Nombres et cailloux qui agissent - F. Servranx - E-Book

Nombres et cailloux qui agissent E-Book

F. Servranx

0,0

Beschreibung

Comment imprégner des galets de forces très puissantes, comment bénéficier de son nombre personnel et secret ?​Certes, nous sommes dans un domaine subtil, où les forces mises en jeu obéissent à l'intention et reposent entièrement sur un appel mental à des forces cosmiques.Mais insistons sur l'objectivité des auteurs qui, en expérimentant sur des plantes ont permis de mettre au point des méthodes vérifiables par tous les opérateurs curieux et dépourvus de préjugés !Il est important aussi de bien considérer que les forces mobilisées par des nombres sont d'essence cosmique, car ce sont les forces cosmiques qui offrent, par leurs équivalents numériques, les influences les plus fortes et les plus exactes.On obtient du nombre personnel et secret les effets les plus curieux et les plus avantageux : santé, succès dans la vie, succès dans les sentiments, dans les finances, en radiesthésie... tout peut en être amélioré. Il s'agit d'une pratique simple et directe qui permet de bénéficier chaque jour des nombres les plus favorables.Le livre décrit, clairement et complètement, comment rechercher et mettre en oeuvre le nombre personnel et «charger» des Cailloux Busby qui constituent des moyens pratiques de mobiliser les influences cosmiques.EXTRAITOn sait, depuis les travaux de Turenne, Bovis, Christophe, Chaumery et de Belizal, Morel, Enel et de tant d’autres chercheurs que les formes émettent des influences qui agissent puissamment sur tout ce qui vit et qui ont été baptisées « ondes de formes ».Mais il appartenait à Marcel Perreaux d’attirer l’attention de nos lecteurs, depuis 1950, sur des dessins non figuratifs qui guérissent et portent chance. Comme l’expliquait M. Perreaux, on les obtient en suivant au crayon les mouvements esquissés par le pendule, dans une orientation mentale en rapport avec le but poursuivi. Cette idée devait faire son chemin ! Elle suscita de nombreuses recherches et allait aboutir aux diverses créations de dessins énergétiques, bénéfiques et téléinfluents.Jean Martin en présentait également une dizaine de spécimens dans un recueil, épuisé, intitulé Autres sources, nouveaux espoirs.Nous avons rassemblé différentes techniques pour élaborer ces dessins dans le livre Les dessins actifs1, traitant des tracés non figuratifs esquissés par le pendule et des dessins figuratifs pouvant donner les mêmes effets. Ce qui nous intéressera plus spécialement ici ce sont les formes qui paraissent en rapport avec des influences cosmiques et qui peuvent être remplacées par des nombres, ce qui conduit aux « cailloux Busby » dont il sera question plus loin.À PROPOS DES AUTEURSFélix, et son frère William Servranx, étaient belges. Ils mirent sur pied Le Bureau Servranx, un bureau de publicité. Passionnés par la radiesthésie, les frères Servranx ont également lancé une revue spécialisée dans ce domaine : La Radiesthésie pour tous ou L.R.P.T. Leur succès a engendré des consultations, des organisations de rencontres, des conférences et de nombreux livres et dossiers à ce sujet. Convaincues de l'importance capitale des écrits des deux frères, les éditions Servranx se chargent de les rééditer.

Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:

Android
iOS
von Legimi
zertifizierten E-Readern

Seitenzahl: 119

Veröffentlichungsjahr: 2014

Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:

Android
iOS
Bewertungen
0,0
0
0
0
0
0
Mehr Informationen
Mehr Informationen
Legimi prüft nicht, ob Rezensionen von Nutzern stammen, die den betreffenden Titel tatsächlich gekauft oder gelesen/gehört haben. Wir entfernen aber gefälschte Rezensionen.



Cet ouvrage regroupe des textes parus entre 1946 et 1967 : livres, dossiers Exdocin ou articles parus dans la revue La Radiesthésie pour tous et écrits par les frères Servranx ou leurs associés.

Nous rééditons tous ces textes dans le respect des originaux, mais rajeunis quant à la présentation et les illustrations, parfois quant au texte lui-même quand plus de clarté s’imposait.

Le but de ce livre est d’informer. Chacun l’utilisera sous sa propre responsabilité. En aucun cas, les éditions Servranx ou leurs associés ne sauraient être tenus pour responsables des préjudices fortuits, induits ou indirects découlant de son utilisation.

PREMIÈRE PARTIE

DESSINS, NOMBRES ET CAILLOUX QUI AGISSENT (CAILLOUX BUSBY)

EXDOCIN

F. ET W. SERVRANX

ORIGINE DES DESSINS ACTIFS DES FORMES ACTIVES AUX FORMES COSMIQUES

On sait, depuis les travaux de Turenne, Bovis, Christophe, Chaumery et de Belizal, Morel, Enel et de tant d’autres chercheurs que les formes émettent des influences qui agissent puissamment sur tout ce qui vit et qui ont été baptisées « ondes de formes ».

Mais il appartenait à Marcel Perreaux d’attirer l’attention de nos lecteurs, depuis 1950, sur des dessins non figuratifs qui guérissent et portent chance. Comme l’expliquait M. Perreaux, on les obtient en suivant au crayon les mouvements esquissés par le pendule, dans une orientation mentale en rapport avec le but poursuivi. Cette idée devait faire son chemin ! Elle suscita de nombreuses recherches et allait aboutir aux diverses créations de dessins énergétiques, bénéfiques et téléinfluents.

Jean Martin en présentait également une dizaine de spécimens dans un recueil, épuisé, intitulé Autres sources, nouveaux espoirs.

Nous avons rassemblé différentes techniques pour élaborer ces dessins dans le livre Les dessins actifs1, traitant des tracés non figuratifs esquissés par le pendule et des dessins figuratifs pouvant donner les mêmes effets. Ce qui nous intéressera plus spécialement ici ce sont les formes qui paraissent en rapport avec des influences cosmiques et qui peuvent être remplacées par des nombres, ce qui conduit aux « cailloux Busby » dont il sera question plus loin.

En septembre 1959, dans la revue La Radiesthésie pour tous, L. Poblin racontait les observations faites sur la végétation traitée à l’aide d’eau énergétisée : l’eau était chargée durant quatre minutes dans un bassin non métallique, sous une pyramide dont les faces étaient orientées aux points cardinaux. Cette eau, syntonisant avec le « vert négatif », avait des effets extraordinaires sur les plantes et favorisait le volume et la qualité des produits.

À cette observation, M. Poblin ajoutait : « Le pendule m’a tracé un dessin donnant cette vibration. En le mettant entre deux pièces de tissu de nylon blanc, on peut charger de l’eau mise sur cet ensemble dans un bassin non métallique. Elle est saturée en quatre minutes. Le disque du Dr Marty indique un plus grand accroissement de vitalité des plantes qu’en utilisant une pyramide. J’expérimente également sur d’autres plantes, rosiers et dahlias, en mettant contre leur pied, sur le sol, une pierre chargée avec ladite vibration. Les arrosages se font alors avec de l’eau ordinaire. Bien que cet essai soit très récent, on peut noter déjà des résultats positifs. » Et M. Poblin présentait le dessin que nous reproduisons en figure 1. D’après les écrits d’Enel, M. Poblin dénommait cette influence de vert négatif comme étant la « vibration Oméga ».

En avril 1960, M. Poblin présentait un nouveau dessin donnant une radiation plus forte et plus proche du rayon pur, bénéfique de la vibration Oméga. Nous reproduisons ce dessin en figure 2. Étudiant la possibilité d’obtenir cette même radiation avec des chiffres, M. Poblin avait trouvé au pendule le nombre 6384 qui, entouré d’un cercle et valorisé entre deux morceaux de nylon blanc, semblait donner, sur la végétation, une action plus forte que le dessin. Sauf erreur, c’est une des premières tentatives de partir d’un nombre pour sélectionner une force cosmique.

Pour charger l’eau, soit avec l’un des dessins 1 ou 2, soit avec le tracé du nombre dans un cercle, il suffit de placer le graphique employé entre deux morceaux de tissus de nylon blanc et de placer sur l’ensemble un récipient non métallique rempli d’eau. La charge est complète en cinq minutes. L’eau ainsi énergétisée doit être utilisée dès la mise en terre des semences ou des plantes. On peut y ajouter une demicuillerée à café d’urine par litre, pour y associer les auxines et hormones végétales que contient l’urine et qui renforcent les racines. L’arrosage devrait être répété environ trois fois, à une dizaine de jours d’intervalle.

En août 1960, M. Poblin écrivait, toujours dans La Radiesthésie pour tous, qu’il avait syntonisé un autre nombre, le nombre 199, d’une action plus forte sur la végétation que le nombre 6384. L’imprégnation du sol avec de l’eau chargée par 199 était plus persistante et de plus longue durée. Des essais faits sur des rosiers ont donné de très bons résultats. Un rosier qui n’avait porté qu’une seule rose trois ans auparavant en avait 35. Enfin, M. Poblin constatait que l’influence du nombre 199 pouvait se transmettre à une culture par radionique, en faisant agir le nombre 199 sur le plan exact et bien orienté du terrain, dans un appareil de radionique ou par radionique solaire, en séances d’une demiheure.

Que ce soit sur place ou à distance, deux précautions étaient à prendre :

– Après la charge de l’eau par le nombre 199, il fallait soulever légèrement le récipient, pour enlever tout d’abord une épaisseur de tissu de nylon et ne retirer le récipient que lorsqu’il ne restait plus qu’un nylon au risque de voir la charge neutralisée si on laissait subsister les deux nylons à l’enlèvement. Il semble que les épaisseurs de nylon autour du dessin jouaient ainsi le rôle de treillis… On n’aurait pas cet inconvénient en valorisant les nombres et les dessins au décagone.

– Il fallait éviter d’exagérer les temps, les doses, et surtout ne pas superposer deux nombres 199 pour ne pas risquer de « griller » les plantes par une influence excessive.

En septembre 1962, M. Poblin proposait un dessin, inspiré du générateur de couleurs de Capes, comme ayant une influence de vert négatif encore plus puissante. Nous reproduisons ce graphique en figure 3 : il suffit de régler une feuille de papier et de tracer au centre une ligne perpendiculaire à orienter en nordsud. Placé entre deux pièces de tissu de nylon de même surface, il permet de charger en quelques minutes tout corps placé sur cet ensemble. Cette influence de vert négatif s’avérait utile en de nombreux cas, en agriculture et comme remède en certaines maladies. Utilisée mal à propos, elle pouvait être très dangereuse. Les personnes dont l’état de santé est normal n’en ont pas besoin.

Nous arrêterons là cet aperçu des communications de M. Poblin à La Radiesthésie pour tous. Son mérite est très grand. Ce n’est évidemment pas le seul auteur à avoir présenté des dessins actifs, à avoir utilisé les nombres, mais il a expérimenté sur des plantes, ce qui exclut toute incidence de suggestion ou de télépathie.

On sait bien que même sur des cultures, l’action de l’état d’esprit de l’opérateur reste à considérer et rien ne permet d’affirmer qu’un expérimentateur rempli de doutes et d’hésitations obtiendrait forcément sur des végétaux les effets puissants du vert négatif par l’utilisation d’un dessin Oméga, du nombre 6384 ou 199, ou du générateur de Capes. Nous sommes dans un domaine subtil, où les forces mises en jeu obéissent à l’intention ; cela ne va pas jusqu’à créer des énergies qui n’existeraient pas, mais cela peut faire rater des phénomènes comme la charge de l’eau ou de galets.

Nous allons nous en rendre compte par les premiers essais de M. Busby, qui reposaient entièrement sur un appel mental à des forces cosmiques. Mais insistons sur l’objectivité de M. Poblin qui, en expérimentant sur des tomates, des rosiers, des dahlias, etc., a permis de mettre au point des méthodes que tous les opérateurs curieux et dépourvus de préjugés pouvaient répéter ! Et rendonslui hommage d’avoir été l’un des premiers à souligner et contrôler l’équivalence des nombres et des formes, et peut-être la supériorité des nombres, quand il s’agissait de capter des forces cosmiques.

Soulignons enfin l’esprit d’équipe de M. Poblin, qui décrit toujours clairement et complètement ses procédés, qui répète volontiers les essais des autres radiesthésistes et qui parvient souvent à perfectionner leurs méthodes, sans jamais chercher à en tirer vanité ou à s’approprier les mérites d’autrui.

Nous allons retrouver ce même esprit d’équipe chez M. Busby. Et comme ces deux auteurs se sont souvent consacré aux études de l’action des forces cosmiques sur les plantes, il serait bien difficile de trancher nettement la question d’antériorité.

Graphique à reproduire à l’identique. - Figure 1

Graphique à reproduire à l’identique. - Figure 2

Graphique à reproduire à l’identique. - Figure 3

Il nous semble équitable de tenir M. Busby pour le père des Cailloux Busby, mais il nous a paru tout aussi équitable de rappeler la part importante qu’avait prise M. Poblin à des recherches parallèles, nos deux amis ayant, au départ, répété et cité les essais l’un de l’autre, tout en fournissant leur apport sans autre souci que d’être utiles à tous les autres radiesthésistes.

1– Les dessins actifs, F. et W. Servranx, Servranx, 2009, Bruxelles.

ORIGINE ET DÉVELOPPEMENT DES CAILLOUX BUSBY

C’est en juillet 1959 que H. O. Busby donnait à La Radiesthésie pour tous, par l’intermédiaire de son correspondant londonien, M. Noël Macbeth, un article intitulé : « Comment imprégner des galets de forces très puissantes ». Il semble avoir été le premier à avoir eu cette idée de charger des cailloux de force cosmique. Mais sa technique est encore purement mentale : il prend un galet entre les mains, en pensant à une énergie cosmique et bénéfique, avec l’intention d’en charger la pierre. Il constate ensuite que pour charger d’une même force d’autres galets, il ne doit plus les tenir entre les mains, il suffit de les laisser en contact du premier durant environ 24 heures, en plein air, sur une feuille de métal (le métal est mauvais conducteur de ces influences).

Un galet, un vulgaire caillou se charge donc en quelques minutes si on le tient entre les mains avec l’intention de le charger d’une énergie cosmique bienfaisante, ou en 24 heures au contact d’un autre caillou chargé, pourvu que la charge par contact se passe en plein air, sur une feuille de métal. Une fois chargé, un galet ne perd pas son énergie en l’émettant, il conserve une charge constante, ce qui porte à penser qu’il continue à recevoir de l’ambiance la même énergie que celle qu’il émet.

Un seul galet chargé étend son influence à plusieurs miles et M. Busby parvient à suivre l’influence d’un galet imprégné jusqu’à 6 miles (9654 mètres).

Si la force est intentionnellement bien choisie, on pourra s’en servir en protection contre les ondes nocives. Et M. Busby annonce qu’il expérimentait encore la transmission par galets d’influences spéciales, capables de détruire les mauvaises herbes.

L’essentiel tient dans ces premières observations : le galet, chargé intentionnellement d’une force cosmique déterminée, agit dès lors comme un dispositif de radionique : il maintient le signal en permanence, sans perdre sa charge et il peut communiquer le signal à d’autres cailloux en plein air, sur une feuille métallique qui les isole de la déperdition au sol.

M. Poblin ayant contrôlé et vérifié ces observations, notées dans une communication de septembre 1959, M. Busby de son côté contrôle et vérifie à son tour les expériences de M. Poblin sur la vibration Oméga.

En mars et en juillet 1960, M. Busby livre à La Radiesthésie pour tous les essais concluants qu’il a faits pour charger des cailloux avec les dessins de M. Poblin et, se référant à la communication d’avril de M. Poblin, il en vient à l’équivalence des nombres. Il n’y a de divergences dans leurs observations que sur des points secondaires : si, au lieu de charger des galets d’énergie cosmique bienfaisante, on les charge d’orgone (magnétisme universel) ou de vibration Oméga, forces respectives des influences, supérieure pour l’orgone et même dangereuse selon M. Poblin, inférieure pour l’orgone selon M. Busby, tous deux reconnaissant à la vibration Oméga une influence maximum. Et M. Poblin rappelle les accidents déjà constatés par le Dr Reich avec des concentrations d’orgone, tandis que M. Busby propose un troisième dessin pour la vibration Oméga (voir figure 4) dont l’équivalent numérique serait 7495.

Entre-temps, la technique de M. Busby s’affirme. Se servant d’un graphique (dessin ou nombre dans un cercle), il pose un caillou au centre et commence à faire girer le pendule au-dessus « pour lui faire prendre vie ». Le pendule cesse ses girations au bout de trois à quatre minutes. D’autres cailloux sont alors placés dans une boîte en ferblanc ouverte au-dessus, et le caillou chargé est mis au-dessus des autres. En 24 heures, tous les cailloux sont chargés de la vibration Oméga ou du nombre, suivant le graphique de départ. Tous les contrôles sont effectués au disque de 360°, 360 figurant la charge maximum.

Graphique à reproduire à l’identique. - Figure 4

Si, à travers un tuyau métallique contenant des cailloux chargés, on fait couler de l’eau, l’eau se charge de la force des cailloux. En agissant à distance sur le jus de mauvaises herbes, par des cailloux chargés, M. Busby parvient à faire périr les mauvaises herbes (uniquement l’espèce dont il a utilisé le jus en témoin), par un dispositif de radionique. Continuant ses expériences sur les mauvaises herbes avec des cailloux, M. Busby en venait à la conclusion que toute chose avait son nombre d’accord, qui n’est pas le chiffre de série connu en radiesthésie, mais un nombre actif. Vous pouvez obtenir le nombre d’accord d’une mauvaise herbe déterminée, vous pouvez aussi bien obtenir le nombre qui la tuera.

M. Busby cherchait alors un nombre représentant un engrais chimique complet et la forme correspondante. Il l’avait trouvé dans le nombre 9.000 (voir fig. 5) et dans un dessin rappelant une étoile à cinq branches (fig. 6), chacun inscrit dans six cercles concentriques.