Mon parcours vers la communication animale - Lydie Lebreton - E-Book

Mon parcours vers la communication animale E-Book

Lydie Lebreton

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Beschreibung

"Mon parcours vers la communication animale" explore l’univers de la communication animale à travers trois parties distinctes. La première retrace le parcours personnel de l’auteure, prouvant que cette pratique est accessible à tous, et met en lumière l’importance de ses animaux, véritables guides dans son cheminement. La deuxième partie présente sa méthode de communication animale et les principes essentiels qui la composent. Enfin, la troisième partie aborde le rééquilibrage énergétique, complément précieux pour approfondir cette connexion avec les animaux.

À PROPOS DE L'AUTRICE 

De comportementaliste canin passionnée à communicatrice animale, Lydie Lebreton signe ici un ouvrage né d’un deuil intime, devenu un véritable pont entre l’homme et l’animal. À travers cette expérience personnelle, elle partage son savoir avec sensibilité et engagement, guidée par l’envie profonde de renforcer l’harmonie entre humains et compagnons à quatre pattes.

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Seitenzahl: 152

Veröffentlichungsjahr: 2025

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Lydie Lebreton

Mon parcours vers

la communication animale

Essai

© Lys Bleu Éditions – Lydie Lebreton

ISBN : 979-10-422-7071-1

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Préface

Ce livre se compose de trois parties :

– La première relate mon cheminement pour arriver à la communication animale et aussi vous démontrer que cela est possible pour tout le monde.

– La deuxième est une initiation à cette magnifique discipline qu’est la communication animale. Je vous transmettrai ma méthode. À mon sens, il existe aujourd’hui presque autant de manières de pratiquer que de formations, mais la base reste la même. Je développerai aussi les bases qui me semblent importantes pour communiquer avec les animaux et comment recevoir puis transmettre les informations reçues de l’animal en communication.

– La troisième est sur le rééquilibrage énergétique qui est, pour moi, un complément intéressant à la communication animale.

Dans la première partie, un chapitre important est consacré à mes animaux. Certaines personnes à qui j’ai fait relire mon livre avant l’édition l’ont trouvé trop riche. Dans un premier temps, j’ai voulu diminuer ce chapitre. Puis, je me suis écoutée et je l’ai peu touché. Car, ce livre est aussi pour moi une manière de faire mon deuil. Je pense qu’en tant qu’ami des animaux, vous comprendrez ce besoin et j’espère que vous apprécierez de découvrir son histoire tout autant que découvrir l’initiation à la communication animale.

Introduction

Si vous avez ouvert ce livre, c’est certainement parce que la Communication animale vous appelle ou, en tout cas, vous interpelle. Le changement dans les énergies actuellement amène beaucoup de monde à voir la vie autrement et à s’intéresser à d’autres disciplines, comme la communication animale. Certaines personnes s’éveillent à une autre façon de vivre, ouvrent les yeux à une autre réalité que celle que l’on nous propose dans les journaux, à la télévision et bien d’autres médias. De plus en plus de personnes travaillent en lien avec le monde subtil : les magnétiseurs, les hypnothérapeutes, les médiums, les énergéticiens…

La Communication animale est une manière de travailler avec ce monde très enrichissant, harmonieux et qui permet d’avancer sur son chemin de vie et de voir d’autres facettes de notre présence sur Terre.

Selon Albert Einstein : « Tout est énergie, et c’est là tout ce qu’il y a à comprendre dans la vie. Aligne-toi à la fréquence de la réalité que tu souhaites et cette réalité se manifestera. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique ».

Depuis ces dernières années, la communication animale semble se démocratiser, j’ai peut-être cette impression parce que je m’y intéresse. Il faut dire aussi que, face aux perspectives angoissantes et instables proposées de nos jours, face à la mécanisation de nombreux écosystèmes, un besoin de retourner aux sources et aux choses simples de la vie, à l’authenticité de la nature devient nécessaire. Il y a de plus en plus de propositions de formations où les femmes sont en majorité.

Ce qui me fait un peu peur dans cette démocratisation c’est que tout le monde se mette à communiquer avec les animaux, en fasse un business, dévalorise la communication et également « raconte » n’importe quoi aux animaux ou sur les animaux. Alors oui, comme je l’ai écrit en 1er lieu, tout le monde peut communiquer avec les animaux, mais il y a tout de même certains prérequis, une éthique et aussi des limites. Souvent les gardiens demandent une communication avec leur animal pour des raisons émotionnelles : Parce qu’ils veulent savoir comment il va ? Savoir s’il souhaite partir ? Savoir pourquoi il a ce comportement ? S’il nous aime ? … Il est à mon sens inconcevable de faire une communication animale sans avoir de compétences et de raconter des « bêtises » au gardien. Le lien entre le gardien et l’animal est trop important, parfois fragile, pour prendre le risque de transmettre des informations erronées. Bien entendu, une communication animale n’est pas fiable à 100 %. À mon sens, une personne qui communique avec les animaux doit rester humble et toujours savoir se remettre en question.

Qui suis-je ?

Je suis Lydie Lebreton, je n’ai pas d’enfant. Mes enfants, ce sont les animaux. Je suis une personne cartésienne, j’ai aussi une formation scientifique en chimie. Je garde un côté « terre à terre » qui me permet, je pense, de rester connectée à la réalité et de ne pas être trop « perchée ». J’adore passer du temps dans la Nature, passer du temps avec mes animaux.

Mon enfance

J’ai toujours eu l’impression depuis toute petite d’être différente des autres. J’ai toujours eu du mal à m’intégrer. J’enviais les filles de mon âge qui étaient extraverties et qui étaient les « stars » de l’école. J’avais l’impression qu’elles étaient mises en lumière, que tout le monde les regardait et faisait attention à elle. J’ai toujours eu peu d’ami(e)s, j’étais souvent seule. Il faut dire aussi que mes parents ne me laissaient pas beaucoup de liberté et la possibilité de sortir. Même lorsque j’ai eu mon premier amour, ma mère n’a pas accepté qu’il dorme chez nous.

J’ai l’impression parfois de ne pas avoir profité suffisamment de ma jeunesse et de l’insouciance de mon enfance.

Je préfère la compagnie des animaux qui sont pour moi des êtres vrais, sans faux semblant, qui ne jugent pas et qui pardonnent facilement nos erreurs. Aujourd’hui, j’ai peu d’ami(e)s, mais je peux compter sur eux si j’ai besoin.

Je suis une personne qui a les pieds sur terre avec le sens des réalités, mais je reste une grande enfant. Parfois, on me trouve « décalée », mais je me moque du regard des autres. Je ne pense pas toujours comme tout le monde. Comme une enfant, j’aime m’émerveiller, m’amuser, dire les choses sans filtre. C’est peut-être un peu grâce à cette part enfant que je peux communiquer avec les animaux.

J’ai toujours eu la fâcheuse tendance à être parfois trop directive, honnête et entière à mon sens, dans mes propos et cela ne plaît pas toujours.

À l’époque, j’étais très fermée, je ne croyais pas à tout ça. J’avais perdu mon âme d’enfant, car, lorsqu’on est enfant, on est plus ouvert et on perçoit des choses que les adultes ne voient plus. C’est en effet, généralement, sous la pression des parents qui souhaitent l’intégration sociale de leurs enfants que cette magnifique qualité s’éteint. Pour être socialement correct, il faut penser et faire comme tout le monde. De plus les moyens de communiquer artificiellement comme maintenant avec les portables dès la petite enfance ne laissent pas de place à la communication intuitive. C’est ainsi qu’on peut distiller le doute dans la tête d’un enfant. On demande souvent aux enfants de grandir trop vite et on leur impose souvent des règles de « bonne manière » qui les empêche de profiter de l’insouciance d’être un enfant. L’exemple le plus frappant pour moi est celui d’obliger les enfants à embrasser une personne pour lui dire bonjour. C’est un peu comme quand on oblige un chien à subir une caresse d’une personne qu’il ne connaît pas.

Le milieu extérieur est très important pour évoluer. Dans mon adolescence, quand mes parents ont divorcé, j’ai laissé un peu mes études de côté. Disons que c’était une excuse supplémentaire pour moins bosser. Avec du recul, et, en réalité, cela manifestait un malaise important que je n’ai pas su examiner. Par ailleurs, même si je n’ai pas eu une enfance malheureuse, je n’ai pas vraiment eu l’enfance insouciante que tout enfant devrait avoir. Notamment j’étais la grande sœur qui devait s’occuper de son petit frère et assurer les tâches ménagères de la maison.

Je suis une personne qui a pris l’habitude de s’appuyer sur ses facilités, capacités et aussi de ne pas forcément s’écouter. Pourtant, pour avancer dans l’énergétique et pouvoir aider les autres, il faut avant tout prendre soin de soi, écouter les signes et parfois sortir de sa zone de confort.

Ainsi, on me dit souvent que je devrais être plus douce et à l’écoute de mon enfant intérieur. Mais c’est quelque chose que je n’ai pas appris et dont je n’ai pas l’habitude. Après plusieurs signes de l’Univers, j’ai décidé de participer à un stage sur l’enfant intérieur. Ce qu’il est ressorti de ce stage, c’est l’abandon. Ce n’est pas le sujet du livre, donc je ne développerai pas, mais, en effet, je me suis sentie abandonnée par mes amis à l’école, par mes parents qui m’ont quelque part fait grandir trop vite. Cela explique certainement pourquoi j’aime tant les animaux qui ne nous abandonnent pas, sauf quand ils s’en vont. Et même là encore, ils restent près de nous s’ils ressentent que nous en avons besoin.

À la suite de divers emplois et d’une fin de CDD dans une entreprise qui m’avait fait espérer une embauche, j’ai ressenti le besoin de créer ma propre activité en lien avec les animaux. Ainsi, je me suis formée au métier d’éducateur comportementaliste canin. J’ai toujours beaucoup aimé les chiens, même si nous n’en avons pas eu lorsque j’étais enfant. Mes parents ont eu un berger allemand qui gardait la station-service dont ils étaient les gérants. Ma mère a eu un petit caniche dont j’ai peu de souvenirs. Les seuls souvenirs que j’ai c’est que mon père a emmené ce berger allemand un jour et il est revenu sans et que ma mère a replacé ce petit caniche rapidement.

Ainsi j’ai créé mon activité Animo’Relax en 2008 pour aider les humains avec leurs chiens. Mais surtout pour aider les chiens à se faire comprendre de leurs gardiens et essayer de leur apporter une vie sur Terre la plus douce possible.

J’ai adopté Dickens, mon premier chien, en 2008 également. Je vous parlerai de lui plus tard. Et Freyja, dont je vous parlerais plus tard également en 2010. Avant d’avoir des chiens, j’ai eu des lapins nains et des cochons d’Inde.

Il y a plusieurs années, je me rappelle avoir vu à la télévision une personne qui parlait aux animaux. Dans mon souvenir, elle avait les gardiens au téléphone et elle réalisait une sorte de dialogue entre l’animal et son propriétaire. Elle jouait le rôle d’interprète. Cette dame m’avait vivement interpellée, mais pas forcément en positif. Je m’étais dit que c’était du charlatanisme et que les gens croient vraiment en n’importe quoi. En tout cas, moi, je n’y croyais pas. Mais avec du recul, je me dis que, peut-être inconsciemment, ce reportage a été pour moi le déclic.

Ainsi, depuis maintenant presque 5 ans, je pratique également la communication animale. Je suis aussi énergéticienne essentiellement pour les animaux, toujours dans le but de leur apporter la vie la plus douce possible. Je ne veux pas juste donner de simples conseils, je souhaite créer un accompagnement bienveillant afin que le gardien et son animal créent un lien unique et se comprennent mutuellement.

Vous l’aurez certainement compris, ma priorité est le bien-être des animaux.

Je donne toujours la priorité aux animaux. Les personnes qui me connaissent bien le savent. D’ailleurs, un jour, en discutant lors d’une formation professionnelle, une personne, qui me connaît bien, a dit pour me présenter à d’autres personnes que ma priorité sont les chiens avant les clients. Je ne comprends pas les gens qui peuvent maltraiter leur animal. Les humains n’ont pas toujours conscience de maltraiter leurs animaux, mais ne pas répondre à leurs besoins est une sorte de maltraitance, comme un chien qui n’est jamais promené et reste dans le jardin.

Pour moi, les animaux sont bienveillants, ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas des humains. Mais si vous avez ce livre entre les mains, c’est que vous êtes certainement bienveillant et que vous souhaitez en savoir plus sur la communication animale.

J’ai participé à ma première formation en communication animale en septembre 2015 et ma première formation en énergétique, en Reiki, en mai 2017. Je me suis alors rendu compte que je ne devais pas rester avec mon conjoint de l’époque. Avec lui, je ne pouvais pas évoluer spirituellement. Pour lui, tout ça « c’est du pipeau », cela n’existe pas et ne peut pas fonctionner. J’ai mis du temps à m’écouter, mais je suis sortie de ma zone de confort. Ainsi, fin 2018, je suis partie avec mes chiens, Dickens et Freyja, et quelques affaires. Cela fait un bien fou.

En 2018, j’ai également repris une activité salariée qui ne me convient pas forcément et qui m’emprisonne peut-être un peu. Mais avoir une activité « alimentaire » me permet aussi de pouvoir créer sereinement l’avenir professionnel dont je rêve.

En 2022, j’ai arrêté Animo’Relax. Je me suis éteinte petit à petit dans mon activité salariée. Fin 2024, j’ai décidé de déménager, de me mettre en disponibilité et de relancer mon activité. Travailler avec les chiens me manquait trop. Je crois que les départs de Freyja, ma chienne, en début d’année, et de Cadichon, mon chat m’ont poussé à reprendre ce qui me fait vibrer : accompagner les humains et leurs animaux.

Le chemin n’est pas tout droit et sans embûches. Il est important de continuer et également important de ne pas hésiter à changer de vie, de milieu pour avancer plus sereinement et évoluer sur son chemin de vie.

Mon dernier conjoint m’a motivé à avancer, il m’a boosté et m’a poussé à faire des communications et des séances en énergétique. Je pouvais lui raconter mes séances, il m’écoutait sans jugement. Et ça, c’est énorme. Il m’a permis également de beaucoup travailler sur moi-même. En effet, je n’avais pas envie qu’on se sépare, mais la communication avec lui n’était pas toujours possible était parfois bloquée. Pour éviter cela, j’ai appris à communiquer autrement en parlant de manière plus posée et sans jugement. En effet, je suis une personne plutôt impulsive et qui ne met pas toujours les formes dans ses paroles. Quelque part cela m’a apaisé, je suis plus calme et cela est important pour avancer d’être dans le non-jugement. J’ai encore des ratés, il est difficile de changer du jour au lendemain et j’ai un certain caractère. Mais je pense que, tout en gardant un caractère affirmé, on peut communiquer posément et arriver à donner son point de vue sans jugement et sans s’énerver.

J’évolue de jour en jour. En effet, j’ai eu un passage difficile avec mon dernier conjoint. Il n’a pas été facile pour moi de ne pas pouvoir discuter et de rester sur des non-dits. Avec de la patience, de l’écoute et de la compréhension, j’ai réussi à crever l’abcès et discuter avec lui. Je me suis sentie trahie par un de ses actes, mais il m’a expliqué pourquoi il avait fait ça, je l’ai repoussé dans ses retranchements. J’ai appris à ne pas toujours mettre la faute sur l’autre, si quelque chose arrive, on a souvent sa part de responsabilité. Mais j’ai aussi appris à me préserver et à ne pas dépendre de lui. J’en étais épuisée, je perdais toute mon énergie à ne pas parler et à vouloir à tout prix arranger la situation. J’ai pris ma part de responsabilité, je lui ai demandé de prendre la sienne, nous avons discuté et tout va mieux. Il faut respecter l’autre, mais il faut avant tout s’écouter, se respecter, ce n’est pas de l’égoïsme c’est ce qui permet d’évoluer. La vie n’est pas un long fleuve tranquille… Cependant, nous sommes trop différents, et à ce jour, la communication entre nous reste trop difficile malgré nos efforts respectifs. Chacun avance à son propre rythme et il est important de respecter les différences de l’autre sans vouloir forcément le changer pour qu’il soit comme on voudrait. Je préfère en rester là avec lui, car la charge mentale que cela entraîne pour moi me freine dans mon évolution spirituelle. Nous avons donc décidé d’un commun accord de nous séparer en mars 2023. Il vaut mieux se séparer et rester en bon terme avant de se déchirer.

Dorénavant, je pense rester seule un moment, car le fait de rester seule est, à mon sens, un bon exercice pour apprendre à mieux se connaître et travailler sur soi. Pour avancer au mieux, j’ai déménagé, ce n’est pas simple de vivre seule dans un endroit où je ne connais personne. Mais je pense qu’il est important parfois d’être seule pour apprendre à prendre soin de soi et avancer sur son chemin.

Mes croyances

Je finis ma présentation en vous parlant de mes croyances.

Dans mon enfance, j’ai pratiqué le catéchisme et j’allais même à l’église tous les dimanches matin avec mon Papy. Je me rappelle qu’on nous disait que chacun a un ange gardien près de soi et toute notre vie. Disons que je croyais en Dieu, en l’au-delà, mais il me paraissait impensable de parler avec les défunts ni même avec les vivants et encore moins avec les animaux de la manière dont cette dame le faisait.

J’en profite ici pour faire une parenthèse sur le fait que la religion et la spiritualité sont deux milieux différents. Il est possible d’être croyant et non spirituel. En revanche, je pense que quelqu’un qui est spirituel est croyant. Être croyant n’est pas forcément croire en un Dieu, quel qu’il soit selon la religion, mais en l’Univers. La spiritualité est un processus d’exploration de soi-même et de la réalité, qui nous fait grandir et évoluer.

Comme le disait Einstein : l’expérience est le cœur de la vie, tout le reste (la théorie, la connaissance) n’en est que préparation.

En 1936 à Princeton, Einstein voit apparaître devant lui un enfant, qui lui posa cette question : « Monsieur est-ce que vous croyez en Dieu ? »…

Albert Einstein lui répondit : « Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science finiront par comprendre qu’un Esprit se manifeste dans les lois de l’univers, un Esprit immensément supérieur à celui de l’homme. »