Tu Paieras Avec Ton Corps (Tome 3) - Amber Jones - E-Book

Tu Paieras Avec Ton Corps (Tome 3) E-Book

Amber Jones

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Beschreibung

Tu Paieras Avec Ton Corps (Tome 3)

S'ABANDONNER A LUI...

Myriam n'a plus un sou, et cela fait plusieurs moi qu'elle ne peut plus payer son loyer...les petits missions d’intérim ne lui suffisent plus...

Sans famille pour l'aider elle a peur de se retrouver à la rue, et à 27 ans, elle n'a plus le choix: elle doit faire accepter à son proprio de patienter encore un peu pour le paiement des 10 mois de loyer en retard...

Mais lorsqu'elle le rencontre, celui-ci lui fait une proposition très claire: une nuit de sexe avec lui, et toute la nuit, ou bien la porte...

 

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Amber Jones

Tu Paieras Avec Ton Corps

Tome 3

La vie sentimentale de Myriam n’est pas commune. Elle a deux amants, deux policiers, mais le plus jeune vient de recevoir un ultimatum de sa famille : il doit se trouver une petite amie avant la fin de l’année. Or, Myriam est déjà connue du poste de police comme la maîtresse du lieutenant. Le jeune Jean-Baptiste va devoir se trouver une autre candidate. L’ennui, c’est que mis à part Myriam, qui le fascine inexplicablement, il n’aime pas les femmes. Ses parents s’en doutent, et ont décidé de le remettre dans le droit chemin. Et son père n’est autre que le commissaire… Il s’agit de le satisfaire.

Myriam lui présente donc une amie à elle, dans l’espoir de le tirer d’affaire et de préserver leurs petits secrets...

Le grand jour était arrivé. Nice s’éveillait lentement face à la mer dégagée, et une nouvelle journée de travail commençait.

Le lieutenant Kader Albano arpentait avec anxiété le couloir du commissariat, attendant que son jeune subordonné, qu’il avait accompagné jusqu’à la porte, termine son entretien. Cela n’aurait pas dû être aussi stressant ; après tout, le commissaire était le père du jeune homme. Mais c’était un homme strict et intransigeant, qui avait déjà manifesté plusieurs fois ses exigences au jeune Jean-Baptiste, et qui ne laisserait passer aucune faiblesse, aucun détail qui lui déplairait.

L’annonce que son fils allait lui faire serait soit acceptée avec plaisir, soit refusée en bloc ; et si le lieutenant se semblait tellement concerné, c’est que tout ça était son idée.

C’était lui qui avait offert au jeune homme de lui trouver une petite amie ; c’était lui qui avait fait appel à sa maîtresse Myriam pour trouver une candidate ; c’était même lui qui avait suggéré le nom d’une collègue de celle-ci, car elle se plaignait toujours, paraît-il, de ne pas trouver de relation sérieuse… Et maintenant, c’était lui qui se sentait responsable du destin de son ami.

Il entendait, à travers la porte vitrée, la voix grave du commissaire qui martelait des mots incompréhensibles. Il n’allait quand même pas aller écouter à la serrure… Mais il avait hâte que Jean-Baptiste sorte pour lui raconter comment ça s’était passé.

Au bout de dix minutes, Jean-Baptiste repassa la porte, et la ferma soigneusement avant de tourner vers son lieutenant un regard illuminé.

« Elle lui plaît ! »

Ils regagnèrent leurs bureaux en échangeant quelques informations sur l’entretien ; dès la pause, le lieutenant allait écrire un message à Myriam pour lui dire que tout s’était bien passé, et Myriam préviendrait sa collègue, Lydia.

« Il a dit qu’elle avait l’air un peu sévère, mais que ça ne lui déplaisait pas. Il m’a aussi rappelé que si j’avais l’intention de l’épouser, je devais la respecter jusque-là… il voulait dire, la laisser vierge. »

« Ton père est un vieux réactionnaire », rit le lieutenant en tapotant l’épaule du jeune homme pour l’encourager. « Mais tu vas voir, maintenant qu’il t’a donné sa bénédiction, tout se passera très bien. Il te suffira de la retrouver de temps en temps, de l’inviter au restaurant, au cinéma… et je suis sûr que vous deviendrez bons amis. »

Jean-Baptiste n’avait jamais eu l’intention de sortir avec Lydia, ou pire encore, de l’épouser ; il était amoureux de Myriam, la maîtresse de son lieutenant. C’était ce dernier qui les avait présentés, et ils vivaient une idylle à trois aussi secrète qu’idéale. S’ils en avaient le choix, ils n’y changeraient rien jusqu’à ce que l’un d’eux se lasse. Et comme ils étaient partis, ça pouvait durer des années !

Mais bien sûr, cela, le commissaire ne pourrait jamais le comprendre. Le vieil homme estimait que l’épanouissement de Jean-Baptiste passait par une relation classique, avec une femme rangée, en vue de l’épouser et d’avoir une ribambelle d’enfants. Il avait déjà marié avec succès ses divers autres rejetons, seul le petit dernier semblait peu intéressé par la chose ; mais à présent, avec cette Lydia, le problème semblait enfin réglé.

Jean-Baptiste rejoignit son poste : il devait se [...]