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Le château de Réas est entre les mains de l’armée de Palès. Réfugiés dans l’école de magie, Raphaël et Olivier tentent de trouver la solution afin de reprendre le pouvoir. La résistance s’organise avec un combat à distance contre l’envahisseur. De son côté, Raphaël découvre l’existence d’une nouvelle relique, le Bouclier de Glace perdu depuis de nombreuses années. Les deux héros se lancent à sa recherche. Cependant, la tâche s’annonce ardue, car la redoutable Félicity est envoyée par le souverain Nomrad avec pour objectif de les capturer. Retrouveront-ils le Bouclier de Glace ? Parviendront-ils à échapper aux forces de Palès et de Nomrad ?
À PROPOS DE L'AUTEUR
R.J.P Toreille est originaire de l’île de Ré. La mythologie, l’histoire, les auteurs et la vie quotidienne sont pour lui la source dans laquelle il puise l’essence de ses écrits.
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R.J.P Toreille
Raphaël 8
Et le Bouclier de Glace
Roman
© Lys Bleu Éditions – R.J.P Toreille
ISBN : 979-10-377-8089-8
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Maintenant un an que le château de Réas est entre les mains de l’armée de Palès.
Dans un magnifique parc fleuri à l’école de magie où l’automne allait s’installer dans le pays.
Dans ce parc de l’école, Raphaël marcha au beau milieu des élèves du magicien qui étudiaient pendant que d’autres qui discutaient.
Notre héros âgé de vingt-huit ans regarda un bon œil les élèves du magicien qui étaient plongés dans les livres qu’ils lisaient.
— Ils sont bien silencieux aujourd’hui ! se dit Raphaël en marchant tranquillement sur la verdure.
Alors notre héros marcha seul et s’appuya contre un mur en pierre en réfléchissant à un objectif précis.
Mais un des élèves le vit seul en pleine concentration et cet élève s’approcha de Raphaël à grands pas et lui demanda :
— Votre Majesté ? Vous êtes si calme ?
— J’ai toujours su être si calme et indépendant, répondit Raphaël, son regard baissé au sol.
L’élève proposa à Raphaël de venir lire des livres, mais notre jeune héros préfère penser à autre chose en ce moment.
— Merci, mais... Je n’ai pas trop de temps pour lire un livre, mais je t’en remercie, dit Raphaël en lui tapant l’épaule de l’élève en amitié.
— Bien, répondit l’élève.
Alors, l’étudiant du magicien s’en alla silencieusement et Raphaël le vit partir et regarda les élèves du magicien se promener dans le parc fleuri de l’école.
Mais soudainement, il regarda sa bague de fiançailles que lui a offerte Olivier, le prince de Réas en signe d’amour.
Il regarda pendant très longtemps son bijou et la tourna autour de son doigt en regardant le ciel bleu.
Il se dit alors :
— J’espère fort que le jour où je me marierai, Nomrad sera en enfer pour l’éternité, se dit-il.
Ensuite, Raphaël s’éloigna du mur et marcha dans le parc en regardant encore et encore les élèves présents.
Il s’approcha des massifs de fleurs qui décorent le parc de l’école et se mit à genoux en ne pensant à rien et fit le vide dans son esprit.
Au même moment Olivier, le prince de Réas arriva dans le parc de l’école en cherchant Raphaël. Il aborde alors une élève :
— Avez-vous vu Raphaël ? demanda le prince.
L’élève avec un livre de magie montre du doigt Raphaël en répondant :
— Il est juste là, mais il y a quelque chose qui doit bousculer son esprit, avoue l’élève.
— Je vous en remercie infiniment, salue le prince Olivier très chaleureusement.
Le prince Olivier s’approcha de Raphaël à petits pas et une fois près de lui, il posa sa main gantée sur son épaule en disant avec amour :
— Raphaël, tu es pâle, quelque chose ne va pas ? Il y a quelque chose qui bouscule ton esprit, je me trompe ?
Raphaël touche la main du prince Olivier et continue de regarder encore les fleurs qu’il admire depuis tout à l’heure.
— Je pensais juste savoir la manière dont nous allons reprendre en main le château de Réas depuis près d’un an nous n’avons pas d’idée, explique Raphaël.
Olivier sans voix, des paroles de Raphaël lui font imaginer des images de souffrance que subissent Réas face à l’armée de Palès. Pour oublier, il parle ainsi :
— Ne t’en fais absolument pas, nous engageons la résistance et les habitants de Réas sont forts ensemble face aux sbires de Nomrad et de leur armée des ténèbres.
— Tu as raison, ils attendent plus que nous pour les libérer, annonce notre jeune héros en se levant silencieusement.
Raphaël toucha le visage d’Olivier en fermant ses propres yeux et se concentra sur son esprit.
— Tu as vraiment l’amour au plus profond de toi, avoua-t-il.
Le prince prit alors les deux mains de Raphaël avec ses mains gantées et s’apprêta à l’embrasser quand soudain un bruit les en empêcha. C’étaient des élèves en train de faire des tours de magie avec amusement que notre jeune héros par curiosité partit aller voir avec Olivier.
À l’écart, ils regardent tous les artistes qui faisaient assurément de la magie. Raphaël aimait ça.
À chaque tour terminé, ils applaudissent tous cet élève qui avait du talent. Ce dernier, en apercevant Olivier le prince de Réas, lui proposa :
— Votre Majesté, venez nous montrer votre talent.
Tout le monde regarda le prince et il accepta la proposition de l’élève en disant joyeusement :
— Vous allez en prendre plein les yeux, s’amusa-t-il.
Au milieu des autres élèves, Olivier montra ses talents et fit apparaître des flocons de neige et utilisa des pouvoirs liés au froid la neige et la glace.
— J’ai toujours voulu apprendre ce genre de magie, avoua un élève face au prince.
— Moi aussi, indiquèrent les autres.
Alors le prince de Réas leur expliqua en marchant de droit à gauche que ce genre de magie et très compliqué à obtenir, que seules les forces du bien et les personnes ayant un cœur pur peuvent les faire apparaître.
Ensuite, chaque élève de son côté essaya de faire apparaître de la neige et de la glace quand soudainement la cloche retentit et un professeur qui arriva dans le parc s’écria :
— C’est l’heure d’aller en classe.
— Oh non ! Déjà, s’exclamèrent quelques élèves.
Par la suite, les élèves rentrèrent à l’intérieur de l’école et retournèrent en classe pour étudier l’art de la magie blanche.
Raphaël et Olivier étaient vraiment seuls dans le parc, il n’y avait aucun bruit ni aucun son qui vient les perturber.
Raphaël proposa :
— Tu viens, nous allons nous promener, proposa notre héros dans son magnifique bonheur.
— Avec plaisir Raphaël, j’aime beaucoup te voir heureux comme ça, s’émerveilla le prince en caressant la joue de Raphaël.
Alors, le couple princier marcha dans le parc où sont des fleurs et quelques arbres plantés et Raphaël suivi d’Olivier s’approcha d’un arbre et notre jeune héros s’appuya sur le tronc en disant :
— Tu as pensé à notre avenir si proche Olivier ?
— Je n’ai pas besoin de réfléchir, nous la prendrons ensemble, je ne fais absolument rien sans ton avis.
Émus, des paroles Raphaël et Olivier approchèrent leurs têtes l’un à l’autre quand soudain Arthur arriva dans le parc en toussant. Le couple princier fut interrompu par Arthur.
— J’espère que tu as une bonne raison, Arthur !
— Je viens pour le prince, je suis navré de vous avoir interrompu dans un moment si magique, s’excusa Arthur.
Olivier, le prince de Réas accepta l’excuse d’Arthur et lui demanda la raison de sa venue :
— Ce n’est pas grave, nous n’allons pas t’en vouloir, dis-moi tout.
— Votre mère vous demande, c’est important, expliqua-t-il.
— De quoi s’agit-il ? questionna le prince Olivier.
Arthur expliqua qu’il ne savait pas encore et le prince décida de rejoindre sa mère Marianne la souveraine de Réas et déclara à Raphaël en embrassant ses mains par amour :
— Je reviens dans quelques instants, je n’en ai pas pour longtemps.
Raphaël le comprit et lui expliqua qu’il fallait qu’il aille rejoindre la reine de Réas.
Olivier ému s’en alla et regarda une dernière fois Raphaël qui était seul dans le parc avec Arthur.
Une fois parti, notre jeune héros regarda attentivement Arthur et lui dit :
— Je vais regarder les fleurs et après, nous irons rejoindre les filles.
— J’allais te le proposer Raphaël, répondit Arthur avec un petit ricanement.
Sous les yeux de l’ex-élève du magicien Raphaël accroupi devant les splendides fleurs du parc.
Il toucha les fleurs plantées et resta émerveillé par leurs beautés.
— Ce sont de magnifiques fleurs, tu ne trouves pas ?
— Elles sont plus que magnifiques si je puis le dire, ajouta notre jeune héros de vingt-huit ans en caressant chaque fleur posée.
Ensuite, Raphaël se leva et marcha vers une porte qui donne accès à l’enceinte de l’école.
Mais Arthur, qui regardait Raphaël partir, était immobile comme s’il ne voulait pas venir. Notre jeune héros se retourna vers Arthur et lui dit :
— Tu viens, nous allons voir les filles, je pense qu’Alice et Bella sont en train de jouer aux jeux de société avec Plue et Rose.
— Oui, je viens, je me disais ce que tu allais faire.
Arthur suivit Raphaël et ensemble, ils franchirent une porte et se retrouvèrent dans les couloirs de l’école où de nombreux tableaux sont accrochés et des meubles disposés sur les côtés avec quelques objets décoratifs.
Mais Raphaël entendit un son qui lui glaça le sang, il regarda derrière lui avec un sujet de préoccupation.
— C’était quoi ce bruit ? se questionna-t-il.
— Quel bruit ? se demande Arthur.
— J’ai entendu un son, c’était féroce, expliqua Raphaël en restant sur ses gardes.
— Ce sont sans doute des élèves qui font du bruit.
Raphaël admit Arthur en pensant la même chose.
Et nos deux aventuriers continuèrent à marcher pour rejoindre les filles qui devaient être dans la grande pièce située à l’autre bout de l’école de magie.
Dans les couloirs de l’école, Raphaël, accompagné d’Arthur, marchait vite.
Quand soudain, la cloche résonna et des élèves sortirent de leurs salles de classe.
Le couloir qui était vide devint vite rempli d’êtres humains.
— Il est déjà l’heure le temps passe si vite, intervint Arthur.
— Je confirme que le temps passe très très vite, répondit, Raphaël qui était extrêmement étonné.
Alors ils marchèrent en trouvant un passage au beau milieu des élèves et arrivèrent, après quelques minutes dans la grande pièce où étaient Alice Bella Rose Céline et Plue.
Elles vaquaient bien à leurs occupations.
Plue était en train de jouer aux cartes avec Céline et Rose. Raphaël demanda :
— À quoi jouez-vous ?
— Nous jouons aux cartes, mais Rose n’arrête pas de tricher depuis vingt minutes, s’amusa Céline.
— Mais je ne triche pas, protesta Rose.
— Ben voyons, tu as un super jeu depuis le début, maline ! dit rapidement Céline en riant.
Elles continuèrent de jouer aux cartes et Raphaël vit Alice et Bella admirer un beau tableau sur le mur. Arthur le vit aussi et cria :
— Alice ! Bella ! Fais attention, ce tableau va faire des hurlements.
Les deux filles regardèrent alors Arthur, mais Bella dit :
— Arthur, tu racontes n’importe quoi, s’exprima-t-elle en s’en fichant.
Sans exprimer un mot, le jeune homme les laissa sans intervenir et Alice et Bella regardèrent encore le tableau quand soudainement l’image changea et fit apparaître un monstre qui hurle.
Prises de peur, Alice et Belle se mirent à hurler d’une forte peur en reculant et tombèrent l’une sur l’autre.
Raphaël ne put s’empêcher de rire fortement à ce gag immense que même Céline Plue et Rose en rirent fortement.
Mais Arthur qui retenait son rire dit :
— Je vous ai prévenues pourtant, rit Arthur.
Bella et Alice, qui était sur elle, reprirent leur souffle, car c’était une peur bleue qu’elles avaient eue.
Elles se relevèrent et décidèrent de rejoindre Raphaël qui regardait les autres filles jouer aux cartes.
Ils s’assirent tous autour du jeu et décidèrent alors de jouer aux cartes tous ensemble.
Plus tard et quelques heures après avoir joué aux cartes, nos héros étaient dans les couloirs pour rejoindre Marianne, la reine de Réas, afin de faire une réunion de l’état des lieux en rapport avec le château de Réas.
Ils se retrouvèrent dans le hall d’entrée et retrouvèrent Charles devant un aquarium.
Plue s’approcha de lui pendant que les autres montèrent à l’étage supérieur en lui demandant avec attention.
— Ce sont de magnifiques poissons.
— J’aime beaucoup les aquariums, répondit Charles qui ne quitta pas les poissons des yeux.
Alors le jeune homme regarda Plue dans les yeux et lui posa une question :
— Tu veux quelque chose ?
— Non rien, c’est qu’on se réunit dans la grande salle pour organiser la reprise du château de Réas.
— Ah, mais oui bien sûr, j’arrive, répondit Charles qui avait complètement oublié la réunion.
Les deux amis de Raphaël montèrent les marches dans le hall d’entrée pour atteindre l’étage supérieur et marchèrent dans les couloirs.
Au beau milieu des élèves qui se promenaient dans l’école, ils arrivèrent devant la grande porte et Plue l’ouvrit en même temps que Charles et retrouvèrent le reste de nos héros avec la reine Marianne son valet ainsi que les parents de Raphaël.
— Désolé, nous sommes très en retard, s’excusent Plue et Charles.
— Ce n’est pas important le principal, c’est que vous paraissez présents, je vous en prie, asseyez-vous, indiqua la reine Marianne de Réas en les invitant à s’asseoir.
Ils s’assirent en silence et chacun resta silencieux en attendant les nouvelles.
Mais Bella dit :
— Vous en avez pris du temps.
— Désolé, j’admirais un aquarium, s’excusa Charles.
Marianne, la souveraine du royaume de Réas, se lève avec Édouard à ses côtés et explique :
— Avec mon valet, nous avons continué à donner des conseils de résistance à Réas. Pour l’instant, ils tiennent le coup, mais je pense qu’ils ne tiendront pas longtemps, car comme vous savez, Nomrad et ses sbires ne feront pas de pitié, expliqua-t-elle.
— Que proposez-vous Votre Majesté ?demandent le professeur Kurt et le magicien.
Alors Édouard, qui marchait de droit à gauche, expliqua que l’idéal, c’est de reprendre petit à petit les villes du royaume.
— Il faut reprendre en main chaque ville du royaume, l’armée de Palès contrôle en ce moment même plus d’un quart du royaume de Réas.
Marie la mère de Raphaël qui était présente dans cette réunion présenta une idée, mais pour elle, c’était risqué, mais elle projeta de faire cette attaque.
— Je vais appeler des soldats en renfort, je pense qu’attaquer l’armée de Palès depuis la mer et les aires sera efficace, propose Marie tandis que son mari Jean le père de Raphaël trouva l’idée intéressante.
Soudainement, le professeur Kurt avec un livre dans les mains présente la carte de Réas et tout le monde s’approche du grand livre que le vieil homme donna chaque lieu sous contrôle de Palès, dont le château de Réas.
— C’est plus de la moitié qu’ils contrôlent en ce moment même, je pense que l’idée de Marie est très bonne, intervient le magicien.
— Nous tous, nous sommes d’accord pour cette idée, mais il faut rester méfiant, car Nomrad fait de la magie très noire qu’il sera où nous sommes si nous sortons de la bulle de protection, se montre d’accord et met en garde Raphaël.
Alice se lève doucement et s’approche d’une fenêtre qu’elle est suivie par Rose qui s’inquiète pour elle pendant que les autres discutent encore et encore :
— Alice, nous y arriverons crois-moi, fait confiance.
— Je veux bien le penser, mais je ne sais pas comment cela va se terminer, répondit Alice avec battement au cœur.
Elles regardent encore par la fenêtre pendant que les autres regardent une carte gigantesque de Réas et
Marie donna des indications avec son mari Jean en lui montrant les endroits où il faudrait attaquer par surprise l’armée de Palès.
— Vous y arriverez pour une telle mission Marie ?demandent Marianne et le professeur Kurt pendant qu’Édouard calcule la carte.
— Certaine, faites-moi confiance ça marchera, rassure Marie la mère de Raphaël.
Mais notre jeune héros, assis entre Olivier et Charles, était si calme que son père Jean le voit très faible qu’il s’approche de son fils unique et le prend dans ses bras :
— Raphaël, tu es ailleurs ?
— Pardon papa, j’étais dans la lune, je sais même plus comment penser maintenant, avoue-t-il.
Olivier qui était à ses côtés et qu’il n’avait pas dit un seul mot depuis le début, s’exprime :
— Fais confiance à tes parents, ils savent ce qu’ils font.
Raphaël était vraiment paniqué si jamais ses parents disparaissent une deuxième fois, car pour lui, Nomrad doit savoir que Marie est en vie.
Tous nos héros rassurent Raphaël en lui expliquant que c’est la seule solution et ainsi notre jeune héros de vingt-huit ans relève la tête et accepte l’idée de sa mère.
Marianne plie la carte qui était devant elle pendant que le professeur Kurt reprend le livre pour après le ranger dans une étagère située près d’une fenêtre.
— Bien, on est tous d’accord ?demande la reine Marianne pour la dernière fois.
Tout le monde accepte l’idée et chacun décide de sortir et de partir chacun de leurs côtés.
Le soir arriva et Raphaël décide d’avant aller manger d’aller à sa chambre qu’il lui a été prêté.
Arrivée dans la pièce où il y avait un magnifique lit et d’une coiffeuse et sur la droite une armoire.
Raphaël s’allongea sur le lit ou le matelas était comme un trampoline et regarde le plafond qui était haut.
Mais Charles rentra dans la chambre de Raphaël et lui dit :
— C’est l’heure de manger Raphaël.
— Oui, j’arrive, je me prépare et j’arrive.
— Nous t’attendons dans la grande salle, explique Charles en regardant Raphaël avant de partir.
Partie, Raphaël se leva de son lit et regarda par la fenêtre. Il ouvrit les vitres et se mit à chanter en l’honneur de la nuit.
Mais des oiseaux qu’ils étaient attirés par le chant de Raphaël volent vers lui et les oiseaux donnent des sifflements très aigus en signe d’amitié.
Après avoir terminé sa chanson, il parle avec les oiseaux :
— Vous savez j’ai toujours eu un très grand amour pour la nature et les animaux, se confie-t-il en caressant quelques oiseaux.
En laissant la fenêtre ouverte Raphaël se regarda dans le miroir et s’observe fort longtemps comme s’il quelque chose le gênait.
Il essaya d’oublier cette pensée et retrouve confiance en lui et admet que sa mère Marie tout comme la reine Marianne dit, c’est de récupérer le royaume de Réas par la force.
Il sécha ses larmes et dit aux oiseaux :
— Bien, je vais, vous laissez, je vais aller dîner tout le monde m’attendent. Merci, à vous d’être présent pour moi, remercie-t-il avec son plus beau sourire.
Et il s’en alla en sortant de sa chambre pour rejoindre la grande salle pour dîner le repas du soir.
Dans la grande salle, tout le monde mangea les aliments préparés. Olivier devenait inquiet de ne pas voir Raphaël venir.
— Qu’est-ce qu’il fait, bon sang ? s’inquiète-t-il.
Mais Plue qui était face à Céline et Olivier face à Charles et Bella répond :
— Il ne va pas tarder laisse lui du temps.
Mais Raphaël arriva et Plue dit de nouveau :
— Ah bah le voilà.
Heureux, le prince Olivier l’attendait que Raphaël s’assoie et boit un verre qui était devant lui.
— Tu en as mis du temps, parle en s’étonnant Céline dont Alice et Charles étaient du même avis qu’elle.
Raphaël leur expliqua qu’il a toujours été comme ça depuis de nombreuses années et sans continuer, ils mangent et dégustent les aliments posés sur les tables en compagnie des autres élèves des professeurs du magicien de la reine... En discutant en même temps.