Femina - Patrick Edène - E-Book

Femina E-Book

Patrick Edène

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Beschreibung

La féminité ne s'exprime pas seulement dans l'élégance des femmes, car elle se trouve également dans l'expression de la nature et des énergies qui traversent l'univers. La réalité s'est faite dualité pour devenir tangible et atteindre la conscience des âmes. Sans ce qui est moindre, rren ne peut être perçu dans sa grandeur ! Ce livre propose d'explorer quelques éléments de la féminité universelle qui rayonne dans les manifestations terrestres.

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Seitenzahl: 36

Veröffentlichungsjahr: 2023

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Couverture et dessins libres de droits et issus du site freepik.com

Écrire, c’est comme peindre par des mots le tableau de son âme ! Patrick Édène

Sommaire

PRÉSENTATION

LA FEMME

LES PIERRES

LA CRÉATION

CHACUN ET CHACUNE DE NOUS

UNE BONNE DÉCISION

FLEURS DE VERS

FLEUR

PEINTURE FÉMININE

DÉCLARATION AMOUREUSE

LA ROSE

SONNET ORIGINEL

AUBE

UN COUPLE QUELQUE PART

LES SALAIRES DES FEMMES

LES MERS

LE TRÉSOR DES MERS

GENÈSE

NAISSANCE

NOTRE TERRE

LE TRÉSOR DE LA NATURE

UN GRAND AMOUR

L’AMOUR

DU CIEL À LA TERRE

CLAIR DE LUNE

MON ÂME

PHOTOGRAPHIE

L’OMBRE

MUSIQUE

PRÉSENTATION

Je précise, ci-dessous, les motivations qui m’ont fait choisir une forme poétique personnelle plutôt que celle à laquelle elle ressemble et qui est nommée classique.

Ce qui m’intéresse en poésie, c’est que les nombres réguliers des syllabes des vers et les fins de ces vers écrites en rimes font, pour ainsi dire, chanter les concepts des poèmes dans l’esprit de celui qui les lit. Ainsi, l’œuvre emporte le lecteur au cœur de mélodies sonores et conceptuelles qui peuvent alors faire écho au chant divin de son âme. La poésie libre étant le plus souvent sans rimes et sans nombres réguliers de syllabes, elle ne peut donc me convenir à l’instar de la poésie classique trop codifiée.

Par conséquent, j’aime que mes écrits riment, que les syllabes des vers harmonisent le poème et qu’ainsi les sons et les sens des mots s’unissent dans un accord étroit pour créer une symphonie poétique ! Cela exprimé, les règles que j’emploie faisant partie de la poésie classique, elles me confrontent à ses autres règles complexes que je considère excessives et que je ne cherche pas à appliquer. Ces règles ont été précisées et codifiées par François de Malherbe (1555-1628) et Nicolas Boileau (1636-1711), et ont donc été appelées la poésie classique.

Selon mon propre calcul, j’applique un même nombre de syllabes pour les vers d’un poème, les élisions qui sont les non comptages des syllabes des fins de mots en « e » devenant, ainsi, des syllabes muettes si elles se trouvent devant un autre mot qui commence par une voyelle et les rimes que j’essaie de rendre parfaites.

Mais je ne veux pas, par exemple, limiter ma créativité par les formes fixes de la poésie classique telles que sonnet, pantoum, ballade, triolet, villanelle, rondeau, rondel, lai, iambes et terza rima. Leurs structures pourraient réduire les possibilités des précisions conceptuelles que je jugerais primordiales pour mon œuvre. De temps à autre, certes, par plaisir du challenge ou par désir d’expérience personnelle, je peux choisir la base de l’un de ces modèles si j’estime pouvoir réussir à lui donner l’expression exhaustive de mon propos. D’ailleurs, j’invente, comme tout auteur de poèmes peut le faire, des formes qui peuvent devenir un jour, pourquoi pas, des formes fixes pour ceux qui les aimeraient.

Je ne me préoccupe pas des diphtongues, appelées diérèses pour lesquelles on compte deux syllabes dans les mots qui contiennent deux voyelles qui se suivent ; à mon avis, cette règle perturbe la beauté rythmique d’un vers contenant un tel mot, puisqu’à notre époque nous ne les prononçons pas en deux sons. Victor Hugo, par exemple, compta deux syllabes dans le mot « lion » de l’un de ses poèmes, mais peut-être qu’à son époque les gens prononçaient li-on. Je ne m’occupe ainsi que de la prononciation actuelle des mots qui ont deux et parfois trois voyelles qui se suivent et non des règles classiques à ce sujet. « Lion » et « mieux » sont des mots qui ne créent qu’un seul son, et par conséquent, qu’une seule syllabe. Quand il y a deux sons dans la prononciation contemporaine de tels mots, cela arrive, je compte évidemment deux syllabes.