Idées & questionnements sur l’Être, l’art de vivre Zasthy - Hadrien Boban - E-Book

Idées & questionnements sur l’Être, l’art de vivre Zasthy E-Book

Hadrien Boban

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Beschreibung

Idées & questionnements sur l’Être, l’art de vivre Zasthy est un ensemble d’idées, de questionnements et de pistes d’enseignements spirituels qui peuvent servir à l’épanouissement de l’être, de ce que nous sommes. L’auteur, dans cet essai, traite de différentes thématiques telles que l’être, la souveraineté, l’amour, l’ego, le mental, le consentement, le contentement, la peur, la pensée, la mort, ou encore l’existence et la souffrance, le bien et le mal dans l’amour inconditionnel...


À PROPOS DE L'AUTEUR


Plus jeune, Hadrien Boban était passionné de littérature fantastique du type l’Épée de vérité ou la saga Harry Potter, qui ont contribué à l’ouverture de son esprit. À la suite d’une maladie, il s’est intéressé au bien-être, à l’énergie, à la spiritualité, aux guides, etc. Cet ouvrage a pour but d’aider le lecteur à trouver des pistes pour avancer, aller mieux dans son cheminement, grâce à l’introspection.

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Hadrien Boban

Idées & questionnements

sur l’Être, l’art de vivre Zasthy

Essai

© Lys Bleu Éditions – Hadrien Boban

ISBN : 979-10-377-6923-7

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122- 5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122- 4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335- 2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Idées et questionnements sur l’Être

Ce texte est un ensemble d’idées, de questionnements et de pistes, enseignementsspirituels,quipeuvent servirà l’épanouissement del’être,decequenous sommes.

Unegoutte d’eaupourlaSourcequevousêtes.

Les thèmes abordés :

L’être, la souveraineté, l’amour, l’ego, le mental, le consentement, le contentement, la peur, la pensée, la mort, le jugement, le stress et l’addiction, la vérité, la liberté, la haine,l’existenceetlasouffrance,lebienetlemaldansl’amourinconditionnel, le détachement et l’amour, l’amour et l’acceptation, deux blessures d’âme, lepositionnement intérieur,lapuissancesexuelle, l’innocence...

Deuxpoèmes.

Et mêmeuneméthodepour :

Commentêtreheureux,heureuses?Et…Comment prendreconsciencedecequivous anime?

Ainsi qu’unart devivreassezspécialendernièrepartiequej’aipratiquéet pratiqueencore.

Poème 1

L’âmeagit dela vie,toutcommela vie del’âme.

Ainsi boucleéternelle, nous portetel unappel.

Merciencet instant,d’êtrelàau présent.

Assiseennotrecœur,entendons sonmurmure.

Guidéparcetteforce,qu’est laviequ’est l’amour.

Instaurons en nous même, l’amour d’un nous qui s’aime.

Encoreet àjamais, magiequ’est des’aimer.

Devivred’êtreaimé, delavieaiméêtre.

Ensemençons ces graines, en nos cœurs en notre âme.

Voyons où ça nous mène, que de vivre alors cela.

Ici et maintenant, construire ensemble demain.

Vers la main dela vie,tendant ainsila nôtre.

Renforçonslesbeauxliens,quel’ontisseavecelle.

En ceprécisément,noussommes aussi la vie.

«Lamagiedevivre »

Partie1

Leconsentement

Qu’est-cequeconsentir ?

Est-ceseulementdireoui ?Carlecorpssembledanstoussesémois,alorsquel’ego mental dit non!jenesuispascela.

Est-ceseulementdireoui-oui-ouiii !Lorsquelecorpsestenextaseetquedevantlasuprématie de l’ego mental appuyant avec force et vigueur ce oui, le cœur lui, dit non ! jerefusecela?

Est-ce seulement dire oui ! lorsque le cœur dit oui, même si à première vue les cinq sens semblent contre, disent non, que l’on a peur, et que le mental, l’ego, se disent non, ce n’est pas une bonne idée ? Est-il seulement possible que ce cas de figure existe ? Un cœur qui dit oui alors que le reste dit non ? Je ne sais pas.

Il faut savoir que lorsque l’on dit non à quelque chose, on ouvre la porte à oui pour autrechose,de même lorsque l’on dit ouià une choseon dit nonà sonopposé.Injustice, Justice, etc.

Important

Il faut aussi savoir que par le plaisir du corps, ou par l’intellect, le mental, pour combler unmanque et/ou par peur, etc. nous pouvons briser notre consentement, pour consentir ce à quoi nous n’aurions pas consenti la seconde d’avant. Et ce, sur tous les aspects de notre vie,quecela soitsexuel,enrapportavec l’aspectmatériel,lasanté,ouautre.

Encore plus important

Il faut savoir qu’il y a des choses que l’on accepte, auxquelles on croit consentir, mais que l’on nechoisit pas, et inversement que l’on choisit, mais où l’on n’a pas accepté et où l’on croitconsentir. Par exemple : Si j’accepte de vous offrir un gâteau, mais que je ne choisis pas la partque vous me donnerez, je suis dans une forme de « demi-consentement », je consens à demi,etsi jen’accepte pas tousles gâteaux quevous me donnerez, jepeux toujours choisir lesparts que vous mangerez. Ici de même c’est une forme de consentement « à demi » ce n’estpas un totalconsentement,etdonc cela peutprovoquerdu malêtre.

Consentir c’est accepter et choisir, les deux en même temps (à 100 %), et lorsque l’on consent àêtre responsable sur l’amour que l’on se porte déjà nous-mêmes à chaque instant, car seulsnous-mêmes pouvons être l’amour le plus juste à chaque instant envers nous-mêmes, alors ceconsentement nous porte vers un meilleur, une forme d’amour qui évolue, en consentement, total, puis pour les autres pour leur apporter un peu d’amour aussi. Un amourconsentiparnousetnonà demi.

Nousnousdevons,pour celleset ceuxqui le souhaitent, de retrouver ce à quoi notre corps,cœur plus esprit consentent de façon originelle, unifiés, ensemble, en toute souverainetéd’être.Nousen avonslaresponsabilité.

Le consentement à l’autre

Consentir au consentement de l’autre c’est consentir à s’aimer entièrement sans condition,inconditionnellement, et donc aimer l’autre aussi sans condition. De ce fait, dans ce cadre duconsentement« originel »,d’amourinconditionnel,sixouychoixouacceptationssontconditionnés par des manques, des ignorances, des états d’inconsciences, alors on ne leschoisira, n’acceptera pas, on ne consentira pas à ces conditionnements. Même si l’on sait lesaimersanscondition, nousferons attention à notre consentement.Etnouschercheronsdans notre responsabilité à consentir seulement à l’amour qui ne conditionne pas, donc non à celuiquiestconditionnéparl’humiliation,l’abandon,lerejet,lejugement,latrahison,l’isolement, et la manipulation, en quelque sorte... Puis à apporter une « lumière d’amour »surceuxdes autres, avecbienveillance, gentillesse,compassion, etc.

Partie2

Le détachement etl’amour

Sivous nevoulezpas liretout cequivasuivre(des recherches)retenezsimplement quele «Détachement»c’estneplusavoir deconditionsàl’Amour,doncneplusêtreattachédansle fait d’aimer quoi que ce soit. Être libre donc et c’est ce que l’on appelle l’Amour sanscondition,ceci estsanssouffrances.

Parlonsd’Amourinconditionnel

Être dans le détachement non souffrant et sans Amour est compliqué, ou tout du moinsimpossible, au mieux nous arriverons à dire : « je n’aime pas cela », soit en étant content dedésaimer soit en étant énervé, car on n’aime pas !Donc non détaché. C’est-à-dire dans unamour conditionnel,jen’aimepas,car…ouj’aime,car...

L’amourinconditionneln’apasbesoindeconditions,nideraisons,nidesavoircecioucela ou de tel fait pour aimer. L’amour inconditionnel est tout ce qui est, il est de Source, nouspouvonschoisirdedésaimer,maiscelarevientàchoisirl’amourconditionnel,choisirl’inconditionnel revient à aimer tout ce qui est, de manière égale, avec le même ressenti (avec un sentiment porteur comme la joie, lapaix).

Pour être dans le détachement non souffrant de soi-même, il faut être dans un amour de soiinconditionnel, et donc être responsable de la souffrance que l’on s’inflige à nous-mêmes, etpar extension que l’on inflige aux autres, ces parts de nous-mêmes, la Source. Car si nousn’aimons pas sciemment faire souffrir, ou participer à une souffrance en nous-mêmes, qu’ellesoit active ou passive, c’est que nous n’en avons pas pris la responsabilité, et ce avec choix et acceptation, entoute conscience, donc soit que nous étions dans une condition (manque d’amour, ignoranceou inconscience), ou alors cela signifie que nous avons choisi l’Amour, alors dans ce cas, soitnous aimerons la souffrance et la continuerons pour l’Amour, par exemple pour comprendrequelque chose ou faire comprendre, soit nous l’aimons, mais lui dirons non, stop et agirons encesenspourl’arrêter.

Pouvons-nous réellement nous détacher du consentement de l’autre ou aller contre son librearbitre, sans souffrir si l’on s’aime ? Si l’on s’aime, cela est normalement impossible, car notre amour nous rend responsables, de nous-mêmes, et de l’autre, cette part de nous-mêmes aussiSource,appartenantàlavie.Ilfaudraitchoisird’êtreresponsabled’allercontre,enconscience quoi qu’il arrive pour que cela soit possible, et donc être prêt à souffrir d’avoir faitsouffrir l’autre, ce nous-mêmes, cela aussi est complexe, car en conscience signifie êtreconscient duconsentement del’autreaussi,doncsanss’en détacher.

Après si l’on ne s’aime pas ou que l’on ne sait pas s’aimer cela revient aussi à souffrir quelquepart.

Se croire détaché de la responsabilité nous rendrait irresponsables et tendraitvers des souffrances. Soit celles de se mentir à soi-même ou celles de mentir aux autres, dechercherdesexcusesparexemple.

Je peux même croire que l’amour inconditionnel n’émet pas la condition d’être responsablepour aimer, c’est vrai, mais dans ce cas, j’entre dans le choix de l’amour conditionnel, si je nesuis pas responsable de m’aimer ou d’aimer l’autre ? Puis-je m’aimer sans condition sans enavoirlaresponsabilité?Jepensequenon,quim’aimeraitencasdedifficulté,sipersonne n’enalaresponsabilité?Personnedonc, celareviendraitàsedésaimerdoncsouffrir ànouveau ? Être enclin à être transporté dans les tumultes de l’adversité, des tempêtes, est-cevraiment cequel’on veutchoisiretaccepter?

SijesuisdansledétachementdequelquechoseavecAmourpourcela,jepourraisdire « j’aime » et être détaché si réellement je n’ai plus de conditions à l’amour que je porte, sinon c’estaimer,maisavecuneattache.Commesijemedisêtredansledétachementdecela,car jen’aimepascela,c’est encoreêtredansunressenti doncattaché.

Ànoterquedansundétachementavecamourinconditionnel,nouspouvons,neplusdésaimer(parexemple:neplusdire«ah!ça,jen’aimepas!»,maissanspourautantdire « j’aime », on ne fait pas fi, on s’en est détaché, nous n’avons plus d’attaches à cela.), ou toutaimer avec amour inconditionnel, sans souffrir. Si par exemple nous avons réussi à prendre en conscience la responsabilité des souffrances infligées à soi et aux autres et donc nous sentirresponsables, sans souffrir individuellement, c’est une forme de « détachement » en quelquesorte, mais par la responsabilité. Et tout compte fait, on se sent plus en lien avec l’autre quedétaché, mais on ne souffre plus de ses souffrances, nous chercherons à l’aider s’il/elle est OK,outoutsimplementà lelaisseràsonrythme,àsoncheminde vie…

Maisnousnepouvonspasneplusaimer,ilyadétachementetmêmesil’amourinconditionnel n’est pas conditionné à dire je t’aime ou j’aime il y a tout de même amour, ouunezonedeneutralitéresponsablepourl’Amour,c’est auchoix-acceptation.

C’est un amour sans attaches de conditions, donc nous pouvons dire j’aime à tout, sans souffrir. Cela sera en fonction de nos choix conscients, et prise de responsabilité de ces choix, l’amour nous permet cela. Si l’on est dans un amour inconditionnel Source à 100 %, dire je n’aime pas en devient délicat, cela reviendrait à avoir un autre ressenti que l’amour et à recréer du conditionnel.

Au début, ce que je peux aimer ou ne pas aimer, c’est le sentiment que me procure ledétachement de cette chose, ce sentiment pour savoir, pouvoir choisir en conscience avecresponsabilitécequejesouhaitevivre, àquoi,jesouhaiteêtreenlienouendétachement.

Et pour tout vous dire, seulement le détachement à l’ignorance, à l’inconscience, à l’amourdépendant, ou enfin le détachement au fait d’avoir comblé par des nourritures x ou y d’amour conditionnénos manques, nous procurent un sentiment d’Amour. C’est-à-dire de prendre conscience dequelque chose, d’être, puis de choisir cette prise de conscience en responsabilité, c’est cela ledétachement. Ce n’est pas se sentir séparé des autres, puisque nous sommes aussi les autres, c’estcommesesentirséparédesoncerveauoudesoncœur,desonesprit,desonâme ou delavie…

Pournousdétacherdequelquechoseoudequelqu’un,ilfautavoirdel’amourpoursoi,avoir révéléses manques,sesdistorsions,ses ignorances.

Plus on s’aime inconditionnellement, plus nous serons aptes à nous détacher de quelquechosed’important.

Et plus nous saurons aimer sans condition... Par exemple, le fait d’avoir la présence de lapersonne ou non, dans l’amour conditionnel cela sera plus compliqué, car nous aurons du malàlâcherl’amour,la conditionquinousfaisaitaimerl’autrequi comblaitnotremanque, ignorance,inconscience,d’amourànous-mêmes,àlâcherlapiècedenotrepuzzlemanquante quel’autrecomblait.

Si nous aimons quelque chose, ou une personne réellement (avec conditions) alors nousn’avons pas envie de nous détacher du lien que nous formons avec elle et cela est naturel, carnous souhaitons continuer à l’aimer, que cela soit une cause, un être cher ou la vie. À vous devoirsicelanevousprocurepasplusdetristessequedejoie,quederesterattachéàcet «autre»,ouchose,quevousaimezdoncconditionnellement.

Si vous aimez inconditionnellement, alors il n’y a pas de conditions d’attaches, donc quoi qu’ilsepasse,l’autrepart,noussommes en paix etnousl’aimons (choisi-accepté).

Lors d’une séparation avec un être cher sincèrement aimé, on parle souvent de deuil à faire,comme s’il fallait se séparer de l’amour qu’on lui porte. Déjà que la séparation est physique sil’on rajoute un devoir de séparation émotionnel cela peut devenir très compliqué. Je penseque l’idée étant plutôt de continuer à l’aimer dans son cœur, celle ou celui qui est passé dansl’au-delà par exemple, ou n’est plus là à nos côtés, mais aussi de se détacher du besoinphysiqued’avoirlaprésencedelapersonne.Sil’amourétaitconditionneletquelesconditions ne sont plus réunies comme la présence physique alors l’amour peut s’estomperjusqu’au détachement total. Mais si une condition perdure, comme celle de remplir d’amour(un manque donc) notre pièce du puzzle, dont nous ne voulons pas prendre responsabilité oule soin, de s’aimer, car l’autre, l’être aimé, le faisait (à notre place), alors le détachement peutêtre dur et long. Par ailleurs, si l’on attache à l’amour que nous portons, la condition deréaliserparexemple,unrapportsexuelavecunecompagneoucompagnon,alorsnoussommes dans une dépendance amoureuse. Prendre conscience de cela, de ne pas rattacherl’amour porté à faire, mais à être, s’en sentir responsable, permet de ne plus avoir besoinsexuellement de l’autre pour être aimé et aimer. Ou de faire un câlin, de toucher et de voirpour l’êtredisparu.

Pour finir : Si l’on est l’amour inconditionnel, nous nous aimerons, ainsi que l’autre, sanscondition au final si nous sommes « ok » avec cela, c’est-à-dire choisi et accepter le sansconditions, nous savons que l’amour inconditionnel c’est aussi la vie, la Source, tout commenous-mêmes, que nous sommes seulement en apparence séparés, dissociés, mais inséparablesdans l’éternel, l’infini, ou même en termes de vie. Donc la notion de détachement va s’opérer sur différentes strates, différents plans, mais jamais au grand jamais il n’y aura séparationtotale avec l’autre, donc détachement total avec l’autre, c’est tout simplement impossible. Àpartir de là, puis-ce que nous sommes aussi l’autre, la vie, même si l’on n’en a pas conscience, peut-êtrepourrions-nousenprendrelaresponsabilitéetdoncnousaurionsaussilaresponsabilitédessouffrancesd’autrui,etc.puisquec’estnous-mêmes,commeunemèreou un père à son enfant, une sœur à son frère, un être humain à un autre être humain, un êtrehumainà un animal,etmêmequi saità un arbre…souhait-ilvivre ?etc.

Partie 3

Une méthode

Commentêtreheureux,heureuses?Et…

…Comment prendreconsciencedecequivous anime?

En consentant à l’amour que vous vous portez à vous-même, pour vous-même, par vous-même,etceà chaqueinstant. En vous recentrant dans votre cœur.

En trouvant ce qui est juste pour soi, pas dans l’immédiat pour les autres, mais bien pourvous-même.En cherchantle sens des penséesqui vousaniment,enincarnant la ou lesvaleurs qui vous font le plus vibrer, rêver, se permettre de les remettre en cause, de setromper,d’expérimenter, d’êtreàsapropreécoute,desonressenti,desesémotions,etc.

Bienévidemmentquestionnertouteslespensées,lesémotions,quivousviennentsansattendrelesoird’êtrehanté(e)sparuneinsomnieparexemple,oudepleureràenmourir, car vous n’aurez pas eu ou pris le temps durant la journée de vous poser et méditer sur unepenséedifficilepourvous,oucomplexe,etquipourtantunefoismiseenconsciencevous feratrouvervotreréponsequi auranormalement pour effetdevousfairevoussentirmieux.

Deux idées pour réfléchir, poser les choses à l’écrit, ressentir les choses, questionner vospensées.

Etpourquoinepasremettrelaquestiondu«Pourquoi ?»Mais,mais,mais,envous recentrantsurvous-mêmeetà l’instant présent,etnonsurdesfaits extérieurs.

Puisparfoisd’autresquestions,comme«Commentpuis-jeêtre,mepositionnerpourque… ? »

Exemple:Jeculpabilise,carj’aicassélevasede mamie.

Pourquoi?

Question incorrecte (fait extérieur) : Pourquoi ai-je cassé le vase ?

Questioncorrecte(intérieure):Pourquoijemesens triste?

Rechercheincorrecte(extérieure):Carle vaseest casséou,car c’estirréparable oucarlesfaits sontlà,etc.

Recherche correcte (intérieure) : Car je n’aime pas casser un objet, car cet objet avait unevaleursentimentaleàmoncœur,carjen’arrivepasàêtreresponsabledemanon-maîtrise, demacolèreetdoncdufait, etc.

Laréponseest donc :