Manifeste festif de l’animatérialisme - Tome 2 - Patrice Bricout - E-Book

Manifeste festif de l’animatérialisme - Tome 2 E-Book

Patrice Bricout

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Beschreibung

"Manifeste festif de l’animatérialisme" offre une réflexion vibrante sur la vie, l’esthétique et l’existence, en explorant une philosophie audacieuse où la matière et l’âme se mêlent dans une danse créative. En rejetant l’immatériel et les illusions du virtuel, l’animatérialisme valorise l’authenticité des sensations, l’imprévu et l’imperfection comme véritables sources de liberté. Loin des conventions, l’art devient un prolongement vital, une trace brute de l’interaction entre l’être et le monde, célébrant l’éphémère. Ce manifeste est une invitation à embrasser le chaos, à transformer nos failles en force et à renouer avec une réalité pleinement ancrée dans l’éclat du présent. Un appel à la liberté, à la créativité et à l’affirmation de soi dans un monde en perpétuel mouvement.

À PROPOS DE L'AUTEUR 

Artiste polymorphe, Patrice Bricout incarne l’élégance d’une audace créative tempérée par une sobriété maîtrisée. Écrivain et plasticien, il puise dans des univers complexes et singuliers pour nourrir une œuvre d’une richesse saisissante. Sa plume, oscillant entre les horizons visionnaires de la science-fiction et les réflexions profondes de l’essai, compose des récits empreints de subtilité et de profondeur.

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Seitenzahl: 153

Veröffentlichungsjahr: 2025

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Couverture

Titre

Patrice Bricout

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Manifeste festif

de l’animatérialisme

Tome II

Les tribulations d’un ange en angélisme

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Copyright

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Lys Bleu Éditions – Patrice Bricout

ISBN : 979-10-422-5389-9

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« M.D.R. », Mon Dieu des Ruminations ! Que l’humanité se satisfasse de ses prodigieux nerfs pathétiques, hippocampes et cervelets et sans jamais plus atteindre la réalisation de ses rêves invasifs ! Attentes ! patakès patentès ! Un bébé a tant besoin d’affection, un vieillard au sexe vacant tout autant !

Être n’importe qui, c’est s’abaisser en quidam à traiter de fou celui qui prêche, écrit, peint, crée en plein désert, sans écho qui s’entête, continue de s’adresser au vide, au rien, à magnifier sa vie même en solo ! L’ère de l’Ânîmâle soufflera l’air du temps au gré de sa propension à rêver qui délogera le présent de l’étroitesse de son sablier.

Désolé d’amour, mais je ne sors qu’occasionnellement, je m’expose que tous les 15 ans, adoncques profitant si peu de ces si rares sorties, le vampire devient fou, à savourer, à l’avouer, de savouar à savoir… Le temps ou l’alcool ont in fine le même effet, la mémé fée, sur tout quidam non ânîmâl que l’alcool sur Hemingway ou Bukowski, destruction ! Tandis que le héros ânimatérialiste, lui, tirera chance et profit des exceptions de dopage…

Nos Vies ne sont que livres juste survolés, superficiellement expédiés, jugés, rejetés par expéditifs éditeurs, jamais lus, sauf par leur auteur… Refermés, fermés, renfermés… cependant portant en eux leurs preuves de Vie, ce qui est loin d’être le cas de tant de vies insignifiantes et si peu ressenties telles par tant de si peu ayant vécu. Oui, on est comme des livres ou des écrits incarcérés en clés USB : les gens ne voient que la couverture de l’Artiste, une minorité ne lit que postface ou préface, le public croit les critiques qui eux-mêmes sont artistes, mais guides ou interdictateurs, à défaut d’être, ne serait-ce qu’indicateurs, prescripteurs, quand le réel contenu de l’Ânîmâl reste non révélé ! Mais ressenti t’inquiète ! de et à l’intérieur vital ! Le feu d’une chandelle qui se déplace dans le noir… et s’il est une lumière, c’est qu’il y a quelqu’un dans le château de craie… ou quelqu’une châtelaine, la belle morte, mais ayant tant vécu ! Grâce à moi, l’artiste de sa vie ânîmâle… capable de tout happening, de toute performance non dirigée !

Nous sommes de toute façon en plein irréel virtuel capitaliste titanic ! intercom… (Métavers) – jour du dépassement de + en + tôt – humanité des Arts afin de filtrer cette lie ! cette fange ! L’Artiste Ânîmâl est définitivement devenu allergique aux regards même posés sur ses œuvres quand la morte châtelaine, elle, reste assoiffée d’amour possédé ! Et possesseur : c’est de la folie, dure pour une douce et tendre droguée, draguée, dragée, mais anguleuse et aiguë Kas Soyoc ! Ne m’aimes-tu point, Mémé ? Et même si les épicuriens de Lucrèce ne furent jamais hédonistes, pourceaux gavés de tous les plaisirs vacants, ils oublièrent en leur philosophie matérialiste s’il en hait, la dimension colère rebelle anti-élites, sauf peut-être contre l’ennemi pépère stoïcien ! alors qu’ils ne croyaient pas en une éternité de l’âme : dommageable, car leur rébellion eût pu être joyeuse, déconnante, détonante. Un Bonheur animal peut, eût pu, toujours intervenir en interstices, mais en tant que repos du guerrier : oui mes frères, le concept combat est incontournableu, morte bleue ! Morbleu ! C’est la guerre. Qu’y puis-je ? Le passé n’est ni étanche, ni jamais fini : imaginons un réservoir-dogue énorme pour  ! muni en son fond d’un robinet à vidange pour les souvenirs oubliés, à oublier ; quels bonheurs ce seraient ! Alas minuscule pour les  ! E, en haut, un tuyau de remplissage au présent qui continuera à alimenter et gonfler ce lourd (au bon sens du terme) passé ! À lui, le présent d’en être le digne présent épicé : à cet effet, déclarée sera la guerre aux salisseurs et salissures de mémoire ancienne ou immédiate ! L’essence sera la plus pure possible. À cet effet, l’hygiène sera de se changer les Idées, déjà pas mal en culture ! prendre un nouveau chien, bien mieux pour l’affectif, mais perpétrer, cultiver, perpétuer son honneur passé au présent sera le must, honneur ne signifiant pas perfection, mais bonne conduite rebelle à tenir.

Oui, pour ultérieures longues soirées d’hiver, entre chien et feu de cheminée, l’amour n’est rien dans l’éternel, rien qu’addictions… addictions ne créant que dysfonctions ! en dyspepsies !

Artiste sur tôles égaré en post industrie, n’y croit pas, sauf peut-être à s’exposer après recherche initiatique en Castel-galerie ruiné de craie, tenu là-haut par l’étrange autiste Poison Ivy ou Mona Soyoc, dangereuse de prime abord physiquement puis affectivement, là-bas au bout, au fin fond de hautes vallées en gorges profondes de l’Aude ou du Col de Jau au-delà de Mosset ! ou Nohèdes, là où nulle aide ne sera à espérer…

Mais pourquoi cette quête ? Afin de finir édité, exposé, fichu affiché en tant que monstre de Cocagne ? Prétention ! Vanité !

Ne vaut-il pas aussi bien (de) rester secret ? Ne jamais se faire lire, pour des écrits, toucher pour des ferrailles froissées, voire pour des carcasses colorées, pourquoi non ? Voire…

Alors il est, paraît-il, ce Castel reconverti en mystérieuses galeries alcovées lovées underground psychédéliques !

Et il faudrait tout transporter là-haut ! D’abord, une proposition par courrier… électronique, ah bon, cela ne se refuse pas, ne se réfute point ! Et n’engage à rien : on verrait bien ! L’étrange étrangère y erre, désormais retirée après avoir sévi des années d’Or à Berlin, Hambourg ou Amsterdam… elle m’attend ! Oui, il est une pulsion de type sexuel dans la soif de la vampire, et cette violente pulsion sera l’ennemie de l’affectif quoiqu’elle supporte un certain dosage en mélange de ces deux étranges substances psychiques et physiques, les deux restant drogues dures à l’excès et par excellence, alors le mélange devrait s’avérer inquiétant, la vampire se comportant en tant qu’entité destructrice de l’épousée épouvantée, et inversement en ces hauts de hurle bises de novembres bleus, où éructerait l’émeute de bleues déraisons…

L’Honneur a une sale gueule fatiguée. Mourir paisiblement assoupi dans un premier somme constitue une bien énorme victoire animatérialiste et griveleuse sur le démon ! le démon graveleux !

Dès lors, les mots ne sont plus dans la com., d’ailleurs ne sachant, grand Sachem, même pas qu’ils en sont, des morts !

Sauf fantômes qui seraient (et serreraient) âmes flottantes et vampires, âmes conspiratrices et conservatrices… de leur momie.

Et le malin n’est nullement un vieux copain qui, à l’occasion, reviendrait vous hanter et vous tenter dans les vieilles rues de Bruges ou Anvers, non que diable, c’est un enne (haine) mi-déclaré depuis 50 ans, prêt à vous manipuler, esclavagiser en gisant « vivant », ignorer vos propensions et potentialités aux géniales et génitales pensées fertiles, vous dévisager, vous envisager, vous vider de substance commando gaucho : aucun humour ni complicité ni tolérance ne saurait être requis à son hagard égard ! Et c’est bel et bien, car cette guerre-là est déclarée, que je ne vieillis pas et que Baphomet le bafoueur empaleur n’a aucune prise sur moi, moi le déprivé d’addictions dépravées ! Idem on n’a pas à évacuer hier pour cause de nuitée jusque à hodie, l’on n’aura pas à évacuer le passé dans son ensemble puisque jamais fini, il continue(ra) à s’alimenter d’aqua sancta, et par le tuyau de sablier du présent qui par ailleurs débouchera sur l’avenir aventureux ou, et alcoolisé d’honneur, le démon se chargeant de décharger les poubelles de la honte : il faut le cantonner dans ces basses œuvres (in)dignes de luile et de ses assesseurs. Il serait quand même, mémé, bien bêta, en non ânîmâl, de scier sa branche, de faire sauter ses bases, de dynamiter son piédestal en non-pensée, quand on vous dit que le combat continuera après, à savoir tout de suite, N.S. c’est un manquement, S.E. un attentat contre le Romantisme ânîmâtérialiste qui n’aura par ailleurs nullement d’appréhension à bâtir une nouvelle philosophie sur un refus des plaisirs et des souffrances.

Afin de dévier les champs magnétiques, malins, le château de craie sera pourvu, n’en doutons pas, de nombreux miroirs… l’on peut en ignorer la cause, mais c’est tant mieux si les miroirs bien réels, en inversant l’image, la confortent en substances émotionnelles positives quand les néfastes virtuelles images projetées imaginairement et importées par certains autruis malfaisants, malagissent, sur l’être sensible qui va les supporter hélas et (s’)en (être) accabler ! idem pour les photographies salisseuses d’estime de soi, à n’utiliser qu’avec modération et métier !

D’abord, il faudra le redire au jeune innocent, n’accorder aucune espèce d’importance ni nulle attention à ce temps perdu qu’autrui pense et voit de et en vous ; ensuite, et si le mal est déjà fait, que le vampire a déjà sucé, en adolescence si sensible, en perte certaine de confiance en soi au point regrettable de s’en faire une seconde nature, éviter quand même de tomber en amour, ou pire en possession jalouse addictive : si longue serait une guérison qui devrait recourir à de si désagréables remédiations olfactives ! Car, si le mal initial vient des regards, le salut sourdra d’odeurs émises, par la maligne mémé, par le corps même que tu m’aimes le plus sublime de mémé poison !

Corps qui ayant pris le pouvoir par trompeur sex-appeal, va finir par perdre de son emprise du fait et par le fait de sa vérité de chairs et d’humeurs…

La vampire intoxiquée de diverses addictions donc psychologiques, physiques et quand même psychédéliques, ne va plus désirer que de se repaître de son âme et de celle des autres en se goinfrant de leur sang, ne riez pas !

 

 

 

 

 

 

 

Le vrai animatérialiste, lui, ne courra jamais après, après sa mort, car il n’y croit plus et n’y a jamais vraiment cru… étant quant à lui si repu et comblé déjà de sa propre vie, de ses victoires contre un malin vaincu et se retournant vers Nosferatu et ses virtuels semblables hantant et harcelant anges et fantômes ainsi que les si nombreuses âmes de vivants égarés et jouets du temps, car si peu animatérialistes…

Confus oui, mais alors comment expliquer que la magnifique reine soit tombée pour le prince charmant et timide et simplet pour Blanche Neige ?

Arrêter de vous observer ! Jetez aux chiens les clés et modes d’emploi de la com : à reléguer aux empois à la poix.

« Moi, je veux bien exposer au Rachdingue !

— Nein ! Il n’y a quasiment personne qui y monte !

— Il paraît que les paysans du coin se plaignent des fêtes rares, il est vrai, mais régulières car saisonnières qui sont commises, là-haut !

— J’y suis invitée par courrier électronique ! Comment refuser ?

— Électronique ? Pas une garantie !

— Moi je saute sur toute proposition et c’est juste une question d’énergie pour soulever mes ferrailles… et de désir ! Exquis désir, Marquise ! Mais stop ! Pourquoi on discute ? Aux diables les arguments ! Et alors… ça ne se refuse pas, ça… Mais ta gueule ! Toi, pas d’envie ! Moi si : en vie ! »

Ce monde carbure grâce au sexe, mais le sexe, lui, tourne sous l’emprise du pouvoir, l’affect aussi :

Même après la mort, mémé ! M’aimes le t’aime, même obsédant tempo, même possession fantomatique fantasmée !

De crises en thèmes, c’est la guerre : aux armes, ânîmâle !

En ailleurs, vieillir, c’est quoi ? être gommé peu à peu, devenir gris, perdre la foi en soi et en ses impulsions : à l’inverse, l’animatérialiste imprime tant de magnétismes à sa Vie qu’il ne peut vieillir, tout en restant vivant, alors tandis que le pauvre vampire est déjà mort et va entretenir ses leurres en apaisant sa soif de pouvoir sur son hôte, surtout l’ânîmâl.

Et le menu à servir est si varié et abondant, que c’est une vraie fête des sens, une ode au Vécu et à la suite, desserts, alcools, tabacs, rêves, songes, évocations, Arts… beauté, sublime, sublissime… préludes aux après-minuits de la faune à l’âme animée !

Invitée donc au Rachdingue, Séverine prit la route sans rendez-vous, le jour ou plutôt la nuit de sa convenance et à l’heure nocturne qu’elle voudrait, pour une prochaine arrivée impromptue au Castel. Son véhicule utilitaire était surchargé de ses tôles froissées dont certaines furent pliées par elle. Il était hors de question, vraie anomalie de paysage que l’Aventure cessât pour elle ! L’ennui ? L’inesthétisme ? La laideur quoi, à ne jamais envisager, encore moins de visager. Une animatérialiste ne saurait ne serait-ce qu’une seconde, s’autoriser à les endurer !

Accrochée au volant comme à une bouée de sauvetage, elle avait hâte de quitter la route nationale suroccupée de bolides conformistes filant le parfait ennui sur le parfait asphalte… quand elle l’aperçut : un grand, misérable chien-loup marchant péniblement sur le bas-côté, au risque prochain de se faire accrocher par une ferraille automobile contre un brûlant talus ! Et personne ne songeait ni ne put s’arrêter, ce qu’elle fit après avoir viré en demi-tour périlleux, pour se ranger enfin et forcer le dogue à stopper dans son ombre ! Elle lui parla, proposa à la pauvre bête de grimper à son bord, mais en vain ! L’animal épuisé s’échappa à la canicule et aux chocs, but quelques trois assiettes d’eau fraîche et se coucha, rompu. Séverine parvint à appeler des agents de police municipale qui la remercièrent, mais l’informèrent que, au vu de son état, la pauvre bête abandonnée serait euthanasiée… Là ! la voilà bien mal, la vraie condition humaine et animale : froide faim l’hiver – et brûlure soif l’été ! Mais il y a pire… à tout mal, il y a toujours pire à tous maux ! Se faire accrocher par un véhicule, ce qu’en principe un humain même hagard devrait esquiver, mais une pauvre bête, bien mal engagée, sûre que non : Séverine avait repris son road movie et songeait à son allergie, d’abord à elle-même, corrigée par l’Animatérialisme, puis à ce monde de souffrances et de laideurs succédant sûrement à de si magnifiques leurres ! Et alors pourquoi le corollaire des plaisirs (déjà de respirer une bouffée d’air, de boire une gorgée d’eau fraîche) se devrait-il d’être celui de la souffrance ? Par entremise de système nerveux ? Et par le fait de prédateurs psychopathes ? Même pas nécessaires au mal, car que dire des écureuils et renards, pris vifs au piège de l’incendie forestier déclenché par foudre ou volcan bien naturels ? Reconnaissons quand même, mémé, un défaut à la cuirasse existentielle ! D’accord cicatrisation des chairs, recalcification des os, reconstitutions cellulaires d’organes (hors et sans évoquer la dédifférenciation reptilienne), mais définissons comme erreurs, oui, erreur ! grossières erreurs de la nature, mort et blessures si douloureuses, pas toujours, convenons-en, mais trop souvent !

Elle s’en trouvait lasse de ses pensées… et pas le moindre auto-stoppeur à se mettre sous le sein ! lorsqu’elle passa la frontière et quitta enfin la grand-route… tous ces charmants bourgs espagnols restaient vivants après 23 heures et les terrasses des tavernes ouvertes !

Elle stoppa son camion à Pal, afin d’enfin, n’y résistons pas, se désaltérer aux bières fortes glacées !

Elle pénétra dans une salle enfumée où même les bouteilles vidées se gonflaient de vapeurs spectrales de tabacs !