LIBERTINS: Des Apparences Trompeuses... - Amber Jones - E-Book

LIBERTINS: Des Apparences Trompeuses... E-Book

Amber Jones

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  • Herausgeber: Amber Jones
  • Kategorie: Erotik
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2017
Beschreibung

À première vue, Bill et Jeanne Poitiers avaient tout ce qu’il fallait pour être heureux ; des enfants modèles, des amis en or et une entreprise florissante, mais les apparences sont parfois très trompeuses...

Dans l’espoir de se racheter de ses erreurs, Jeanne accepte de partir en vacance en Grèce avec son mari et leurs meilleurs amis David et Dominique, mais les choses prennent une tournure pour laquelle nul d’entre eux ne pouvait se préparer... 

Nouvelle Érotique de 6000 mots

Scènes hautement érotiques et perverses. 

Tabou et Sexuel. A lire seul(e)...ou à deux ;)

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Amber Jones

Libertins

Une jeune femme mariée depuis peu accepte de partir en vacances au Club Méditerranée en Grèce, avec un couple d'ami. Les maris souhaitent un échange érotique, mais la suite ne se passe pas aussi bien qu'espéré...

À première vue, Bill et Jeanne Poitiers avaient tout ce qu’il fallait pour être heureux ; des enfants modèles, des amis en or et une entreprise florissante, mais les apparences sont parfois très trompeuses. Dans l’espoir de se racheter de ses erreurs, Jeanne accepte de partir en vacance en Grèce avec son mari et leurs meilleurs amis David et Dominique, mais les choses prennent une tournure pour laquelle nul d’entre eux ne pouvait se préparer.

Quiconque connaissait, un tant soit peu, Jeanne Poitiers savait pertinemment qu’elle n’était pas une amatrice de voyages. Bien qu’elle n’était pas fermée aux autres cultures, elle n’était pas particulièrement excitée face à l’inconnu, les langues étrangères et les climats radicalement différents. Très peu pour elle! Rien comme le confort du foyer, pas vrai? Elle avait grandi à la campagne, avec dix frères et sœurs et très peu d’argent. Les revenus générés par les ventes de la ferme familiale leur permettaient d’avoir un toit sur la tête, des vêtements propres et à manger sur la table, mais c’était tout. Ils étaient heureux en se contentant de peu! Son monde c’était ça. La tranquillité de son petit village, où tout le monde connaît tout le monde. Beaucoup de mouches, d’accord, peu de passe-temps si l’on n’est pas passionné par les travaux de la ferme ou les parties de chasse, mais des décors à couper le souffle.

Il n’était donc pas surprenant qu’elle ait pris la relève à la mort du paternel. C’était son rêve depuis toujours et Dieu sait combien elle s’était battue pour y arriver. Martin, son frère aîné, avait tenté par tous les moyens de faire invalider la volonté de leur père, simplement parce qu’il ne pouvait supporter l’idée qu’une femme soit en contrôle de l’entreprise pour laquelle il avait si longtemps travaillé. Résultat? Une poursuite judiciaire qu’elle avait remportée et des liens familiaux brisés à jamais. Jeanne avait tenté de renouer avec celui qui avait un jour été son meilleur ami, mais s’était heurtée à un mur. Elle n’avait plus reçu de ses nouvelles en douze ans ensuite, sauf par l’entremise de leurs frères et sœurs qu’elle avait cessé d’interroger depuis longtemps. Si sa relation avec Martin était le sacrifice qu’elle devait faire pour préserver ce qu’elle avait gagné à la sueur de son front, elle était prête à vivre avec ce deuil.

À trente-deux ans, elle avait tout pour être heureuse; un mari fidèle, deux merveilleux fils, neuf frères et sœurs avec qui elle se plaisait à travailler et une entreprise prospère. Elle n’avait pas besoin de passer ses journées au bord de la piscine ou étendue dans le sable à faire bronzer ses fesses trop pâles. Elle n’avait pas besoin de ces soirées mondaines, où il lui fallait porter ces robes ridicules qui lui donnaient l’air d’un gros bonbon en comparaison aux autres femmes incroyablement minces et sans doute anorexiques. Elle n’avait pas besoin de bijoux importés de l’autre bout du monde (parce que plus c’est loin, mieux c’est!) et, par-dessus tout, elle n’avait pas besoin de s’évader sur un autre continent, à des prix ridiculement trop élevés, pour être heureuse. Elle était satisfaite avec ce qu’elle avait toujours connu.

On ne pouvait pas en dire autant de son mari William alias Bill. Il avait passé la majeure partie de sa vie dans des châteaux et des maisons aussi somptueuses les unes que les autres. Puisque son père était sénateur, Bill avait été scolarisé à domicile et avait [...]