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Poésie pour ressentir, penser et agir. Ordonné en chapitres, ce recueil aborde des thèmes variés où dominent l'amour des femmes et de la nature. Moments de vie personnelle, révolte contre la bêtise humaine et les malheurs qu'elle engendre. Avec tendresse, humour et fantaisie, désir de jouir de l'instant présent.
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Seitenzahl: 30
Veröffentlichungsjahr: 2023
La poésie ?
Dédicaces
À ma Muse, mon amour
À ma seule nièce...
Merci mon amie
Adieu l’ami
Un peu de ma vie
Ma vie
Petit Pierre
Pierrot
Derrière le mur
Mon vieux vélo
Ma maison…
Ma retraite
Où suis-je ?
Ma poésie
Divagations
Ô marcheur solitaire…
Après-midi à paresser…
En terrasse…
Samedi soir mélo…
Se laisser bercer…
Pensée macabre
Ma pensée se nourrit…
Joute amoureuse
La mort du vieux jardinier
Vœux
Chez le dentiste
Nativité (missa est)
Vile humanité
Chez l’Anti-guerre
Super marché ?
L’éphémère
Brassens, Ferrat, Georges Moustaki…
Nouvelles valeurs
Nos « amies » les bêtes ?
Espoir ?
La liberté…
La bête humaine
Les douze de Charlie
Ne rien faire…
Des passantes
C’était un
samedi Lilas…
La couturière
À la dame du bonheur
Du haut de la falaise…
Silhouette longiligne…
Jupiter…
Déclaration
Comme il est doux…
Au jardin…
Rose du soir
J’ai trouvé…
À l’orée du printemps
N’aie pas peur…
Écoute
İls sont partis
N’étaient pas des héros…
La nuit du 4 août
Maman
İl nous reste la Musique, la Musique et la Poésie.
İllustration première page de couverture : Pierre Gonzalez.
La poésie ?
À chacun la sienne.
Ma poésie ?
Âme tantôt gaie tantôt douloureuse,
Révélée à l’encre,
Sympathique.
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À ma Muse, mon amour
Je ne me lasse pas d’admirer tes photos.
Elles se sont imprimées dans ma tête.
Depuis toi j'ai l'impression de vivre dans un tourbillon.
Quand je suis seul à la maison je tourne en rond.
Alors je sors souvent pour marcher.
Tu me redonnes l'envie d'écrire qui s'était éclipsée depuis quelques temps.
Le soir, moi qui suis un grand dormeur, j'ai du mal à trouver le sommeil.
Puis je rêve souvent de toi, de notre rencontre.
J'aime prononcer ton prénom.
J'aime à imaginer que je puisse te plaire.
Tu es mon réveil du matin.
Ton image, ton visage entrent chez moi comme un soleil.
Tes yeux me remplissent d'émoi.
Et ton sourire si charmant,
Et tes lèvres...
Ô ces lèvres, merveille!
À ma seule nièce,
Très rare lectrice et chère,
Qui a l’insigne adresse
Pour comprendre mes vers.
Aussi lui rends-je là
La politesse en verbe
Pour saluer très bas
La poétesse en herbe.
Autrefois j’eus pu être père.
La nature ne l’a pas voulu.
Je ne lui en ai pas voulu
Et je n’en fais pas une affaire.
À l’automne de ma carrière,
Avant que ma pipe ne se casse,
Pour qui m’aima avec la classe
Je suis très fier d’être un repère.
Cette amitié m’émeut sans voix
Et même si je cherche mes mots
Mon âme brille par les émaux
De ton poème qui m’enchanta.
Derrière des mots salaces se nichait ta pudeur.
Ne pas briser la glace était ton point d’honneur.
À cacher tant d’amour tu en perdis la flamme.
Une lettre pour toujours nous dévoila ton âme.
Mais il était bien tard pour éviter le drame.
Ta dernière balade, en mode jeu de piste,
Nous a bien fait marcher, dans la garrigue triste.
Ouverts dans le ciel bleu de notre Occitanie,
Tes yeux ont désormais les oiseaux pour amis.
Et dans nos cœurs, ami, vibre ton souvenir.
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Me suis laissé porter,