Aphorismes, paradoxes et autres calembredaines - Miguel S. Ruiz - E-Book

Aphorismes, paradoxes et autres calembredaines E-Book

Miguel S. Ruiz

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Beschreibung

Pensées fulgurantes, surréalistes, absurdes et profondes à la fois... Retrouvez dans ce recueil les élucubrations poétiques et humoristiques de l'auteur - que n'auraient pas reniées Alphonse Allais, Pierre Desproges, Oscar Wilde et Chamfort (Nicolas, pas Alain !).

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Seitenzahl: 28

Veröffentlichungsjahr: 2020

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Aux autres… et à moi !

Sommaire

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre IV

Chapitre V

Chapitre VI

Chapitre VII

Chapitre VIII

Chapitre IX

Chapitre X

Chapitre XI

Chapitre XII

Chapitre XIII

Chapitre XIV

Chapitre XV

I

Généralement les migrants sont de taille moyenne.

Un avocat en robe de chambre correctionnelle.

Un acte manqué est une pensée réussie.

Emmerdez un constipé, il vous sera reconnaissant.

Les nains me donnent le vertige.

Un stylite styliste.

Une femme de gauche adroite mariée à un homme gauche de droite.

Avec tout ce bruit, on ne s'entend plus penser !

Le verrat épie sur le verre à pied.

Donner à penser, c'est risquer de prêter à sourire.

En rut à Bagdad, je tapine en bourg.

Etre complètement normal, est-ce normal ?

On ne vit qu'une fois... et encore !

Une sage-femme philosophe.

Le Titien aboie et Le Caravage passe.

Un manchot qui n'a pas la chance d'être ambidextre s'en moque totalement.

Jean-Vincent Placet, dont la seule ambition fut de bien porter son nom.

Le bras droit de Jean-Marie Le Pen est aussi son œil gauche.

Quand on se marie il faut des témoins… comme pour un accident.

Remettre les pendules à leur place.

Au Bénin, rien n'est grave.

Tout système est le garde-fou - ou le garde-chiourme - des esprits faibles.

Argument contre le nihilisme : "rien" n'existe pas puisqu'il y a déjà un mot pour le définir.

Kronenbourg à la Poste ?… Chronopost à la bourre !

Un palais se devrait toujours d'être beau - ne serait-ce que pour complaire à la phonétique.

Si vous voulez faire plaisir à un fakir, offrez-lui un tapis persan.

A la queue leu leu un arrière-train en cache toujours un autre.

27/4/1825 : Vivant Denon est mort !

Pas étonnant qu'on ait vu la lune en 69.

Je ne peux souffrir la souffrance.

Il faut jeter l'eau propre sur les gens sales, puis leur passer un savon.

Vingt-deux devins.

Quand on n'en peut plus de l'humanité, il faut retourner vers les hommes.

Dieu soit en location !

Si Fénelon est né félon, bossu est Bossuet.

Un alcoolique frénétique.

Quand on n'a plus rien à perdre, on a tout à gagner.

Ecrivains ?... Vains écrits ! Littérature ?... Lis tes ratures !!

II

Vieillir, soit... mais devenir vieux, non !

Des parents physionomistes qui ne veulent pas reconnaître leurs enfants sont doublement coupables.

Berck ? Quelle sale ville !

Paradoxe : quand on est vide à l'intérieur, on ne peut être profond.

D'une méprise peut naître le mépris.

Il faut savoir jouer avec les gens et les choses, pour pouvoir s'en déjouer.

L'absinthe et la sainte beuh.

Un pompier qui brille de mille feux prouve qu’il aime son travail.

"Cinq sens qui m'aillent" de Camille Saint-Saëns.

S'approcher du vrai, c’est ne pas prétendre à la vérité.

Pour aimer le monde, il faut s'en tenir à distance.

Les plus beaux voyages se font par la fenêtre.

Il faut rire des pets, ou dépérir.

Il vivait de bric et de broc dans un bric-à-brac... Alors, il prit ses cliques et ses claques… et rentra dans son clic-clac.

Pour un homme-tronc, faire des pieds et des mains est une gageure.

Quand on a perdu la face, il ne reste plus qu'à essayer de faire bonne figure.

Un végétarien au sourire carnassier.