La révélation sur l’au-delà par l’écriture automatique Tome 1 E-Book

Marc Yvon Cyril

• Herausgeber: Le Lys Bleu Éditions
• Kategorie: Ratgeber
• Sprache: Französisch
• Veröffentlichungsjahr: 2024

Beschreibung

Qui ne s'est jamais posé de question sur la vie après la mort ? Depuis son enfance, l'auteur a toujours su qu’il y a une continuité de l’existence après le décès, et sa médiumnité l'a connecté avec ces deux mondes. Dans cet ouvrage, il partage ses échanges avec un Pur-esprit, obtenus grâce à l'écriture automatique, offrant des réponses claires à des questions simples sur le mystère de l’au-delà.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Marc Yvon Cyril est un curieux qui s'interroge sur les questions existentielles depuis toujours. Ses questions sur ces mystères l'ont poussé à s'intéresser à la parapsychologie lorsqu'il a atteint la majorité, marquant ainsi le début de sa quête spirituelle.

Leseprobe

Marc Yvon Cyril

La révélation sur l’au-delà

par l’écriture automatique

Tome I

Essai

© Lys Bleu Éditions – Marc Yvon Cyril

ISBN : 979-10-422-1404-3

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

À mon père,

Je t’aime

La conversation par l’écriture automatique est souvent difficile à lire et à comprendre.

De ce principe, j’ai repris des passages pour que la lecture soit plus facile, sans pour cela déformer le sens des phrases et son interprétation.

Ces informations sont jugées nécessaires pour la compréhension de l’œuvre.

Avant-propos

Je vais écrire avec l’aide de l’écriture automatique un dialogue qui parle du monde de l’au-delà, un monde parallèle au nôtre.

Nous venons tous de là et nous y retournerons tous sans exception.

Tant de questions posées dans nos têtes, qui restent toujours sans réponses.

Je suis né sous le soleil brûlant du Midi d’une fin d’août.

Une naissance difficile certes, mais riche en évolution spirituelle.

Dès le plus jeune âge, je me suis interrogé et intéressé par la parapsychologie.

Naturellement, tout était mélangé dans ma tête, mais comme une musique qui monte, elle m’a dessiné l’envie d’en savoir plus.

La vie a voulu me mettre sur mon chemin, une rencontre exceptionnelle qui m’a éveillé sur ma personnalité et mes capacités.

Toute simple, toute belle, elle a su me canaliser et me façonner.

De son âge avancé, elle m’a reçu pour une séance de cartes.

Très vite, elle a compris le jeune homme que j’étais et l’envie d’en savoir le plus possible.

Sur un jeu de cartes, elle me dévoile que j’ai la capacité de voir l’avenir, mais qu’il me faudra naturellement le travailler.

Elle m’a appris à lire les cartes, à les faire parler puis à les écouter.

Les conjuguer ensemble, ce qui permet d’en savoir plus.

De les formuler de plusieurs façons, et ceci avec différents jeux.

Ce travail a duré trente ans à vrai dire jusqu’à son dernier jour où elle est partie.

Pendant toutes ces années passées ensemble, elle m’a fait prendre conscience de mes capacités.

Simplement, voir pour prévoir.

Je me suis aperçu que je voyais, ressentais, entendais le monde de l’au-delà.

Au début, plus de doute que de certitude, mon silence était de rigueur.

Puis, avec son appui et son écoute, elle m’a rassuré de continuer sans me poser des questions.

Elle me disait :

Tu auras les réponses à temps voulu.

Je voulais toucher à tous les supports qu’il pouvait y avoir dans la parapsychologie.

Les cartes, les pendules, le magnétisme, l’écriture automatique et bien d’autres encore…

Mes choix ont rapidement vite trouvé place dans mes pratiques.

Les cartes ont été le repère de mon départ.

Le pendule m’a procuré toutes les réponses attendues.

Le magnétisme a soulagé bien de mal.

L’écriture automatique m’a permis d’établir des conversations avec l’au-delà.

Mais ce qui vivait en moi, c’était tout d’abord la médiumnité.

Toujours présente, elle me procurait des vibrations puissantes.

La médiumnité est un canal où passent des vibrations que je canalise et traduis en image et en parole comme un film que je regarde sur l’écran, souvent des odeurs me parviennent.

Seule différence, c’est l’odeur d’un parfum qui me parvient.

Au cours de mes consultations, des esprits entrent en scène pour faire passer des messages à la personne qui se trouve devant moi.

Vivre avec la médiumnité n’est pas simple.

Certains sont beaux, bercent les cœurs, d’autres plus négatifs, qui les rendent tristes.

C’est vrai, j’ai toujours devant moi une longueur d’avance, ce qui n’est pas négligeable malgré tout.

Être médium, c’est être un messager entre deux mondes.

Ces deux mondes vous semblent éloignés, mais en réalité, ils sont plus proches que vous le pensez.

Je vous l’assure, les esprits sont parmi nous, ils nous conseillent, et veillent sur nos peines…

L’écriture automatique

Assis, cahier et stylo sur la table, je commence à faire le vide.

Je dois attendre de ressentir d’être enveloppé d’une sphère comme si je devais m’isoler.

Selon mon envie, j’allume une bougie et un bâtonnet d’encens, mais cela n’est pas automatique.

Je n’ai pas de jour et d’heure fixes pour écrire.

Je sens quand j’ai un contact avec un esprit.

Le jour et la nuit n’ont pas d’influence sur ma pratique, seul compte l’approche venir pour que la conversation s’enclenche.

Le principal, c’est le calme pour pouvoir être dans une bonne condition, seul compte, moi et l’esprit pour une communion totale.

Comme vous l’avez remarqué, il n’y a pas de critères pour que je puisse rentrer en contact avec des défunts, ils sont à notre écoute et j’ose dire à nos soins.

Avant que la communication commence, j’ai pris l’habitude de marquer en haut à gauche de ma page la date et l’heure du dialogue, et quand j’ai fini, je mentionne aussi l’heure de la fin.

Quand elle commence, j’ai une prise de conscience avec mon interlocuteur et ma main commence à écrire automatiquement sans que je ne puisse la contrôler.

Selon l’esprit, ma main est légère, nerveuse ou parfois tendue.

Rien ne peut l’arrêter, elle suit le rythme des paroles.

J’entends la dictée des phrases dans ma tête et mon écriture s’actionne.

La cadence est active et mes écrits sont légèrement déformés par le rendement imposé, comme si leur temps était compté.

Il y a bien une chose qui est imposée, c’est le temps de la communication,elle est en moyenne d’une demi-heure ou légèrement plus.

Parfois elle s’allonge, il y a cette règle à respecter de toute manière, je n’ai pas le choix, eux seuls décident.

Ils doivent être imposés par des esprits élevés et doivent donner des directives.

Depuis mes débuts, il y a maintenant 25 ans, ça n’a jamais changé.

Dans la fragilité de l’inconnu, ma main hésitante, rien n’apparaissait à part des petits traits, des formes incompréhensibles.

Rien qui ne valait à mes yeux une signification concrète.

Mais je prenais le temps au temps sans vouloir arriver à un résultat satisfaisant.

Alors avec mon mal en patience dans mes instants libres, je renouvelais des essais pour arriver à formuler des phrases concrètes.

Petit à petit, je me suis habitué à ce que ma main bouge par la volonté de l’esprit et les formes commençaient à se dessiner sur mes feuilles, des chiffres, même des mots d’un vieux latin, ce n’est pas pour autant que je comprenais.

Je vais vous citer quelques exemples de mes débuts et sur les révélations faites pendant mes séances.

L’explication sera donnée au début puis la photo de l’écriture automatique suivra.

Le 13/04/1999

Ce fut mon premier contact avec un esprit inconnu, ma main n’a pas attendu longtemps pour bouger, doucement des signes perceptibles commençaient à s’animer, des traits partaient dans tous les sens en formant des géométries.

S’ajoutent ensuite des gribouillis en tout genre.

Comme s’il fallait passer par un apprentissage pour pouvoir avancer sur un autre plan supérieur d’élévation spirituelle.

Je repris la plume avec ambition cette fois-ci, je mentionnais 22 heures, installé en espérant avoir un contact, ma main s’animait tout de suite comme s’il était pressé de me faire découvrir les messages.

Ce fut par plusieurs traits et des ronds, formant une nouvelle géométrie.

Une demi-heure après, les premiers mots bien souvent incompréhensibles m’apparaissaient sur ma feuille.

Puis les premières phrases, enfin, se sont formées avec plus ou moins d’intelligibilité, certains passages étaient plutôt compréhensibles et très clairs.

La satisfaction était au rendez-vous grâce à mes progrès concrets.

Je prenais de l’assurance tout en restant prudent et la conviction d’arriver à écrire de mieux en mieux était visible.

Plus rien ne pouvait m’arrêter dans cette belle aventure, tout en restant humble.

Au fur et à mesure de mes contacts, l’évolution grandissante forgeait ma capacité d’avancer encore plus vite, mes mots formulaient des phrases plus ou moins compréhensibles.

Puis, il est arrivé le temps où les phrases ont pris une nouvelle tournure.

Leurs formules étaient plus claires et faisaient passer des petits messages que je pouvais comprendre.

Dans cet exemple, ça parle de ma personnalité.

Sans savoir au début avec qui je communiquais, cela ne me préoccupait pas trop de faire des échanges avec des esprits même inconnus, cela n’avait pas d’importance.

Les mois passaient et enfin, je pouvais écrire ce qu’on me dictait toujours avec le même rituel en marquant la date et l’heure et les 30 minutes de communication.

Puis un jour, j’ai eu une signature du prénom (Jeanne) sans savoir qu’elle me faisait écrire certaines choses qui par la suite se réalisaient.

Il y avait une volonté d’échange, d’aide.

J’étais obligé de croire à ses prédictions, je les vivais par la suite et bien souvent, j’oubliais entre-temps.

C’est après les avoir vécus que je me rappelais et je commençais à faire les recherches sur mes cahiers.

Oui, bien sûr, entre-temps les communications s’enchaînent et les cahiers aussi.

La villa

Encore plus surprenant, un soir lors d’une séance, je suis surpris par l’annonce faite.

Loin de mes projets, ce fut vraiment inattendu..

Ma main écrit que je vais acheter une villa avec sans détails, mais par contre, l’esprit me souligne qu’il va me la dessiner !

Ma main s’arrête d’écrire, s’immobile, je sens que je dois tourner la page du cahier, il va avoir besoin de tout l’espace d’une feuille blanche.

Les traits se dessinent et petit à petit apparaît une maison avec des détails précis, comme s’il voulait me faire voir la certitude de son dessin et de ses dires.

En dix minutes, tout était tracé, d’une façon précise.

La séance prenait fin que je refermais mon cahier.

Le lendemain, intrigué par ce dessin, je reprenais mon cahier et je découvrais une nouvelle fois son schéma.

Pour vous dire la vérité, j’étais perplexe de cette annonce.

Le temps passe et je ne pensais plus à ces écrits.

Bien plus tard, j’ai voulu chercher une maison pour un achat dans un autre département que celui où nous étions.

Alors, nous sommes partis sur les routes pour voir ce qu’il y avait sur le marché.

Je m’arrête au hasard dans une agence d’Aix-en-Provence et la directrice me fait voir sur des fiches ses produits.

Puis la personne me dit qu’elle vient de rentrer une nouvelle villa, mais qu’elle n’avait pas de photo.

Je lui demande de faire déjà les visites de ces villas que je voulais voir.

En fin de journée, il n’y avait rien qui nous convenait et nous sommes rentrés déçus.

Le lendemain, l’agence nous rappelle pour visiter la villa.

Arrivé sur place, mes bras en sont tombés !

La villa était exactement comme je l’avais dessinée !

Grande, belle, un beau terrain et calme.

Le lendemain, je suis retourné à l’agence pour signer le compromis de vente..

J’ai repris mon cahier où j’avais fait ce dessin et tout correspondait avec les mêmes emplacements des détails que l’esprit m’avait fait dessiner sauf une chose que je ne comprenais pas.

C’est un grand cercle ovale au-dessus de la maison, je ne savais pas à quoi cela ressemblait.

Alors, pour ne pas chercher plus, je me suis dit que c’était simplement un nuage !

Après l’achat de ce bien, je me suis rendu compte qu’il y avait un grand étang ovale derrière la villa, j’ai de suite compris que le cercle dessiné était tout simplement cet étang.

Nous sommes restés vingt-temps.

Voici son passage de ses écrits et de son dessin…

Voici mon dessin

Voici la villa

L’écriture automatique venait d’une habitude de communiquer avec des esprits.

Certes, parfois pour avoir simplement une conversation, et aussi bien pour avoir des réponses à des questions posées.

Chaque fois, j’avais ce que je recherchais, et même plus.

On se prend vite au jeu, sans que pour cela ce soit un jeu.

Il y a eu des échanges où cela a été frappant, comme pour la villa et aussi dans la gravité comme cet exemple à venir.

Les tours jumelles : World Trade Center

Un soir, le 20 avril 1999, pendant une séance, les phrases défilaient d’une allure plus importante que d’habitude en me mentionnant qu’il allait se passer une chose grave sans savoir à quel moment et où cela allait se dérouler.

Je sentais venir la gravité, je ressentais aussi la peur, bien plus encore la terreur.

Ma main dure et raide me faisait mal comme pour me faire comprendre que l’esprit ne rigolait pas, moi non plus, d’ailleurs.

Dans ses écrits, il n’y avait pas le sens d’une phrase claire, mais il essayait de me faire comprendre par des mots plutôt détournés.

« Il va avoir des boules de feu qui vont tomber du ciel et des grosses pierres aussi tomberont du ciel ! Les pompiers seront de la partie. »

J’ai compris après avoir écrit ceci que le ton n’était pas à la rigolade, le poids des mots avait leur sens bien sûr, sans que pour cela, je fusse dans le vague.

On me parle des boules de feu qui tombent du ciel et des pierres, j’ai dessiné un casque de pompier américain qui pouvait me faire penser à tout et à n’importe quoi !

Après cette séance révélatrice, je restais dans mes interrogations sans réponse !

À force de me poser toutes ces questions, je me suis dit que de toute façon, je verrai bien quand ce moment-là arrivera !

J’avais compris qu’une seule chose que cela touchait les États-Unis par rapport au dessin du casque de pompier américain qu’il m’eût dessiné.

Malheureusement, ce moment-là est bien arrivé, le 11 septembre 2001 et j’ai compris tout de suite compris toutes les valeurs de mes écrits…

Le monde l’a vu, je l’ai vu comme vous…

On a été tous sidérés par la gravité des faits.

L’attentat en Amérique : les tours jumelles s’écroulaient comme un château de cartes.