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« Chacun peut se choisir Son petit nuage, Dans la beauté que tapit Un ciel ombragé Par un ciel de soirée d’été. L’art est un doux délire Qui reverdit les alpages De nos rêveries. Ceux qui le créent S’en sentent majestés. »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Bruno Zarev compte à son actif plusieurs livres, notamment Vous reprendrez bien une goutte de félicité !, Vous êtes l’étoile la plus brillante, l’air des dunes de Maspalomas qui m’enchante et Humons l’Humeur d’Humour !
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Seitenzahl: 37
Veröffentlichungsjahr: 2024
Bruno Zarev
Dissiper mes brumes
pour une brune
© Lys Bleu Éditions – Bruno Zarev
ISBN : 979-10-422-1166-0
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Beauté bulgare
Cette mèche qui joue sur ton front,
Et ces astres, qui tout du long,
Flattent la beauté de tes épaules…
Je me sens par Calliope, comme dans un rôle.
Le vert de ton regard
Ne peut que m’évoquer La vie en rose.
Nous skierons sur les pistes de Tchépélare,
Puis rêverons à la culture des Startchevo-Sesklos.
Ce filet d’averse
Sous l’arbre du monde,
Et les mauvais esprits se dispersent.
Le berger joue sa flûte,
Tandis que nos pas de danse abondent
Sur sa tonalité en ut.
Ô, filaments d’or au gré du vent,
Vous plaisez aussi au loriot d’Europe,
Qui vous invite au couchant sur une plage de Burgas.
Votre charme est tout le vivant
Qui se développe
Jusqu’à Véliki Preslav.
Bruno Zarev (mai 2023)
Belles sensations, dans le plus beau,
comme dans le prétendu anodin
Quand j’entends les violons
Sur « Morning tears » ou bien sur « Something »,
Je sais pourquoi je suis en vie.
Sous cette poussée fond
Ma sensibilité qu’illuminent,
Des choses plus que jolies.
Quand la poésie sévit,
Tout me sourit.
Si mon cerveau est satisfait,
C’est qu’elle y glisse quelques traits.
Claude, votre « Jardin à Sainte-Adresse »
Est une allusion à ma jeunesse.
« Sous les peupliers, effet de soleil »,
Vous y dotâtes à la lumière des ailes !
Ma religion est le beau,
Je suis disciple de l’amour.
Vous m’avez impressionné, ELO,
Et d’un art, on n’a jamais fait le tour !
Mais la beauté peut être quotidienne,
De recevoir la lumière du jour,
Sentez-vous en en veine.
Le plaisir n’est pas forcément au Carrefour,
Mais sans doute dans l’éclair,
Avec l’accompagnant, le sourire de la boulangère !
Bruno Zarev (mars 2023)
Captera-t-on de mes notes ?
Si ma rosace
Prend la tasse,
C’est que mon cœur ruisselle,
Privé alors de ses ailes.
Quand je crèverai complètement
De ne pas avoir pu exprimer
Certains de mes pans,
Je me sentirai alors gâché.
Si la vérité a un sens,
Je voudrais en être informé.
Des étoiles, leurs réminiscences,
J’aurais aimé leur avoir cajolé
Quelques-uns de leurs rayons,
De mes notes rêvées.
Oh ! Laissez-moi un peu plus ces violons !
Comme l’ont dit si joliment les « Service secret »,
Laissez à la danse
Un peu plus sa chance !
J’avais une envie d’une pomme de douceur,
Aussi croquerai-je « And I love her ».
Bruno Zarev (juin 2023)
Cette touche si cajole mon ouïe
Ce halo de jouissance,
C’est tout mon corps
Qu’il prend par sa puissance,
Et de même en sera ton sort.
J’ai comme un air dans la tête,
Aussi me prescrirai-je
De l’écouter, puis de t’aimer ?
Ton épaule m’est toute fête,
Il faut que je la lèche.
T’adorer, est-ce mon pêcher ?
L’assaut de ce sentiment
Est un message de paix
Qui ne me ment.
Tu me seras toujours le sourire de l’été.
Tes yeux brillent aussi en société,
Mais je te veux ma déité.
Telle l’entrée des bateaux, tu m’illumines déjà,
Comme dans le « Port-en-Bessin » de Georges Seurat.
Aussi, j’élève mon vers
Pour cette attraction plus que magnétique
Dans mon univers,
Où tu es mon centre galactique.
Bruno Zarev (décembre 2022)
Clément Marot,
quelle clairvoyance vous avez insufflé !
Être là où je ne m’attends pas,
« Surprise me ! » comme le chante Avonlea.
La vie n’est pas une trajectoire savamment programmée.
Je peine à être une personne ancrée,
J’essaie simplement de louvoyer
Autour des plots de certaines difficultés.
J’avais tout l’avenir à regarder.
Il a mué en mon passé à garder.
Ôter le manteau de sa jeunesse,