre Monde, Nous tous, déjà réunis dans la Réalité !

Je sais, je vous explique des faits qui sont déjà passé en Réalité et totalement incompréhensibles pour le cerveau biologique.

Ce n’est pas Dieu ou l’Esprit Unique qui a fait une erreur, mais nous, chacun de nous, ensemble.

Nous avons créé un nouveau monde et de nouveaux corps (que nous avons aussitôt « habités »), ainsi que de nouvelles lois de Vie. Et tout cela à partir de notre perception inconsciente de la Réalité, de notre monde Réel et de nous-mêmes en tant qu’êtres Réels.

Notre temps est différent du vôtre. Je vous l’ai déjà dit.

L’erreur que nous avons faite a été aussitôt réparée par l’Esprit Unique ou Dieu.

En faisant notre propre création, nous copions, très mal et dans la confusion, notre propre Réalité.