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Sortie extra-atmosphérique, planète hostile et magnifique. Comète cruelle et royale, se créant puis s'atomisant. L'astre argente ton visage Kay, radieuse éclaire. Dans tes souvenirs du passé et "control," partagés pour longtemps. Fils en acier, déformants sous la beauté du crépuscule, à court terme. Effleurant sous la glace des ténèbres. Sortie extravéhiculaire vertigineuse, lunaire. Devant tes yeux cinis, réfléchissants. L'étoile aimante ton sourire Kay. Dans ton armure métallisée et "control" plaquée et argent. Câbles brodés de fer, effleurants sous la glace des ténèbres, allongée hors-sol, aux paupières lumineuses éclaire. Le satellite présente ta parure. Alliages et métaux sous l'éclat de l'obscurité, te touchant sans bémol. Dehors dans l'espace, meneuse solitaire. Face à ta vision brillante, incendiaire.
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Seitenzahl: 98
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Préface
Inhumane Kay
Lexique
Et tu vibrais… Sanguine, se décline, dans la haute atmosphère, tangerine. Teintée, orange chaude, révélée. Culmine vers les nuages nobles, altiers, suspendus. Exhalaisons à perceptions sur les nébuleuses de lumière. L’armure bionique, glacée, de tes membres rebranchés, stabilisant. Se redressant, se relevant, pilotant, guidant ton vaisseau escorteur, galvanisé. Texture de métal, androïde aux détecteurs de rayons lumineux, éclairants. Qui insensiblement, doucement s’accentuent, structure sans peur, accélérant. Ephemeral hybride à la liaison astrale, ressort de cliquet, nebulosus et hisse. kay voltigeuse atypique et renversement, en quête, fatale à honorer.
Tu transperces la voie lactescente, ininterrompue, ascension vers l’horizon, au milieu des galaxies irrégulières. Le dos froid, gelé, de tes reins chromés, œuvrant, glissants. S’inclinant devant tant de beauté, dans ton engin renversé, androïde aux capteurs de lueurs, vibrants. Qui graduellement, lentement, s’intensifie, s’illuminant. Ephemeral hybride à la connexion mentale, axe de balancier, galaxias et hisse. Kay allumeuse magnétique et rétablissement, en conquête, spéciale à célébrer. Aux fortes ardeurs grâce à tes circuits métallisés du new day. Divine changeante, opalisée. Au plan d’étoiles givrées, sombres, glaciales. Miroir d’une muse passionnée, vibrante, désirée, âme sincère et vibravi… guidage avancé en vol élaboré, stabilisé, sans heurt, en lévitation. Toi, les cheveux flamboyants se soulevant, magnétiques. À la mèche albe, du temps écoulé, tel un voile sensuel, bougeant, poussé par le vent léger espiègle, force, indomptable, abyssus. Ephemeral hybride à l’insersion cérébrale, arbre de barillet, galaxias et glisse. Impulsion en vol inversé, interfaces et relais. Brève ode héroïque, spaciale à glorifier, signifiant.
Gloria to Kay… Sanguine, se décline, sur des terres, tangerine. Pigmentée, ocre arborée, lumière baissée. Dans la nappe de brume matinale, elle marche lentement, digne vers un destin, inexorable, fatal. Vers les sentes éteintes green. Mouvements précis exigés, visibles en surface. Brouillard de vallée, d’eau et de glace. Amazone combative lourdement armée. Portant une armure de bronze et un casque orné. Cyborg aux paupières ouvertes, peintes en son âme. Là une respiration calme, lente. Dans ce conflit qui s’installe dans la durée. Mouvements précis, amplifiés de meurtrière. Voici une respiration plus rapide, plus forte. Apercevant une colonne de trois qui s’avance, te hante. S’indigne de sinistres actions par sa bouche pulpe alizarine se devine… Amplitude vers les cieux, prière envers les Dieux. Brouillard qui se dissipe. Tel un nuage près du sol qui s’élève. Relâchement respirant d’un pas hésitant. Et à nouveau les gestes justes, devant les autres guerrières. Sans hésitation, dans une attitude fière.
Air expiré de ta bouche, Kay…
Sous une brouée subite, passagère, lumière diminuée. Mouillant tes cheveux roux foncé, à la fine mèche blanche, clarté qui illumine, beauté fantomale. Et tes yeux hazel gris clair, au teint à la touche dorée. Contemplant ta propre mort. Brandissant ton fer d’épée d’Akinakès et perforant leurs corps. Action offensive, assénant tes coups vers l’avant. Mouvements précis, violents qui naissent. Lame se brisant, traversante. Maintenant une respiration précipitée et bruyante. Au son des impacts de ta lame et bruits d’os. Meneuse, humiliant tes ennemis. Leur ôtant la vie. Mi-robot synthétise en perspective. Cyborg incendiaire, œuvrant, mesquine, s’affirme de ruines. Dominante à la grande stature. Cruelle, rageuse, adoptant une posture.
Sur un lit de glace noire, rougie.
Gloria to Kay…
Sanguine, se décline, sur des parterres, tangerine. Colorée, jaune animé, lumière appuyée. Dans la splendeur d’un lever de soleil orange sanguine, elle marche tranquillement, divine, vers sa destinée. Mouvements relâchés, flous. Progression des rayons de l’horizon au-dessous. Amazone pacifique déposant les armes et son épée. Son imposante armure et son casque orné. Cyborg aux paupières fermées, teintes son âme. Là, une respiration silencieuse. Dans cette respiration plus rapide, plus forte. Apercevant une assemblée de tes sœurs qui s’avancent. S’indigne de tristes réalisations par sa bouche, pulpe d’aniline se redessine. Amplitude vers le ciel, prières envers l’Olympe. Clarté solaire qui illumine. Tels des nuages, rayons crépusculaires traversants. Relâchement respirant d’une enjambée hésitante. Et à nouveau une attitude appropriée, bien ancrée dans le présent. Sans hésitation dans une attitude légère.
Air expiré de ta bouche, Kay…
Sous les rayons ultra-violets arrivés doucement, éphémères, LED pulsée. Éclairant ta chevelure auburn, beauté absolue, légendaire. Et ton regard aux iris grisés, à la mine chaude, mordorée. Regardant ta propre mort rétrospectivement. Rangeant ton fer d’Akinakès, ta lame couverte de sang. Protectrice envers tes amies. Leur sauvant la vie. Mi-robot synthétise en perspective. Cyborg sanguinaire, glaçante, mesquine, s’achemine de ruines. Dérobe l’air vibrant de ta nuit aka. Vulnérable, à la fragile allure. Fière, triomphale, adoptant une posture. Maintenant Kay te voilà partie.
Sur le sol chauffé par la lumière de l’étoile brunie.
Lignes qui s’éveillent, perpétuelles à quelle latitude ?
Positions verticales, en cambrés, se couchant d’arc-enciel. Kay colorée, flashy au regard de la brume matutinale, soulignée, brûlante en puissance vers le ciel étoilé.
Lignes sensuelles, éternelles, à quelle longitude ?
Positions horizontales, en penchés, déviant d’arc-enciel. Kay teintée, showy aux yeux des eaux tourmentées, surlignées, vibrantes en ascendance comme irréelles en légèreté.
Vers toi puis vers lui, rythme lent, vraiment fou. Face à face, cambrée, funny, sensuelle et exposée.
Lost in time…
Vers le levant puis vers la Terre, rythme débridé, plus doux. Par-dessus le vent, dans les airs. Posée lovely, incandescente, désirée.
En un vocal de… « oui…» « de plus vite…» loin. Plongée sensuelle œuvrant…
Timeless traveller…
En dedans puis en avant, en dedans puis en arrière, rythme enragé. Partout te serre. Étendue, pretty gémissante en vue.
In the blue of infinity.
Chronologie en une, lèvres contre lèvres rouge zinzolin, tremblantes, chacune. Kay trash.
« Du bist wundervoll… Vénus .»
Éris en synchrone avec la lune pâle, loin là-bas, bleu de prusse.
Chronologie en eux, corps contre corps vibrants, merveilleux. Kay en un flash.
« Du bist großartig… Vénus. »
Puis Uranus asynchrone avec sa lune pâle, au-delà, bleu de prusse.
Chronologie au pluriel, langues contre langues caressantes, charnelles. Kay ultra trash.
« Du bist extrem… Vénus .»
Pluton en synchrone avec l’astre sélène par là, bleu de prusse.
Tombe, passagère mystère, éclairée dans ce carré sans monde, aux côtés invisibles. À la vitesse ambitieuse, intense. Inonde d’amicales sondes sans cibles… d’hiver. Plonge, aventurière cyber, illuminée, en cet aéronef sans fronde, étudié incline. À la délicatesse merveilleuse, désirée. Inonde d’indétectables ondes sensibles… d’hiver. Anatomia… en descendant, très lascivement et postures en sursis, impliquent des chimiques… atypiques Kay. Tête fixe glaçon, électrique en bas, chute éphémère, en attractivité, vers la Terre.
Assenza di gravita…
Anatomia… en ascendant, progressivement et positions au ralenti, s’impliquent des pratiques… physiques Kay. Le corps droit glaçon, magnétique en toi, chute devant ton regard sans mélanine, en gravité vers la géante bleue. Automate de céramique serti, poudre de riz, Aurora, pâle d’ivoire. Aux yeux de verre, balancier en métal, figés. D’azur clair, sage, se mirent.
« Oui lèche-la, très lentement, tête penchée… »
« Ta bouche rouge cinabre, des alchimistes, s’embrase… » « Respire… puis plus rapidement, par ta langue console-la… »
Automate de porcelaine sertie, poudre de vie, Aurora, virginale d’ivoire. Au regard de verre, pièce de plomb, fixe. Pur, sincère, sur ton visage de cire.
« Oui possède la, très lascivement, par tout ton corps, tes bras jouis là… »
«Ta bouche rouge écarlate, des hermétistes, s’enflamme…» «Respire… puis reprend tes esprits, par ta bouche œuvre là… »
Automate serti, virginal d’ivoire, tenue dragée Aurora. Non toxique à la forte intensité. Cannelle aux lèvres argentées, ouvertes, désireuses, confuses, choisies. Aux désirs s’articulent vanillé sirop, friandise de note acidulée en sa bouche praline.
Altezza… tu es, être à l’intelligence confidentielle, dans ta curieuse cuirasse. Projection et évolution vers le futur. Comme un exemple précoce, caractéristiques esthétiques, au style éblouissant, en cuivre. Éminent de compressions aliennes. Aux teintes passées, elles en sont ta citadelle, ton centre. Vaste armure, aux interfaces créées, modifiées, exécutées. Aux dialogues informatiques, mathématiques, aux calculs et formules reconnus. Parcourus de chiffres et données. Anticipation ou prévisions, comme des plans ou architectures innovants. Casques ornés pour tous les cyborgs chromés, éclatants, dominants comme des guerriers mutants. Magnifiques aux balanciers extracomplexes, monumentaux. Flux venant d’éther, en phase terminale, en un levier, arcs brisés pour tout stopper. Soutien de l’édification en rouages faits de métal, pour des membres fragiles ou mutilés. D’alliages travaillés, sculptés. Les mobiles ne sont pas au même niveau, de ressorts de barillet sur les côtés.
Prodige en une technique mécanique.
Automate de céramique serti, poudre de riz, Aurora, pâle du soir. Au sourire de contours dessinés, en métal, figé. De passe-velours des premiers jours.
« Oui lèche-la, plus passionnément, tête sur le côté… » «Ta bouche rouge cinabre, des alchimistes, s’entremêle…» « Respire… puis plus violemment, par ta langue entre là… »
Automate de porcelaine sertie, poudre d’envie, Aurora, virginale d’espoir. Au rictus de contours tracés, comme du cristal, glacé. Tel un rempart des premiers jours.
« Oui aime-la, contre toi de haut en bas, déterminée… » « Ta bouche rouge écarlate, des hermétistes, s’enivre…» « Respire… entends ses cris, par ta langue captive là…» Love mix, langues s’entremêlent, avec quelle attitude ? Positions principales, en variété, innovant d’arc-enciel. Kay excitée, flashy à la bouche d’une saveur prune inoubliable, dessinée, douce en puissance vers l’irréel et fantasmez.
Désir mix, langues se mêlent, à quelle amplitude ?
Positions variables, en volupté, émoustillant d’arc-enciel. Kay enivrée, showy aux lèvres repulpées, colorées, suaves en ascendance vers l’irrationnel et rêver.
Vers le dessus puis en dessous, rythme lent, vite affolé. En ligne, funny, charnelle et dénudée.
Warriors over time…
Derrière puis à l’endroit, rythme saccadé, pas posé. Par au-dessus puis dans l’ionosphère. Positionnée lovely, ardente, requise.
En un vocal de… « oui… » «de plus fort »… loin. Plongée manuelle frémissante…
Burning timeless…
En dedans puis en avant, rythme effréné, peu effacé. Par le dessous t’étreins. Couchée, pretty hurlante sans retenu.
In the light of infinity.
Chronologie en une, poitrines contre poitrines pointantes, chacune. Kay trash.
« Du bist perfekt… Carlin .»
Éris en synchrone avec la lune pâle loin là-bas, bleu de Berlin.
Chronologie en eux, dos contre dos, vertigineux. Kay en un flash.
« Sie sind sie… Carlin .»
Puis Uranus asynchrone avec sa lune pâle au-delà, bleu de Berlin.
Chronologie au pluriel, langues contre langues ensorcelantes, fonctionnelles. Kay ultra trash.
« Du bist fesselnd… Carlin .»
Pluton en synchrone avec l’astre sélène par là, bleu de Berlin.
Entre tes cuisses, amour divin, pénétrant, jouissant devant tes cris. En avant, par-derrière… s’envole pralineEmilie. Masque miel aux lèvres métal, entrouvertes, savoureuses, choisies. Être de silicone posé, non toxique à haute densité.
Masca en simple protection, à la lumière du moment, élaboré. Barrière alba… rôle différent par-devant, coulissant.
Entre tes cuisses, divine love, pénétrante, orgasmante devant tes envies. Au-dessus, d’avant en arrière… décolle divine Émilie. Masque cannelle à la bouche métal, ouverte, désireuse, choisie. Entité de silicone entreposée contre elle ou lui.
Domina… Enveloppe de vie d’entités censées, aux contours d’acier fortifiés, renforcés, ornés au mérite, encrés dans la terre, atmosphère. Les plaques soudées dans ton armure découpée puis assemblée, métallisée, magistrale. Comme un rempart, fractions élémentaires, pièces tranchantes, meurtrières. Interrompue par câbles, version de façade, d’autres alliages, des épées aux lames d’une couleur rouge pour tuer. Traversées dans la chair, brève, fantômes ou silhouettes transparentes comme des spectres. Humains de la grande Terre unique, elle passant du bleu roi au cyan clair. Corps sculpté comme dépossédé, protégé, aventureux. Fluide venant d’éther, de massacres d’humanoïdes, évacués.
Prodige en une réalité tragique.
Pulsion du vivant, des constellations ou des mondes clairvoyants. Kay disloquée, délestée. Membres amovibles, modifiés, loin des champs de bataille et cibles, en résidus révoqués.
Dicible…
Propulsion vers le néant, des émotions ou des mondes désarmants. Cyborg brûlée, oubliée. Membres mobiles, analysés, loin des champs de bonté, sensibles, en morceaux broyés.
Indicible…
Animation du respirant, des évolutions en des mondes surprenants. Kay démontée, déchargée. Membres extractibles, perfectionnés, loin de terrains assassins et mobiles, en cendres destitués.
Dicible…