La Caserne / Toutes Ces Mains Sur Mon Corps... - Amber Jones - E-Book

La Caserne / Toutes Ces Mains Sur Mon Corps... E-Book

Amber Jones

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Beschreibung

Toutes ces mains sur mon corps...
Anna accepte d'accompagner son nouveau mec à une soirée entre potes de sa caserne. Par défi, et pour lui montrer que c'est une  fille libérée, elle accepte lors de cette soirée bien arrosée, de  coucher avec tous en même temps...

"Toutes ces mains sur moi, me caressant, m’empoignant, me font tourner la tête. Mes sens sont en ébullition.

Je suis folle de désir et frissonne chaque fois qu'une main, qu'une bouche, approche ma douce féminité... C'est alors que l'un deux prend soudainement les choses en main, me saisissant la taille fermement, et m'entraînant vers lui, vers son désir dressé, gorgé de désir et d’impatience..."

 

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Amber Jones

La Caserne

Vol.1

Anna accepte d'accompagner son nouveau mec à une soirée entre potes de sa caserne. Par défi, et pour lui montrer que c'est une fille libérée, elle accepte lors de cette soirée bien arrosée, de coucher avec tous en même temps...

 

"Toutes ces mains sur moi, me caressant, m’empoignant, me font tourner la tête. Mes sens sont en ébullition. Je suis folle de désir et frissonne chaque fois qu'une main, qu'une bouche, approche ma douce féminité... C'est alors que l'un deux prend soudainement les choses en main, me saisissant la taille fermement, et m'entraînant vers lui, vers son désir dressé, gorgé de désir et d’impatience..."

 

 

 

« I'm the queen of pain, I can make it thunder and rain, I can turn the clouds black in the sky, I can put all those tears in your eyes... ».

La soie écarlate glisse sur ma peau, je repasse la paume de ma main sur le tissu fin pour m'assurer de sa bonne tenue.

« I'll Leave and never wave goodbye cause I'm the queen of pain. I won't hear their names, Cause the voices are always the same, The places, the chaces...».

Un soupçon de maquillage pour illuminer mes traits, accentuer la rondeur de mes lèvres, le perçant de mon regard noir.

« The interchangable faces are scratching me, Attaching, surrounding, binding. How can I care if it's not you? ».

Je glisse la fermeture éclair le long de mon dos cambré, pour fermer la robe légère que je porte, ce soir-là. Un coup d’œil pour m'assurer qu'il me regarde toujours, lui qui me susurrait qu'il aimait porter son regard sur une belle femme en train de se vêtir... Je suis prête. Le talon de mes escarpins claque sur le plancher de notre chambre, je lui tends la main. Il y dépose un baiser, respectueusement, son regard en dit long sur son état d'esprit. Il me désire... je repousse ses avances d'un geste. Je suis prête et lui aussi. Ce soir, je compte bien lui montrer avec quel type de femme il vient de s'engager...

 

« Tu verras, Anna, ce sont de bons gars. C'est toujours l'occasion de relâcher un peu la pression, on ne fait pas un métier facile... » J’acquiesce d'un signe de tête, un sourire compréhensif aux lèvres. Notre relation débute à peine, mais j'en ai vu assez pour savoir à quel point ses journées sont difficiles. Il rentre souvent éreinté, la force lui manque tant que nous rejoignons rapidement le lit pour nous endormir, sa main glissée entre mes boucles rousses, ma tête contre son torse. Il est pompier, plus qu'un emploi, c'est une vocation où il s'est jeté corps et âme. Et moi, j'aime chez lui cette passion qui l'anime, envers et contre tout...

Quelques jours après le début de notre relation, nous avons partagé une première étreinte, puissante et passionnée... dès lors, l'envie, le besoin de lui n'ont cessé de me tourmenter. Mon corps et mon esprit se souviennent encore de ses baisers brûlants, du brasier allumé dans mon ventre et de coups de rein qui faisaient monter en moi le plaisir ardent, sauvage. C'est un amant dont l'excellence m'a comblée le temps d'une nuit et la simple idée de retrouver ces sentiments me met dans un état innommable.

Je brise le silence en reprenant d'une voix douce, la main posée sur sa cuisse.

« Je suis ravie d'avoir été invitée. Ce sera l'occasion de découvrir ton monde... et de rencontrer tes équipiers, tu n'es pas avare en compliments quand il s'agit de parler d'eux. Je sais qu'avec toutes vos aventures, ils ont besoin de se changer les idées... et toi aussi.»

Mes doigts fins dévient dangereusement, je presse, l'air innocente, son entrejambe. Le regard qu'il me jette est empli d'interrogations, vite remplacées par un sourire amusé. Aurait-il compris ? Je ris légèrement et détourne le regard. Je ne formule pas mon impatience à l'oral, mais il me tarde d'arriver à la caserne...

 

« Madame... »

Visiblement, nous sommes attendus. Une petite troupe de jeunes pompiers patiente sur le parking, l'un d'eux me tend la main pour m'aider à descendre. Je suis la seule femme, pour six ou sept hommes dans la force de l'âge. Je réprime un sourire amusé en croisant certains regards. Je vois dans leurs yeux la même flamme que dans ceux de mon compagnon...

« Une compagnie féminine est toujours bienvenue, ici, surtout si elle se révèle être aussi flamboyante que vous, Madame. »

Mon rire se fait franc, je presse la main du plus téméraire d'entre eux, un garçon bien bâti aux épaules carrées et aux incroyables yeux clairs. C'est un beau parleur, je dois avouer être plutôt ensible aux charmeurs, ils savent ce qu'ils veulent... et j'aime à répondre à leurs attentes.

Mon ami joint son rire au sien, et lui octroie une tape amicale avant de nous faire signe de retourner à l'intérieur. La nuit est fraîche et elle promet d'être bien remplie, autant ne pas nous égarer sur cet immense parking bien vide et débuter les festivités.

Je prends le bras de mon compagnon et nous nous dirigeons d'un même pas vers le cœur même de la caserne. Ma fébrilité est telle que je parviens à peine à tenir en place, me pressant tout contre lui, contre sa chaleur... Nous voilà entrés, je regarde autour de moi, vers le plafond qui s'élève à des mètres au-dessus de nous, c'est si grand que le fond se perd dans l'obscurité...

Mais étrangement, il fait bien chaud, je m'y sens bien, à l'aise, en sécurité, entourée de ces hommes forts et courageux.Une table est étendue au milieu de la pièce, jonchée de bouteilles d'alcool et de jus de fruits. Quelques amuse-gueule dont il ne reste plus grand-chose et des canettes de bière, éventrées, concluent la scène.

Visiblement, nous sommes légèrement en retard, certains ont déjà l'esprit allégé par quelques breuvages. Un homme me retire ma veste et je le sens se pencher, l'espace d'un instant, vers ma nuque pour y humer son parfum. Mon parfum.

J'esquisse un sourire léger et le regarde par-dessus mon épaule en mordant ma lèvre inférieure. Il recule aussitôt, gêné comme un adolescent pris en flagrant-délit. Courageux, mais pas téméraire...

« Anna ? Tu bois quelque chose ? »

J'hoche la tête et porte mon choix, sans hésiter, sur la bouteille de vodka. Ma décision est vite approuvée par le reste de l'équipe et nous trinquons à cette soirée qui promet son lot de surprises... et de plaisirs. Je porte le shooter à mes lèvres, mes yeux brûlants se posent sur chacun d'entre eux. Nous désirons tous la même chose... L'alcool aura vite fait d'échauffer assez les esprits pour débuter les festivités...

 

« Léo, tu vas partager, hein ? Qu'on reste pas là à te regarder. Allez, mon vieux ! »

Quelques hommes éclatent de rire et je joins mon amusement au leur, sans retenue. Mon compagnon est pressé contre mon dos, il dévore mes épaules et mon cou laissés nus par ma petite robe. Son souffle est chaud, son sexe, dur contre mes fesses.

L'une de ses larges mains presse mes seins à travers le tissu, l'autre me maintient fermement dans cette position dont je ne saurais m'échapper. Mes mains sont posées à plat sur la table, mon dos cambré pour appuyer la sensuelle étreinte dans laquelle je suis coincée, prise dans un piège dans lequel je me suis moi-même jetée.

L'homme qui a parlé se rapproche, je l'observe un instant, avec un léger sourire aux lèvres. C'est lui qui m'avait accueillie le premier, quand nous sommes arrivés. Je ne sais pas si c'est l'effet de l'alcool, mais son regard me semble d'autant plus pénétrant...

Il porte sa main à son entrejambe dans un geste sans équivoque et je l'invite à venir un peu plus près, tendant la main vers le tee-shirt léger qu'il porte. Il repousse mon geste en secouant légèrement la tête, un sourcil haussé, amusé.

Bon sang, il est craquant, sa simple présence me donne matière à mouiller... Je l'observe faire, le corps brûlant, alors qu'il retire la maigre barrière pudique qui camouflait jusqu'alors son torse.

« Et alors, Anna ? Tu vas rester longtemps cachée ? Montre nous un peu de chair... »

Il se penche sur moi et tout en parlant, recoiffe une boucle rousse en la glissant derrière mon oreille. Je sens mon homme me relâcher légèrement, juste assez pour pouvoir faire glisser lui-même la fermeture éclair de ma robe, laissant choir le vêtement à mes pieds.

Des sifflements admiratifs résonnent dans la pièce, je me redresse, étire mon dos pour qu'ils puissent me contempler. Une poitrine généreusement mise en valeur par de la dentelle rouge sang, un porte-jarretelle pour marquer ma taille fine et... je me penche en avant, appuyée sur la table, le dos cambré pour mettre en valeur mon fessier rond. Léo, lui, peut observer mon sexe trempé. Ce soir, j'ai décidé de faire abstraction des dessous superflus... je ne suis pas de ces filles qui aiment à sortir... trop vêtues.

Ils commencent à se rapprocher, ma respiration s'accélère, mon corps me brûle. Si l'alcool m'a aidée à me désinhiber, l'envie, elle, était présente avant même que je n'ai posé un pied dans la caserne, l'impatience, elle, me fait trembler...

Un geste, un regard, la lumière semble faiblir, les hommes ne sont plus qu'ombres et chaleur, autour de moi. L'un relève mon menton, contemple mon visage, son pouce glisse sur mes lèvres pulpeuses, timide, peut être. Doucement, il l'appuie entre mes dents, ma langue le caresse, je referme les yeux. D'autres mains, plus fermes, peut être, glissent sur mes côtes, s'attardent sur le tissu doux de mes dessous, sur la chair tendre offerte à son toucher.

Des doigts, plus délicats, frôlent à peine mes fesses, mes cuisses. Je me tends, expire, le corps délicieusement frissonnant. Le cercle semble se refermer, je suis entourée de mâles, partiellement dénudés, j'en vois certains dont la virilité pointe déjà entre leurs cuisses, n'appelant que mes lèvres, mon sexe pour être satisfaites.

J'humecte mes lèvres et pousse un premier gémissement. Je suis dans tous mes états, sans savoir à qui sont les mains qui me caressent, à qui sont ces lèvres qui osent embrasser mon épaule, le creux de mon dos, la rondeur de mes fesses.

« Dis -moi ce que tu veux, Anna. »

Je regarde derrière moi, je fixe cet homme que je souhaite simpltement satisfaire et murmure, d'une voix étranglée, mon corps tremble d'excitation.

« Que vous me preniez. Tous. »

Un temps, une pause. Comme si la scène se figeait avant que les hommes présents n'échangent un regard entendu. Ma déclaration m'est salvatrice, comme la déclaration claire de mon consentement. Je sais ce qu'il va se passer et je le veux... intensément. J'inspire profondément alors que le rythme s'accélère, que les choses s'enchaînent.