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Vous reprendrez bien une goutte de félicité ! est un ensemble de mots peints à l’ombre d’une musique. Entre sentiment, assentiment, rêve et réalité, c’est aussi une promenade surprenante au cœur de la société humaine, un récital de perceptions auquel vous êtes invités à donner votre propre rythme.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Bruno Zarev affectionne l’art et toutes ses composantes. Musicien dans l’âme, dans ce livre, il nous entraîne dans un monde créé à l’encre de ses émotions.
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Seitenzahl: 26
Veröffentlichungsjahr: 2022
Bruno Zarev
Vous reprendrez bien
une goutte de félicité !
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Bruno Zarev
ISBN :979-10-377-5715-9
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On ne refait pas le passé,
On le prolonge,
Dit un jour Yves Montand.
Pour toi, je suis né,
En moi, tu es tout songe
Pour mon cœur palpitant.
On se recadre
Avec le temps présent,
La vie est un phénomène de ponctualité.
Lorsque l’on y est in situ,
On la regarde
Objectivement,
Dans sa beauté de pleins et de déliés,
Et on s’en trouve ému.
Ta rencontre était une escale dans le temps,
Qui faillit le discontinuer.
Ces nuages qui me grisaient,
Comme ton sourire, me ravivèrent de leur blanc.
À m’exalter de tes murmures,
Je m’inflige une douce blessure.
Tu es l’onde gravitationnelle
Qui m’anime.
De ton énergie belle,
Je créerai un hymne.
Attirances magnétiques,
Vous fleurissez dans mon ciel étoilé.
Flatterez-vous d’un rayon périodique
Ma soif de cajoleries tant rêvées ?
Juin 2021
Est-ce que j’existe encore pour toi ?
Puis cet été Quatre-vingt-un
Qui était tien,
Auparavant,
Joe nous l’avait susurré mieux que moi.
À présent,
Il reste mon imaginaire
Pour tisser ce fil de lin
Qui, ténuement, fait lien,
Et rattrape ce qui me désespère.
Ma douze
Ne ment pas.
Oh ! Ma douce,
Je te dédie ses si et ses la.
Si j’avais pu danser
Sur cette dernière chanson lente,
Nous nous serions étreints,
À Denis Papin.
Ton regard bleu et velouté
Encore me la chante.
Sais-tu que si tu n’existais pas,
Ma vie serait un roman sans lettres.
Oh ! Mélodie de tes prunelles,
Tu berces toujours mon être.
Tu es le goût du miel
Qui me fait dire : « Je t’aime, tu vois ! »
Novembre 2021
Julien vit une félicité onirique.
Il est employé à la Macif,
Et rien ne lui laisse présager la tonique
D’où jaillirait le si beau riff
Qui donnerait vie à sa romance.
Pourquoi Amour,
N’es-tu synonyme que d’absence,
Pour moi Julien, qui te ferais place
Dans la plus belle tour
De mon humble palace ?
Finalement Amour, es-tu amie,
Ou bien son opposée ?
Sais-tu qu’en toi j’ai sis
Tout ce que je te vouais ?
Mais mon cœur de Julien
N’a jamais bu ce qu’y offrait l’entrecoeur aux raisins
Ô ! … Du mirage majestueux,
Qui sur moi n’a jamais levé les yeux.
Septembre 2020