LA CREATION E-Book

Hubertus Huber

• Herausgeber: Books on Demand
• Kategorie: Religion und Spiritualität
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 56

Veröffentlichungsjahr: 2022

Beschreibung

L'Église catholique a un chef visible, le pape, et un chef invisible, Jésus-Christ. Pour que l'Église remplisse sa mission en toute sécurité, le Christ lui a promis son assistance et lui a envoyé le Saint-Esprit. Avec l'assistance du Saint-Esprit, les papes ont enseigné que la liberté religieuse était une hérésie condamnable. Le Concile de 1965 a rejeté cette doctrine. Hubertus Huber, s'est demandé si Dieu (le Saint-Esprit) pouvait se tromper ? Si Dieu se trompe, il n'est pas Dieu. Il ne change jamais ses décisions. Seuls les hommes peuvent se tromper. Hubertus Huber a rédigé quelques écrits dans lesquels il traitait de ce sujet. Très vite, il s'est retrouvé seul avec ses pensées "aberrantes". Dans cette situation, il demanda à Dieu de l'aider. Il a promis de tout brûler s'il ne trouvait pas de preuve de la véracité de ses écrits. Quelques jours plus tard, il a rencontré un prêtre qui lui a dit qu'ils avaient négligé un argument important et il lui a apporté un calendrier avec le serment de couronnement des papes. Le serment de couronnement est un contrat entre le Christ et son représentant. Selon ce contrat, toute modification de la doctrine, des rites et de la tradition entraîne le "BANN ou l'excommunication". En 1965, cette sanction a frappé 2400 évêques qui avaient voté contre l'enseignement de l'Eglise lors du Concile. Pour dissimuler le bannissement des évêques, le serment de couronnement a été détourné et supprimé de l'enseignement. Aujourd'hui, il est inconnu des théologiens et des universités. Cette dissimulation était une attaque contre Dieu et son enseignement. Pour Hubertus Huber, la visite miraculeuse du serment de couronnement des papes était la preuve demandée de la véracité de ses écrits. Dans ce livre, la déchéance de l'Eglise catholique en une secte sans prêtres est décrite en détail.

Leseprobe

Tout pour la plus grande gloire de Dieu

Pour la jeunesse du monde

L'auteur

Hubertus Huber est né en 1938 à Fribourg-en-Brisgau. Son professeur de religion était le Dr Ernst Föhr, qui devint plus tard vicaire général de l'archevêque Schäufele à Fribourg. Le Dr Föhr expliquait à son élève : "L'Église sera toujours attaquée par Satan.

"Tant que nous parviendrons à éliminer à temps les hérétiques (les non-croyants), la Sainte Eglise ne changera pas. Si elle n'y parvient pas, elle se transformera en secte".

C'est ce que disait le Dr Föhr en 1955, dix ans avant le Concile. On n'a pas réussi à éliminer les hérétiques. Ceux qui, par leur silence, ont couvert les hérétiques et les ont ainsi soutenus, portent une grande responsabilité dans la décadence de l'Eglise.

En 1969, à la sortie de la messe dominicale, pour la première fois à "l'autel du peuple" et avec des instructions pour la communion dans la main, un homme âgé a dit : "C'est une nouvelle république".

Qu'entendez-vous par là, a voulu savoir l'auteur ? Le Seigneur répondit : "Le Christ roi a été renversé. Ses ennemis prennent la tête de l'Eglise. Ils vont ouvrir la porte au mal".

Depuis lors, l'auteur a observé la désintégration de l'Eglise et a tenté de documenter cette évolution

Table des matières

La création

La création du monde et la chute des anges

La création de l'homme - le péché originel

Le déluge de péché - la méchanceté de l'humanité

La rédemption des justes par Jésus-Christ

L'Église de Jésus-Christ et la rébellion

Fatima

La création

Au commencement était la Parole (le Fils de Dieu) et la Parole était avec Dieu, et Dieu était la Parole. Dès le commencement, Il était avec Dieu. Par la Parole, tout a été fait, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans la Parole. En Lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes. Et la lumière brillait dans les ténèbres (du péché) ; mais les ténèbres ne l'ont pas comprise. Il y avait un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean. Celui-ci vint comme témoin ; il devait rendre témoignage à la lumière, afin que tous parviennent à la foi par son intermédiaire. Il n'était pas lui-même la lumière, il devait seulement rendre témoignage à la lumière. C'était la vraie lumière, celle qui éclaire tout homme venant dans ce monde. Il (Christ) était dans le monde, et le monde est devenu par lui. Seul le monde ne l'a pas connu. Il est venu chez lui, mais les siens ne l'ont pas accueilli. Mais à tous ceux qui l'ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à tous ceux qui croient en son nom, qui ne sont pas nés du sang, ni du désir de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. Et la parole s'est faite chair et a habité parmi nous. Et nous avons vu Sa gloire, la gloire de Celui qui est né du Père, plein de grâce et de vérité. Rendons grâce à Dieu. (Jn. 1, 1-14)

Cet évangile de Jean était lu après chaque messe, conformément à la bulle "Quo primum" du 17.7.1570 du pape Pie V. Après le Concile, cet évangile a été supprimé.

En tant qu'enfants de Dieu, nous devons accueillir Jésus et vivre dans sa grâce. Mais Jésus ne reste avec nous que si nous acceptons son enseignement et ses commandements sans les modifier. L'Agneau de Dieu ne peut pas venir là où Satan a laissé ses traces.

La création du monde - L'épreuve des anges, Vénérable Sœur Marie d'Agreda

Dieu est la cause de tous les êtres, leur créateur. Il a voulu commencer les merveilles extra-trinitaires de Sa toute-puissance, comme et quand il plaira à Sa libre volonté divine. Moïse en parle dans le premier chapitre de la Genèse. Le Seigneur m'ayant éclairé à ce sujet, je dirai ici ce qui est nécessaire pour que l'on reconnaisse les œuvres et les mystères de l'incarnation du Verbe divin et de la rédemption de l'origine.

Au premier chapitre de la Genèse, il est écrit : "Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Mais la terre était déserte et vide. Les ténèbres étaient sur l'abîme, et l'esprit de Dieu planait sur les eaux. Alors Dieu dit : "Que la lumière soit !" Et la lumière fut. Et Dieu vit que la lumière était bonne, et Il sépara la lumière des ténèbres. Et Il appela la lumière jour et les ténèbres nuit.

Et il y eut un soir et un matin : ce fut le premier jour" (Gn 1, 1-5) C'est en ce premier jour - Moïse dit "au commencement" - que Dieu créa les cieux et la terre. Au cours de ce commencement, le Dieu tout-puissant, persistant dans Son immuabilité, sortit en quelque sorte de lui-même pour donner une existence propre à des créatures. Il commença en quelque sorte à jouir de Ses créatures comme d'œuvres qui étaient parfaites à leur manière. Afin que l'ordre de la création soit des plus parfaits, Il créa, avant les êtres doués de raison, le ciel pour les anges et les hommes, et la terre comme lieu de résidence pour les hommes durant leur pèlerinage. Il créa ces deux lieux si parfaits et si conformes à leurs objectifs divins que David put chanter : "Les cieux racontent la gloire de Dieu, la voûte céleste annonce l'œuvre de ses mains !" (Ps.t 18, 2). Les cieux, dans leur beauté, révèlent la grandeur et la gloire de Dieu. Ils sont la récompense que le Seigneur a préparée d'avance pour Ses saints. L'univers de la terre indique que les hommes doivent y habiter et y marcher vers leur Créateur. Avant de les créer, Il a tout préparé pour eux et a tiré du néant ce qui était nécessaire à leur vie et à leur objectif. Grâce à tout cela, ils devraient se sentir obligés d'obéir à leur Créateur et Bienfaiteur, de l'aimer et de reconnaître Son nom merveilleux ainsi que Son infinie perfection à travers Ses œuvres.

Moïse dit de la terre qu'elle était déserte et vide. Il ne dit pas cela du ciel. C'est là que Dieu a créé les anges. Moïse l'indiqua par cette parole : "Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut". Moïse ne parle pas seulement de la lumière matérielle, mais aussi des anges, ces luminaires spirituels. Il ne s'exprime pas clairement ici, car les Juifs étaient souvent enclins à attribuer une essence divine à des choses extraordinaires, même si elles étaient bien inférieures aux anges en termes de dignité. Cependant, le symbole de la >lumière< était très significatif de la nature des anges, notamment en ce qui concerne leur connaissance et leurs grâces, dont ils étaient déjà imprégnés lors de leur création. En même temps, Dieu créa la terre et en son centre l'enfer