poésies théâtre - Claude Pariset - E-Book

poésies théâtre E-Book

Claude Pariset

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Beschreibung

ode lai sonnets marotiques théâtre d'objets style japonais

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Seitenzahl: 112

Veröffentlichungsjahr: 2020

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TABLE DES MATIERES

Pennac

Vivons pour prier

Les moulins de mon cœur

Poésie de la Saint Valentin

Vive le vent

Lettre à une amie

Voici une petite poésie

L'écrivain et sa muse

Prière à mon père

Prière à notre Dame

La marche de saint joseph

Requête à Dieu

Un p'tit vers

Un bananier sur le sol islandais

Oh vanina

Essai de poésie

Un peu de sagesse en est-ce?

Les nuages

Une bonne bière

Rimes en âme

Embouteillages

Vas y tout doux

Un aprem chez Glawdys et Sté

A l'occasion

Claude écrit une ode

Une petite poésie pour Zézette

Un israélite

Poésie du matin

Encore une poésie

Rimes en age

Famille

Respire le vent

Du passé

Faux témoignage

Un jour le soleil

La panne

Ca va?

Délice

Sonnet marotique

Sonnet français

Royaume

Ministre de l'économie

But de la vie

Militaire

Rencontre

Paris

Mariage

Canicule

Poète

Punition

Ego du passé

Vélo

Salade de fruits

Rumeur

Amour interdite

Amours sauvages

L'argent

Entre la vie et la mort

Pensées

Lamentations

Cigarillo

Un ami

Les péchés

Parousie

Sabine(gentil) kiki (hargneux)

Les dix commandements

La lumière

Ballade homophone

Gens heureux

Le mariage

Le souffleur de feuilles

Noir et blanc

Rondeau ancien

Rondeau nouveau

Rondeau actuel

L'homme et son chien

Une fille

Virelai

Chant royal

Une pièce de théâtre d'objets

Vous trouverez des explications sur les commandements du lecteur selon Pennac.

Les voici :

« Le droit de ne pas lire »

« Le droit de sauter des pages »

« Le droit de ne pas finir un livre »

« Le droit de relire. »

« Le droit de lire n'importe quoi » (même s'il y a des bons et des mauvais romans)

« Le droit au bovarysme » (c'est-à-dire à la passion quand on lit).

« Le droit de lire n'importe où »

« Le droit de grappiller » (commencer un livre par le milieu !)

« Le droit de lire à haute voix »

« Le droit de nous taire » (taire nos sentiments à l'égard du livre)

une désacralisation de la lecture, ainsi qu'une invitation à réfléchir... et à prier.

Vivons pour prier! Et prions pour vivre!

Emprisonnement Nelson Mandela est emprisonné dans l’île prison de Robben Island où il restera dix-huit de ses vingt-sept années de prison. Il effectue des travaux dans une carrière de chaux, sa notoriété s’étend au niveau international ; la poussière et la lumière obligent N.M. à se faire opérer du canal lacrymonasal.

Il récite et enseigne le poème Invictus (invaincu) de Henley :

Dans les ténèbres qui m’enserrent

Noires comme un puits où l’on se noie

Je rends grâce aux Dieux, quels qu’ils Soient

Pour mon âme invincible et fière.

Dans de cruelles circonstances

Je n’ai ni gémi ni pleuré

Meurtri par cette existence

Je suis debout, bien que blessé.

En ce lieu de colère et de pleurs

Se profile l’ombre de la mort

Je ne sais ce que me réserve le sort

Mais je suis, et je resterai sans peur.

Aussi étroit est le chemin

Nombreux, les châtiments infâmes

Je suis le maître de mon destin

Je suis le capitaine de mon âme.

William Ernest Henley (1843-1903)

Après avoir lu ce poème tu peux sonder ton cœur et contacter la force en toi. Son secret est d’avoir su voir en l’autre, son frère humain, un autre lui-même, avant de voir en lui un geôlier, un Noir, un Blanc, un puissant ou un narcissique égoïste imbécile. Maintenant tu peux œuvrer dans la paix et l’harmonie chez toi, avec tes parents.

Les Moulins de mon cœur:

de Michel Legrand

Comme une pierre que l´on jette

Dans l´eau vive d´un ruisseau

Et qui laisse derrière elle

Des milliers de ronds dans l´eau

Comme un manège de lune

Avec ses chevaux d´étoiles

Comme un anneau de Saturne

Un ballon de carnaval

Comme le chemin de ronde

Que font sans cesse les heures

Le voyage autour du monde

D´un tournesol dans sa fleur

Tu fais tourner de ton nom

Tous les moulins de mon cœur

Comme un écheveau de laine

Entre les mains d´un enfant

Ou les mots d´une rengaine

Pris dans les harpes du vent

Comme un tourbillon de neige

Comme un vol de goélands

Sur des forêts de Norvège

Sur des moutons d´ océan

Comme le chemin de ronde

Que font sans cesse les heures

Le voyage autour du monde

D´un tournesol dans sa fleur

Tu fais tourner de ton nom

Tous les moulins de mon cœur

Ce jour-là près de la source

Dieu sait ce que tu m´ as dit

Mais l´été finit sa course

L´oiseau tomba de son nid

Et voila que sur le sable

Nos pas s´effacent déjà

Et je suis seul à la table

Qui résonne sous mes doigts

Comme un tambourin qui pleure

Sous les gouttes de la pluie

Comme les chansons qui meurent

Aussitôt qu´on les oublie

Et les feuilles de l´automne

Rencontre des ciels moins bleus

Et ton absence leur donne

La couleur de tes cheveux

Une pierre que l´on jette

Dans l´eau vive d´un ruisseau

Et qui laisse derrière elle

Des milliers de ronds dans l´eau

Au vent des quatre saisons

Tu fais tourner de ton nom

Tous les moulins de mon cœur

Poésie de la Saint Valentin, tout droit d'utilisation libre.

Ronsard relatait les roses

Mon cœur d' artichaut les cueille

Je suis un peu dur de la feuille

Je me défoule en écrit de prose.

Coquilles Saint Jacques au menu

Poireau et sauce aïoli

Je préférerais des raviolis

À la viande, ce plat serait le bienvenu.

Comme dessert un sorbet aux boules

Sans hormone et sans crème

Avant un café c'est ce que j'aime

Peu importe la rumeur de la foule.

Roses rouges et roses blanches

Image imaginée aux tiges dédiées

Je te donne mon numéro relié

Sans épine pour ne pas m' oublier.

Une eau pétillante vient de surgir

Elle me pousse à agir.

Vive le vent vive le vent d'hiver... de dimanche.

Le coup de vent annoncé s'époumone

En air endigué par un bel anticyclone

Les cheveux ébouriffés je ressemble à un clone

Les oiseaux se sont tus comme toute la faune.

Lutter contre les éléments et les rafales

C'est vouloir hâler sans soleil, visage pâle

Ou vouloir s'aider du vent pour se faire la malle

Rester pur sans devenir sale.

Le souffle éolien soulève les feuilles

Force en tourbillon pour faire son deuil

Jusqu'à m'a porte entrouverte au seuil

Un marin avisé évite les écueils.

Respire, il n'y a plus de particules fines

Tu résistes, tu n'es guère câline

Tu vois ployer les arbres jusqu'aux Salines

Tu fais vibrer les vitres comme des crayons les mines.

La tempête n'a de cesse qu'en bruit de fond

Qu'il n'y est de souffle jusqu'au tréfonds!

Lettre à une amie

Un vent léger souffle sur nos vacances. Il y a l'espoir d'être livré en rosé produit de FRANCE. En attendant et dans l'espoir je t'offre ma dernière composition poétique, imaginée sous le soleil de la capitale.

Lettre de Geoffroy qui a le sang chaud. Je pensais à toi ami, je m' appelle Geoffroy. Je suis juste entré ligoté dans mon cachot Il y a de l'ombre, des croix, pas même un réchaud. Dans ce nouvel univers je suis plein d' effroi Ici le climat est glacial il fait froid. J'aimerais tant avoir la foi, un peu chaud. Et pas même une fille pour me surnommer macho. Je n'ai que ma consolation dans mon fief roi. Si j'avais visité une église avec son beffroi .

Je serais parti comme un lion, loin vers Sochaux. Dans la nuit, dans la chaumière veillait Michaud, chevauchant en songe divin son palefroi.

Au baccalauréat avec maestria

Sur ces moutons morts au charbon couverts de chaux

Il y a le berger que l'on a traité de facho

Dans cet alinéa il chante un gloria.

Hasta vuelgo! si Dieu le veut, chante Hugues Auffray

En attendant tu cases une bouteille de rosé de Brem au frais.

Voici une petite poésie.

Le temps n'est plus où l'âme est triste.

Vivre l'espace temps d'une vie est laborieux

Sans une ami pour se confier sous ces cieux

Peut être aimerais tu de Pierre une améthyste?

S'oublier ou oublier le sens de la vie

En jouant à faire semblant

À pousser des cris plaintes, en caressant

L' espoir de plus d'argent est une chance il nous ravit.

Ne plus craindre, donner pour donner

Résister à la tentation ou prier

Promulguer la bonté de Dieu qui spolie

Notre joie terrestre en nous faisant mortel.

Nos idoles défaites, il reste l' amour

La famille, la bonté, la charité.

Sans la Nature Dieu taquine dans les cités,

Les icônes passent, l' homme veille aux alentours.

Les aigles mangent les anguilles dans leur aire,

Au dessous des nuages les mouettes solitaires.

L’ECRIVAIN ET SA MUSE

Désespoir de l’ écrivain

Devant sa feuille blanche

Enfermé dans son chagrin

Avec le cerveau qui flanche

Souffrant de ne savoir peindre

La beauté du crépuscule

A sa muse il va se plaindre

«Muse tu me manipules»

Tu mets ma plume au repos

Tu t’ amuses triomphante

Et tu ris de mes sanglots

Quand la colère me hante

Alors la muse répond

«Va chercher dans tes entrailles

Tout ce qui te correspond

Et ne craint pas la bataille»

La haine est toujours présente

Pour les êtres écorchés

Laisse son humeur ardente

Gronder et te fouailler

L’ écrivain jette des mots

Aiguillonné par la rage

Et décrit avec brio

La tempête qui saccage.

OPALINE

Prière à mon père

«Mon père, mon Père je m’ abandonne à toi,

là où il n’y a pas viol;

il y a consentement apprend-on?»

Refrain:

Mon père, mon Père je m’ abandonne à toi,

Fais de moi ce qu’il te plaira

Quoi que tu fasses je te remercie

Je suis prêt à tout, j’accepte tout,

Car tu es mon père, je m’ abandonne à toi

Car tu es mon père, je me confie à toi.

Mon père, mon père en toi je me confie

En tes mains je mets mon esprit

Je te le donne, le cœur plein d’amour

Je n’ai qu’un désir, t’ appartenir.

Prière à Notre Dame

Refrain:

Nous te saluons, ô toi Notre Dame

Marie Vierge Sainte que drape le soleil,

Couronnée d’étoiles, la lune est sous tes pas,

En toi nous est donnée l’ aurore du salut.

1. Marie, Eve nouvelle et joie de ton Seigneur,

Tu as donné naissance à Jésus le Sauveur

Par toi, nous sont ouvertes les portes du jardin,

Guide-nous en chemin, Etoile du matin.

2. Tu es restée fidèle, mère au pied de la croix,

Soutiens notre espérance et garde notre foi.

Du côté de ton fils, tu as puisé pour nous

L’eau et le sang versés qui sauvent du péché.

3. Quelle fut la joie d’ Eve lorsque tu es montée,

Plus haut que tous les anges, plus haut que les nuées,

Et quelle est notre joie, douce Vierge Marie,

De contempler en Toi la promesse de vie.

Le 17/03/2019, à 22:01, C. PARISET a écrit:

Bonjour.

La marche de Saint Joseph s'est déroulée dans un

environnement diversifié.

De la boue à l' engorgement des rues parisiennes.

Parler en marchant crée la rumeur n'est ce pas? Ainsi après un départ dans les venelles de Montigny et l' affrontement des voies malaisées de la minière puis la zone militaire et ensuite un repas sorti du sac à Versailles, le train nous amène à Versailles sans encombre.

Le métro ligne 4 suscite une certaine compression dans les rames au risque de se trouver séparés les uns des autres. Là la rumeur et les échanges se taisent, à la station cité tout rentre dans l'ordre, avec la foule, ouf! le vent souffle et fait s'envoler ma casquette. Une fouille succincte, à l'entrée de la cathédrale, je garde mon eau dans la bouteille.

La messe, un temps fort, couronnée d'épines.

Sans retard, donc tout allait bien jusqu'à Saint Eustache, même

les gilets jaunes et les casseurs menacent puis deviennent

invisibles comme par miracle.

La soupe à l'oignon succulente réchauffe le corps et l'esprit et

nous fait séparer le groupe que je ne reverrai plus malgré deux

tours de nef à sa recherche.

L'heure incertaine devenait sûre et j'annonçais mon retour en

banlieue avant les autres à un curé de service, qui me donna le

conseil de filer.

Demain dimanche une journée de récupération et de soins pour

les orteils endoloris.

Une aventure tout en gentillesse, vous mes frères que je n'ai

jamais eus, comme chante Maxime Le forestier.

Merci pour votre fraternité, vous me manquez déjà.

Mr Pariset Claude.

R equête à Dieu

Mon Dieu accorde moi longtemps une bonne santé

La plénitude ineffable dans mon étude

De la diversité, ta nature en bonté

Fais nous oublier ta grande finitude

Il y a peu l’ argent et la dîme étaient roi

Donne nous assez et plus pour avoir la foi

Toi pour ne pas oublier l’ invisible, toi

Le mystère espéré montré du doigt

Merci pour tout, pour ton lumineux spectacle