Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Voilà plus de 50 ans que la science a découvert que chaque partie du corps, comme chaque dent, est pourvue de multiples capteurs intelligents dont le rôle est de s’assurer du bon fonctionnement ou du bon engrènement. Si un fonctionnement ou un engrènement n’est pas conforme à la physiologie du corps, des signaux d’alarme sont émis. La plus grande source de signaux d’alarme aujourd’hui est d’origine dentaire puisque les mâchoires sont devenues trop petites, empêchant ainsi les dents de s’aligner correctement et de bien tomber les unes en face des autres. Malheureusement, la dentisterie et l’orthodontie se pratiquent aujourd’hui sans tenir compte de l’harmonie des dents avec le reste du corps, et des soins dentaires les plus anodins peuvent faire basculer la vie d’un individu sans que le dentiste en ait conscience.
Aucune de ces alarmes n’étant sonore ou visuelle, l’alerte ne se manifeste qu’en provoquant des dysfonctionnements dans tout le reste du corps. Confronté à une dysfonction, le corps répond par une dysfonction généralisée ! Tant que le mauvais fonctionnement ou le mauvais engrènement initial n’aura pas été corrigé, l’alarme va bloquer de plus en plus le corps jusqu’à l’immobiliser totalement. Vous ressentirez ainsi des douleurs invalidantes au dos, à l’épaule, au cou, au ventre, au genou, au calcanéum (épine calcanéenne) qui vous interdiront de nombreux mouvements ou déplacements. Votre visage sera taraudé par une algie vasculaire de la face, votre corps sera enserré et prisonnier d’une sorte de carapace appelée fibromyalgie, votre ventre vous fera souffrir pendant les règles ou pendant les rapports, jusqu’au moment où une endométriose se produira, votre cerveau perdra petit à petit ses performances jusqu’au moment où vous deviendrez Alzheimer.
Vous serez amoindri par votre vision trouble, vos acouphènes, vos migraines ou vos oppressions thoraciques. Mais la médecine, qui continue d’ignorer ces capteurs d’alarme, confond les signaux d’alerte avec des maladies et tente de les soigner sans aucun succès, au grand désespoir des patients.
Tous ces symptômes, toutes ces baisses de performances physiques, intellectuelles ou sexuelles disparaissent comme par enchantement dès que les dents retrouvent l’harmonie naturelle avec le corps, et dès que les capteurs dentaires se taisent.
Cet ouvrage vous invite à rester à l’écoute de votre corps et dévoile l’extraordinaire pouvoir caché de nos dents et la facilité avec laquelle il est possible de rendre silencieux ces capteurs afin de vous permettre de recouvrer immédiatement santé et vitalité.
« Vivre est l’art de toujours se remettre en question » (Gilles Archambault)
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 209
Veröffentlichungsjahr: 2022
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
André MERGUI
L’immense pouvoir de santé caché dans nos DENTS :
Acouphènes
Fibromyalgie
Alzheimer
Algies vasculaires de laface
Endométriose,
Cancer
Immunité…
Livre à l’usage des malades, des dentistes et des médecins
Indignez-vous lorsqu’un praticien ose répondre à votre souffrance :
C’est dans votretête
C’est une maladie de civilisation
C’estl’âge
C’est parce que vous avez fait trop desport
C’est le stress
C’est vos problèmes d’enfance
C’est votre divorce
C’est incurable
Il n’y a pas de traitement
Il faut vivreavec.
N’acceptez pas de tels propos, sans aucune base scientifique,
suivez votre intuition,
cherchez ailleurs, là où vous serez enfin écouté
… et pas pris pour unfou
Mes parents ont semé chez moi les graines d’un esprit critique qui sont venues à la fois enrichir et embellir mon jardin intérieur, mais aussi me confiner dans une distanciation de la pensée majoritaire.
Lorsque j’ai fait mes études de médecine, on m’a appris les dangers qu’encouraient les enfants lorsqu’ils cassaient un thermomètre au mercure. Le réflexe conseillé était de prévenir le SAMU en urgence. Mais lorsque je suis arrivé en spécialité stomatologique, on m’a demandé de mélanger ce même mercure à d’autres poudres comme l’argent avant de le fouler dans les cavités dentaires à obstruer ; l’amalgame au mercure étant censé durcir en bouche.Je n’avais pas pu m’empêcher d’interrompre le cours magistral pour dire qu’on m’avait préalablement appris la dangerosité de ce métal argenté liquide ; mon professeur m’avait répondu alors que cela se faisait ainsi depuis des années et qu’il n’y avait pas de problème, et que, de toute façon, il n’y avait rien d’autre à l’époque pour remplacer ce mercure. Ce jour-là, j’ai découvert deux choses : d’une part que la dentisterie ne pouvait même pas envisager l’existence d’effets secondaires sur le corps comme si la cavité buccale était indépendante du reste du corps, et d’autre part, que sur le nombre d’auditeurs, j’avais été le seul à m’offusquer de cette contradiction, de cette hérésie évidente. Curieusement ce sont souvent les partisans de la réfutation qui trouvent le plus d’adeptes.
J’avais imaginé aussi que des diplômes de médecin ou d’ingénieur conféraient à leur détenteur un certain degré de liberté. Aujourd’hui, on complimente encore le mérite et le génie d’Eiffel d’avoir réussi à bâtir une tour sur des sols instables inondés par la Seine, démontrant par la même que ce qui avait été estimé impossible pouvait devenir réalisable au-delà de toute espérance. Contrairement à l’ingénieur, j’ai appris que le médecin de ville n’a pas le droit de tirer des conclusions tirées de son expérience. C’est la Haute Autorité de Santé (H.A.S.) qui dicte la manière de penser et d’agir, sous peine « d’excommunication ». Le médecin de ville se doit d’obéir aux règles imposées et demeurer sourd et aveugle à ce que la vie professionnelle lui fait découvrir. Les idées nouvelles ne peuvent pas venir du praticien de ville, mais uniquement de la faculté ou de l’H.A.S.
Tous ceux qui, seuls dans leur laboratoire, ont construit la médecine moderne comme Pasteur ou Marie Curie n’auraient plus leur place aujourd’hui, car on leur reprocherait de ne pas suivre les protocoles. Des découvertes aussi extraordinaires basées sur la Médecine expérimentale que Claude Bernard a décrites ne peuvent plus exister aujourd’hui.
J’ai à ce sujet une suggestion : afin que l’expérience de chacun ne soit pas perdue, ne serait-il pas judicieux de demander à chaque praticien qui part à la retraite de partager sa longue expérience avec tous ses confrères pour faire avancer la science dans une démarche de diffusion sans aucun conflit d’intérêts ? Ce serait la thèse de fin d’exercice.
Je souhaite remercier mes patients pour tout ce que j’ai appris à leur contact, pour la confiance qu’ils m’ont témoignée tout au long de leurs soins. Je voudrais remercier ceux qui, spontanément, se sont regroupés en association d’anciens fibromyalgiques pour tenter à plusieurs de partager avec le plus grand nombre les guérisons qu’ils ont pu vivre grâce aux soins réalisés sur leurs dents. Curieusement ils ont, pour la plupart d’entre eux, suivi un processus identique, une simple démarche de bon sens, beaucoup plus accessible à ceux dont le cerveau n’avait pas été formaté lors d’études scientifiques.
Les patients qui à la suite de soins dentaires, ont été atteints brutalement d’importantes souffrances, cervicales, lombaires, articulaires ou autres, ont été « baladés de spécialistes en spécialistes » sans qu’aucun d’eux ne leur apporte la guérison.
Heureusement, certains d’entre eux qui ont continué de suivre leur intuition, leur ressenti basé sur la chronologie des évènements, ont fini par trouver le praticien qui a su les écouter et leur permettre de recouvrer la santé simplement à partir de leurs dents.
Je remercie mes patients d’avoir fait appel à un cinéaste pour graver sur la pellicule leur témoignage de guérison ainsi que la technique de soin que j’ai employée.
Je voudrais remercier Madame Céline C. pour avoir organisé le 20 mai 2014 un rendez-vous au ministère de la Santé afin de montrer, chiffres à l’appui, les économies que le pays pourrait faire simplement en intégrant que la pratique dentaire a comme toute pratique des effets secondaires sur tout le corps. N’est-il pas fou de rechercher l’origine de symptômes partout dans le corps avec de multiples examens coûteux, alors qu’il aurait suffi d’examiner les dents pour trouver la solution ?
Je voudrais remercier enfin Laurence Estienne, qui après avoir retrouvé l’usage de ses mains au bout de quelques séances sur ses dents, a tenu à prendre sa plume pour décrire son difficile parcours vers cette guérison qu’elle n’attendait plus : « Adieu fibromyalgie ! Comment gagner 20 ans et retrouver une bonne santé » Amazon 26 décembre2015.
I° PARTIE
C’est de façon singulière que cet ouvrage débute par l’ère de l’Anthropocène
Jusqu’en 1950, le mode de développement de l’espèce humaine se caractérisait par une certaine stabilité ; c’était l’ère de L’Holocène, époque où l’Homme était en harmonie avec la Nature et où il s’émerveillait de son fonctionnement. Il ne devait compter que sur lui, sur son instinct de conservation, il savait prêter attention aux messages d’alerte venus du ciel, de la mer, de la Nature ou de son propre corps.
Mais en ce milieu de XX° siècle eut lieu une grande accélération de l’activité humaine dans un contexte économique de reconstruction, de modernisation de l’agriculture et de l’industrie à qui l’on doit d’avoir dispersé dans l’atmosphère d’importantes quantités de particules radioactives lors des tests nucléaires. Eugene F. Stoermere et Paul Josef Crutzen considèrent qu’une nouvelle phase géologique est née. Ils désignent par « Anthropocène », la capacité de l’homme à transformer l’ensemble du système terrestre.
L’Anthropocène succède à l’Holocène ; elle est née en 1950, en même temps que les expériences de fission nucléaire qui nous ont donné l’impression d’une toute-puissance capable d’égaler la création. C’est le Big Bang de l’homme.
L’Anthropocène est l’ère de domination de la Nature et de son pillage par l’Homme afin d’y puiser toutes les ressources cachées dans ses entrailles, en faisant croire à la population qu’elle en serait plus heureuse... Dans son délire de puissance, l’Homme a estimé qu’il pouvait déléguer à la technologie et à la science le soin de veiller à sa conservation et même à son immortalité. L’Homme a donc délibérément abandonné son instinct primaire de conservation et n’a plus prêté l’oreille aux messages d’alerte venus du ciel, de la mer, de la Nature, de son propre corps, des anciens ou des messages émis par les donneurs d’alerte.
L’homme de l’Anthropocène a la conviction qu’il peut vivre en bonne santé dans un monde malade, et que toutes les affections qui déciment au quotidien la faune, la flore terrestre et marine, ne pourront jamais l’atteindre.
Avoir parlé en préambule de la supériorité et de la suffisance de l’Homme de l’Anthropocène va nous aider à mieux comprendre comment il est possible qu’en 2022, l’Homme, qui ne croit plus qu’aux messages scientifiques dont on l’abreuve, ait du mal à imaginer que ses dents ont des effets sur la santé du corps.
La dentisterie est la seule spécialité médicale qui en 2022 ne décrit pratiquement aucun effet secondaire des soins dentaires sur la santé et sur le reste du corps.
Comment cela est-il possible, à l’époque où nous savons que le moindre acte sur le corps, la moindre manipulation, la moindre semelle, le moindre verre correcteur, le moindre médicament, la moindre substance, le moindre composé alimentaire, la moindre modification d’une surface articulaire peut engendrer des effets secondaires sur l’ensemble du corps !
L’homme de l’anthropocène a relégué aux oubliettes les connaissances anciennes pour ne s’abreuver qu’aux messages scientifiques qu’on veut bien lui distiller.
Comment est-il possible que le dentiste ait autant été écarté de la santé globale ? Comment avons-nous pu oublier des connaissances multiséculaires datant d’Hippocrate qui écrivait 500 ans avant J.-C. :
« Un rhumatisme sans espoir de guérison peut être guéri par une extraction dentaire » !
Ainsi après avoir eu la triste réputation « d’être menteur comme un arracheur de dents », le rôle de ce praticien est cantonné aujourd’hui à une fonction d’hygiéniste, de mécanique et d’esthétique, sans la moindre responsabilité dans le fonctionnement du corps entier.
En quelques décennies la science moderne a balayé toutes les connaissances anciennes et tous les dictons populaires pour conférer à l’art dentaire une totale immunité, une absence totale d’implication dans les souffrances ou le soulagement du reste du corps.
On a oublié que les marchands d’esclaves évaluaient le prix d’un esclave à sa dentition, car les dents reflétaient la vitalité physique et morale de l’homme ainsi que la capacité d’enfanter de la femme. Aujourd’hui encore, les vendeurs de chevaux se basent aussi sur la dentition des équidés pour en estimer le prix et l’état de santé : “à cheval donné on ne regarde pas les dents.”
La dent, symbole de vitalité, est souvent évoquée dans certains récits ou dictons populaires : « rire à pleines dents, dévorer la vie à pleines dents ». La dent symbolise aussi l’énergie de la jeunesse : « 20 ans et toutes ses dents, mordre la vie à pleines dents ».
Jacques Chirac affirmait que “dans une campagne, il faut aller chercher les électeurs avec les dents”.
Plusieurs adages rappellent que la dent symbolise la force vitale, l’agressivité : « qui met longtemps à sa dentition vivra longtemps, montrer les dents, être armé jusqu’aux dents, avoir une dent contre quelqu’un, œil pour œil, dent pour dent, avoir la dent dure, avoir les dents longues, être sur les dents, prendre le mors aux dents, serrer les dents ».
Les maximes utilisent encore les dents pour faire allusion à la perte de vitalité : « avoir les dents du fond qui baignent, mordre la poussière, avoir les dents qui bougent ».
Voltaire sentait qu’il « mourrait en détail quand il a commencé à perdre ses dents ». Pour lesYanomamis de l’État de Roraima au Brésil, perdre une dent est synonyme d’avoir un pied dans la tombe.
Enfin les proverbes évoquent le rapport entre les dents et l’émotionnel : « mal de dent est un mal d’amour et de rage ; belle à croquer ».
Toutes ces connaissances anciennes qui ont été reléguées aux oubliettes avaient fait dire à De Humboldt, (1807-1834) : « N’oublions pas que toutes les croyances populaires, même les plus absurdes en apparence, reposent sur des faits réels, mais mal observés. En les traitant avec dédain, on peut perdre la trace d’une découverte. »
Il y a 60 ans encore, il était vital d’avoir de bonnes dents solides, car elles avaient un rôle noble et qu’elles renvoyaient une image de bonne santé, de vitalité, de force, de fécondité et de puissance masticatrice permettant d’arracher un morceau de viande, ou de broyer des os de poulet. Aujourd’hui, on nous propose de modifier toute la structure de la dentition, pour donner l’illusion que les dents sont blanches et bien rangées, sans jamais s’interroger sur l’impact que ces soins ont sur notre santé.
Suffit-il de dire qu’il n’y pas de lien entre une douleur d’une épine calcanéenne apparue subitement juste après un soin dentaire pour ignorer la plainte d’un patient ?
Suffit-il de dire qu’il n’y a pas de lien entre une perte de force des mains apparue subitement juste après un soin dentaire, pour ne pas daigner s’interroger sur cette coïncidence ?
Suffit-il de dire qu’il n’y a pas de lien entre l’apparition d’une scoliose apparue subitement juste après un traitement orthodontique, pour ne pas se pencher sur la question ?
Combien de souffrances devront encore endurer des patients de l’ère de l’Anthropocène, combien d’écrits auront-ils besoin de lire sur le net ou sur des livres, combien de publications scientifiques, combien de livres les praticiens devront-ils encore rédiger pour qu’on finisse par admettre que comme toutes les spécialités médicales, l’art dentaire a des effets secondaires majeurs sur la santé globale ?
Curieusement, plus l’homme de l’Anthropocène efface de sa mémoire les croyances ancestrales, et plus la science en laquelle il croit, découvre en silence, l’impact des dents sur la santé.
C’est le cas par exemple du Dr Huggins et du Dr Levy A qui dénoncent les dangers cachés sous les soins dentaires et affirment qu’un grand nombre de troubles sont facilement évitables. Ils affirment que les toxines placées dans nos dents lors des soins de carie ou de canaux : mercure, cadmium, béryllium, nickel et autres, favoriseraient en partie des affections telles que la sclérose en plaques, le lupus, la leucémie, le syndrome de fatigue chronique, la maladie de Parkinson, de nombreux troubles mentaux, la maladie d’Alzheimer et même des maladies majeures comme le cancer dusein.
Ils s’interrogent sur le fait que les produits chimiques utilisés en art dentaire sont souvent dispensés du devoir d’information permettant d’identifier clairement les dangers qu’ils peuvent présenter sur la santé.
Les docteurs Huggins et Levy implorent le lecteur en l’invitant à jouer un rôle actif dans sa santé. Il faut cesser d’accepter des produits que vous êtes censés garder toute votre vie dans vos dents, alors que même le dentiste ignore en la composition. Il devrait être obligatoire de connaître la teneur chimique des produits destinés à la bouche du patient !
Le DR Francis Hartmann avait publié chez Kaufman « mal de dos, fatigue, migraine si vous serrez les dents » et attribuait à la malocclusion : fatigue, fibromyalgie, nausées, vertiges, acouphènes, troubles cardiaques, respiratoires, intestin irritable, cystite, fièvre prolongée, troubles du sommeil, de l’humeur, crampes des mollets, douleurs multiples et « bien d’autres signes encore ».
Thomas E. Levy B a constaté que des infections dentaires qui sont le plus souvent asymptomatiques ou silencieuses, évoluant à bas bruit, sont responsables de véritables épidémies cachées de cancers du sein, de maladies dégénératives chroniques et de crises cardiaques. Malgré ces faits alarmants, aucune recherche épidémiologique n’a été entreprise jusqu’à cejour.
Le Dr Bernard MontainC nous invitait à prendre conscience que les dents sont en rapport direct avec la santé.
Pour le Dr Michel MontaudD, l’art dentaire permet de remédier à des maux tels que cauchemars, rhinites et otites chroniques, eczéma, allergies, asthme, problèmes de dos, troubles du sommeil.
Dominik Nischwitch E a consacré un ouvrage pour expliquer qu’en prenant soin de nos dents, nous pouvions prévenir de nombreuses maladies et améliorer notre santé en général et agir sur Allergie, dépression, fatigue.
Alain Amzalag, Jérémy AmzalagF estiment que votre dentiste peut vous sauver lavie.
Le Dr Boufflers Bernard Gvoit en la dent le disque dur de notre âme!
Geneviève Choussy DeslogesH démontre qu’en écoutant les dents, il est possible de guérir.
Michèle CaffinI croit au stockage des émotions dans la mémoire dentaire
Le Dr KoubiJ établit le concept de maladie d’origine dentaire avec effets à distance du foyer bucco-dentaire.
Gérard Dieuzaide K trouve dans les dents, l’origine des douleurs articulaires ou musculaires, des troubles du sommeil, des maux de tête, vertiges et palpitations, mais aussi de la fatigue chronique, de la fibromyalgie des ronflements ou des apnées du sommeil.
Pierre Lecaroz L incrimine les dents dans diverses affections : mal au dos, cervicalgie, lumbago, migraine, mauvais sommeil, douleurs articulaires, fibromyalgie fatigue chronique, vertiges, troubles du nez, surpoids, obésité.
Jean-Marie LandouzyM s’est intéressé aux douleurs dues aux déséquilibres de la mâchoire et des dents.
Jacques BrassecasséN tient un discours semblable et impute aux dents l’origine des maux de tête, des acouphènes, du mal de dos, des insomnies, des vertiges.
Le Dr Christian BeyerO a tenté un Décodage dentaire des maladies.
Bruce FifeP décrit une méthode pour détoxiner et guérir le corps entier grâce à une bouche saine et traiter des maladies chroniques telles que l’asthme, le diabète, l’arthrite, le mal à latête.
Michel ClauzadeQ explique qu’une malocclusion peut provoquer des maux de tête, des vertiges, des cervicalgies, des lombalgies, des tendinites, des pubalgies... des pertes d’énergie, des fatigues musculaires qui priveront le sportif de performances ou de victoires. Le docteur Michel Clauzade considère les troubles de l’occlusion dentaire comme un véritable problème de santé et depuis 25 ans.
Michel Clauzade et Jean-Pierre Marty, R affirment que « notre vision mécaniste occlusale, prothétique et orthodontique est totalement erronée…. Ce livre est un plaidoyer pour le chirurgien-dentiste qui se trouve engagé et responsabilisé dans la fixation ou l’apparition de déficits posturaux ou de symptômes, comme les migraines, céphalées, acouphènes ou vertiges. Investi d’une nouvelle mission, il doit trouver sa place légitime dans la chaîne des thérapeutes médicaux. En revanche, nos anciennes certitudes restauratrices, prothétiques, orthodontiques étayées sur des notions de définitif, de long terme doivent laisser place à des notions de provisoire, de court terme et d’aléatoire. Le coût financier de nos travaux, en grande partie supporté par nos patients, a entretenu et accéléré ce malentendu : il s’agit d’un pacte avec le diable. Les critères fonctionnels d’un acte prothétique ou orthodontique doivent être revus sous un angle neurologique, mais aussi il ne faut pas se voiler la face sous un angle juridique avec une obligation peut-être de moyens, mais sûrement pas de résultats »
Patrice M’Goma S , attribue à un mauvais positionnement des dents et de la mâchoire des problèmes aussi variés que la surdité, les vertiges, l’eczéma, les maux de tête ou la fatigue chronique.
A. Huggins et le Dr Levy, 1999: “Uninformed Consent: The Hidden Dangers in Dental Care” Kindle Édition
B. Thomas E. Levy 2017 “Hidden Epidemic: Slient Oral Infections Caseu Most Heart Attacks and Brest Cancers” Medfox Publishing
C. Bernard Montain (1998) « La santé à pleines dents » Éditions de l’Ancre
D. Michel Montaud (2019) « Nos dents une porte vers la santé, De l’équilibre buccal à l’équilibre » Édition Souffled’Or
E. Dominik Nischwitch (2020) « Santé des dents, santé globale: Allergie, dépression, fatigue... Découvrez l’impact sur notre santé de cet écosystème si méconnu et tous les secrets pour en prendre soin » Éditions Eyrolles
F. Alain Amzalag, Jérémy Amzalag (2020) « Et si votre dentiste pouvait vous sauver la vie ! cœur, sommeil, cancer, diabète.. » Hugo New Life
G. Boufflers Bernard (2003) « Mémoire de dent »,
H. Geneviève Choussy Desloges (2011) « Les dents nous parlent »,
I. Michèle Caffin (1995) « Quand les dents se mettent à parler »
J. Koubi (1998) « La santé dans votre bouche de: les dents gouvernent votre équilibre »
K. Gérard Dieuzaide (2018) « Et si ça venait des dents ? L’origine bucco-dentaire des maladies »
L. Pierre Lecaroz (2009) « La Face cachée des Dents »
M. Jean-Marie Landouzy (2005) « Mal de dos Mal de dents »
N. Jacques Brassecassé (2005) « L’action des dents sur notre corps »
O. Christian Beyer (2009) Décodage dentaire des maladies.
P. Bruce Fife (2017) « La méthode Oil-Pulling »
Q. Michel Clauzade (2012) « Dents et performance sportive : Équilibration occlusale, Traitement, Conseils aux sportifs »
R. Michel Clauzade et Jean-Pierre Marty (2007) « Orthoposturodontie 2 »,
S. Patrice M’Goma (2010) « Acouphènes, surdité, eczéma...Comment s’en débarrasser ? »,
Ce qui m’a le plus surpris à la suite de la parution de mon livre en 2001 sur la « Fatigue chronique ou Fibromyalgie », dans lequel je dénonçais l’origine dentaire à 98 % de cette maladie, c’est l’ensemble des réactions autant du corps médical que des patients.
a)Le corps médical dentaire est resté ouvert à mon message puisque j’ai été invité à l’Académie Nationale dentaire en 2001 pour parler des effets secondaires des soins dentaires sur la santé globale. Malheureusement cela n’a pas été suivi de modifications au niveau de l’enseignement ou de la reconnaissance officielle des effets secondaires des dents sur le corps. Quant aux dentistes avec qui j’ai partagé les techniques qui permettent d’éviter dérégler le corps au cours d’un soin dentaire, ils m’ont avoué qu’ils ne le pratiquaient pas en cabinet… parce qu’il est plus rentable pour eux de faire du soin dentaire.
En effet je leur demandais de faire un examen sommaire du patient avant un soin et de recommencer le même examen après le soin, seul moyen de savoir si le soin a modifié quelque chose dans le corps. Ces deux examens durent environ cinq minutes, ce qui signifie qu’il faut « perdre » environ deux heures par jour, ou dix heures par semaine, pour faire subir le même protocole à chaque patient. Lorsqu’ils ont réalisé que pendant ces dix heures ils pouvaient continuer à faire des actes plus rémunérateurs, leur choix a été vite fait puisqu’aucune rémunération n’est prévue par la loi, sinon la satisfaction d’avoir soulagé son prochain.
C’est pour cela que tant qu’une décision ne sera pas prise au niveau national pour instaurer et imposer ce double examen, aucun praticien ne s’intéressera aux conséquences de ses soins sur le corps.
b)Les réactions des médecins ont oscillé entre l’indifférence méprisante ou dédaigneuse, et l’agressivité envers quelqu’un qui osait bousculer leurs croyances. Leur suggérer qu’un simple réglage dentaire pouvait guérir ou soulager un mal au dos était pour la plupart d’entre eux inaudible. Ils préféraient s’accrocher aux thérapies médicamenteuses ou au recours à la chirurgie, dont ils pensent avoir la maîtrise, plutôt que d’admettre une solution dentaire à une pathologie dont ils souhaitaient garder jalousement la gestion, mais qu’ils sont incapables de guérir depuis 25 ans !
Comment le corps médical peut-il affirmer sans preuve qu’il n’y a pas de cause connue à la Fibromyalgie, sans avoir cherché à vérifier l’origine dentaire à l’affection ?
Comment le corps médical peut-il s’arroger le droit d’attester sans preuve que la fibromyalgie est d’origine psychosomatique ou hystérique ? Pourquoi qualifier de « psy ou de stressé » celui que la chimie médicamenteuse ne soulage pas, sans avoir la moindre preuve d’une telle allégation ? Cette pensée devenue unique, parce que partagée par la totalité de la population médicale est-elle le fruit de la lutte contre les sectes ?
Le déni des médecins allait même jusqu’à affirmer aux patients, qui exprimaient le bonheur d’avoir été guéris de leurs douleurs du dos, de leur migraine ou de leur douleur d’épaule, à la suite d’un réglage dentaire, que ce résultat n’était que le fruit du hasard ou un effet placebo. Pour tenter de convaincre ces praticiens qui campaient sur leur position, et pour leur apporter les bases scientifiques du lien dents-corps, plusieurs patients leur ont offert mon livre. Peu de ces médecins ont changé leur vision, ils sont restés accrochés à la certitude que les dents ne font pas partie du corps et qu’elles ne peuvent avoir aucune répercussion sur le corps !
c)A la lecture de mon ouvrage précédent, les réactions des patients ont été extraordinaires et m’ont empli de joie. Leur plus grand apaisement a été de pouvoir enfin lire que les ressentis qu’ils avaient sur leur maladie étaient exacts. Lire enfin que surdité, vertiges, maux de tête ou fatigue chronique… pouvaient résulter d’un mauvais positionnement des dents et de la mâchoire était un grand soulagement pour eux. Pour la plupart d’entre eux, mon ouvrage sur la fibromyalgie leur a donné l’assurance de ne pas être fous comme on tentait de leur faire croire, à défaut de les guérir. L’espoir qu’ils ont retrouvé à la lecture de mon ouvrage leur a redonné des ailes et suffisamment d’énergie pour faire des milliers de kilomètres pour se faire traiter.
Un des plus beaux témoignages est celui de Laurence Estienne (2015) : « Adieu fibromyalgie ! Comment gagner 20 ans et retrouver une bonne santé ». Elle y décrit un parcours médical qui a duré une vingtaine d’années, au cours de laquelle elle a perdu l’usage de ses mains qui se sont progressivement atrophiées malgré tous les soins qu’elle a reçus dans divers CHU. Et puis elle découvre qu’il suffisait de modifier ses dents pour lui permettre de retrouver la santé.
Elle écrit : « la fibromyalgie vous emprisonne, vous capture, vous vole votre intimité et votre dignité, vous perce à jour, alors soumis au plus profond de votre moi intérieur de subir ses assauts répétés. Une maladie envahissante et invalidante qui enlève toute énergie, toute vie sociale, et toute liberté de mouvement. Notre corps -jusqu’à lors notre allié- devient une source de contraintes inimaginables au rythme de ses réactions aussi saccadées que lentes et limitées s’attachant à nous emprisonner au quatre-vingt-dixième étage de l’arbre de notre vie. Quel est ce mal méconnu, invisible et sournois qui nous vole vingt ans de notre vie en une seconde et nous rend otage d’un destin qui ne nous appartient pas ? J’ai souhaité ce livre en hommage à tous ces êtres souffrants dans leur chair de fibromyalgie, qui, par leur courage et leur immense force de vie, vont pouvoir certainement briser les liens qui les retiennent captifs et enchaînés au passé. Je leur donne l’espoir de retrouver leur jeunesse et leur vitalité trop vite perdues. Cet ouvrage offre une vision concrète de la fibromyalgie et éclaire sur une réflexion et des solutions pertinentes. »