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En radiesthésie, il n'est pas nécessaire d'avoir un don pour bien manier pendule ou baguette !Le pendule et la baguette sont des instruments de détection, la radiesthésie est une technique de recherche et chacun peut l'utiliser, quelles que soient ses tendances, ses dispositions, ses aptitudes. Les uns chercheront avec succès des veines d'eau ou des minerais, d'autres appliqueront leur savoir à la médecine, à la psychologie, au commerce, à la chimie... Pour tirer de grands profits de la radiesthésie, il faut seulement être doué d'un minimum de sensibilité. Et pour développer cette sensibilité, voici une série de conseils et des exercices progressifs, que vous pourrez varier et multiplier selon vos propres convenances, entre autres : comment sensibiliser vos instruments de radiesthésie ; choisir une couleur ou un métal à porter pour affiner votre sensibilité et obtenir de bien meilleurs résultats ; comment des passes effectuées sur les bras, les mains et les doigts, à l'aide d'un aimant, procurent souvent un retour rapide et durable de la sensibilité radiesthésique ; et des conseils et remèdes homéopathiques pour éviter les troubles de la sensibilité radiesthésique... Des exercices et des conseils simples et efficaces choisis par des radiesthésistes réputés, pour améliorer rapidement vos performances !EXTRAITComme on s’en doute, de nombreuses théories ont été émises pour expliquer la sensibilité radiesthésique.Chez les anciens sourciers, l’idée prévalait que les malformations physiques, par exemple une épaule plus haute que l’autre, ou une hanche plus développée, favorisaient la sensibilité aux eaux souterraines. Ces théories ont été considérées, sinon acceptées, par des auteurs comme HENRI MAGER ou le frère PADEY. Or, la plupart des humains ont de ces déformations sans être pour autant sourciers de naissance !À PROPOS DES AUTEURSFélix, et son frère William Servranx, étaient belges. Ils mirent sur pied Le Bureau Servranx, un bureau de publicité. Passionnés par la radiesthésie, les frères Servranx ont également lancé une revue spécialisée dans ce domaine : La Radiesthésie pour tous ou L.R.P.T. Leur succès a engendré des consultations, des organisations de rencontres, des conférences et de nombreux livres et dossiers à ce sujet. Convaincues de l'importance capitale des écrits des deux frères, les éditions Servranx se chargent de les rééditer.
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Seitenzahl: 138
Veröffentlichungsjahr: 2014
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Cet ouvrage regroupe des textes parus entre 1946 et 1967 : livres, dossiers Exdocin ou articles parus dans la revue La Radiesthésie pour tous et écrits par les frères Servranx ou leurs associés.
Nous rééditons tous ces textes dans le respect des originaux, mais rajeunis quant à la présentation et les illustrations, parfois quant au texte lui-même quand plus de clarté s’imposait.
Le but de ce livre est d’informer. Chacun l’utilisera sous sa propre responsabilité. En aucun cas, les éditions Servranx ou leurs associés ne sauraient être tenus pour responsables des préjudices fortuits, induits ou indirects découlant de son utilisation.
par F. & W. Servranx
Comme on s’en doute, de nombreuses théories ont été émises pour expliquer la sensibilité radiesthésique.
Chez les anciens sourciers, l’idée prévalait que les malformations physiques, par exemple une épaule plus haute que l’autre, ou une hanche plus développée, favorisaient la sensibilité aux eaux souterraines. Ces théories ont été considérées, sinon acceptées, par des auteurs comme HENRI MAGER ou le frère PADEY. Or, la plupart des humains ont de ces déformations sans être pour autant sourciers de naissance !
Chez les modernes, une idée semblable reparaît : les aptitudes radiesthésiques tiendraient aux déplacements de vertèbres et M. ALBERT BOGAERT a très bien développé cette thèse dans La Radiesthésie pour tous de juillet 1957. Le problème, c’est que d’excellents radiesthésistes et téléradiesthésistes ne semblent pas présenter ces déviations et que l’on n’a pas constaté la disparition des capacités radiesthésiques à la suite de traitements vertébraux.
C’est encore une thèse du même genre, mais à propos du champ magnétique de l’être humain, que soutient M. L. DECLERCQ de Manicamp, dans ses articles parus dans La Radiesthésie pour tous et dans son ouvrage Énergie cosmique etSanté (Éditions Cosmos, 1963, épuisé) : les aptitudes radiesthésiques seraient liées aux polarités inverses des mains; en cas de polarité semblable (chez les ambigyres), il serait nécessaire de corriger ce défaut par différents stratagèmes, pour obtenir des perceptions normales. Suivant le même auteur, l’extension du champ magnétique étendrait la portée des perceptions radiesthésiques. Tout ceci concernerait plus particulièrement la pratique de la radiesthésie par des méthodes physiques.
Nombre de radiesthésistes considèrent les « chakras », c’est-à-dire les centres de force du corps éthérique comme des canaux de perception. Nos expériences personnelles à cet égard nous ont conduits à la conclusion que l’éveil ou l’ouverture des chakras pouvait accroître de beaucoup la sensibilité et la précision en radiesthésie. C’est même suite à ces expériences que nous avons conçu un graphique, le Yogi amplificateur1, pour permettre aux amateurs d’aborder les recherches les plus difficiles. Si la pratique avec le Yogi amplificateur est sans le moindre danger, c’est parce que l’action se limite au chakra ombilical; il n’en irait pas de même de l’éveil des autres centres éthériques par les méthodes hindoues, en l’absence d’un bon instructeur. C’est pourquoi, tout en retenant ce graphique du Yogi amplificateur, nous déconseillons toute tentative inconsidérée d’éveil des chakras. Les chakras ne sont pas la source de la sensibilité, ils n’en constituent qu’une voie qui s’affermit naturellement par l’entraînement normal à la radiesthésie.
De son côté, l’ingénieur BOGDAN N. DJORITCH, de Belgrade, voit dans le rayon fondamental, qu’il définit comme « angle personnel un indice sûr de la sensibilité radiesthésique, idée qu’il exposait dans Force vitale2 par l’angle personnel et le rayon fondamental. Pour jouir de la sensibilité maximum, il faudrait toujours s’orienter face à l’angle personnel c’est-à-dire à son rayon fondamental.
Le professeur Y. Rocard dans un livre qui a fait sensation, Le Signal du Sourcier (Éditions Dunod, Paris, 1962) émet l’hypothèse que la sensibilité du sourcier sur le terrain résiderait aux creux des coudes : par des expériences avec des aimants, il montre qu’on peut, à ces points, bloquer la perception physique.
D’autres expériences, tout aussi minutieuses, avaient localisé différemment le phénomène. Dans un livre publié en 1934, Essai sur les Rayonnements de l’Homme et des Êtres vivants, l’Ingénieur C. VOILLAUME décrivait comment il était possible, avec de minuscules circuits oscillants parfaitement calibrés, de promouvoir la sensibilité nerveuse ou sympathique des opérateurs physicistes, ou la détection mentale des opérateurs mentalistes, pour en arriver même à des réglages mentaux physiquement valables, ou aux perceptions à grande distance et sur plan (dont le Professeur ROCARD lui, ne s’est pas occupé et au sujet desquelles il n’a pas pris position). Au fond, les thèses de VOILLAUME et de ROCARD ne s’opposent qu’en apparence, car, se limitant à l’étude des perceptions physiques et quasi immédiates, le Professeur ROCARD expérimentait sur les creux des coudes, qui sont des points de rassemblement des circuits nerveux et sympathiques en jeu, d’après VOILLAUME, dans les détections physiques. Depuis la parution du bel ouvrage du Professeur ROCARD, des radiesthésistes ont déjà observé que la pose d’aimants aux creux des coudes ne gêne pas toutes les perceptions radiesthésiques et n’affecte aucunement la sensibilité mentale, de près ou à distance.
Mais toutes ces théories, y compris celles qui résultent des expériences de VOILLAUME et de RMOCARD, si elles ont approché du mécanisme des perceptions, n’ont pas touché à la cause même de la sensibilité radiesthésique. À ce point de vue, seuls GABRIEL LESOURD et notre collaborateur APOLLONIUS ont avancé des hypothèses qui touchent le fond du problème, M. Lesourd en présentant le sens tactile comme unique sens, APOLLONIUS en constatant que la sensibilité radiesthésique est fonction du magnétisme humain. Idées qui se rejoignent et qui cadrent avec les explications les plus modernes.
Dans ses écrits et plus particulièrement dans Vie, Maladies, Radiations (MAISON DE LA RADIESTHÉSIE, Paris 1937, épuisé), GABRIEL LESOURD a rappelé que la sensibilité humaine, si elle s’exerce par différents organes spécialisés, est une, car la sensibilité est un phénomène propre à la vie et intimement lié à elle, qui se manifeste chez tous les êtres organisés par des réactions périphériques aux influences proches ou lointaines, ce qui chez l’homme se confond avec le sens du tact, la radiesthésie pouvant être assimilée à un toucher à distance.
Rejoignant des conceptions chères à JULES ROMAINS sur la vision paroptique, M. LESOURD disait très justement et d’une façon que personne ne désavouerait à présent : « La radiesthésie serait un phénomène de tact et résulterait de l’action mécanique du corps ou de la substance détectée sur le champ du sujet détecteur, grâce au champ d’extériorisation de ce dernier et au sien propre… Mais où placer ce sens du tact, ou plutôt le central général qui commande à chaque centre nerveux d’agir selon les lois immuables de la vie ? Vraisemblablement là où se trouve le fameux moteur invisible, peutêtre en dehors de nous, peut-être dans le champ de force qui entoure chaque être, peut-être en nous et, dans ce cas, nous pouvons songer à la fameuse glande pinéale qui, toujours ou presque, chez les radiesthésistes vraiment sensibles, nous a donné pendulairement une apparence de déséquilibre. Elle agirait vraisemblablement grâce au champ magnétique… Les phénomènes radiesthésiques sont ainsi liés à deux choses primordiales : vibrations des corps, champ de l’objet détecté et sensibilité du radiesthésiste, champ du détecteur… Radiesthésie et téléradiesthésie sont tributaires d’un seul sens, le sens du tact.
Observons au passage que, bien avant le professeur KRACHMAR de Vienne, M. GABRIEL LESOURD, dès 1937, concevait la radiesthésie comme la sensibilité du champ magnétique humain aux champs des choses détectées, que ceux-ci soient électromagnétiques, gravifiques, spirituels, etc. Mais du point de vue qui nous intéresse ici, le plus curieux c’est que dès ce moment l’essence de la sensibilité était exactement définie comme étant le sens tactile, sens unique dont le champ propre serait lié au champ magnétique de l’être humain.
Si l’on y réfléchit, on voit que cela apporte une explication à toutes les autres théories émises. Pourquoi des personnes ayant une malformation physique ou des vertèbres déplacées peuvent-elles se révéler plus perceptives que la moyenne ? Pourquoi des mains polarisées normalement conditionnentelles la perception au moins physique ? Pourquoi le creux des coudes est-il un endroit propice aux détections, bien que sans caractère absolu ? Pourquoi la sensibilité des opérateurs est-elle, suivant les méthodes pratiquées, nerveuse, sympathique, mentale, spirituelle ? Toutes ces « différences » détermineraient une condition instable du champ tactile, condition instable que la moindre variation des champs extérieurs pourrait affecter, ce qui serait le mécanisme véritable de la perception, par le sens unique, le sens du tact.
Dès les tout premiers numéros de notre revue, La Radiesthésie pour Tous, APOLLONIUS qui était d’ailleurs au courant des thèses de G. LESOURD, défendait cette idée que pour développer la sensibilité, il fallait cultiver le magnétisme humain.
C’est en se basant sur cette observation déjà vieille qu’Apollonius rappelait que tous les bons « percepteurs » (radiesthésistes, astrologues, chirologues, graphologues, etc.) sont naturellement des magnétiseurs efficaces. La perception, de près ou à distance, semble liée aux possibilités d’action et la sensibilité se confondre avec le magnétisme humain.
Sur cette notion, APOLLONIUS a développé une méthode d’entraînement magnétique, par des exercices sans sujet, permettant notamment aux radiesthésistes d’accroître considérablement leur sensibilité : il s’agit de la Méthode Expresse de Magnétisme personnel3, parue aux éditions Servranx. Depuis 1949, cette méthode a fait ses preuves dans le but bien précis d’accroître la sensibilité aussi bien que pour affermir le succès dans la vie. À lui seul, ce manuel résoudrait la question dont nous débattons aujourd’hui et nous n’y reviendrions pas si entre-temps une nouvelle méthode, parallèle et non contradictoire, n’avait été découverte au cours de nos recherches, menées d’ailleurs avec le concours d’Apollonius luimême et de M. W. HERRINCKX.
1– Graphique Servranx n° 12.
2– Force vitale, F. & W. SERVRANX, 2000, Servranx, Bruxelles.
3– Méthode expresse de magnétisme personnel, APOLLONIUS, 1996, Servranx, Bruxelles.
Nous évoquions il y a un instant les chakras ou centres de force du corps éthérique. Pourquoi l’éveil de ces centres, autrement dit l’ouverture de canaux périphériques comme les chakras, accroît-il la portée et la précision des perceptions ? Sans doute parce que ce mécanisme facilite l’extériorisation de la sensibilité, autrement dit le toucher à distance.
Et lorsqu’on étudie attentivement la liaison que l’on constate empiriquement entre :
– la sensibilité tactile, allant jusqu’à la téléradiesthésie,
– et l’extériorisation de liens fluidiques, allant jusqu’aux actions magnétiques, de près ou à distance,
on ne peut manquer d’observer que ce « toucher à distance », que ce soit pour percevoir ou pour agir, est une réalité et constituerait à lui seul une nouvelle méthode, si l’on prenait la peine de s’y entraîner.
C’est en poursuivant ces expériences et ces recherches que nous avons été amenés à distinguer dans le champ général de l’être humain, six champs particuliers, qui ne sont pas également éveillés chez tout le monde, et dont trois sont principalement perceptifs et trois émissifs.
– Le premier, lié à la vie, sorte de champ vital, permet plus spécialement la radiesthésie physique.
– Le deuxième, lié à la pensée concrète, sorte de champ mental, permet plus spécialement la radiesthésie mentale.
– Le troisième, lié à la pensée spirituelle et aux plus hautes facultés de l’être, sorte de champ « moral » – que l’on peut notamment mesurer au micromètre de MM. DE BÉLIZAL et MOREL– permet la radiesthésie sans instrument, l’inspiration pure.
Seul le champ vital est complètement éveillé, le champ mental commençant à réagir chez un grand nombre d’individus.
Chez tous les radiesthésistes cependant, ces trois champs perceptifs, même ceux qui sont encore endormis, travailleraient ensemble, réagiraient ensemble, la prédominance de l’un tenant surtout au mode opératoire, à la méthode suivie et aussi au degré d’éveil de l’individu.
– Le premier, lié à l’aura, permet les actions à distance avec instruments (formes, appareils) et notamment la radionique.
– Le deuxième, lié au monde des rêves, au corps astral des ésotéristes, permet les actions magiques.
– Le troisième, lié à la volonté et à l’esprit, permet le magnétisme, même à distance.
L’aura est déjà bien active, même si elle est encore inconsciente chez la plupart des gens, le champ volitif ayant un degré d’éveil encore très faible, mais quand même plus actif que le champ astral, à cette période de l’évolution humaine.
Cependant, ces trois champs travaillent ensemble dans toute action, dans toute extériorisation de l’être, la prédominance de l’un s’expliquant ici encore par la méthode d’action et le degré d’éveil de l’opérateur. Ceux qui confondent radionique et magie nous ont reproché de vulgariser la radionique, nous attribuant la paternité de cette dernière… C’est nous faire beaucoup d’honneur et ignorer le fait qu’avec ou sans radionique, le champ éthérique est actif chez tout le monde, même s’il est encore inconscient. Le moment est venu de diffuser la radionique et ce n’est pas sous notre impulsion ! Nous ne faisons qu’éclairer les lecteurs de langue française sur une possibilité tout à fait normale de notre temps. Et cela est totalement étranger à la magie. Quant à la magie, on peut sans inconvénient en donner les clefs, comme nous l’avons fait dans La Magie, Aujourd’hui4.
Les champs perceptifs et émissifs appartiennent au champ général de l’être humain, qui est lié au corps physique, luimême actif et perceptif à distance normale des cinq sens.
Les champs perceptifs et émissifs constituent des extensions de l’être dans l’invisible et pour tout ce qui n’est pas à portée immédiate dans l’espace (ou dans le temps, comme en radiesthésie divinatoire). L’éveil progressif de ces champs extensifs doit donc, le moment venu, doter l’être humain de possibilités accrues, dont la radiesthésie et le magnétisme d’aujourd’hui ne sont que des préfigurations !
Or, la similitude de ces champs avec les « corps de l’homme » connus des ésotéristes nous a frappés et c’est en cherchant à identifier chaque champ extensif avec son véhicule invisible et son monde correspondant que nous sommes parvenus à de nouveaux procédés, très intéressants, pour accroître la sensibilité des radiesthésistes et des magnétiseurs.
Ceci est connu de nos lecteurs au courant des thèses occultistes et théosophiques sur les véhicules de l’être humain. Les autres trouveront dans La Radiesthésie médicale5 de W. HERRINCKX, un exposé pour comprendre ce qui va suivre. Dans le chapitre sur les corps invisibles de l’homme, W. HERRINCKX a abouti à un graphique permettant des recherches courantes et a établi les analogies suivantes :
CORPS PHYSIQUE : homme minéral (véhicule perceptible par les sens),
CORPS ÉTHÉRIQUE : homme énergétique (électricité humaine),
CORPS VITAL : homme plante (inconscient végétatif),
CORPS ASTRAL : homme animal (inconscient instinctif),
CORPS MENTAL : homme éveillé (conscient et subconscient),
CORPS CAUSAL : le penseur (intelligence, mental abstrait, moi supérieur),
C. BOUDDHIQUE : l’âme (esprit, étincelle divine, mystique).
À l’aide du graphique de W. HERRINCKX, il nous fut très facile de reconnaître que :
– de façon générale, la pratique de la radiesthésie sous ses différentes formes, de près ou à distance, physique, mentale ou spirituelle, avec ou sans appareils, faisait vibrer à des intensités variables, mais toujours perceptibles à la baguette ou au pendule, les corps VITAL, MENTAL et BOUDDHIQUE même si ce dernier était encore en sommeil (ce qui est cas le plus fréquent dans notre monde moderne) ;
– de façon générale aussi, toutes les actions à distance, que ce soit à l’aide de formes ou de dessins, d’appareils, comme en radionique, par des procédés magiques ou par volonté, par magnétisme, etc., faisaient vibrer à des intensités variables, mais toujours perceptibles à la baguette ou au pendule, les corps ÉTHÉRIQUE, ASTRAL et CAUSAL, même si l’astral ou le causal étaient encore en sommeil (cas fréquents) ;
– l’on pouvait ainsi parler de corps essentiellement perceptifs et de corps essentiellement émissifs, les perceptions éveillant cependant une sorte d’écho ou de reflet dans les corps ou champs actifs, et réciproquement les actions éveillant un écho ou un reflet dans les corps ou champs perceptifs.
De telles expériences étaient faciles à combiner : si vous prenez un radiesthésiste un peu entraîné par une méthode purement physique, et si vous le testez à son insu (à l’aide de son témoin et d’un graphique des corps de l’homme) pendant qu’il opère par ses procédés et sans rien y changer – sans que cet opérateur puisse être physiquement gêné par cet examen – , vous trouverez que son travail s’opère par le corps VITAL, avec une résonance très nette dans les corps MENTAL