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"Les dernières paroles sont pour les imbéciles qui n'en ont pas dit assez" (Karl Marx) Voici donc près de 1000 "dernières paroles" - de célébrités ou de quidams moins connus. Tour à tour pathétiques ou philosophiques, drôles ou lucides, pleines de finesse ou simplement banales, elles ont toutes quelque chose à nous apprendre... Sur nous-mêmes autant que sur ceux qui les ont prononcées !
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Seitenzahl: 142
Veröffentlichungsjahr: 2020
« La mort est un manque de savoir-vivre. »
« Peace, peace !
He is not dead
He does not sleep
He has just awakened from the dream of life. »
(‘’Adonaïs’’ de Percy B. Shelley, en hommage à John Keats -1821 ; citation reprise en 1969 à la mort de Brian Jones)
« Tire ton épée et donne-moi la mort afin qu’on ne dise pas de moi : c’est une femme qui l’a tué. »
(Abimelech ; roi misogyne des Philistins ; blessé à mort par une femme, il demande à un de ses hommes de l’achever… mais n’en demeure pas moins une victime du sexe… faible ! – 1100 av. J.-C.)
« Broie, broie donc le sac qui enveloppe Anaxarque, mais tu ne broieras pas Anaxarque ! »
(Anaxarque ; philosophe condamné à être écrasé par un pilon, sur ordre de Nicocréon roitelet de Chypre – Vème siècle av. J.-C.)
« La nuit dernière, j’ai rêvé que je m’asseyais, avec des offrandes devant moi, entre deux grands piliers… Personne dans l’Empire ne fera de moi son maître ! Mon heure est venue de mourir. »
Variante, plus concise : « Une licorne ! »
(Confucius– 484 av. J.-C.)
« Ce soir nous souperons chez Pluton. »
(Léonidas– 480 av. J.-C.)
Condamné à mort par le tyran Néarque, il se coupe la langue en lui mordant l’oreille, puis lui crache au visage... Après cela, en guise de sentence, il se fait broyer par un mortier.
(Zénon d’Elée– vers 430 av. J.-C.)
« Tout ce qui est créé est périssable... Luttez sans relâche. »
(Le Bouddha– 400 av. J.-C.)
« Nous sommes débiteurs d’un coq à Esculape, n’oubliez pas d’acquitter cette dette. »
(Socrate – 399 av. J.-C.)
« Que l’Euripe m’engloutisse puisque je ne peux le comprendre ! »
(Aristote ; philosophe-savant se jetant dans le fleuve Euripe, dont il n’arrive pas à expliquer scientifiquement les courants contraires – 322 av. J.-C.)
« Et alors, tu n’es pas content de mourir avec Phocion ? »
(Phocion ; s’adressant à un condamné qui doit être exécuté en même temps que lui – 318 av. J.-C.)
« Non, j’aurais assez du ciel et de la terre pour cercueil, du soleil, de la lune et des étoiles pour bijoux, et de la nature entière pour cortège… »
(Tchouang-Tseu ; à ses disciples qui se cotisent pour lui faire un enterrement traditionnel – 285 av. J.-C.)
« Je viens, pourquoi m’appelles-tu ? »
(Zénon de Citium– 264 av. J.-C.)
« Ne dérangez pas mes cercles… Attendez que j’aie fini mon problème ! »
(Archimède ; mathématicien, aux soldats venus le tuer et qui effacent les figures géométriques qu’il a tracées sur le sol – 212 av. J.-C.)
« Vous pouvez rentrer à la maison, le spectacle est terminé. »
Variante : « Il n’y a rien d’étrange à ce que je veuille encoreaprès ma mort rendre service à des chiens ou des oiseaux. »
(Démonax ; refusant qu’on lui fasse une sépulture – IIème siècle av. J.-C.)
« Soulageons maintenant Rome de sa crainte par la mort d’un vieil homme faible. »
(Hannibal ; général carthaginois fait prisonnier par les Romains, juste avant de se suicider par le poison – 183 av. J.-C.)
« Ingrate patrie, tu n’auras pas mes os ! »
(Scipion l’Africain ; refusant d’être enterré à Rome, il fait apposé cette inscription sur sa sépulture – 183 av. J.-C.)
« Toi aussi, mon fils ! »
(Jules César ; à Marcus Brutus, lequel n’était en fait que son fils adoptif… mais qui fût bien un de ses assassins ! – 44 av. J.-C.)
« Acta est fabula. »(« La pièce est jouée. »)
Variante : « Alors, estimez-vous que j’ai assez bien joué la comédie de la vie ? »
(Auguste– 14 ap. J.-C.)
« Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Variante « Pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font... »
Ou : « Père, je remets mon esprit entre tes mains. »
Ou encore : « Tout est accompli. », etc, etc…
(Jésus-Christ– 33 ap. … lui-même !)
« Tu as raison d’abandonner le soleil couchant pour t’empresser au soleil levant. »
(Tibère ; juste avant d’être étouffé par son assassin agissant sur ordre de Caligula : le préfet du prétoire romain, un certain… Macron !! De son nom complet Naevius Sutorius Macro… – 37 ap. J.-C.)
« Je suis toujours vivant ! »
(Caligula ; à ses gardes qui lui ont asséné trente coups de glaive – 41 ap. J.-C.)
« Malheur, je me suis couvert de merde ! »
(Claude ; empereur incontinent – 54 ap. J.-C.)
« Frappe au ventre, et punis-le d’avoir porté ton maître ! »
(Agrippine la Jeune ; à son assassin, lequel était envoyé par son fils Néron… Néron étant le fils d’Agrippine, pas de son assassin ! – 59 ap. J.-C.)
« Occupe-toi de ta main, et qu’elle soit aussi ferme que ma tête ! »
(Subrius Flavus ; au bourreau qui lui demande de ne pas bouger – 65 ap. J.-C.)
« J’offre cette libation à Jupiter libérateur ! »
(Sénèque ; avant de s’ouvrir les veines, il se met dans son bain et asperge d’eau ses esclaves – 65 ap. J.-C.)
« Adieu les soins ! »
(Pétrone ; se tranchant les veines, il tient ces propos ironiques, allusion aux médecins que Néron envoyait pour ’soigner’ les opposants à éliminer – 66 ap. J.-C.)
« Quel artiste périt en moi ! »
Variante, moins connue : « Le galop des chevaux aux pieds rapides frappe mes oreilles ! »
(Néron ; empereur romain saint d’esprit et modeste – 68 ap. J.-C.)
« Il convient qu’un empereur meurt debout… »
(Vespasien– 79 ap. J.-C.)
« Tu contiendras un homme que l’univers n’a pas contenu. »
(Septime Sévère ; touchant l’urne qui doit recueillir ses cendres – 211 ap. J.-C.)
« C’est bien grillé de ce côté, tu peux retourner ! »
(Saint-Laurent ; martyr chrétien brûlé vif qui fut très blagueur toute sa vie… ou masochiste c’est selon ! – 258 ap. J.-C.)
« Je fais un dernier effort pour ramener ce qu’il y a de divin en moi à ce qu’il y a de divin dans l’univers. »
(Plotin– 270 ap. J.-C.)
« Que fais-tu là, méchante bête ?! Tu ne peux rien contre moi car je vois déjà Abraham qui m’ouvre les bras ! »
(St-Martin de Tours– 397 ap. J.-C.)
« Je viens de voir un arc : il m’a menacé, s’est brisé puis a disparu ! »
Variante : « N’appelle personne. »
(Attila– 453)
« Plutôt vers toi , Ami suprême, au Paradis ! »
(Mahomet– 632)
« Il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. »
(Dagobert Ier– 639)
« Laissez-moi, je mourrai bien sans vos remèdes… »
(Charlemagne ; à ses médecins – 814)
Petit pape (il accède à la fonction à 18 ans !) mais grand pécheur, il expire en plein adultère. D’une attaque d’apoplexie ou, selon les rumeurs de l’époque, frappé à mort par le mari jaloux…
(Jean XII– 934)
« Levez-moi, que je meure debout et non pas couché comme une vache ! »
(Siward le Danois– 1055)
« J’ai aimé la justice et détesté l’iniquité, je meurs donc dans l’exil. »
(Grégoire VII– 1085)
« Tire, Walter ! Tire, par le diable ! »
(Guillaume II d’Angleterre ; exhortant son serviteur à tirer sur un cerf, Walter tire et manque la cible … mais pas le roi ! – 1100)
« Sous l’emprise de la vérité ultime, il n’y a rien... Tout cela n’est que mots. Façon de dire. »
(Milarepa ; sage tibétain – 1123)
« Je ne sais pas ».
(Abélard ; dernière réponse à la dernière question – 1142)
« Les coccinelles se rassemblent… Tout devient trouble, c’est flou… »
(Saint-Pixel ; moine enlumineur dont le nom est à l’origine du pixel actuel, terme désignant la plus petite surface d’image informatique - moins il y a de pixels, plus c’est… flou ! – 1144)
« Au nom de Jésus et pour la protection de l’Eglise, je suis prêt à embrasser la mort. »
(Thomas de Becket– 1170)
« Maintenant laissons le monde aller comme il veut, tout m’est égal désormais. »
(Henri II Plantagenêt– 1189)
« Eh bien… je donne mon ambition aux Templiers, mon avarice aux moines, et ma luxure aux prélats ! »
(Richard Cœur de Lion ; au prêtre qui l’exhorte à renoncer à ses vices – 1199)
« Je vois mon Dieu qui m’appelle. »
(St-Antoine de Padoue– 1231)
« La montagne est passée, nous irons mieux. »
(Frédéric II de Hohenstaufen– 1250)
« Avant un an je vous cite à paraître au tribunal de Dieu pour y recevoir votre juste châtiment ! Maudits ! Je vous maudis jusqu’à la treizième génération ! »
(Jacques de Molay ; condamné à mort, il harangue le pape Clément V et le roi Philippe le Bel… lesquels mourront dans l’année – 1314)
« Je n’ai raconté que la moitié des choses extraordinaires qui me sont arrivées dans cette incroyable vie. »
(Marco Polo– 1324)
« Veuillez avancer un siège pour cette dame qui s’avance, radieuse, dans ses vêtements blancs… »
(Elisabeth du Portugal– 1336)
« Tu ne la mets pas où il faut. »
(Fra Moriale ; au bourreau, alors que celui-ci pose la hache sur son cou pour viser la jointure des os – 1354)
« Ô sainte simplicité ! »
(Jan Hus ; voyant un paysan jeter un fagot dans son bûcher – 1415, paroles attribuées aussi àJérôme de Prague– 1416)
« Faites de ma peau des tambours pour la cause de la Bohême ! »
(Jan Zizka ; militaire qui veut continuer la lutte… par tous les moyens ! – 1424)
« Tiens la croix bien haut que je la voie à travers les flammes ! »
(Jeanne d’Arc– 1431)
« Braves gens, je vous remémore que je suis votre frère chrétien. Ne soyez pas plus inflexibles que Dieu, s’il vous plaît ! Quand mon âme partira de mon corps, puisse monseigneur St-Michel la recevoir et la présenter à Dieu… »
(Gilles de Rais ; serial killer moyenâgeux, juste avant son exécution – 1440)
« Fi de la vie, qu’on ne m’en parle plus ! »
(Marguerite d’Ecosse– 1445)
« Ô douce Croix, ô aimables clous ! »
(Saint-Didace ; saint masochiste mourant en contemplant le crucifix entre ses mains – 1463)
« Quel exposé devrais-je faire devant Dieu !... Comment aurais-je pu vivre autrement que j’ai vécu ? »
(Philippe III ditPhilippe le Bon ; roi déterministe – 1467)
« Notre-Dame d’Embrun, ma bonne maîtresse, aidez-moi… »
(Louis XI ; gouttelettes avant la tempête ? – 1483)
« A la façon de tous les mourants. »
(Laurent de Médicis ; à qui on demandait s’il appréciait ce qu’il arrivait à manger avec difficulté – 1492)
« Je n’ai rien à ajouter. Priez pour moi et dites à ceux qui m’aiment qu’ils ne se scandalisent pas de ma mort. »
(Jérôme Savonarole ; prédicateur brûlé vif – 1498)
« J’ai pris soin de tout au cours de ma vie sauf de la mort, et me voilà maintenant à y faire face complètement non préparé. »
(Cesare Borgia– 1507)
« Celui qui est ici n’est pas content. »
(Ludovic Sforza ; mots gravés sur les murs de sa prison, et qui furent ses derniers puisqu’il était soumis à l’isolement. Il mourut aveuglé par le soleil dès avoir franchi les portes de sa geôle ! – 1508)
« Mignonne, je vous offre ma mort pour vos étrennes. »
(Louis XII ; roi repenti s’adressant à sa… trop jeune épouse – 1515)
« J’ai offensé Dieu et l’humanité parce que mon travail n’a pas atteint la qualité qu’il aurait dû avoir. »
(Léonard de Vinci ; génie modeste – 1519)
« Heureux. »
(Raffaello Sanzio ditRaphaël ; à qui on demande comment il se sent – 1520)
« Je suis curieux de voir ce qui arrivera dans l’autre monde à celui qui meurt sans confession. »
(Pietro Vannucci ditLe Pérugin– 1523)
« Je désire aller en enfer et pas au ciel. J’y apprécierai la compagnie des papes, des rois et des princes, alors qu’au ciel ne s’y trouvent que les mendiants, les moines et les apôtres. »
(Nicolas Machiavel ; refusant l’aide d’un prêtre – 1527)
« Je suis obligé par-dessus tout envers sa Majesté de ce qu’il lui plaise de me débarrasser si tôt des misères de ce malheureux monde. »
Variante, au bourreau qui le soutient dans sa montée sur l’échafaud : « Merci. Pour ce qui est de descendre, je m’en sortirai bien tout seul ! »
Ou : « Coupe ma tête mais pas ma barbe, car elle n’a pas commis de trahison ! »
(Thomas More ; ennemi bravache d’Henri VIII – 1535)
« Un cercueil. »
(Erasme ; à qui on demande ce qui pourrait lui faire plaisir – 1536)
« Ma chair vous appartient, mais ma pensée inviolable vous échappe… Entre nous, la postérité décidera. »
(Etienne Dolet ; savant brûlé vif pour athéisme – 1546)
« Ann… Ann Boleyn… tout est perdu… des moines, des moines, des moines ! »
(Henry VIII ; roi délirant et transi d’amour pour la seule de ses femmes qu’il n’ait pas fait exécuter ! – 1547)
« Jésus… »
(François Ier ; roi qui a trouvé le sien – 1547)
« Christ, fils du Dieu éternel, ayez pitié de moi. »
(Miguel Servet ; brûlé pour hérésie par… Calvin, un autre hérétique – 1553)
« Tirez le rideau, la farce est jouée. »
Variante : « Je dois beaucoup… je donne le reste aux pauvres. »
Ou, plus mystérieux : « Je vais chercher un grand peut-être. »
(François Rabelais– 1553)
« Tout est perdu à ce coup, et à bon escient. »
(Nicole de Limeuil ; après que, à sa demande, son valet lui eut jouéLa Défaite des Suisseset le passage « Tout est perdu… » – 1555)
« Je n’arrive pas à brûler, Seigneur ! Ayez pitié de moi, laissez le feu m’atteindre ! »
(Nicolas Ridley ; évêque de Londres condamné au bûcher et pressé d’en finir – 1555)
Gagné par une telle crise de fou rire qu’il en tombe à la renverse de sa chaise, il se tue sur le coup. Sans cesser de rire.
Variante : « Maintenant que je suis huilé… Protégez-moi des rats. »
(L’Arétin ; alors qu’un prêtre lui administre les derniers sacrements – 1556)
« Je vois le ciel ouvert et Jésus à la main droite de Dieu. »
(Thomas Cranmer ; archevêque jésulâtre – 1556)
« C’est le moment… Jésus, Jésus ! »
(Charles-Quint ; empereur christophile – 1558)
« Y fussé-je déjà, mon frère ! Il y a trois jours que j’ahane pour partir. »
(Etienne de la Boétie ; à son ami Montaigne – 1563)
« Demain au soleil levant, je ne serai plus. »
(Nostradamus ; dernière de ses nombreuses prédictions… il décède dans la nuit – 1566)
« Tu crois qu’un homme qui a su vivre pendant quatre-vingt ans avec honneur ne sait pas mourir en un quart d’heure ? »
(Anne, ducde Montmorency ; au prêtre venu le soutenir – 1567)
« Nourrice, nourrice, que de sang autour de moi !! N’est-ce pas moi qui l’ai répandu ?! » Puis : « Et ma mère ? »
(Charles IX ; se repentant, pour lui et pour sa mère Catherine de Médicis, sur les massacres de la St-Barthélémy – 1574)
« Si je fais mine de divaguer, poussez-moi ! »
(Pierre de Ronsard ; aux religieux venus à son chevet – 1585)
« Les curés, ils croient me tenir…hé bien, je m’en vais ! »
(Monsieur de Maugiron- 1588)
« Ce n’est pas la mort que je crains, mais de mourir. »
(Michel de Montaigne– 1592)
« Jusqu’à présent, je ne croyais ni en Dieu ni à l’enfer. Maintenant je sais qu’ils existent, l’un et l’autre, et que le jugement équitable du Tout-Puissant me damnera pour l’éternité. »
(SirThomas Scott– 1594)
« Si la mort n’était pas, il n’y aurait au monde rien de plus misérable que l’homme. »
(Le Tasse ; poète italien reconnaissant – 1595)
« Vous portez contre moi une sentence avec peut-être plus de crainte que moi qui la reçois. »
(Giordano Bruno ; avant d’être brûlé vif pour hérésie – 1600)
« Dépêche, dépêche ! »
(Charles de Gontaut-Biron ; noble pressé s’adressant à son bourreau – 1602)
« Ma fortune pour un instant de plus ! »
(Elisabeth Ière d’Angleterre– 1603)
« J’ai trente mille livres de rente, et je meurs ! »
(Philippe Desportes– 1606)
« Je suis blessé… ce n’est rien… ce n’est rien. »
(Henri IV ; roi optimiste victime de l’assassin ci-dessous – 1610)
« Hélas, on m’a bien trompé quand on m’a persuadé que le coup que je ferais serait bien reçu par le peuple, puisqu’il fournit lui-même les chevaux pour me déchirer ! »
(François Ravaillac ; assassin du roi ci-dessus, condamné au supplice de l’écartèlement – 1610)
Il sent sa mort imminente, se ferme les yeux des deux doigts… et s’éteint.
(Etienne Pasquier– 1615)
« J’ai déjà un pied dans l’étrier. »
(Miguel de Cervantès– 1616)
« Le remède est en effet violent, mais il est souverain pour tous les maux. »
(Sir Walter Raleigh ; avant son exécution, observant le tranchant de la hache – 1618)