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Ce livre propose un voyage contemplatif, parfois de manière mystique ou spirituelle, au sein de splendeurs de la nature qui composent notre merveilleux monde ! La deuxiième partie de l'ouvrage, est la présentation de poèmes amusants ou humoristiques.
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Seitenzahl: 35
Veröffentlichungsjahr: 2023
Dessins licences libres du livre : fr.freepik.com
Nous sommes dans l’univers, donc l’univers est en nous !
Écrire, c’est comme peindre par des mots le tableau de son âme ! Patrick Èdène
PRÉSENTATION
CONTENU
CONTEMPLATIONS
LES MERS
L’HIVER
PROMENADE À LA CAMPAGNE
LA ROSE
SONNET MARITIME
AUBE
LE TRANSFERT
UN ASPECT DE LA VIE
LES FLEURS DU BIEN
DANS UN JARDIN MERVEILLEUX
LA VOIE DU CIEL
FLEUR
CLAIR DE LUNE
À L’ARBRE HIVERNAL
ORAGE
NUAGES
LA MER
LES NUITS
CIEL NOCTURNE
LES VAGUES
LA ROSE
FLEURS DE COTON
ÉCOLOGIE
LES MONTS
LES VOLCANS
LES FLEURS
LES FRUITS
HISTOIRE DE MOUCHES
AMUSANT
INTERDICTION
FANTAISIE
VOYAGE IMAGINAIRE
L’OMBRE
LETTRE D’AMOUR MATÉRIALISTE
PONCTUATIONS
HUMOUR CYNIQUE
SUR UNE PLAGE
PENSÉES NATURELLES
TRAVAILLER POUR DE L’ARGENT
LA MORT DU POUVOIR
AMIS OU ENNEMIS ?
DISTRAYANT
LE MASOCHISTE
Je précise, ci-dessous, les motivations qui m’ont fait choisir une forme poétique personnelle plutôt que celle à laquelle elle ressemble et qui est nommée classique.
Ce qui m’intéresse en poésie, c’est que les nombres réguliers des syllabes des vers et les fins de ces vers écrites en rimes font, pour ainsi dire, chanter les concepts des poèmes dans l’esprit de celui qui les lit. Ainsi, l’œuvre emporte le lecteur au cœur de mélodies sonores et conceptuelles qui peuvent alors faire écho au chant divin de son âme. La poésie libre étant le plus souvent sans rimes et sans nombres réguliers de syllabes, elle ne peut donc me convenir à l’instar de la poésie classique trop codifiée.
Par conséquent, j’aime que mes écrits riment, que les syllabes des vers harmonisent le poème et qu’ainsi les sons et les sens des mots s’unissent dans un accord étroit pour créer une symphonie poétique ! Cela exprimé, les règles que j’emploie faisant partie de la poésie classique, elles me confrontent à ses autres règles complexes que je considère excessives et que je ne cherche pas à appliquer. Ces règles ont été précisées et codifiées par François de Malherbe (1555-1628) et Nicolas Boileau (1636-1711), et ont donc été appelées la poésie classique.
Selon mon propre calcul, j’applique un même nombre de syllabes pour les vers d’un poème, les élisions qui sont les non comptages des syllabes des fins de mots en « e » devenant, ainsi, des syllabes muettes si elles se trouvent devant un autre mot qui commence par une voyelle et les rimes que j’essaie de rendre parfaites.
Mais je ne veux pas, par exemple, limiter ma créativité par les formes fixes de la poésie classique tels que sonnet, pantoum, ballade, triolet, villanelle, rondeau, rondel, lai, iambes et terza rima. Leurs structures pourraient réduire les possibilités des précisions conceptuelles que je jugerais primordiales pour mon œuvre. De temps à autre, certes, par plaisir du challenge ou par désir d’expérience personnelle, je peux choisir la base de l’un de ces modèles si j’estime pouvoir réussir à lui donner l’expression exhaustive de mon propos. D’ailleurs, j’invente, comme tout auteur de poèmes peut le faire, des formes qui peuvent devenir un jour, pourquoi pas, des formes fixes pour ceux qui les aimeraient.