La belle d’un matin de printemps - R.J.P Toreille - E-Book

La belle d’un matin de printemps E-Book

R.J.P Toreille

0,0

Beschreibung

Mary est une jeune paysanne qui vit seule dans une chaumière au fond des bois. Elle est à la quête de sa moitié et du bonheur éternel.
Après sa rencontre avec Julien, l’homme qu’elle aime par-dessus tout, elle décide de le revoir. Lui la trouve rayonnante et d’une grande beauté.
À la suite de leur rendez-vous manqué du lendemain matin, Mary est déterminée avec l’encouragement de la fée à retrouver Julien par ses propres moyens dans son château au-delà de la fontaine blanche.
Sur ce long chemin, elle est kidnappée par les sbires de la Sorcière Rouge, une puissante femme cruelle et diabolique qui veut conquérir le royaume.
Julien, inquiet pour sa bien-aimée, décide d’aller la chercher pour la délivrer.
Mary et Julien parviendront-ils à échapper à la Sorcière Rouge ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

Raphaël Jean-Philippe Toreille est né en 1998 à La Rochelle en Charente-Maritime. Il est originaire de l’île de Ré.

Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:

Android
iOS
von Legimi
zertifizierten E-Readern
Kindle™-E-Readern
(für ausgewählte Pakete)

Seitenzahl: 52

Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:

Android
iOS
Bewertungen
0,0
0
0
0
0
0
Mehr Informationen
Mehr Informationen
Legimi prüft nicht, ob Rezensionen von Nutzern stammen, die den betreffenden Titel tatsächlich gekauft oder gelesen/gehört haben. Wir entfernen aber gefälschte Rezensionen.



R.J.P Toreille

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La belle d’un matin

de printemps

Roman

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Lys Bleu Éditions – R.J.P Toreille

ISBN : 979-10-377-1609-5

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

 

 

 

 

 

Chapitre 1

Une jeune paysanne

 

 

 

Au beau matin, le soleil se lève sur une magnifique forêt printanière ornée de fleurs splendides, au fond des bois, dans une chaumière à l’apparence moyenâgeuse.

Dans cette chaumière, à l’intérieur, vivait seule une jeune fille, âgée de dix-neuf ans, aux cheveux bruns attachés, aux yeux dorés, et vêtue d’une robe bleu marine.

Elle était assise sur une chaise en bois et réfléchissait en pensant à ce qu’elle peut faire de la journée.

Il lui vint une idée, elle décida de balayer l’entrée de la chaumière, elle se leva doucement et prit un balai dans un placard.

Elle sortit de la chaumière, avec le balai à la main, et elle balaya l’entrée de la chaumière sur le paillasson.

Mais sans s’en rendre compte, elle se mit à chanter joyeusement quand soudainement, des oiseaux arrivèrent vers elle, étant attirés par cette chanson, et regardèrent la jeune fille chanter et balayer.

Plus loin, pendant qu’elle balayait, elle attira l’attention d’un jeune prince sur un cheval brun.

Cet homme avait les yeux verts et les cheveux blonds, vêtu d’une tenue violette et d’une cape orange.

Il entendit le chant et il dit :

— Où est-ce ? Il faut absolument voir qui est-ce ! raconte le prince.

Sans attendre, il galopa rapidement à toute allure en suivant cette voix qu’il entendit.

Quand soudainement, cette voix disparut et le jeune prince s’arrêta brusquement et attendit quelques secondes.

— J’entends plus rien ! s’attriste le prince.

Mais tout à coup, la voix résonna de nouveau.

Le prince écouta attentivement et regarda sur sa droite.

— C’est plus de ce côté ! s’exclame-t-il.

Il trotte doucement et les quelques minutes qui suivent, il trouva au loin, une chaumière, il se demanda si cette voix était ici, il s’avança en trottant silencieusement, et poussa les branches qui le gênaient sur son passage.

Il descendit de son cheval et vit la jeune fille de dos en train de balayer l’entrée de la chaumière non loin d’un ruisseau orné de fleurs, et d’une voix douce et silencieuse, il se dit lui-même :

— Bon sang ! Ce qu’elle est belle ! murmure le prince.

Il décida alors d’avancer doucement et délicatement vers elle et tient la jeune fille par les bras.

Quand soudainement, elle, près du ruisseau, se retourna vers le prince et prit peur.

Le prince souriant lui dit :

— Bonjour, je vous ai effrayé ? demande-t-il en souriant.

— Non, ce n’est pas ça, mais vous m’avez fait une telle peur, mais qui êtes-vous ? demande la jeune fille.

— Je m’appelle Julien et vous ? se nomme le prince.

— Moi, c’est Mary, répond-elle.

Le jeune homme lâcha Mary et la jeune fille courut rapidement avec le balai en main vers la chaumière, elle y rentra et ferma la porte à clé quand soudain, le prince chanta joyeusement pour Mary.

Très inquiète, Mary posa le balai, et elle entendit le chant de l’homme et décida de sortir de la chaumière et resta immobile à l’entrée.

Mary, heureuse, chanta avec l’homme pendant que les oiseaux autour les observèrent depuis longtemps.

Quelques secondes plus tard, il s’arrêta de chanter et ils s’observèrent sans se quitter des yeux, avec plein de joie entre eux.

Mary regarda Julien et lui expliqua qu’elle doit le laisser.

— Je dois te laisser mais reviens demain à l’aube, je te promets que je t’accueillerai avec plaisir et bonheur, explique Mary.

La jeune fille recula doucement, et ferma la porte de la chaumière, pendant que Julien recula également et retourna vers son cheval, il y grimpa et galopa vers son château en quittant les lieux.

— Je crois que je suis amoureux, j’ai quand même vingt-cinq ans, mais voilà.

Sans oublier la jolie Mary, le jeune prince n’arrêtait pas d’y penser et restait impatient de retrouver cette jolie jeune femme le lendemain matin parce qu’il l’aimait tant.

Le prince Julien tourne sa tête vers l’arrière et se dit :

— Je ne sais pas si je dois y retourner ?

Mais il se rappelle que Mary avait des choses à faire et qu’il devait y retourner demain matin.

Il regarde de nouveau devant lui, et pendant qu’il galope vers son château, Mary était de son côté très joyeuse attendant aussi d’être à demain matin pour revoir cet homme qu’elle pense être son âme sœur.

— Je suis amoureuse, je crois, elle le dit en regardant les oiseaux par la fenêtre.

Sans dire quoi que ce soit, elle rangea la chaumière dans le calme.

— J’espère bien qu’il reviendra, car sinon, je serai très malheureuse, je crois, se dit-elle.

Mais Mary sans réfléchir pensa aux affaires qu’elle doit gérer depuis la disparition de ses parents.

Après avoir rangé l’intérieur de la chaumière, Mary s’assit sur une chaise en bois, et devant elle, des papiers qu’elle trie avec soins.

Elle tombe sur un papier qui attire son attention.

Elle le prit délicatement et vit que c’était une lettre écrite par sa mère et son père juste avant de mourir.

Mary avec des larmes aux yeux lit le texte écrit.

Puis, une photo tomba à terre, elle regarda alors la photo et la ramassa avec beaucoup de peine en elle.

Sur cette photo étaient représentés ses parents.

— Maman, Papa, puisse vous, être fière de moi, aujourd’hui, depuis cinq ans, raconte Mary.