Petite SALOPE Tome 2 E-Book

Amber Jones

• Herausgeber: Amber Jones
• Kategorie: Gesellschafts- und Liebesromane
• Sprache: Französisch
• Veröffentlichungsjahr: 2017

Beschreibung

DJ dans une petite boîte de nuit dans une station balnéaire, Thomas adore son job :  l’ambiance, la fiesta, les after… Par contre, il déteste les  petites pétasses qui régulièrement viennent essayer de se glisser sur le podium, à ses côtés, pour faire les malines…

Justement, cette semaine une certaine Justine,  une gamine complètement délurée de 18 ans, prétexte s’intéresser à son job pour passer une partie de la soirée avec lui…bien en vue sur le podium devant ses copines… 

N’en pouvant plus, il lui glisse un soir, l’air menaçant :  « Passe dans mon bungalow à 4h… je vais t’apprendre le métier de DJ avec des copains tu vas voir ». 

A sa grande surprise, elle lui répond à l’oreille, par-dessus les décibels de la musique : « et si je venais…vous seriez à la hauteur ? », en lui léchant très subtilement le lobe de l’oreille…

Nouvelle Érotique, réservée à un public averti. 

Scènes hautement érotiques et perverses. 

Tabou et Sexuel. A lire seul(e)...ou à deux ;)

Leseprobe

Amber Jones

Petite

SALOPE

Tome 2

DJ dans un club de vacances, Thomas s’est fait harceler plus d’une fois par des gamines superficielles qui rêvaient d’épater leurs copines. En général, il leur fait croire qu’elles l’intéressent, puis les largue brutalement pour leur montrer que ce n’est pas si facile. Et elles n’y reviennent pas… sauf une.

Justine n’a passé que quelques jours au club, mais ces quelques jours ont été l’expérience sexuelle la plus incroyable de Thomas. Il a pu libérer ses fantasmes de domination les plus secrets : la jeune fille aime être attachée. Elle lui promet de revenir et de se payer du bon temps avec lui, aux prochaines vacances.

Mais dans cet univers plein de tentations, Thomas n’est pas sûr de savoir attendre.

La période des vacances touchait à sa fin ; je m’étais bien amusé encore cette année, mais je pensais toujours à cette fille qui m’avait harcelé jusqu’à ce que je couche avec elle, Justine, une gamine de dix-huit ans à qui j’avais voulu faire peur, mais qui avait adoré ça. Elle en avait même redemandé.

C’était la seule fille à m’avoir dragué au centre qui se soit souvenue de la couleur de mes yeux…

C’était la seule femme, dans ma vie, qui m’ait littéralement demandé de l’attacher pour faire l’amour, et qui en parlait aussi vulgairement. Allez comprendre, ça me plaisait. C’était libérateur de pouvoir employer mon propre langage avec elle, sans avoir à marcher sur des oeufs de peur de blesser sa précieuse sensibilité, comme avec mes copines habituelles.

Mais bien sûr, ce n’était qu’une jeune fille, à peine majeure, et elle avait repris le chemin de l’école assez vite. Au final, on ne s’était fréquentés que trois ou quatre jours. Je m’étais dit qu’une période si courte ne pourrait pas laisser d’empreinte.

J’avais essayé de l’oublier à son départ, mais peine perdue ! Je n’aimais pas me sentir comme ça ; et un soir, mes collègues m’ont proposé une virée en ville pour me changer les idées : c’était la fin de l’époque touristique, on allait enfin pouvoir se reposer après un été de nuits blanches, et ils allaient fêter ça en sortant en boîte tous ensemble.

C’était aussi l’occasion de se dire au revoir : on n’allait pas tous revenir l’été suivant. Les jeunes étudiants qui faisaient leur job d’été parmi nous allaient peut-être quitter la région, ou trouver une autre place ailleurs. On a donc choisi un bar qui plaisait à tout le monde, et on est allés boire un coup.

J’étais surtout venu pour tenter d’oublier Justine, et mes collègues qui étaient au courant m’y encourageaient aussi. Ce n’était pas sérieux de faire une obsession sur une fille qui était après tout une cliente, et qui reviendrait peut-être avec ses parents prêts à porter plainte. Ils avaient raison, même si j’avais du mal à faire ce qu’ils me conseillaient. Je me suis dit que si je buvais assez, je me réveillerais peut-être guéri…

J’ai soudain reconnu dans un coin de la salle un homme que je connaissais : j’avais l’habitude de l’appeler “mon maître” quand il travaillait comme DJ au centre de vacances. Son vrai nom était Dan Carrera, et il m’avait tout appris de mon métier.

C’était un homme dur et exigeant, d’une quarantaine d’années ; les jeunes touristes ne lui tournaient pas autour à l’époque, comme elles s’étaient mises à le faire avec moi depuis que je l’avais remplacé aux platines. Et si elles l’avaient fait, elles l’auraient regretté. Je savais de source sûre que Dan était encore plus flippant que moi au lit, un vrai psychopathe.

Là, il n’avait pas l’air de faire très peur à la femme qui l’accompagnait. C’était une dame de son âge, grande et sublime, avec un regard fier. Ils n’en étaient pas au début de leur relation, ça se voyait.

Dan avait quitté le centre en héritant du parc d’attraction de son père, un peu plus loin sur la côte, et c’était maintenant un homme riche aux fréquentations snobs ; il avait sans doute ramassé cette beauté froide dans un bar beaucoup plus classe, et elle n’avait aucun respect pour notre joyeuse compagnie. Bien sûr, elle ne pouvait pas [...]