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"Si à 50 ans, on n'a pas une Rolex, c'est qu'on a raté sa vie". JC Séguéla, publicitaire. Car la réussite ne tourne pas uniquement autour de l'argent. Il ne garantit et n'assure pas une santé pérenne, ni un bien-être absolu. Il ne définit pas non plus la grandeur et la valeur de l'esprit. Tant que vous avez la santé, que vous avez le souffle de vie, il n'est jamais trop tard pour apprendre des choses de la vie, devenir la meilleure version de vous-même. Devenir un.e autre, être soi, être vrai. S'élever spirituellement. Dieu a bouleversé toutes mes croyances, mon mode de penser, ma vie. Et j'ai dû lâcher-prise. Je vous dis tout. Venez me rencontrer. Ici pas de prosélytisme, mais juste du partage, un message d'encouragement. .
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Seitenzahl: 99
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Dixit :
“Si à 50 ans, on n’a pas une Rolex, c’est qu’on a quand même raté sa vie”.
Phrase mémorable, qui fut prononcée par le publicitaire JC. Séguéla au sujet de l’ancien président de la République française Nicolas Sarkozy, dont il admirait le parcours et qui plus est, portait une Rolex.
Préface
Préambule
Rester jeune n’a pas d’âge - Avant propos
Introduction
La Drépanocytose
Les couleurs intermédiaires et secondaires – le rose
Face au racisme
Dixit : la guerre des boutons
La lumière dans tous ses éclats
Adolescence chaotique
Faire le bon choix de la couleur
En route pour ma nouvelle vie
Jeune femme noire bien élevée cherche appart tout confort
Les couleurs intermédiaires et secondaires – le vert
Les nuances de vert
Les couleurs intermédiaires et secondaires : le blanc
Les nuances de blanc
On ne veut pas de noirs ici
Couleurs intermédiaires et secondaires – Le violet
Couleur Benetton
Couleurs chaudes et froides
Cercle chromatique
Je croque la vie à pleines dents
Les couleurs sont dans la nature
A retenir
Parcours pro d’une passionnée
Déco et harmonisation de teintes
Retour au pays
Les espaces et la couleur
Sauter le pas
Les espaces et la couleur (suite)
Être une artiste multicarte
Stylisez votre intérieur
Moi, Cheffe d’entreprise
Reconstruire votre espace de vie
Descente en enfer, mais Dieu m’a fait grâce
Conseil personnalisation
La voix
Ma rencontre avec Jésus
Reconstruire votre espace de vie (suite)
Faire connaissance avec Jésus
Faites parler les murs
Je revêts une nouvelle peau
L'opération
La lumière dans tous ses éclats (suite)
La convalescence
Analyse et diagnostic : Couleur
Traversée du désert
Le calme après la tempête
Le calme après la tempête (suite)
Mes petites idées Déco et Astuces de pro Détournement d'un meuble en bois
Mes petites idées Déco et Astuces de pro Détournement d’un objet en terrasse
On s’arrête, on réfléchit, on médite, on pleure et on accepte
Autres astuces, idées déco
Mes petites idées Déco et astuces de pro
Sur la route vers ma destinée
Conseil Technique
Le confinement
Poème
Être en harmonie avec Mère Nature
La nature et le silence
Poème
Textures végétales
L’acceptation
Texture végétale (suite)
En route vers la perfection avec Dieu pour complice
Épilogue
Témoignages
Remerciements
Du même auteure
Ça y est ! Après deux années de formation bien riches et surtout sacrificielles (temps, argent, zone de confort), voici l’aboutissement d’un désir profond de mettre en exergue l’art dans toute sa magnificence.
Aujourd’hui, je suis Artiste art floral de métier. Ainsi, je développe mon entreprise autour de la fleuristerie, de l'art floral et de la décoration événementielle et bien d’autres activités, qui me vont bien. Je récupère mon titre de Maître Artisan, ce qui est une réelle satisfaction pour moi.
Dorénavant, la nature sera pour moi source de toute mon attention et d’inspiration qui m’amènera à l’écriture. Je travaille et l'utilise en fonction de ce qu'elle veut me donner.
En parcourant spontanément les pages, vous remarquerez que ce livre a une double lecture, avec deux typographies différentes. Il condense deux vies : l’une est plus intimiste autour de mon cursus pro et l’autre, davantage axée sur la foi et la spiritualité. L’une se voudra plus introvertie et plutôt dans l’émotion et le ressenti, l'évolution personnelle pour un mieux-être intérieur. L’autre est plus pragmatique. Cependant, les
deux vies sont liées. Au départ, elles sont séparées, évoluant dans des sphères différentes, mais finalement, elles se rencontrent à la croisée des chemins, pour n’en faire qu’une seule, comme une évidence, un chemin de vie, une destinée.
Ici, je ne parle pas d’argent. Ma vie ne tourne pas sur une réussite autour de cela. Car de mon point de vue, l’argent n’est nullement garant de l’évolution de note évolution. La richesse intérieure, celle qui vient de l'âme, du cœur et surtout de l'esprit, est celle qui domine toutes les autres. Je n’ai nullement l’envie, à travers ces écrits, de me donner de l’importance, mais plutôt d’apporter mon témoignage sans filtre et signifier que quel que soit notre parcours de vie et notre âge, rien n’est à l'arrêt.
Je vous souhaite une bonne lecture à toutes et à tous.
Je suis Elise, comme dans « Elise ou la vraie vie ». J'aime mon deuxième prénom. Il me ressemble. Elise, tenace à l’extérieur et douce, patiente et paisible à l’intérieur. Cette jeune femme bordelaise dont le seul « crime » aura été de tomber amoureuse d’un ouvrier maghrébin. Elle connaîtra le racisme.
Je suis née un après-midi d’été 1967, dans le Paris des guinguettes, le Paris des Buttes Chaumont, du bois de Vincennes. Je suis née dans ce Paris de Boulogne, du métro rustique et bruyant, avec ses rames de classes de seconde et première aux sièges en bois recouverts de cuir rouge.
Je me souviens de ce Paris des marchés aux odeurs de fleurs, de fromage et de chair à saucisse.
J'entends encore la gouaille des marchands qui hurlent à tue-tête : “Belle, elle est belle, ma salade ! Elle est fraîche, bien grasse ma volaille ! Qu’est-ce que je lui sers à la p'tite dame ! Ça fera cinq francs". Le temps où tous les artisans s’installent toujours à la même place. Arrêt devant l’étalage du fromager qui reconnait ses clients et offre un morceau de fromage aux enfants, en guise de récompense. Le temps où il n’y avait pas de centres commerciaux, mais juste des épiceries fines. L’époque où la boucherie chevaline, aux vitrines entourées de bois rouge, expose et accroche à des pics, tel un tableau, ses viandes fraîches de bœuf, cheval, volaille, mouton, tête de veau et chair à saucisse.
Je suis née aussi dans ce Paris qui frissonne et qui devient au fil des jours la cible de tant de tumultes et de tourments. Les Français sont dans la rue. Dans ce climat de haine, de violence et de ségrégations, la France bouge. En Europe 68, les jeunes et moins jeunes arpentent les pavés. Les revendications pour les droits civiques pleuvent. Cela ne se fera pas sans heurts. Les blessés se comptent par centaines.
La société se métamorphose et instaure un changement qui perdurera durant des décennies. L'Europe frémit.
Aux États-Unis, la guerre engagée avec le Vietnam depuis 1955, divise le pays. Cette guerre insensée fait des milliers de morts dans les deux camps. Sur cet arrière-plan de violence, se dessine le destin tragique de deux personnalités hors du commun. Le Président John Kennedy trouve la mort en 1963. Le pasteur Martin Luther King sera assassiné quatre ans plus tard.
Les années 60/70 se jalonnent de multiples faits marquants. La femme occidentale veut vivre mieux, avec décence. En France, elle revendique ses droits : droit de travailler, droit d’ouvrir un compte bancaire sans l’autorisation de son conjoint.
Elle demande également le droit de disposer librement de son corps (liberté d’en jouir comme elle veut et d'enfanter ou de ne pas enfanter).
C’est dans ce climat que je grandis et donne l’espoir à mes parents. Enfin, je crois, sans doute.
DIEU N’A PAS DIT SON DERNIER MOT…
« Tant que Dieu n’a pas dit que c’est fini, ce n’est pas fini. »
Voilà LA phrase qui restera gravée à tout jamais dans ma mémoire.
Oui, car certains pensent que passer un certain âge, il est inutile de se former. Je dis que non et un non, ferme. Bien au contraire, continuer à étudier permet de préserver son capital cognitif, de faire reculer la vieillesse, ainsi de rester actif. Cela apporte un réel réconfort et une satisfaction pour soi et, surtout, sans fausse modestie. Cela donne du courage et de l'élan, lorsque l’on s’est stoppé ou ralenti en cours de route.
Bien entendu, c’est sans doute facile à dire en quelques lignes, mais la motivation est la seule source de progression.
La couleur révèle notre émotion du moment
La décoration d'intérieur se définit, pour l'essentiel, par le réaménagement de son être intérieur. En effet, décorer son intérieur, c'est également décorer à l'intérieur de soi, voire son reflet, le miroir de notre intérieur qui se reflète à l'extérieur.
J’ouvre une parenthèse. Une maison mal rangée, avec un bordel sans nom, c’est le désordre assuré dans l’esprit de celui ou de celle qui demeure dans ladite maison.
Lorsque j'affirme d'une personne qu'elle ne ressemble pas à son intérieur ou au contraire, qu’elle se marie à son décor, cela donne une grande signification, car tout est une affaire d'équilibre.
Lorsque je rentre chez vous, je dois ressentir votre présence, votre histoire.
C'est la raison pour laquelle une maison possède l'âme de ses occupants. Votre espace de vie reflète votre personnalité.
Je reviendrai plus loin sur le sujet. En attendant, je referme la parenthèse. Mais avant d'aller plus en profondeur dans l'analyse, que vous puissiez bien comprendre, je vous invite à faire un tour d'horizon autour de la couleur. Je vous offre plutôt, d’un condensé de couleurs, de leur signification et leur implication dans notre vie de tous les jours.
Le choix se détermine en fonction de l'atmosphère, du caractère de chaque pièce concernée. D'ordre général, les teintes foncées et les nuances dites chaudes accrochent davantage l’œil de façon naturelle. Les teintes dites froides ou pastels vont, quant à elles, adoucir notre regard, reposer nos yeux.
Il existe une multitude de couleurs dans l’univers. La couleur est partout autour de nous. L’être humain classifie naturellement les teintes (en catégorie, en famille, en sensation, en caractère).
Toutes les teintes naissent de trois couleurs que l’on appelle « couleurs primaires » (le jaune, le rouge et le bleu). Que vous pouvez observer sur le tableau ci-dessous ?
La conversion ne s’est pas faite en un jour, mais en plusieurs années de réflexion, de victoires, de chutes aussi, mais surtout de maturité et maturation.
Il est essentiel de discerner son chemin de vie. Ceci est primordial pour avancer.
Car je suis la fleur, je suis le lys.
Si forte, parfois perce-neige, fragile et pourtant…
Je suis née sans éclaboussure en apparence, je vous le jure.
Mes déchirures sont apparues bien plus tard et ça m’a fait mal,
Je vous assure…
Je suis née avec un problème de globules rouges. Plus tard, on donnera un nom à cette maladie nommée la drépanocytose. C’est une anémie falciforme héréditaire qui touche, pour l’essentiel, l’hémoglobine des globules rouges. Cette protéine est essentielle à la fonction respiratoire. Elle permet le transport de l’oxygène dans notre organisme. Je mettrai un nom sur cette maladie, en 1994, suite à un don de sang effectué sur le territoire de la Martinique. Je suis Hétérozygote AS (« A » étant l’hémoglobine saine, « S » étant l’hémoglobine anormale). Porteur sain comme on dit, mais pas si sain que ça.
En grande généralité, le porteur sain transmet la maladie, mais ne développe pas les symptômes. Par exemple : hétérozygote AS, donc né de parents AS+SS ou AA+AS. Hétérozygote SS, né de parents AS+AS ou SS+SS. Vous êtes malade.
Né hétérozygote AA, le sang est normal, sain, né de parents AA +As.
Le « A » est considéré comme la cellule saine. Bref, dans mon cas, les globules sains dans mon sang sont en nombre plus restreint que pour un individu type AA, mais moins grave que lorsque l’on est SS. Dans les veines, les globules malades sont déformés et dans le cas le plus grave, ils bouchent les artères. Le sang s'épaissit et c’est la tragédie.