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Dans le deuxième tome de la série "Histoire des Cieux et de la Terre", l'auteur poursuit son exploration de l'Histoire vue par le prisme de la Bible, éclairée par les principes et les lois de Dieu. Un voyage édifiant pour ceux qui n'ont pas "froid aux yeux" et donc qui aimeront le regard inhabituel et frais sur les vérités "établies".
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Seitenzahl: 170
Veröffentlichungsjahr: 2017
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À ceux qui cherchent la vérité de DIEU
Histoire des Cieux et de la Terre
Premier Tome
I – Chronologie globale
II – Un Monde Spirituel
III – Première Création de l’Univers et de la Terre
IV – Re-Création de la Terre
V – Grands Principes
Deuxième Tome
VI – Le Règne de Satan
VII – Le Monde Antédiluvien
VIII – Le Monde Actuel
IX – Le Temps de la Fin
Troisième Tome
X – Le Millénium
XI – La Deuxième Résurrection et Le Jugement Dernier ; Le Dernier Grand Jour ; La Nouvelle Jérusalem
XII – Darwin ou Dieu
XIII – Épilogue
Table des matières
Chapitre VI
Le Règne de Satan
Satan toujours sur son Trône
Quel comportement avoir vis-à-vis de ces puissances et autorités ?
PENDANT ces 6.000 ans alloués à l’homme pour éprouver les chemins du péché, Dieu va rarement intervenir dans la vie des humains. Pendant cette période, c’est encore Satan qui gouverne les affaires sur la Terre, car l’homme a choisi de le suivre.
Apocalypse XII [12], 3
« Un autre signe parut encore dans le ciel ; et voici, c’était un grand dragon rouge feu »
Apocalypse XII [12], 9
« le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre »
Satan dirige un empire, l’empire mondial du mal (la plus grande entreprise sur notre Terre).
I Jean V [5], 19
« Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. »
Satan est toujours sur son Trône, le Trône de la Terre. Satan a toujours régné partout sur cette Terre. La philosophie de tous les pays, et leurs religions, sont sous son contrôle, y compris tous les systèmes politiques, éducatifs, sociaux, économiques, commerciaux. Satan a réussi à cacher la vérité, à la tordre, et à nous imposer son point de vue, à nous tous dans notre vie de tous les jours.
Daniel X [10], 13
« Le chef du royaume de Perse m’a résisté vingt et un jours ; mais voici, Micaël, l’un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse. »
DANIEL a une vision (Daniel X [10], 4–7). Le plus vraisemblable est qu’il s’agit ici de Gabriel, qui interpréta d’autres révélations pour Daniel. Ce retard de trois semaines était dû à un ange déchu, chef des démons s’occupant du royaume de Perse !
v. 20–21
« Il me dit : Sais-tu pourquoi je suis venu vers toi ? Maintenant je m’en retourne pour combattre le chef de la Perse ; et quand je partirai, voici le chef de Javan viendra. (...) Personne ne m’aide contre ceux-là, excepté Micaël, votre chef. »
Le chef de Javan est un autre chef de démons en charge de la Grèce.
L’ange qui apparut à Daniel (probablement Gabriel) devait se charger des démons de Perse et de Grèce, avec le secours de Micaël.
Il y a donc, en superposition et calqué sur les royaumes et États de ce monde, tout un système, une organisation hiérarchisée de strates de démons, qui sont près des chefs et leaders humains pour les influencer, voire les diriger partiellement ou totalement (par exemple, Hitler), ou ne serait-ce que tenter de les influencer et les gêner (pour les chefs humains honnêtes et convenables).
Daniel XI [11], 1
« Et moi, la première année de Darius, le Mède, j’étais auprès de lui pour l’aider et le soutenir. »
Mais nous voyons que, pareillement, il y a aussi des anges de Dieu, organisés et hiérarchisés, pour aider et soutenir ces chefs humains (tout au moins ceux qui n’ont pas complètement basculé dans le mal). Au reste, Paul dans sa première épître à Timothée exhorte à prier pour les rois et ceux qui sont élevés en dignité afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.
I Timothée II, 1–2
« J’exhorte donc (...) à faire des prières (...) pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. »
Nous constatons donc une organisation des démons par pays, calquée sur les royaumes et empires humains. Ce sont ces autorités, ces gloires, ces dominations, ces hiérarchies dont parle Jude.
En plus de ces hiérarchies de démons, il y a des tas de démons (de base) qui parcourent le pays. Lors de son ministère humain Jésus-Christ a croisé quantité de démons, et les Évangiles relatent à de nombreuses reprises ces brefs contacts, lors de guérisons notamment.
Quel comportement avoir vis-à-vis d’eux ?
Jude 6
« Je veux vous rappeler (...) qu’il a réservé pour le jugement du grand jour, enchaînés éternellement par les ténèbres, les anges qui n’ont pas gardé leur dignité »
Jude 8–10
« Malgré cela, ces hommes aussi, entraînés par leurs rêveries (...) méprisent l’autorité et injurient les gloires. Or, l’archange Michel, lorsqu’il contestait avec le diable (...) n’osa pas porter contre lui un jugement injurieux (…) Eux, au contraire, ils parlent d’une manière injurieuse de ce qu’ils ignorent »
Comme les anges déchus, ces apostats et imposteurs défiaient toute autorité, qu’elle soit civile ou spirituelle. Ils injuriaient également les gloires (les anges). Alors que même l’archange Michel, le chef des saints anges de Dieu, plutôt que de se permettre de maudire lui-même un ange aussi puissant que Satan, n’osa porter contre lui un jugement injurieux, mais s’en remit à la puissance ultime et souveraine de Dieu.
C’est une excellente illustration de la façon dont les chrétiens doivent se comporter à l’égard de Satan et des démons : ils ne sont pas censés s’adresser à eux directement, mais doivent plutôt demander à Dieu d’intervenir contre eux.
Ces docteurs apostats, au contraire, parlent d’une manière injurieuse de ce qu’ils ignorent. Ils blasphèment, se croient investis de puissance et d’autorité et, dans leur arrogance égocentrique éhontée, se moquent de ce qu’ils ne comprennent même pas.
II Pierre II, 10–11« Audacieux et arrogants, ils ne craignent pas d’injurier les gloires, tandis que les anges, supérieurs en force et en puissance, ne portent pas contre elles de jugement injurieux devant le Seigneur. »
L’expression « les gloires » désigne ici les anges déchus.
Appartenant au monde surnaturel, les anges déchus ont un niveau d’existence qui bénéficie d’une dignité et d’une qualité de transcendance dépassant l’humanité.
Un certain honneur est le propre de ceux qui transcendent le temps. Il faut prendre Satan et ses anges au sérieux.
Les anges déchus sont certainement très susceptibles de leur autorité : les provoquer en les injuriant peut être très dangereux. Nul ne devrait être assez fou pour se moquer de Satan ou de ses démons, proférer des insultes contre eux, ou tenter de s’en approcher, ou chercher à commander leur puissance.
Éphésiens VI [6], 12
« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. »
Table des matières
Chapitre VII
Le Monde Antédiluvien
Le Monde Antédiluvien
I - 1 “Effrayante cité de Tiwanaku & Puma Punku”
I - 2 “Les mégalithes inexpliqués de Puma Punku”
I - 3 “Les découvertes à Puma Punku contredisent la Théorie de l'Évolution”
I - 4 “Bloc de pierre de l'impossible”
I - 5 Robert Charroux
Le Déluge
Genèse VI, 1–5
III - 1 “Les géants et l'origine de l'humanité”
Des traces du Deuxième Déluge ?
Genèse III, 17–18
« (...) le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces »
Genèse IV [4], 11–12
« Maintenant, tu seras maudit de la terre qui a ouvert sa bouche pour recevoir de ta main le sang de ton frère. Quand tu cultiveras le sol, il ne te donnera plus sa richesse. »
Les premiers déséquilibres écologiques (voire catastrophes écologiques) arrivent alors, et la nature elle-même va profondément se modifier.
Genèse IV [4], 16–26 ; VI [6], 1–7
QUELLE pouvait être cette société « adamite » en quelque sorte ? Nous avons été conditionnés par la théorie de l’Évolution, et par l’idée (faussée) que nous avons du Moyen Âge européen, et nous avons tendance à croire que dans les anciens temps les gens étaient des barbares.
Ce n’étaient pas que des barbares (ou des cannibales !), en ce temps-là. D’aucuns avaient l’éducation, la connaissance et la technologie. Des gens intelligents ! ; car Dieu a placé son esprit dans l’homme. Et nous voyons une civilisation qui s’installe rapidement après la Création.
Genèse IV [4], 17
« Caïn connut sa femme ; elle conçut, et enfanta Hénoc. Il bâtit ensuite une ville, et il donna à cette ville le nom de son fils Hénoc. »
« Il bâtit une ville » : il a cette technologie.
v. 21
« Le nom de son frère était Jubal : il fut le père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau. »
Savez-vous fabriquer une harpe : la harpe nécessite de travailler le bois pour obtenir la forme nécessaire ; quant au chalumeau, il est en peaux cousues. Il fallait fabriquer soi-même les instruments.
v. 22
« Tsilla, de son côté, enfanta Tubal-Caïn, qui forgeait tous les instruments d’airain et de fer. »
Le bronze (alliage de cuivre et d’étain ; le synonyme poétique est « l’airain ») et le fer ! La métallurgie, dont le fer, avant le Déluge ! Étonnant ! Connaissance absolument majeure, qui amène une certaine industrie.
Vu l’intelligence que Dieu a mise dans l’homme, et sachant que les êtres humains de cette époque vivaient extraordinairement longtemps, imaginez la somme de connaissances qu’un individu de génie pouvait accumuler dans toute une pareille vie ! Chaque connaissance nouvelle portée par les autres découvertes plus anciennes, comme une pyramide à degrés ! Imaginons un Léonard de Vinci, un Blaise Pascal, un Albert Einstein, travaillant sur des centaines d’années ! : jusqu’où auraient-ils été ?! Alors que dans notre société, postdiluvienne, déjà gênée par la multitude des langages, avec une durée de vie active bien plus courte, ce ne sont qu'énormes et dramatiques pertes d’expérience et de connaissances dues aux décès, avec en plus dans les temps présents les maladies cérébrales dégénératives comme la maladie d’Alzheimer.
Existe-t-il des traces archéologiques de cette période antédiluvienne ? Très peu. Toutefois, on peut en trouver quand on examine certaines découvertes archéologiques récentes avec l’intelligence que donne la foi en Genèse chapitres I à XI (en tant que connaissance révélée de Dieu à l’homme), par rapport à ceux qui n’y voient aucun texte digne de foi (mais des légendes, des textes poétiques, la façon dont l’homme se représentait Dieu à l’époque de l’écriture de ces textes), et qui donc ne peuvent se prévaloir de l’intelligence que donne cette connaissance…
Nous avons tous entendu parler de l’Empire Inca, qui, à son apogée vers 1525, s’étendait à partir du Pérou sur un immense territoire : 3.500 km du nord au sud et 800 km d’est en ouest, une population de plus de 8 millions d’individus, un État puissamment structuré, une organisation très élaborée, un système administratif et politique sans équivalent parmi les sociétés amérindiennes. Cet empire s’écroula brutalement peu après devant les conquistadores de Francisco Pizarro. En réalité, cet empire était assez récent. D’autres sociétés élaborées, bien plus anciennes, s’étaient développées auparavant au Pérou (au reste, comme au Mexique avant les Aztèques). Ces civilisations, ces sociétés plus anciennes, sont appelées « pré-incas ».
Je regardais à la télévision, il y a quelques années, vers 2004-2006, un intéressant documentaire sur de récentes recherches au sujet d’un site archéologique manifestement exceptionnellement ancien, au Pérou ou en Bolivie, en arrière de la côte. Malheureusement, je n’ai pu retrouver le nom de ce site. De mémoire, il s’agissait du site d’une ville cérémonielle, avec une grande surface dégagée, des petites pyramides, d’une ancienneté supposée remonter au IIIe millénaire avant J.C. ! donc extrêmement antérieure à tout ce qui était connu. Le commentateur expliquait que cette ville ne correspondait à aucune organisation de sociétés pré-incas jusqu’à présent connues. Il semblait aussi qu’aucune fortification, donc protection militaire, n’existait, ce qui laissait entendre qu’il n’y avait pas d’armée. Si les experts étaient surpris, voire perplexes, nous, à l'aune de la connaissance révélée dans Genèse (chapitres I à XI), nous pouvions raisonnablement estimer plausible qu’il s’agisse des ruines d’une civilisation d’avant le Déluge. Je n’en suis pas sûr, je dis simplement que c'est possible.
Comme nous avions publié sur Internet la première version de ce texte, dans notre site Web d'origine (lequel a été fermé depuis — www.lescheminsduvent.net — ), une lectrice nous répondit fort aimablement sur notre courriel (qui existe toujours ! [email protected] n'hésitez pas à y laisser vos commentaires ! ) : « Le site dont vous parlez en Amérique du Sud s'appelle Puma Punku en Bolivie ... merci de soutenir les quelques “pecnodes” comme moi qui veulent la vérité, et à qui on ne veut pas la donner… Tous mes vœux 2011 Amida. ». Puma Punku, dont acte ! Si vous lancez par Google une requête sur ce nom, vous trouverez un grand nombre d'articles et de vidéos donnant toutes photos et précisions sur cette civilisation manifestement très ancienne, sans rapport avec les autres sociétés pré-incas que nous connaissons, mais technologiquement étonnamment avancée.
Nota : Le texte de ce chapitre a été initialement écrit et terminé en l'an 2007, et édité à l'époque pendant près de sept années sur un site Web (que nous avons arrêté en 2014). Ce site qui était très artistique, multilingue, d'une navigation parfaite et qui avait été entièrement écrit par moi-même en “html”, contenait outre les chapitres de la série « Histoire des Cieux et de la Terre » toutes sortes d'autres articles littéraires de valeur. Mais le maintien technologique du site et son coût (coût du serveur) m'ont forcé à l'arrêter pour redémarrer sur une autre plateforme et sous le générateur gratuit de sites Web “WordPress” dont je n'ai pas à faire la maintenance technologique.
À l'occasion de la réédition d'“Histoire des Cieux et de la Terre”, en livre :
en 2016, le tome 1 :
Histoire des Cieux et de la Terre 1
Paris : Books on Demand
Thouvenin de Strinava, Patrick
2e édition révisée et augmentée :
ISBN 978-2-8106-2842-1
Dépôt légal : février 2016
et en 2017, ce présent livre, le tome 2 :
Histoire des Cieux et de la Terre 2
Paris : Books on Demand
Thouvenin de Strinava, Patrick
ISBN 978-2-3220-9931-3
Dépôt légal : novembre 2017
ainsi que sur notre nouveau site Web :http://patrick.thouvenin.lairdofblackwood.com
nous avons révisé et complété (le cas échéant) le texte d'origine de 2007. En effet, dans ces années supplémentaires, les nombreuses données recueillies lors de mes recherches sur Internet non seulement ont confirmé ce qui avait été écrit, mais ont apporté des connaissances nouvelles de première importance sur tel ou tel sujet : c'est le cas notamment de “Puma Punku” (nombreuses vidéos aujourd'hui disponibles sur YouTube), et aussi de la question des “géants” dont nous parlerons longuement (car le Monde Antédiluvien est célèbre sur cette question des géants — Genèse, chapitre VI).
Lors de cette réédition, nous avons fait le choix de développer davantage ce sujet de Puma Punku.
Tout d'abord, commençons par une lecture sur « Wikipédia, L’encyclopédie libre » sur le Web, sur les mots-clés “Tiwanaku” et “Puma Punku”.
Ci-après, extraits choisis :
“La Civilisation de Tiwanaku (en aymara) ou Tiahuanaco, nom de la ville moderne (en espagnol) est une civilisation pré-inca qui a dominé la moitié sud des Andes centrales entre le Ve siècle et le XIe siècle (période formative bien plus ancienne, du Xe siècle av. J.-C. au IIIe siècle ap. J.-C.). La Civilisation de Tiwanaku a pris naissance sur la rive sud du lac Titicaca à plus de 3.800 mètres d'altitude, aux environs du site archéologique de la Cité du Soleil de Tiahuanaco. Son extension maximale est mal connue, mais les recherches archéologiques témoignent d'une expansion sur de vastes territoires en direction du sud et du sud-est du lac Titicaca. Ces régions correspondent à l'actuel nord du Chili et à l'ouest de la Bolivie.”
“Pumapunku (ou Puma Punku) est un vaste complexe cultuel situé à Tiwanaku en Bolivie. En aymara, le nom “Puma Punku” signifie “la Porte du Puma”. Elle est située près de la rive sud-est du Lac Titicaca, sur le plateau andin à une altitude de 3.800 mètres. Le site est connu pour ses vestiges d'architecture en éléments préfabriqués encastrables. Les pierres sont en grès ou andésite.”
“Un des principaux sites archéologiques actuels de la civilisation de Tiwanaku est la Cité du Soleil (…) Les deux plus célèbres monuments environnants sont la pyramide à sept degrés d'Akapana et la fameuse Porte du Soleil, considérée par certaines recherches comme un repère astronomique du fait de son alignement avec le soleil”
“Le paysage est dominé par Akapana, pyramide en gradins à sept niveaux (…) Cet aspect si massif frappe Pedro Cieza de León, premier Européen à découvrir Tiwanaku et qui ne peut, avoue-t-il, « ni comprendre, ni deviner quels outils ou instruments avaient permis de les façonner »...”
Quoique l'article de Wikipédia sur Tiwanaku associe le site archéologique à cette “Civilisation de Tiwanaku”, celle des anciens indiens Aymara (position de l'archéologie officielle et établie), il mentionne toutefois (avec honnêteté intellectuelle) que certains archéologues portent l'hypothèse d'une origine beaucoup plus ancienne :
“Selon certaines hypothèses littéraires, émises par Arthur Posnansky ou Rolf Müller et relayées par des journalistes comme Robert Charroux (c'est nous qui soulignons) ou Serge Hutin, la construction de la plus ancienne cité de cette civilisation remonterait à plus de 10.000 ans av. J.-C. Elles se fondent notamment sur différentes constructions interprétées comme des quais, mais qui se trouvent à une distance du lac qui ferait remonter leur construction à 15.000 ans av. J.-C., à l’époque où le lac aurait pu longer ces constructions ; un autre argument de cette théorie est l'interprétation de dessins et de gravures d'animaux comme des représentations d'espèces disparues à la fin du Pléistocène, c'est-à-dire vers 12.000 ans av. J.-C. Le principal élément qui permet de donner une datation qui remonterait au-delà de 10.000 ans av. J.-C. est d'ordre astro-archéologique. En effet, le site présente des portes et des piliers latéraux qui sont alignés sur les équinoxes (porte) et sur les solstices (poteaux). Or, la date à laquelle les solstices se levaient dans l'axe des poteaux est bien plus ancienne que les théories proposées. Il faut remonter plus loin que 10.000 ans av. J.-C. pour que le site coïncide avec les solstices.”
N.d.l.r. : Nous, également, pensons que la civilisation de Tiwanaku (celle des anciens indiens Aymara) est largement postérieure à Puma Punku. En effet, il est logique que des civilisations postdiluviennes, trouvant de puissantes ruines antédiluviennes, impressionnées, aient construit leurs propres monuments juste à côté, considérant cet emplacement comme sacré. C’est pourquoi il est possible d’avoir des artéfacs d’époques différentes dans un même ensemble géographique.
N.d.l.r. :
La position de l'archéologie officielle et établie associe le site archéologique à cette “Civilisation de Tiwanaku”, celle des anciens indiens Aymara.
Qui ne connaissaient ni la roue, ni n’avaient de système d’écriture !, tous étant d’accord sur ce point… !
Or, nous lisons dans l’article de Wikipédia sur Puma Punku :
“Le site est connu pour ses vestiges d'architecture en éléments préfabriqués encastrables. Les pierres sont en grès ou andésite. Des éléments trouvés dans un état de finition incomplète permettent de comprendre la méthode utilisée pour réaliser de surprenants creusements à angle droit. Les roches étaient tout d'abord frappées à l'aide de percuteurs de pierre, qu'on peut encore trouver en nombre sur le site des carrières d'andésite, puis lentement poncées et polies à l'aide de pierres plates et de sable.”
Pour le moins, une telle analyse ne fait pas honneur à ceux qui la tiennent...
Les mégalithes de Puma Punku composés de pierre dure n’ont évidemment pas été façonnés avec des percuteurs de pierre et polis à l’aide de pierres plates et de sable ! C’est tout simplement impossible. Et, en plus, comment auraient-ils été transportés d’une carrière lointaine, dans une région de haute altitude (à près de 4.000 mètres), par les anciens Aymaras qui ne connaissaient pas la roue !!
Les carrières utilisées par les vrais constructeurs de Puma Punku sont connues, et, que l’on retrouve des percuteurs de pierre sur place indique simplement que ces carrières ont été à nouveau, plus tard, utilisées par une civilisation plus primitive (et postdiluvienne) et n'indique pas