Théodore - R.J.P. Toreille - E-Book

Théodore E-Book

R.J.P Toreille

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Beschreibung

Théodore est un jeune paysan attirant qui vit avec ses parents dans leur petit nid d’amour. Il fait la rencontre du prince Nicolas qui l’invite à s’installer au château royal. Une fois au palais, Théodore sera persécuté par Madame Drugos, alors gouvernante de la propriété. Elle ne voit pas d’un bon œil la relation qui semble lier le prince et le paysan. Qu’adviendra-t-il de Théodore dans cette demeure ? Une vie heureuse est-elle possible pour Théodore et Nicolas ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

R.J.P. Toreille est né en 1998 à La Rochelle en Charente-Maritime. Il est originaire de l’île de Ré.

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R.J.P. Toreille

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Théodore

Roman

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Lys Bleu Édition – R.J.P. Toreille

ISBN : 979-10-377-2707-7

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

 

 

 

 

 

Chapitre 1

Une belle rencontre

 

 

 

Notre histoire commence dans un magnifique royaume, à l’intérieur d’un pays très lointain, dans un magnifique village situé au-delà des montagnes enneigées, peuplées de joie et de magie.

Dans le village près d’un magnifique château, tout était féerique.

Les habitants faisaient leur travail habituel, près d’un petit ruisseau, avec non loin une cascade où des poissons nageaient au fond du ruisseau.

Un jeune homme de 17 ans s’y approcha et s’assit doucement près de la cascade.

Ce jeune homme s’appelait Théodore, d’une grande beauté physique, il était magnifique au regard des habitants qui l’observaient.

Il avait les cheveux courts, bruns, les yeux marron, avec un sourire d’un éclat d’étoiles.

— Je pense à l’amour, mais j’ai peur de le trouver, raconte Théodore.

Il avait peur de ne pas trouver l’amour véritable envers quelqu’un qui correspond à son cœur.

Il avait un panier à la main, sans y penser, il le posa doucement sur le bord du ruisseau.

Il se mit à chanter et cette chanson attira des oiseaux jaunes.

Alors, arrêtant sa chanson, il leur dit :

— Vous êtes de magnifiques animaux

Les oiseaux émirent un son très aigu et Théodore plongea sa main dans l’eau de la cascade et se mit de nouveau à chanter. Quand les habitants du village entendirent sa voix, ils étaient curieux, ils se demandaient d’où elle venait précisément, alors, ils cherchaient, et s’aperçurent qu’il s’agissait de Théodore.

— Il a une magnifique voix, ce jeune garçon, explique une femme à son mari.

— Je suis d’accord avec toi, ma chérie, mais si jeune, il peut continuer ses chansons quand il voudra, répond-il.

Une autre femme s’approcha de l’homme et sa femme et dit avec une bonne humeur aux lèvres :

— Il a effectivement un talent grandiose, comme si une fée était présente auprès de lui, mais je ne sais pas, raconte cette femme au couple.

Sans continuer la conversation, ils regardent Théodore chanter, les habitants s’approchent de lui et raisonnent une voix symphonique.

Sans se préoccuper des habitants, Théodore continua avec son magnifique chant.

Quelques minutes suivirent, tout le monde arrêta de chanter.

Au moment où Théodore leva sa tête vers les habitants du village, il vit les personnes avaient repris leur travail, comme si rien ne s’était passé.

— Je ferai mieux de rentrer au plus vite, le jour se termine déjà, explique-t-il aux oiseaux jaunes en regardant le soleil se coucher.

Alors, il se leva tranquillement et prit le panier plein d’aliments dans les mains.

Vêtu, de vêtement marron et d’un foulard rose autour du cou, il marcha vers la maison où il vit avec ses heureux parents en traversant le village.

Suivi des oiseaux jaunes, il leur dit avec joie :

— Je dois rentrer, au plus vite !

Alors Théodore courut le plus vite possible dans ce crépuscule.

Les oiseaux jaunes volaient à une vitesse folle, pour suivre Théodore, et certains décidèrent de se poser sur ses épaules.

Mais un moment, il était si essoufflé qu’il prit une pause pour retrouver sa respiration devant une auberge où les gens faisaient la fête.

— Ce bruit me dérange, je vais m’éloigner, s’agace le jeune homme.

Alors, il s’éloigna de l’auberge et s’approcha d’une maison où il prit son souffle paisiblement.

— Je suis épuisé ! OUF, dit Théodore essoufflé.

Il regarda les oiseaux jaunes avec son sourire, il décida de vouloir prendre son temps, pour rentrer à la maison.

— Je prendrai mon temps, je ne suis pas pressé après tout, explique-t-il.

Alors, en marchant, il trouva des fleurs extrêmement rares dans un champ. Incrédule, il s’approcha de ces fleurs.

— Mais qu’est-ce que cela ? se questionna-t-il.

Les trouvant magnifiques, il en cueillit et s’agenouilla paisiblement avec joie.

Ayant cueilli plusieurs fleurs rares, il vit une belle rose au sol près de la route et son regard était pointé sur cette rose.

— Magnifique ! hurle-t-il.

Il se précipita vers la rose et la cueillit délicatement.

Soudain, un chariot passa trop près de lui et il y cria :

— Fait attention andouille !

Obnubilé par les fleurs, il n’avait pas vu la nuit tomber. Alors il reprit la route vers la maison où il vivait.

— Il faut que je me dépêche, je n’ai plus trop le temps maintenant, maman et papa ne vont pas accepter que je rentre en pleine nuit ! s’exprime Théodore.

Selon lui, le meilleur moyen d’atteindre la maison plus rapidement, c’est de courir le plus vite possible.

— Je dois courir maintenant, je n’ai plus le choix !

Il se mit alors à courir avec les oiseaux, qui battaient leurs ailes.

À la maison des parents de Théodore, il y avait un jeune homme qui était un prince, il se nommait Nicolas.

Il était vêtu d’un tee-shirt sans manche rouge, d’une cape bleu ciel, aux cheveux noirs et les yeux marron noisette.

Il discutait avec le père de Théodore, qui était maréchal-ferrant.

— J’en aurai pour combien pour changer les quatre fers à cheval ? demande le jeune prince.

— Normalement 10 Raffy, répondit le père de Théodore.

De la maison sortit une femme, c’était la mère de Théodore, elle était sortie pour récupérer le linge étendu à l’extérieur.

— Bonjour, dit la femme.

Le prince Nicolas lui répondit en payant le père de Théodore.

Après l’avoir payé, il prépara un cheval noir, et y monta en tenant les rênes fermement, puis il dit :