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Christian Grammatico L'idylle en Dylanie Elle n'appartient qu'à elle, mais je lui ai dit : « je te veux ». Ce matin comme tous les matins, je suis ton amour, tu es comme une pierre plantée. Ton habit déteint sur moi en habit de lumière. Restez Lady, restez éternellement avec moi. Aujourd'hui, je suis seul avec toi, la seule que j'aime, et je serai libre, avec dame nature, avec ma madone, ma Sara. Oh Sara, laisse-moi ton amour. Jamais je ne partirai et si tu dois partir, laisse-moi encore une nuit pour te convaincre... C'est une histoire d'amour éternelle, banale, impossible, belle et cruelle. Une femme est dans chacun de ces poèmes Dylaniens.
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Seitenzahl: 107
Veröffentlichungsjahr: 2023
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I. Voyage en Dylanie
II. Voyage en Dylanie
III. Voyage en Dylanie
À toutes les belles personnes qui œuvrent à
propager l'amour dans un monde de guingois.
Personne n'éprouve de la peine
La nuit lorsqu’au fond de mon lit
En continue tombe la pluie
En attendant que ma reine
Vienne éteindre mes insomnies
Me redonner vie
Juste comme une femme
Après les 3 volumes de Voyage en Dylanie, j'ai décidé de reprendre de nombreux textes pour créer une histoire d'amour éternelle, banale, impossible, belle et cruelle. Une femme est dans chacun de ces poèmes : « just like a woman ».
Elle n'appartient qu'à elle, mais je lui ai dit « je te veux », ce matin comme tous les matins, je suis ton amour, tu es comme une pierre plantée. Ton habit déteint sur moi en habit de lumière. Restez Lady, restez éternellement avec moi. Aujourd'hui, je suis seul avec toi, la seule que j'aime, et je serai libre, avec dame nature, avec ma madone, ma Sara. Sara, oh Sara, laisse-moi ton amour, jamais je ne partirai et si tu dois partir, laisse-moi encore une nuit pour te convaincre.
Hélas, tout est brisé, et s'il en faut beaucoup pour rire, il ne suffit que d'un train pour pleurer. Où estu ce soir ? As-tu trouvé un autre Mister ? Tu sais je pense à toi, tout le temps à toi, mon cœur, mon âme et mes mots ont mal, je fais toujours ce rêve de toi, je ne peux m'échapper de toi, je ne t'oublierai jamais. C'est ma promesse. Je ne peux plus attendre, alors mon ami si jamais vous allez en ville, à la fille de là-bas passez-lui le bonjour et dites-lui que toutes mes rues sont désertes depuis. Un jour peut-être on se retrouvera. Mon ange d'étain, tu es partie peu après minuit. Depuis, je suis toujours malade d'amour, et je suis toujours en pleurs sur la piste voilà pourquoi j'ai décidé de me consacrer à toi, mon étoile filante.
Un jour heureusement j'ai trouvé un abri pour l'orage, alors que j'étais une fois de plus embourbé jusqu'au cou. Je n'ai demandé qu'un simple coup du sort et au clair de lune elle est venue me retrouver mais tu n’es allée nulle part. Et puis l'histoire s'est répétée et elle, elle a fait comme si on venait de se rencontrer et si c'était la fille de mes 12 ans, et si c'était un nouvel ange de lumière avec deux doses d'amour. Je me souviendrai d'elle et de l'esprit d'en haut de la terre afin que tu saches que je t'aime, ma Dylène, ma reine des muses. Je vais enfin atteindre le paradis avec toutes mes Sara réunies.
J'parle pas, je ne suis qu'un individu et toutes ces années gaspillées où j'aurai pu te dire que ce n'était pas moi qu'il te fallait chérie, te dire adieu au lieu de rester à t'attendre, mais non n'y pense plus. Je me suis endormi plus près de la lune et des étoiles filantes, puis la roue a tourné comme toujours et l'homme des villes aux yeux tristes est parti en temps et en heure, avec ses visions de Johanna, au cœur de mon pays, la Dylanie.
Elle n’appartient qu’à elle
Je te veux
Ce matin je suis ton amour
Comme une pierre plantée
Ton habit déteint
Restez, Lady, restez
Aujourd’hui
Seul avec toi
Je serai libre
Dame nature
Ma madone
Sara
Laisse-moi
Jamais je ne partirai
Si tu dois partir
Tout est brisé
Il en faut beaucoup pour rire, il ne suffit que d’un train pour pleurer
Où es-tu ce soir ?
Mister
Je pense à toi
Mon cœur, mon âme et mes mots ont mal
Ce rêve de toi
Je ne peux m’échapper de toi
Je ne t’oublierai jamais
La promesse
Je ne peux plus attendre
Si jamais, vous allez en ville
La fille de là-bas
Passe-lui le bonjour
Des rues désertes
Un jour peut-être
Tin Angel (Ange d’étain)
Peu après minuit
Malade d’Amour
Même mon âme au diable
En pleurs sur la piste
J’ai décidé de me consacrer à toi
Étoile filante
Un abri pour l’orage
Embourbé jusqu’au cou
Un simple coup du sort
Clair de Lune
Tu ne vas nulle part
Elle fait comme si on venait de se rencontrer
La fille de mes 12 ans
Ange de Lumière
Deux doses d’amour
Je me souviendrai d’elle
L’esprit en haut de la terre
Afin que tu saches que je t’aime
Dylène
Reine des Muses
Atteindre le paradis
A toutes mes Sara réunies
J’parle pas
Toutes ces années gaspillées
Je ne suis qu’un individu
Ce n’est pas moi qu’il te faut chérie
Adieu
À t’attendre
N’y pense plus
Plus près de la lune et des étoiles filantes
La roue tourne
Partis en temps et en heure
Visions de Johanna
L'homme des villes aux yeux tristes
Au cœur de mon pays
La Dylanie
Elle fait tout ce qu'elle veut
C'est une déesse, sans maître ni Dieu
Elle fait tout ce qu'elle veut
C'est une déesse sans maître ni Dieu
Elle peut faire un bébé toute seule
Peut l'aimer lui ou elle ou les deux
Elle est toujours debout
Quand l'homme meurt à la guerre
Elle reste bien debout
Quand l'homme s'entre-tue sur terre
Elle enfante le monde, le beau
Dans son ventre dans ses eaux
Elle obtient tout ce qu'elle veut
L'homme est à ses pieds d'argile
Elle obtient tout ce qu'elle veut
C'est l'homme le plus fragile
Elle élève ses enfants d’instinct
Promet de beaux lendemains
Elle porte aussi tout le fardeau
De ce monde plein d'idiots
Elle porte aussi tout le fardeau
De ce monde sans grands idéaux
Elle émerveille à la ville les imbéciles
De son corps elle éblouit la campagne
L'homme s'incline devant elle
Lui baise les pieds, fait des pieds et des mains
L'homme ne peut que décliner devant elle
Cette beauté de corps et d'esprit
Qui emportera le mal sur un bateau
Le bien sur ses seins tout chauds
Qui n'appartient qu'à elle
Les fausses joyeuses coupables respirent
Elle m'est apparue dans un de mes voyages,
Comme une fille perdue, qui en a oublié d'être sage,
Toutes les autres filles sont coupables
Toutes l’évitent, et toutes l'accablent
Je te veux
Le joueur d'orgues de barbarie t'implore
Laisse-la à la nuit, préfère être solitaire
Elle t'amènera dans ses profondeurs
Bousillera ton petit cœur de manières
T'emportera dans ses douleurs, ses mystères
Je te veux
Les saxophones argentés disent que je devrais te refuser.
Elle m'est apparue comme une fille à la rue
Une fille aux yeux bleus à moitié nue
Sans ses longs cheveux blonds
Sans ce grand cœur qui fait trop de bonds
Je te veux
Mais elle a fait fêler les cloches et essouffler nos corps
Elle est descendue en apnée dans le sang de mes
entrailles
Dans l'enfer de son âme,
Dans le paradis de ses piques de dames
Elle est montée au 7ème ciel à la recherche de l'ultime
faille
Je te veux, je te veux, je te veux tellement,
I want you
Le bateau ivre te ramène, tu es bien à la peine
Tu ne ferais même pas mal à une méchante reine
Une mère pleure tes fautes et celles des autres
Ton héros dort à poings fermés à tes côtés
J'ouvre la porte
Je te veux, je te veux,
I want you
Ton père même disparu
Il m'est partout apparu
Je te veux tellement
Que je referme la porte
I want you
Et dis-moi,
C'est quoi le véritable amour
Pour un homme en bas de la tour ?
Et pourquoi
Toutes les filles ont des rêves
Bien plus grands que leur ventre ?
Un enfant pour Adam et Ève
Et puis on recommence balle au centre
Je m'en fous
I want you
Tu es devenue
Ma moitié
Ma plus belle des avenues
À satiété
Et il n'y a rien que tu ne voies pas
Et tu sais où j'aimerais être ou pas
I want you, I want you, I want you so bad
Chérie, je te veux.
Ouvre tes yeux
Ouvre les fenêtres
Tu n'as plus à t'inquiéter
Ce matin je suis ton amour
Allume la lumière
Fais glisser le rideau
Oublie tes peurs, et tes pleurs
Ce matin je suis ton amour
L'acrobate a réussi son numéro sans tomber
Ouf, les spectateurs sont soulagés
La femme du dompteur n'a pas vu son mari dévoré
Par le roi lion dépité, écœuré
Car le roi c'est moi, la reine c'est toi
Enfile tes plus beaux habits
Après une nuit de rêve
Je t'emmène ma belle, mon Ève
Tous les matins je serai ton amour
Je ne réécrirai pas « Like a Rolling Stone »
Pour une pierre qui roule, je suis aphone
Je préfère les happy end des contes de fée
Au rock enflammé d'un Bob désabusé
" Il était une fois une fille très bien habillée »
De ta superbe tu savais qui tu étais
Et comment le monde tournait autour d'une poupée
"blonde on blonde"
Personne ne te fera marcher
Ni t'écrasera les pieds
Grande fille dans la ronde
Comment se sent-on ?
Comment se sent-on quand on a toute sa raison ?
Comme une parfaite étoilée
Comme une pierre bien plantée
Tu ne viens peut-être pas de la meilleure école,
Miss grand cœur
Ni même du château d'If
Comtesse aux multiples cristaux
Mais avec toute cette élégante candeur
Tu sais ce qui se passe de l'autre côté du périf
Pour des gens normaux
Et si personne n'enseigne comment vivre dans la rue
Tu sais être née du bon côté
Même si être une fille c'est toujours compliqué
Tu disais que tu saurais ne pas trop souffrir du malheur
des autres
Mais tu savais qu'il n'y avait que dans l'action de l'amour
de ses prochains
Qui pouvait donner des excuses aux mauvais côtés de
l'être humain
Tu n'es ni aveugle ni sourde et tu entends toutes ces
musiques
Il n'y a que celle du cœur que tu chantes et que tu joues
avec tes amis
Comment se sent-on ?
Comment se sent-on quand on a toute sa raison ?
Comme une parfaite étoilée
Comme une pierre bien plantée
Jamais tu ne te préoccupes de ces acrobates qui tombent
toujours sur leurs pattes
De ces dompteurs qui jamais de mangeurs ne deviennent
mangés
Mais quand le jamais côtoie le possible alors tu les
accueilles sans rancœur
Et à leur grand bonheur éteint tu leur offres une lumière
pleine de petits bonheurs
Et tu remontes toujours sur ton cheval de bois à bascule
avec autant d'ardeur
Comme une petite fille au grand cœur, une âme sœur
bien plantée
Comment se sent-on ?
Comment se sent-on quand on a toute sa raison ?
Comme une parfaite étoilée
Comme une pierre bien plantée
Princesse dans ton clocher avec tout ce joli monde
rassemblé
Qui loge, soigne et panse des avenirs mal assurés
Tu ouvres des portes, passes s'il le faut par des fenêtres
ou comme la mère Noël par la cheminée
Tu donnes et, impatiente, attends en retour un sourire,
un visage illuminé
Pour ces invisibles tu souhaites qu'ils fassent la paix avec
leur passé éprouvé
Qu’ils prennent un nouveau départ pour se reconstruire
Et devenir l'être aimé que l'on doit tous être en droit
d'être considéré
Comment se sent-on ?
Comment se sent-on quand on a toute sa raison ?
Comme une parfaite étoilée
Comme une pierre bien plantée
Je vois que tu as revêtu ton habit de lumière en étain
Il te va si bien
En émoi, je vois que ton nouvel habit de lumière est
comme un interrupteur
Un va et vient
Sois une autre pour un soir, chérie
Comme tu te la pètes sous ton habit d'illuminé pour faire
la fête,
Ne pas devenir rien
Je crois que tu es franchement trop mignonne
Quand tu le portes tu me transportes et j'en frissonne
Chérie tu brilles tant
Comment fais-tu pour éclairer de la sorte ?
Combien m'a-t-il coûté ce prototype luxueux ?
Il met en évidence tes courbes qui va en rendre plus d'un
furieux
Toi dedans tu vas faire des envieux
Et autour de toi vont grouiller de vieux riches mafieux