Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Découvrez dans ce guide comment cultiver un lien spécial avec vousmême, les êtres et le vivant qui partagent notre précieuse planète. Devenez acteur et maitre de votre hygiène de vie et de vos actes de consommation.
Mais le soin du vivant ne s'arrête pas là.
Vous plongerez également dans l'art de prendre soin de vous-même, en cultivant une relation saine avec votre corps et votre esprit.
Imaginez des outils apaisants, des pratiques de méditation et une alimentation saine pour nourrir votre être tout entier
Un appel à la connexion et à la préservation de notre monde fragile.
Avec des conseils pratiques et une bonne dose de compréhension, il vous invite à embrasser la responsabilité de prendre soin du vivant et à devenir un gardien bienveillant de notre environnement.
Le projet de ce guide : passer à l'action ! Éduquer, accompagner, sensibiliser. L'objectif est de vulgariser nos actes de consommation et leur impact sur le vivant et le rendre accessible au plus grand nombre. Car chaque geste compte !
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 154
Veröffentlichungsjahr: 2025
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
Soin du vivant
de Maïder Etcheverry
GUIDE
« De l’hygiène de vie et son impact sur le vivant »
Le temps d’un roman
Editeur
Collection «Essai»
Je suis sensible à la nature qui m’entoure. À mes yeux, tout est lié, un grand tout, dans lequel nos actes envers notre corps et notre environnement sont intimement rattachés. Pourtant nous constatons que cette réalité n’est pas intégrée par tout le monde ! Peut-on parler d’hygiène de vie si nous oublions d’intégrer la vie de la planète ? Alors que nous en faisons partie entièrement, c’est un « tout » indissociable !
Rien n’est vrai ou faux, c’est une question de point de vue ! De l’enrobage, des paillettes pleins les yeux… le résultat de tout ceci c’est que nous n’avons jamais autant parlé de perturbation climatique cependant sans jamais passer à l’action.
Aujourd’hui nous mesurons l’impact environnemental des entreprises ou des produits principalement par rapport à leur mesure de CO2. Pourtant les effets, comme la consommation d’eau, d’énergies, l’extraction des métaux rares, la déforestation, l’incapacité de recycler certains biens matériels, les méthodes de fabrication… L’inaction et le déni sont à la première place !! Les sociétés du CAC40 ne changent pas leurs pratiques, alors que, l’impact sur le climat pour les générations à venir est déjà mesurable et palpable dans notre quotidien. Le scénario, en France, de +4° en 2100 est retenu.
Ayant travaillé dans l’industrie aéronautique de nombreuses années, sensibilisée à l’écologie et voulant être active, j’ai décidé de bifurquer et me reconvertir comme naturopathe. Dans mon idée, écologie et hygiène de vie sont associées, c’est pourquoi il est apparu essentiel de mener cette analyse et ce travail de synthèse. Afin de montrer qu’une connexion est nécessaire, possible, voire impérative pour inscrire la santé dans le temps, associant l’analyse du corps, de son équilibre tout en agissant positivement sur l’environnement.
En un mot : mener une démarche de qualité de vie, dans un milieu naturel respecté en utilisant des ressources limitées.
Nous avons le pouvoir de choisir, la liberté de consommer, de produire à une échelle individuelle. Nos actes individuels nous permettent d’être acteur du changement positif que nous voulons voir, et ne pas forcément subir les décisions, prisent à une autre échelle. Le nombre fait la force !
L’objectif de ce guide est de sensibiliser à cette problématique et de donner des voies à prospecter.
La Terre et l’humanité sont confrontées à de nombreux défis qui menacent la santé et la durabilité de notre planète. Les enjeux sont nombreux : la protection de la biodiversité, la conservation des ressources naturelles, la lutte contre le changement climatique, une consommation responsable, la sensibilisation et l’éducation en ce sens.
La naturopathie se place comme une démarche naturelle, respectant la vie, comme étant un véritable art de vivre. L’utilisation de la nature pour se soigner existe depuis toujours ! Dans cet ouvrage, nous allons faire un focus sur l’hygiène de vie et les possibilités qui s’offrent à nous dans une société « moderne ».
Nous aborderons les nuisances de certains choix sur l’environnement ou le vivant et les aspects positifs des autres ressources.
L’objectif étant d’éclairer un plus grand nombre de personnes, souhaitant se pencher sur leurs habitudes de vie, sur les conséquences de nos décisions, en matière de mode de vie, pour accompagner vers le bien-être général et durable. La responsabilisation, la prise de conscience est un premier axe : que nous soyons des « consom’acteurs » avertis et informés.
N’oublions pas que les grands défis de l’approvisionnement pour la société, à venir, seront l’augmentation de la population et la protection de l’environnement.
Ainsi qu’une alimentation zéro déchet, car aujourd’hui un tiers de la production alimentaire mondiale est gaspillée ou perdue.
Respecter son corps, son esprit et son cœur, en même temps que l’environnement, les personnes, la biodiversité et la planète, voilà peut-être en une phrase ce que la naturopathie peut apporter à la vie de tout un chacun. Encore faut-il connaître notre empreinte sur l’environnement lorsque nous mettons en place un programme d’hygiène de vie ?!
Majoritairement urbaine, la modernité d’aujourd’hui a créé une civilisation « hors sol », déconnectée des réalités et des cadences naturelles, ce qui ne fait qu’aggraver la condition humaine et les dommages infligés à la terre. Une société de loisirs, où l’on veut tout, tout de suite. Où plaisir, bonheur, activités, vacances… priment ! Quel qu’en soit les impacts ou conséquences.
Aux quatre coins du globe, maladie, malbouffe, mal-être, stress, pollution des sols, des eaux, épuisement des ressources vitales, des richesses, perte de la biodiversité, désertification… ne cessent de croître.
Tous les ans, les organismes de recherche communiquent sur « le jour du dépassement », cette année il est calculé le 5 mai 2023 pour la France. Date à laquelle l’humanité a consommé plus de ressources que la Terre ne peut en produire durant la même période. Afin qu’une société puisse être durable, cette date devrait se situer au 31 décembre.
Nous sommes dans une économie qui dépasse la capacité régénérative et absorbante de la planète, en surexploitant des ressources comme le poisson ou les forêts, et en évacuant trop de déchets dans l’atmosphère.
— Que ferons-nous quand il n’y aura plus de ressources ?
— Que ferons-nous lorsque l’eau se fera rare ?
— Que ferons-nous lorsque l’air sera irrespirable ou trop chaud ?
— Que ferons-nous quand les océans monteront et seront dépourvus de vie ?
Saviez-vous que l’un des moyens les plus efficaces pour moins polluer se trouve… dans notre assiette. Nos choix alimentaires peuvent réchauffer la planète ou la chouchouter. Trois fois par jour, nous avons la possibilité de nous tourner vers une nourriture durable.
Rappelons également qu’une planète à +2 °C, une augmentation de température que l’on pourrait atteindre dès 2040, sera un monde complètement différent… Si la canicule à quasi 50 °C degrés en Inde et au Pakistan nous fait peur… la mauvaise nouvelle : selon les prévisions cela arrivera en France.
Nous pouvons en avoir un avant-goût lorsque nous voyons le pic de canicule de juin 2022, les orages de juin 2023 ou les inondations de 2024.
La santé selon l’OMS est un état de bien-être physique, moral et social.
Un naturopathe est un éducateur en hygiène de vie qui peut vous aider à retrouver et/ou maintenir votre équilibre sur les plans physique, émotionnel, mental et même spirituel.
La naturopathie se fonde sur des principes issus de l’éthique d’Hippocrate, le père de la médecine (460 av. J.-C. −377 av. J.-C.) s’appuie sur la diététique, la psychosomatique, les saignées, les purgations.
1. D’abord ne pas nuire (« primum non nocere ») : ce principe pose ici le concept de non iatrogénicité c’est-à-dire que les solutions mises en place n’induiront jamais d’effets secondaires délétères. Les symptômes d’une maladie, la fièvre, par exemple, peuvent être les manifestations d’un processus de guérison.
2. Suivre la nature guérisseuse (« vis medicatrix naturae ») : établit que le corps dans son intelligence met en place des réactions visant sa sauvegarde et qu’il faut accompagner le symptôme plutôt que de le supprimer, et toujours avec des moyens naturels.
3. Identifier et traiter la cause (« tolle causam ») : le symptôme est considéré comme une manifestation locale d’un désordre qui prend ses racines dans un dérèglement plus vaste. Le naturopathe doit rechercher les causes de la maladie plutôt que tenter d’en supprimer les symptômes.
4. Enseigner (« docere ») : l’objectif est de vous rendre responsable et autonome, de ce fait, on peut considérer le naturopathe comme un éducateur de santé qui souhaite vous rendre libre et, cela passe par la transmission d’un savoir approprié.
5. Considérer l’homme total (« Home totus, Tolle totum ») : suppose que l’on ne peut pas dissocier la partie du tout et qu’ainsi il faut considérer la personne dans sa totalité et dans son rapport au monde pour vraiment résoudre ses problématiques, cf. homme de Vitruve.
6. Drainer, détoxiquer (« Deinde purgare ») : le corps est trop souvent encrassé par des années de mauvaises habitudes alimentaires, mais aussi par les traitements médicamenteux banalisés et le manque d’exercices physiques. Il s’agira de « nettoyer » pour refaire de la vitalité !
7. Prévenir (« arceo ») : agir en amont est le meilleur moyen de conserver la santé. En fonction de votre terrain, le naturopathe peut prévoir ce qui pourrait amoindrir votre vitalité et met en place avec vous un programme personnalisé destiné à conserver votre santé et prévenir d’éventuels dysfonctionnements.
« C’est la nature qui guérit les malades »
Hippocrate.
La naturopathie est souvent décrite comme une véritable écologie de la santé en vue de la protection de la vie. La naturopathie, médecine de prévention non-conventionnelle, se définit notamment par son action humanitaire et se positionne en plein accord avec un souci mondial grandissant : celui de la sensibilisation de la population au respect authentique de l’environnement menacé par toutes les formes de pollution, en harmonie avec la personne, son libre arbitre, la famille et les structures institutionnelles tout en réprouvant pleinement les mouvements sectaires, les manipulations mentales et les prises de pouvoir.
Vous l’avez compris, la pratique de la naturopathie est un accompagnement : c’est à la fois se réapproprier la maîtrise de sa santé, gagner en autonomie et se positionner en faveur d’un monde, plus respectueux de la Nature et de la nôtre.
Le naturopathe travaille en synergie avec la médecine allopathique. L’objectif est d’être ensemble pour accompagner une personne vers le bien-être général et durable.
Prévenir plutôt que guérir : aider le corps avant qu’il ne tombe malade.
L’hygiénisme en naturopathie passe par 4 techniques majeures :
— ALIMENTATION – EXERCICE PHYSIQUE –
— HYDROLOGIE – PSYCHOLOGIE –
« L’hygiène vitale regroupe l’ensemble des principes qui visent à maintenir l’homme en bonne santé. » (Larousse).
— Oui, mais alors ça veut dire quoi concrètement une hygiène de vie respectueuse de la nature et de nous-mêmes ???
Nous ne pouvons pas isoler un aspect de la vie : l’humain, et d’un autre : l’environnement.
Quand nous changeons la manière de faire pousser notre nourriture, nous la changeons tout comme notre société et nos valeurs.
Si la maladie arrive quand les gens se séparent de la nature : chacun devrait savoir qu’elle est toujours parfaite, équilibrée, en harmonie avec elle-même.
La nourriture naturelle est un tout et c’est dans ce tout qu’on trouve alimentation et finesse de goût.
=> Être acteur du changement, s’approvisionner auprès des producteurs locaux, rendre l’alimentation plus durable, préserver le foncier agricole. C’est une véritable politique des territoires pour assurer leurs l’approvisionnements alimentaires.
— Pourquoi est-ce si important de consommer les fruits et légumes de saison ?
Car pour cultiver hors saison, il faut recréer les conditions climatiques adéquates – souvent dans une serre chauffée.
Ce type de culture émet en moyenne 10 fois plus de gaz à effet de serre que la même en saison, hors serre.
Exemple marquant : des tomates poussées en saison sous le soleil espagnol, puis importées en Angleterre, pollueraient moins que ces mêmes légumes cultivés sur place mais sous serre chauffée !
C’est pourquoi, au-delà de consommer local, il faut manger des aliments de saison et qui sont adaptés au climat et à l’environnement de proximité.
En Espagne par exemple, les cultures sont souvent sous serre, sur d’importantes surfaces en monoculture et/ou utilisent des méthodes intensives pour augmenter les revenus. On trouve des photos assez désastreuses de régions espagnoles recouvertes de serres.
Ceci vaut pour les cultures de tomates, poivrons et, plus récemment, de mini brocolis, la nouvelle mode. Attention donc lorsque vous faites les courses dans le cadre d’un régime alimentaire durable. L’Espagne n’est pas si loin mais ses méthodes agricoles peuvent être néfastes tout de même… Ses légumes pourraient gâcher vos efforts vers une alimentation écologique.
On fait le même constat dans les nations pour qui l’exportation de produits alimentaires vers les pays occidentaux est une source de revenu majoritaire et doit donc être maximisée à tout prix – c’est-à-dire sans considération pour l’environnement. On retrouve l’exemple de ce problème pour plusieurs super-aliments polluants, comme les avocats mexicains, du soja brésilien ou de la noix de coco du sud-est asiatique.
Consommer français réduit non seulement l’impact du transport, mais surtout garantit des normes de qualité de production, qu’on ne retrouve clairement pas dans tous les pays, même européens.
Les circuits courts réduisent le nombre d’intermédiaires entre producteurs et consommateurs. On trouve un intermédiaire au maximum entre l’agriculteur et l’acheteur. Ainsi, ils permettent, en principe, de réduire le coût des aliments et de rémunérer essentiellement le producteur.
En bonus, les locavores qui achètent surtout en vrac, voient leurs poubelles diminuer.
Les saisons
— À chaque saison ses aliments !
La naturopathie privilégie l’alimentation vivante et évite les aliments qui favorisent un encrassement de l’organisme. Cela signifie que les fruits, les légumes et les herbes consommés sont cultivés et récoltés au moment où ils sont à leur apogée de fraîcheur et de valeur nutritionnelle maximale.
Le site ameli.fr préconise : « L’équilibre alimentaire repose sur des repas suffisamment variés. Optez pour une nourriture de saison, peu riche en graisse, sel et sucre. Des repas suffisamment longs, à heures fixes, favorisent aussi une meilleure régulation du corps. MIEUX FAIRE SES COURSES POUR UNE MEILLEURE ALIMENTATION. Choisissez les fruits et légumes, la viande et le poisson selon la saison et leur provenance. Pour manger plus frais, apprenez à composer des menus en fonction des aliments disponibles au fil des saisons, en particulier les fruits et légumes. Cela vous permettra également de réaliser des économies. Privilégiez l’utilisation de produits bruts, non transformés, les lieux et les modes de production proches de chez vous et de l’environnement. »
Diversifiez les produits consommés, leur origine et lieu de production : ainsi, l’équilibre nutritionnel est assuré et vous limitez l’exposition aux contaminants présents dans l’environnement. Si vous le pouvez, introduisez dans votre alimentation des aliments bio. »(Source : https://www.ameli.fr).
Chaque saison offre différents types de fruits, légumes et herbes, ce qui permet de diversifier les apports nutritionnels. Cela contribue à obtenir une gamme plus large de vitamines, minéraux et antioxydants, permettant ainsi de se connecter davantage avec la nature et le cycle de vie des plantes. Cela renforce la prise de conscience des cycles naturels et encourage à vivre en harmonie avec l’environnement.
Le printemps :
Le printemps en naturopathie est la saison du foie et donc parfois d’une « cure détox », qui va nous aider à redynamiser notre organisme et calmer notre système immunitaire.
• Les légumes de saison à l’honneur : artichaut, asperge, épinard, fève, pomme de terre…
• Les condiments qui réchauffent le corps : ail, ail des ours.
• Les poissons : anchois, daurade, limande, maquereau, merlan, sole, raie, truite, turbot.
• Les fruits : fraise, abricot, rhubarbe.
L’été :
Il sera préférable de manger léger et de se nourrir d’un grand nombre de végétaux pour compenser la perte hydrique due à la chaleur. Consommer les boissons à température ambiante.
• Les légumes de saison à l’honneur : concombre, tomate, poivron, courgette, aubergine, haricot vert…
• Les condiments qui réchauffent le corps : oignon.
• Les poissons : daurade, maquereau, merlan, sardine, langouste, truite.
• Les fruits : nectarine, pêche, cerise, melon, pastèque, prune…
L’automne :
Saison où nous allons travailler à soutenir le système pulmonaire, calmer le stress et construire un système immunitaire solide avant l’arrivée du froid et la baisse de luminosité saisonnière. C’est la période de nettoyage des émonctoires en naturopathie.
• Les légumes de saison à l’honneur : artichaut, blette, chou, courge, panais, champignons…
• Les condiments qui réchauffent le corps : oignon.
• Les poissons : merlan, langouste, sèche, truite.
• Les fruits : pomme, poire, figue, raisin, framboise, kiwi, châtaigne.
L’hiver :
L’hiver en naturopathie est une saison qui se prépare. C’est pour cela que nous travaillons l’automne à renforcer le système immunitaire en profondeur pour qu’il soit prêt à attaquer la saison au maximum de ses capacités. L’alimentation : plus elle est sucrée, raffinée ou dévitalisée (issue de l’agriculture conventionnelle), moins le corps est nourri et plus il doit travailler pour essayer d’assimiler les aliments ingérés.
Les légumes de saison à l’honneur : carotte, pomme de terre, navet, betterave, chou, fève, radis noir, topinambour, poireau…
• Les condiments qui réchauffent le corps : oignon, gingembre, sel.
• Les fruits de mer et poissons : coquille Saint-Jacques, huître, limande, merlan, moule, oursin, raie.
• Les fruits : pomme, noix, noisette, orange, clémentine, kiwi et les fruits secs.
Calendrier mensuel des fruits et légumes
Janvier
Fruits : citron, kiwi, mandarine, orange, pamplemousse, poire, pomme.
Légumes : ail, betterave, carotte, céleri, chou de Bruxelles, courge, endive, épinard, navet, oignon, poireau, pomme de terre.
Février
Fruits : citron, kiwi, mandarine, orange, pamplemousse, poire, pomme.
Légumes : ail, betterave, carotte, céleri, chou de Bruxelles, courge, endive, frisée, mâche, navet, oignon, poireau, pomme de terre.
Mars
Fruits : citron, kiwi, orange, pamplemousse, poire, pomme.
Légumes : asperge, betterave, blette, carotte, céleri, chou de Bruxelles, courge, endive, épinard, frisée, navet, oignon, poireau, pomme de terre.
Avril
Fruits : citron, pamplemousse, pomme, rhubarbe.
Légumes : asperge, betterave, blette, carotte, endive, épinard, frisée, navet, oignon, poireau, pomme de terre, radis.
Mai
Fruits : cerise, fraise, framboise, rhubarbe.
Légumes : ail, asperge, aubergine, betterave, blette, carotte, céleri, chou-fleur, concombre, courgette, épinard, laitue, navet, oignon, petit pois, poireau, pomme de terre, radis.
Juin
Fruits : abricot, cassis, cerise, fraise, framboise, groseille, melon, pomme.
Légumes : ail, artichaut, aubergine, betterave, blette, carotte, céleri, chou blanc, chou-fleur, concombre, courgette, épinard, fenouil, laitue, navet, oignon, petit pois, poivron, poireau, pomme de terre, radis.
Juillet
Fruits : abricot, cassis, cerise, figue, fraise, framboise, groseille, melon, mirabelle, nectarine, pêche, pomme, prune.
Légumes : ail, artichaut, aubergine, betterave, blette, carotte, céleri, chou blanc, chou-fleur, concombre, courgette, épinard, fenouil, haricot, laitue, oignon, petit pois, poivron, poireau, pomme de terre, radis, tomate.
Août
Fruits : abricot, cassis, figue, melon, mûre, myrtille, mirabelle, nectarine, pastèque, pêche, poire, pomme, prune, pruneau.
Légumes : ail, artichaut, aubergine, betterave, blette, carotte, céleri, chou blanc, chou-fleur, concombre, courgette, épinard, fenouil, haricot, laitue, maïs, oignon, poivron, poireau, pomme de terre, radis, tomate.
Septembre
Fruits : melon, mûre, myrtille, pamplemousse, pastèque, pêche, poire, pomme, prune, pruneau, raisin.
Légumes