La Nuit de ses 19 ans E-Book

Amber Jones

• Herausgeber: Amber Jones
• Kategorie: Erotik
• Sprache: Französisch
• Veröffentlichungsjahr: 2017

Beschreibung

...si jamais il venait à apprendre ce que nous avons fait dans ma chambre, lorsque toute la maison était endormie...et que son corps musclé me tenait en extase, la bouche bâillonnée de sa main forte pour ne pas que mes gémissements de plaisir ne réveillent les autres...

C’était l'associé de longue date mon père –  et mon premier amour.

C’était mal de tomber amoureuse de lui. Mais c’était encore pire de flirter avec lui et d’essayer de  le séduire la nuit de la fête de mes 19 ans.

Mais pouvez-vous me le reprocher ? Je n’avais pas vu cet homme depuis des années et il débarque encore plus canon qu’auparavant.

Notre liaison n’aurait jamais du commencer mais maintenant que c’est le cas, je ne veux pas que ça s’arrête. 

Je suis folle de ce gars – et je suis sûre qu'il est obsédé par moi. Mon père le tuerait si jamais il venait à apprendre ce que nous avons fait dans ma chambre, lorsque toute la maison était endormie...et que son corps musclé me tenait en extase, la bouche bâillonnée de sa main forte pour ne pas que mes gémissements de plaisir ne réveillent les autres...


(Nouvelle Érotique, Première Fois, Alpha Male)

Leseprobe

Amber Jones

La Nuit de ses 19 Ans

Vous aimez les histoires très chaudes ? Vous aimeriez en recevoir gratuitement et être au courant des sorties les plus coquines ? Rendez-vous à la dernière page de cet ebook ;)

C’était l'associé de longue date mon père – et mon premier amour.

C’était mal de tomber amoureuse de lui. Mais c’était encore pire de flirter avec lui et d’essayer de le séduire la nuit de la fête de mes 19 ans.

Mais pouvez-vous me le reprocher ? Je n’avais pas vu cet homme depuis des années et il débarque encore plus canon qu’auparavant.

Notre liaison n’aurait jamais du commencer mais maintenant que c’est le cas, je ne veux pas que ça s’arrête.

Je suis folle de ce gars – et je suis sûre qu'il est obsédé par moi. Mon père le tuerait si jamais il venait à apprendre ce que nous avons fait dans ma chambre, lorsque toute la maison était endormie...et que son corps musclé me tenait en extase, la bouche bâillonnée de sa main forte pour ne pas que mes gémissements de plaisir ne réveille les autres...

C’était l’associé de longue date de mon père. Je l’avais rencontré alors que je n’avais que dix-huit ans. Mon père l’avait invité à boire un verre à la maison, après une éprouvante journée de travail. Je l’avais salué poliment et il m’avait rendu mon sourire. Je ne m’étais pas attardée, était retournée dans ma chambre.

Vers 21 heures, ma mère était venue me chercher pour que nous passions à table. Mon père l’avait convié et ce dernier s’était assis à mes côtés. J’avais senti son regard sur moi, j’en avais été troublée. Alors qu’habituellement, les collègues de mon père se contentaient d’anecdotes de bureau, de blagues qui ne faisaient rire personne, il s’était intéressé à moi, à mes études, mes projets, mon goût pour la musique. Il était d’ailleurs musicien lui aussi, jouait du piano depuis sa plus tendre enfance.

Je n’aurais su dire pourquoi, mais il m’avait fascinée. J’étais accrochée à ses lèvres. J’aimais le son de sa voix, les traits de son visage, et ses bras. Ils étaient musclés, imposants. J’essayais d’imaginer le sentiment de sécurité que devait éprouver une femme à ses côtés.

Lorsqu’il s’était levé de table, j’avais remarqué à quel point il était grand. Sa démarche était celle d’un homme, d’un vrai. Il était sûr de lui. Après avoir remercié ma mère pour le repas, il s’était approché de moi. « Tu es une personne absolument charmante, j’ai été ravi de faire ta connaissance. » m’avait-il dit. Il avait ensuite salué mes parents et était parti.

Cette rencontre ne m’avait pas laissée indifférente. Il était beau, élégant, avait réussi tout ce qu’il avait entrepris et m’avait accordé son attention. Puis son regard… Je n’étais pas parvenue à m’en détacher. Ses deux yeux bleus m’avaient fixée, à plusieurs reprises. Il ne me regardait pas comme une enfant mais comme une femme. J’étais certaine de son intérêt pour moi.

Le soir même, dans ma chambre, alors que j’essayais de m’endormir, son image m’était revenue. Je ne savais pas si c’était une pensée, un rêve, mais j’avais imaginé ses mains effleurer mes hanches et se poser sur ma poitrine, son souffle dans mon cou. Je l’avais vu découvrir mon corps avec sa bouche, sa langue. J’avais senti une bosse apparaître à travers son jean. Je lui avais alors retiré. J’avais pris son membre, impressionnant, entre mes mains. Je l’avais découvert, caressé, jusqu’à ressentir son excitation. J’avais rêvé qu’il me pénétrait, en un va et vient toujours plus rapide, jusqu’à ce que je défaille. En plein orgasme, je m’étais réveillée.

J’en avais été heureuse mais je m’étais sentie incroyablement coupable. C’était le collègue de mon père. Il était beaucoup plus âgé, ces choses ne se faisaient pas. C’était un désir interdit, des pensées que je n’aurais pas dû avoir.

Les mois s’étaient écoulés, j’avais continué à rêver de lui, de ses gestes, de son membre et de l’orgasme que je pourrais atteindre avec un homme aussi expérimenté. Les garçons de mon âge me paraissaient insipides, je ne retrouvais pas ce désir qui m’avait consumé lors de notre première rencontre. Pourtant, au fil du temps, son souvenir s’était peu à peu estompé.

Ce n’est que le jour de mes dix-neuf ans que je l’avais revu. Mes parents avaient convié une impressionnante assemblée, composée de membres de la famille, d’amis. Et mon père, qui l’appréciait énormément, l’avait naturellement invité.

J’avais passé une bonne heure à me préparer, à choisir avec soin le moindre détail de ma tenue. Je voulais être exquise, qu’il me remarque. J’étais majeure désormais, et je comptais bien arriver à mes fins. J’avais choisi un string en dentelle rouge, un soutien-gorge pigeonnant, et une robe moulante à souhait. Un pendentif descendait jusqu’à la naissance de mes seins, une paire de talons aiguille me rehaussait, et un rouge à lèvre sombre finissait l’ensemble. J’étais sexy à souhait.

Il était arrivé au milieu de la soirée, un bouquet à la main. En m’apercevant il s’état figé. Il ne s’attendait pas à une telle évolution, ne pensait pas que j’avais autant changé. Lui était encore plus irrésistible. Sous sa chemise, je devinais son corps de rêve : un dos musclé, des abdominaux en acier, et un impressionnant tour de bras. Il avait tout pour lui.

Il finit par me tendre les fleurs, et en profita pour me glisser à l’oreille qu’elles sentaient aussi bon que moi. Je rougis, le remerciai. Tout au long de la soirée, il me regarda. J’ [...]