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Le Harem de l'homme une histoire captivante basée sur des faits réels où l'amour se trouve manipulé et l'intrépide protagoniste Nickandro, un homme frivole et dragueur, dont la vie est façonnée par ses rencontres avec des femmes charismatiques et envoûtantes. Mais derrière chaque relation passionnée se cache un voile de manipulation et de tromperie. Leurs charmes exercent une emprise irrésistible sur Nickandro, et celui de Nickandro sur elles l'entraînant dans un tourbillon émotionnel où les frontières entre l'amour véritable et les désirs superficiels deviennent floues. Alors que Nickandro navigue dans ce harem personnel, il se confronte à des choix déchirants et à des révélations surprenantes sur la nature même de l'amour. Sa quête pour trouver le véritable amour devient une épreuve, car il doit démêler les fils complexes des relations passionnées qui l'entourent. Plongez dans ce récit captivant, mélangeant passion, trahison et introspection, et découvrez si Nickandro sera capable de briser les chaînes du harem dans lequel il est emprisonné pour atteindre enfin l'amour véritable. est un voyage palpitant dans les méandres de l'amour et des relations humaines, offrant un regard profond sur les dynamiques complexes qui se jouent lorsque les émotions sont manipulées. Une histoire qui ne manquera pas de captiver les lecteurs avides d'explorer les facettes sombres et lumineuse du coeur humain.
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Seitenzahl: 459
Veröffentlichungsjahr: 2023
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La quête de l’amour véritable
Synopsis
Nous avons pour habitude de s’intéresser à de fantasmer sur des histoires romantiques. L’univers d’un monde féerique, le rêve de toutes les femmes : Celui de trouver le prince charmant. Un idéal auquel on condamne souvent l’homme dans ses malversations, de ses désirs, ses plaisirs et ses pulsions ; qui par ailleurs, et sans cesse, subit des agressions dénégatoires au péril de ses sentiments. Il est aujourd’hui véridique que l’homme peut être l’objet d’une comédie romantique, et pas seulement les femmes. Il reste alors évident que l’amour est à deux et concernent deux personnes disponibles afin d’approuver et de prouver à l’un et à l’autre son ressentit. Les Hommes ont prouvé qu’il y’a plus de femme que d’hommes sur la planète.
Aujourd’hui, l’homme est à la recherche d’une correspondance et d’une alchimie.
Nous vivons dans une société où nous passons le temps à faire l’impossible ; à ce qui n'est pas réalisable
malgré les moyens mis en jeu, nous finissons toujours hors-jeu ; tout simplement pour une raison qu'on veut nous obliger à accepter. Il n'y a pas d'effort ou alors ce n'est pas assez, tu n’es pas allé jusqu'au bout, tu aurais dû faire ceci ou cela. On vit le dos devant contre nous même, cet espoir qui est un poison fait naître des sentiments, des sixièmes sens, des visions qui nous projettent dans un monde meilleur avec le bien aimé. Mais en fin de compte, on n’est jamais mieux servi que par soit même ou alors ce dicton qui dis « Vaut mieux être seul que mal accompagné ». J’appelle cela une conspiration de l'amour car à chaque interdit se trouve souvent un accès. Un accès à sens unique ? Le genre d’accès ou il n'y a pas de retour ? Ou alors parlons-nous d'un interdit corporel ? Sensationnel ou plusieurs sensations se rencontrent dans un lieu de Plaisir et de Désir onctueux. Soit, nous agissons avec le Cœur, soit nous agissons avec la tête. Le bonheur n’est –il
pas individuel, ou alors devons-nous le construire avec une personne de la même vision ? Ces choix sont impactés par les plaies de notre existence qui peuvent nous écraser et nous verrouiller. Elles peuvent nous rendent plus forts et plus ouverts aux autres. Après de longues réflexions et une longue hésitation, il se décide en fin de l’ajouter et ne choisit pas de vivre cela mais nous sommes libres d’en faire des enclumes qui détruisent des points d’appuis qui nous élèvent. C’est l’un des plus grands mystères de l’être humain. Nous nous posons une question : Est-ce de la chance ? Pourquoi nos sentiments ne pourraient pas ressembler à une machine ou est stocké toutes nos émotions aussi négatives que positives que de les dévoilé à un humain qui ne le mérite surtout pas. Tout compte fait, nous disons réfléchir avec la tête et faire les choix avec le cœur. Dans ce cas aussi complexe, pensons-nous, lorsque nous sommes submergés d’amour et que nos choix soient faits par émotion. Nous nous retrouvons tournée vers la logique, qui pour l’homme, que ce soit en amour, en la personne ou professionnel, nous serions à l’abri d’être brisé. On se sentirait en sécurité bien sûr sans que personne ne soit aux commandes de nos sentiments. Dans ce roman d’amour crée, et manipulé mais de sensation, et de mensonges en tout genre ; Ou l’être est maître de son destin, de ces choix avec le dilemme d’être partagé. Aujourd’hui, cela entraîne l’Homme à suivre l’émotion tout en faisant abstraction de la logique.
Pensant avoir laissé derrière lui un passé tumultueux et frivole, le jeune Nickandro Bertoni, tout juste âgé de vingt et un an est pris au piège d’un triangle vicieux dans lequel la manipulation est au cœur de l’amour.
Lors d’un concours de mode, le jeune apollon rencontre une femme dont il tombe sous le charme assez rapidement et prend la décision de quitter sa ville d’accueil Paris pour s’installer à Bellagio avec la belle Francesca dans l’espoir de fonder un avenir serein et prospère.
Quatre ans plus tard, alors que tout allait pour le mieux entre le jeune couple, une nouvelle vient bouleverser le conte de fée de la belle Francesca.
Nickandro fait la connaissance d’une charmante jeune étudiante de dix-neuf ans, fraichement arrivé d’Afrique pour poursuivre des études. Une rencontre animée par un jeu de séduction laissant passion et désir guider leur aventure romanesque. Mais cela semblait être trop beau pour être vraie lorsqu’un jour, au retour d’une balade avec Francesca, il décida de lui dire la vérité sur la nature de ses démons en lui faisant confidence de sa rencontre avec Athéna. Francesca considérait que ce n’était qu’une petite aventure sans lendemain qui finira bien par s’estomper. Nickandro n’en était pas à son premier coup et Francesca, malheureusement pour elle, ce n’était qu’une illusion voyant son attache de plus en plus forte et vit son avenir menacé. Nickandro continue à mener une vie paisible jusqu’au jour une information sifflé à Athéna par un proche du jeune Nickandro viendra bouleverser sa romance.
Cela ne lui est pas favorable car il est confronté à ce lourd secret mais par-dessus tout, d’affronter le regard de la belle Athéna, qui quant à elle est dévastée par cette nouvelle. Le plan inhumain de Nickandro qui
était de détruire la vie d’Athéna se retrouve emprisonner par ses démons et trahit par ses sentiments ressentis pour Athéna.
Le temps laissait place aux sentiments de regrets de peine et d’amertume. Alors ne pouvant pas se passer l’un de l’autre, ils reprirent contact laissant place à une nouvelle manipulation du jeune homme pour continuer là où il s’était arrêté.
Chapitre I
Chapitre II
Chapitre
Chapitre IV
Chapitre V
Chapitre VI
Chapitre VIII
Pensée de l’auteur
**
Comme si le monde ne souffrait pas déjà assez ; il a fallu d’une rencontre pour qu’il
oublie les raisons pour lesquelles il est même venu au monde. Nous nous retrouvons dans le deuxième pays de l’amour : l’Italie dans la ville de Venise de notre ère. Un groupe de copains tordus et joviaux, parfois soudé mais avec des tensions à donner des migraines. Le moment est venu de vous les présenter. En commençant par Carlos Da Costa. Un gaillard noir d’origine africaine mais né sur le sol italien. Du haut de ses un mètre quatre-vingtsix, il est plutôt beau garçon et stylé ; il faisait tout pour suivre les dernières tendances de la mode actuelle étant donné qu’il habitait un quartier réputé « San Marco ». On pouvait y trouver de beaux magasins de luxe accessible et accessoires de mode, en courts termes dans un quartier de bourgeois. Carlos a tout juste vingt-quatre ans. Il fait des études de marketing et est quelqu’un qui véhicule la bonne humeur mais tout ceci n’était qu’une illusion.
Ensuite vient Diego, il a vingt-cinq ans et vit encore chez maman. Le genre de fils qui ne veut pas se décrocher de sa mère sans doute pour profiter des bons plats que sa mère lui cuisine. Un citoyen calme et insidieux. Le genre de mec qui n’aime pas les problèmes et déteste se prendre la tête. Séduisant et dragueur. Le streetwear est le look qui lui allait comme un gant ; ça lui apportait de l’assurance même si lui-même ne croyait pas qu’il en avait. Sa coupe de cheveux était son identité visuelle, car sans ses dreadlocks, il se disait être une autre personne. Lui, c’est Giovanni, un mètre quatre-vingt-huit avec ses quatre-vingtdix kilos de muscles toujours souriant et attentionné quand il le veut. Nous l’appelons la frappe du 21e siècle, car c’est un tombeur. Il est très discret et très cachottier tout en menant sa vie tel un loup solitaire. Giovanni est un jeune actif dans la société. Il exerce le métier de coach sportif dans une salle de sport appelé « StarFitnes » réputé de Rome où il voit passer des personnalités de la téléréalité italienne, des mannequins, bref, vous m’avez compris ; les plus belles femmes d’Italie. Vous comprenez pourquoi c’est un tombeur… Toutes les femmes aimeraient se réveiller auprès de Giovanni ; d’ailleurs on se demande comment les maris de ces femmes font pour supporter cela.
Lui qui rigole s’appelle Paolo. Un sentimental acharné à la recherche de l’amour. On pouvait imaginer qu’il
était un mec sérieux mais n’aspirait pas un à ce genre de qualificatif. Du haut de ses un mètre quatre-vingts, Paolo est un jeune qui essaie de se frayer un nom dans le monde du mannequinat et du show-business. Comme les jeunes hommes de son âge, il aimait faire la fête et profiter de la vie.
Nous sommes un mercredi de jour ensoleillé dans les rues de Milan, la deuxième capitale de la mode italienne
C’est un jour spécial ou les meilleurs mannequins d’Europe participent à un concours de mode pour intégrer l’une des plus grosses agences de mannequins de renommée internationale. Ça se bouscule dans les coulisses ou il y a toute une équipe de maquilleurs, de coiffeurs et de spécialistes de la mode en train de chouchouter les participants. Dans la foule, on voit l’entrée fulgurante d’un garçon d’environ un mètre quatrevingt-deux. Trop sûr de lui, ce n’était pas sa première fois de participer à un concours de mode. C’était un garçon qui avait excellé dans ce domaine d’activité en tant que mannequin agence. À son tour de passer à la coiffure. D’un tout hasard, ce garçon était quelqu’un d’éternel insatisfait, au point ou ses proches disaient qu’il finirait célibataire à vie.
- C’est ici pour la coiffure ? Demanda le garçon.
- Oui, bien sûr. Répondit la coiffeuse.
Le croisement de regard était intense. Une jolie femme blonde mais avec des cheveux bruns aux yeux verts. Il était tombé sur le charme de la jeune femme. Et elle ; serait-elle tombée sous son charme ? C’était un garçon mystérieux tout de même avec un passé mélancolique. Il était à la recherche d’une affection forte, ce dont il a manqué toute sa vie. Un mignon garçon et sensible. C’était ainsi que les femmes le qualifiaient. Comme toute personne, il avait aussi les mauvais côtés. Sa carapace renfermait les secrets les plus sombres, et sa frivolité n’était pas apprécié par les dames.
La coiffure terminée, il retourne alors enfiler sa tenue de passage et tombe nez à nez sur un participant angoissé et stressé. C’était sa première fois de participer à un tel concours.
- Salut ! tout va bien ? demande le jeune garçon avec inquiétude
- Hey, salut. Oui… En fin, non.
- Je vois. C’est ta première fois ?
- Oui ! c’est ça !
- Ne t’inquiète pas ; ça va bien se passer.
- Comment tu t’appelles ?
- Elias
- Je te souhaite bonne chance Elias.
Une rencontre qui pourrait être à l’avantage de ce bel étalon. Pendant le déroulement de ce concours, au passage d’Elias lors de sa prestation de défilé, il était acclamé par la foule et les cris de joie de filles étaient pour lui. Il avait tous les fans du genre féminin à ses pieds. Pendant ce temps, il regarda à travers le rideau et voit la coiffeuse accompagnée d’une autre femme dont il n’avait pas connaissance.
Le concours se poursuit et les deux jeunes garçons avancent dans le classement des membres de jury parmi les participants, et malheureusement, ils perdent en finale. La fin de concours se prononce et se retrouvent à nouveau dans les coulisses.
- Très bonne prestation Elias. Tu étais génial.
Elias : Ça ne me satisfait pas. Je méritais de gagner.
- Ce n’est rien tout le monde mérite d’avoir son moment de gloire ! Tu sais… on ne perd jamais, on apprend toujours. C’est ton premier concours. Tu verras ; la prochaine fois sera la bonne.
Elias : Je l’espère…
- Tant qu’on y est, tu es sur Facebook ?
Elias : Oui bien sûr. C’est Elias Kooker
- D’accord je t’ajouterais. Merci Mec.
Elias : Au fait mec, c’est quoi ton prénom ?
- C’est Nickandro… mon pote. Nickandro Bertoni.
À la sortie du vestiaire, les finalistes étaient conviés à prendre des photos avec les membres du staff et les membres du jury ainsi qu’avec les invités et les fans.
Pendant ce moment de pose photo, plus loin à gauche, la coiffeuse et la fille inconnue attendaient Elias. Subitement Elias fit un smak à la fille inconnue. Visiblement, c’était la petite amie d’Elias et la coiffeuse, certainement la sœur de sa petite amie.
Une journée rempli de mode, de musique et de concurrence prenaient fin et les locaux se vident. Chacun prend la route de chez soi. Nickandro, était centré sur ce visage pâle et inconnu de cette coiffeuse. C’était comme si c’était un rêve pour lui. Il se posait pleins de questions dans un dilemme compliqué avec beaucoup de paramètres. Ça avait toujours été un problème pour lui, pour qu’un homme soit heureux, il aurait besoin d’une vraie femme qui sait s’épanouir, qui se respecte, cultivée et qui ait confiance en elle. C’était un homme complexe, compliqué et très exigeant envers luimême. Toutes ses actions se font avec convictions. Tout ce qu’il veut ou ce qu’il fait, il l’obtient. Néanmoins c’est un homme qui a totalement perdu espoir en amour, car son cœur avait déjà été fendu en deux ; de part des expériences faisant référence négatives dans sa vie. Il s’était juré de ne plus recommencer. Il se contentait d’aimer tout simplement sans avoir à exposer ses sentiments. Ce qu’il recherchait chez une femme était une femme qui sait prendre des initiatives et des risques dans la vie. Une femme mure et plus âgée que lui ; avec un physique ordinaire et pas un physique comme une guitare comme celles de son passé, car le carrosse avait des moteurs défectueux. C’étaient ses nouvelles résolutions dans la recherche de celle qui partagerait sa vie tout en se donnant une chance de connaitre l’amour.
Arrivé à l’appartement de sa petite amie, on pouvait constater le froid qui régnait dans la pièce. Elle était questionnée de ce qu’il se passait.
Il lui baisa la joue et alla sous la douche. Il prit son dîner et dans un silence, elle ne pouvait se retenir.
- Bon appétit. Quelque chose ne va pas chéri ?
Nickandro : Merci C’est gentil. Non tout va bien. Pourquoi ? répondit-il.
- D’accord. Je te sens ailleurs et réfléchis. Y’a-t-il quelque chose dont tu aimerais discuter ?
Nickandro : Je viens de te dire que tout allait bien. Répond-il frustré.
- D’accord pas besoin d’être si agressif avec moi. Comment s’est passé ton concours ?
Nickandro : Je suis arrivé en finale mais je n’ai pas été retenue par le jury.
- Ah bon ! Je suis désolé pour toi. L’important c’est d’y participer.
Tout ce qui l’intéressait était dans son esprit, l’image de la coiffeuse. C’était la raison de sa froideur. En sirotant son whisky, il surfait sur internet et décida de passer à l’action. Il essayait de faire un lien.
Il ouvrit son application Facebook ; entra sur la barre de recherche le nom d’Elias et aperçue son profil. Il sourit, car tout ce qu’il espérait était de trouver les amies en commun de la fameuse coiffeuse.
Directement il eut une suggestion d’ajout en ami d’une certaine Francesca Lotte et il semblerait que c’était elle. Il sourit et la demande en amie. C’était un cadeau sur un plateau d’or, car après l’avoir ajouté, elle répondit instantanément à sa demande.
« Messenger »
Francesca : Salut comment tu vas ?
Nickandro : Hey super bien et toi. Merci d’avoir accepté ma demande c’est gentil de ta part.
Francesca : J’étais un peu obligé. On ne peut pas se permettre de refuser une demande d’un aussi beau jeune homme.
Nickandro : Waouh c’est une déclaration ? Je suis flatté. Je n’ai pas pu m’arrêter de te chercher sur Facebook. Heureusement, je t’ai enfin trouvé.
Il était sur d’une chose, C’est que Nickandro et Francesca se « Kiffaient » d’avance. Ils essayaient de gagner du temps mais personne ne voulait prendre les devants et entamer une discussion plus sérieuse.
Nickandro : Alors comme ça tu connais Elias Kooker ? On s’est rencontré dans les coulisses du concours.
Francesca : Ah… Oui c’est mon beau-frère.
Nickandro : Je m’en doutais. Et toi… Tu fréquentes quelqu’un ? Veuille excuser ma question, je suis quelqu’un de très direct.
Francesca : Non, pas pour le moment. Je ne suis peut-être pas fréquentable. J’ai l’impression de faire fuir les hommes. Mais pour le moment je suis célibataire.
Immédiatement, il fit le lien et ses questionnements avaient trouvé des réponses. Les choses allèrent très rapidement. Ils apprennent à se connaître sur Messenger. Plus le temps passait, plus Nickandro s’y intéressait. Pour lui, il avait trouvé celle dont il cherchait depuis longtemps. Une femme plus grande au niveau et ordinaire avec des yeux magnifiques. Pour le moment, La coiffeuse Francesca remplissait ses critères.
Puis venu le moment où il passa la deuxième vitesse. Ils décidèrent de se rencontrer enfin. Francesca habitait à Bellagio, une petite ville à quelques kilomètres de Milan. Une ville sympa située en arrière-plan du lac de Côme et ses magnifiques jardins qui témoignaient d’un accueil romanesque de ses habitants. C’était la première fois pour Nickandro de se déplacer dans cette ville. Le séjour était compté pour un week-end. Il s’imaginait beaucoup chose.
Pendant ce temps-là, sa relation actuelle avec sa petite amie battait de l’aile. Plus les jours passaient, plus elle n’était plus importante à ses yeux. C’était comme si à chaque fois qu’il voyait une femme qui lui plaisait, il se délaissait de l’autre. C’était une personne incombée au point où personne n’arrivait à le comprendre. Tout compte fait, il était conscient de ce qu’il était vraiment mais il était enthousiaste de la rencontrer. C’était toujours un homme entretenu, comme à ses habitudes avant le jour-j
Pour ce week-end à Bellagio, il prit la peine de se faire encore plus beau pour plaire à Francesca. Il mit tout en œuvre pour faire briller les yeux de cette coiffeuse. Pour lui c’était une routine.
Nous sommes le vendredi et c’est le jour tant attendue. De l’autre côté Francesca se fit aussi belle et enfila sa plus belle robe. C’était une femme qui négligeait son apparence et ne se rendait pas compte du potentiel qu’elle regorgeait. Elle voulait aussi mettre la barre très haute et voulait montrer l’effort qu’elle fit à son égard. Il est dix-neuf heures passées de trente minutes et Nickandro est en retard. Il s’empressa de ne pas perdre des minutes en plus et se précipita au volant de sa voiture Mazda RX7 en direction de l’aérogare. Une fois à l’intérieur, assis sur son siège en cuir, dans son tailleur en laine italien Massimo Dutti,
Quelques heures de vol accompagnée par une musique d’opéra italienne de l’artiste Umberto TOZZI, il arriva en fin à sa destination finale, à l’adresse que lui avait communiquée Francesca. Il se gara sur le parking privé de l’immeuble, sortit de gare, sa petite valise à la main. De l’autre côté, La fameuse coiffeuse l’attendait sur le parking de la gare à quelques mètres de la sortie. Comme toute première vraie rencontre, elle était stressée de pouvoir en fin le rencontrer. On pouvait même imaginer cette fameuse goutte de sueur
qui coulait sur son front poudré de maquillage et imaginé ses yeux qui scintillaient ; on aurait cru assister à des retrouvailles entres un militaire parti en mission depuis plusieurs mois et sa femme qui l’attendait sur le tarmac. A ce moment précis, même si elle n’était pas encore en face de Nickandro, sa perte de contrôle se faisait ressentir. Le contrôle sur ses émotions se posait la question de savoir ce qui se passera, était-ce le futur homme de sa vie ? Et si c’était le début d’une vie amoureuse ? Alors que c’était la première fois qu’elle le voyait réellement.
Sur le bitume de ce parking de la gare il lui envoya un message afin de signaler de sa présence.
Messenger
Nickandro : Je pari que tu n’es pas encore prête. Juste pour te dire que je t’attends sur ton parking. Dépêche-toi de venir me chercher si non on risque de m’enlever avec une autre. Dit-il avec humour et accompagna son message d’un émoji souriant.
Francesca : Ça ne m’étonnerait pas qu’on t’enlève. Tu es plutôt une belle frappe. Mais pour t’éviter tout ça ; ne t’inquiète pas, je me dépêche. Répondelle en retour en accompagnant son message d’un émoji souriant.
Habillée d’une robe de couleur saumon et audessus de ses épaules, un manteau marron et ces cheveux bruns coiffé en chignon définissaient une silhouette ronde, belle mais stressée. Ses jambes au-dessus de ses talons compensés lui donnaient de la hauteur au détriment de ses un mètre soixante-huit.
Francesca : Bonjour, quel bel homme. Je ne te l’ai pas dit mais c’est au troisième étage. Dit-elle en lui faisant un baiser de bienvenue.
Nickandro : Salut ! ah ma valise, ne t’inquiète pas, je vais m’en sortir. Comment tu vas ?
Ils se firent la bise et prirent le chemin de son appartement.
Arrivé devant la porte de l’appartement de Francesca, il afficha un sourire ;
Francesca : Bienvenue chez moi. Fait comme chez toi.
Nickandro : Je te remercie. Répondit-il en souriant ; puis ses bras s’ouvrirent et se prirent dans les bras.
Nickandro : Je ne réalise pas que je sois là. Merci de me recevoir
Francesca : Ah bon ! Mais je t’en prie. Ça me fait plaisir. Pourquoi dis-tu cela ?
Nickandro : Parce que je ne pensais pas que je t’intéressais autant pour m’inviter chez toi. Accepter de me rencontrer est déjà un privilège.
Francesca : Mais non je t’en prie ! Arrêtons les flatteries
Ces douces paroles faisaient battre le cœur de Francesca. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que Nickandro savait parler aux femmes, il pouvait être l’homme qu’elle voulait qu’il soit et cela dès ce premier rencard. On se demandait même quel genre d’homme réellement était-il.
A l’intérieur de son appartement moderne joliment décoré par ses carreaux marrons et de ses pots de fleurs
Artificiels, qui d’ailleurs avait surpris Nickandro
Nickandro : C’est très joli chez toi. Je ne savais pas que tu aimais les fleurs.
Francesca : Merci c’est gentil. Je suis allergique au pollen. Je suis obligé de me contenter des fleurs artificielles. Mets-toi à l’aise je t’en prie. Tu veux boire quelque chose ?
Le timbre de sa voix était tremblant et elle perdait ses mots. Elle était juste soit mal alaise face à lui ou alors cela faisait un moment qu’elle n’avait pas eu ce genre de rendez-vous.
Nickandro : Oui bien sûr, je veux bien un verre de vin rouge s’il te plaît.
Francesca : Du vin rouge ? Bienvenu au club ; je déteste les alcools forts. J’en ai un de spécial pour toi. C’est un cadeau de mon père. Je veux l’ouvrir pour l’occasion.
Nickandro : Ce sera avec plaisir !
Le jeune Nickandro était ébloui par la couleur des yeux de Francesca. Pour lui, c’était une femme ordinaire. Celle dont il n’arrêtait pas de rêver. Elle apporta deux verres à vin et le servit.
Nickandro : À notre rencontre !
Francesca : Pourquoi pas. À notre rencontre ! Répondit-elle avec un sourire assuré
Nickandro : Comment se fait-il qu’une femme comme toi vives seule dans ce bel endroit ?
Francesca : Qui moi ? Ce n’est que des aprioris. Ce n’est pas parce qu’on est belle qu’on doit forcément être marié ou fréquenter quelqu’un. Tu me laisse sous-entendre que toi au aussi ; un bel homme seul se fait rare de nos jours.
Francesca avait l’air rassurée mais loin du compte, elle était gênée car elle se demandait comment ceci pouvait arriver. Comment un homme comme Nickandro pouvait s’intéresser à elle ? Elle se sentait banale au style de femme qui pourrait intéresser le gentleman machos
Nickandro : Tout ce que je peux dire, c’est que toute personne aujourd’hui ne cherche que la stabilité dans tous ses sens. Alors la vie nous le dira.
Francesca : J’aime bien le fond de ta pensée. A chacun ses priorités.
Nickandro : A t’entendre, tu donnes l’impression de rechercher une relation à durée indéterminé ; je me trompe ?
Francesca : Tu as vu juste. C’est comme si tu lisais dans mes pensées.
La soirée ne faisait que commencer. Les deux personnages apprenaient à se découvrir. Comme nous le savons tous ; lors de ses premiers « dates » on essaie de trouver des similarités ou alors des points communs pour se donner une chance de gagner une minute de conversation.
Au début de chaque rencontre, de chaque histoire tout est rose, tout va bien. Mais c’était trop tôt pour dire que c’était une histoire sérieuse qui commençait. Après quelques minutes de paroles, d’échanges de sourire et de rire avec un verre de vin rouge à la main, Nickandro savait tous sur la vie de Francesca. Il avait connaissance de ses petits démons, ce qu’elle aimerait ou ce qu’elle n’aimerait pas. Ses souffrances, bref un vécu invivable. Sa sensibilité était à fleur de peau. Ses émotions étaient presque présentes dans la pièce. Pour apaiser les tensions, il fallait avoir du génie.
Nickandro : Je peux faire un tour dans ta cuisine s’il te plaît. ? Je ne serais pas long.
Francesca : Oui bien sûr. Au fond du couloir à droite.
Il prit une feuille à tabac, une portion de carton d’allumette, et se roule un joint bien tassé.
Nickandro : J’ai terminé. Maintenant je suis tout à toi. Il se rassoit et sort son briquet plaqué or et alluma son joint. Tiens prend un taf, ça te fera du bien.
Francesca : Je ne fume pas ; je suis désolé. Et là elle se met en sanglots.
Francesca : Je n’ai pas le droit de fumer et de boire car je suis malade. Mais je ne suis pas prête d’en parler la toute suite.
De la manière dont elle était touchante, plus il la trouvait vraiment ordinaire.
Le ton était commencé à baisser ; Il était temps de se coucher. Mais pour la mettre à l’aise, il ouvrit la piste de danse
Nickandro : Je suis désolé pour toi ma belle. Ne te sens pas obligée d’en parler. De toutes les manières, il y’a pas de place pour la tristesse ce soir. Tu sais danser ? Lui demanda-t-il avec un sourire désirant.
Francesca : Oui tu as raison. Répondit-elle avec malaise. Ne t’attend pas une danseuse étoile. Je te préviens si tu te moques je te mets à la porte. Ditelle en riant.
Nickandro : C’est une blague ? Tu veux me dire que tu ne sais pas danser ?
Francesca : En tout cas, je ne suis pas ces femmes noires qui savent bouger leur derrière.
Nickandro : Je ne suis pas d’accord …qu’est-ce que ça veut dire ? Tu ne serais pas raciste par hasard ? Pose-t-il la question en la taquinant. Il ne suffit pas de bouger ses fesses pour savoir danser tu sais ?
Tout à coup, Il se leva et se rapprocha d’elle ; il lui prit par ses hanches de manière douce et lente en les remontant lentement. Sa robe saumon remontait dans un slow des années 90’. Nez à nez, quelques pas de danse et Nickandro, il enroba ses lèvres, il l’embrassa sensuellement. Pas à pas, ils sont dans la chambre de Francesca et il la poussa dans son lit, il la comble de baiser ; puis la pénètre d’un coup lent. Le souffle de Francesca était coupé au point où elle commençait à agripper les barres de son lit. Les yeux fermés, elle ressentait la chaleur de son pénis dur, aussi chaud qu’elle se mit subitement à jouir.
Après l’explosion d’un feu d’artifice, le sommeil de cette nuit fut aussi reposant que matinale avec le petit déjeuner qu’elle avait préparé.
Encore endormi, Nickandro ne savait pas que Francesca était très matinale. C’était son habitude d’être une femme avenante, elle voulait marquer des points à chaque occasion qui se présentait pour pouvoir impressionner l’homme qui avait partagé son lit.
Elle prépara le petit déjeuner et le servit dans la chambre à coucher. Rien de très original qu’un verre de jus d’orange, quatre croissants, quelques tranches de pain, du beurre et de la confiture.
Francesca : Bonjour, debout il est déjà onze heures ; c’est l’heure de se réveiller. Lui chuchota-t-elle à l’oreille en lui faisant un baiser sur sa joue.
Nickandro se retourna sur le lit en souriant.
Nickandro : Bonjour toi ! Tu as été matinale. A quel moment as-tu préparé tout ça ? Je ne t’ai même pas entendue.
Francesca : Très tôt en tout cas. Tient !
Prend ton petit déjeuner.
Nickandro : Merci !
Il n’était pas habitué à ce genre d’attention. Il manquait tellement d’affection que Francesca a su le voir. Malheureusement, le séjour de Nickandro s’écourtait car il y’avait une urgence. Il Devait repartir.
« Message »
- Il faut qu’on parle. C’est urgent.
Nickandro : Je ne suis pas à Milan. Je suis en déplacement. Ça ne peut pas attendre ?
- Non, c’est une urgence.
- Nickandro : Très bien ; je me dépêche
Le message semblait être d’une importance capitale venant de la petite amie de Nickandro. Pris entre deux chaises et ne pouvant pas être dans deux lieux différents, il était obligé d’annoncer son départ.
Nickandro : Je dois y aller, j’ai une urgence.
Francesca : Déjà ? Je pensais que tu restais pour le week-end voyons !
Nickandro : Je sais bien mais ne t’inquiète pas, ça me donnera encore plus envie de te revoir. C’est juste une urgence à régler. Je te reviendrais très vite.
C’est au pas de course que Francesca rangea ses affaires et l’escorta au parking de l’aérogare.
C’est l’heure de l’au revoir ; un câlin tendre était au rendez-vous. D’un geste court et rapide, il l’attrapa, ses deux mains autour de sa taille et passa sa langue autour de son cou.
Nickandro : Je te dis à bientôt !
Luit dit-il avec un sourire.
Francesca : Peut-être ! C’est quand tu voudras, Écris-moi à ton arrivé. Bon voyage.
Il entra accouru dans les couloirs et sauta dans l’avion en lui jetant un regard charmant avant de partir.
C’était plutôt un week-end. Rempli de sensualité et de découverte. A son atterrissage, sa main gauche au volant de sa voiture, il était pensif et pensait déjà flancher pour la blonde coiffeuse. Aussi ténébreux était-il, du style pas très bavard ; il ne lui a pas dit qu’il était dans une situation inconfortable. Nickandro dans les rues des quartiers de la capitale et dépendant de femmes était encore dans les bras de sa charmante petite amie dans un petit appartement étudiant de quarante mètres carrés à Paris. Pendant son retour, ses visions étaient lointaines. Il cherchait la stabilité. Une certaine stabilité flexible avec des choix et des sacrifices. C’était un choix difficile, le fait de quitter sa petite amie et rejoindre Francesca dans un espoir de s’installer ensemble.
Nickandro : Bonsoir ! Comment tu vas ?
- Bonsoir, tu as fait bonne route ? ou étaistu ?
Nickandro : Je te demande pardon ? Je devrais justifier mon déplacement à chaque fois ? Je n’ai pas de compte à te rendre. Qu’avait-il d’urgent ? Tu m’as envoyé un message en plein petit déjeuner.
- Rien de de très grave je te rassure, mais j’avais juste besoin que tu sois là avec moi. La, maintenant.
Nickandro : Tu te fou de moi ? Ça ne pouvait pas attendre et tu m’as informé que cela était important Maria.
Maria : Tu veux dire que ce que tu faisais était plus important que d’être avec moi ?
Nickandro : Laisse tomber !
Le genre homme qui n’aime pas se déplacer pour rien encore moins si cela n’est pas assez important pour lui. Une fois de plus Maria avait été égoïste et par ses caprices, elle lui a enlevé le bonheur qu’il vivait. C’était un geste de trop et il fallait réagir. Cette relation battait de l’aille depuis quelques semaines et ses comportements au fil de la longue commençait à être insupportable. Sa petite amie ressentait-elle le besoin ou la peur de perdre Nickandro ? remarquait-elle le changement et les nuits où il découchait ? Elle ne cherchait pas de midi à quatorze heures, pour confirmer ses doutes ; il fallait pousser le bouchon plus loin. Assis sur sa chaise, l’ordinateur ouvert, il regardait ses mails quand tout à coup, i reçoit un message de Francesca.
Francesca : J’espère que tu es rentré sain et sauf. Je suppose que ton départ imminent était vraiment important au point que tu as oublié de m’écrire des ton arrivée.
Alerter par le vibreur de son téléphone portable, il jeta un coup d’œil et vit que c’était elle.
Avec un sourire charmeur, il lut le message de Francesca et s’exclama sans faire exprès en la présence de Maria.
Nickandro : Ha merde quel connard... !
Maria : Je suppose que le message que t’as reçu t’a fait sourire et puis elle a dû te dire une chose contraignante. Tu veux en parler ?
Nickandro : Sans façon. Ne compte pas sur moi.
Je pense qu’à ce moment la Maria savait qu’elle perdait son petit ami, car il ne lui avait pas adressé un sourire depuis longtemps. Le fait qu’elle le voit sourire lors de la réception de ce message confirmait ses doutes. Le fait qu’il lui cache des choses. Il se concentrait sur son téléphone et prit la peine de répondre à Francesca.
Nickandro : Je suis désolé, je m’étais oublié. J’étais bien arrivé. Ne m’en veux pas, je saurais me faire pardonner.
Francesca : Il y’a intérêt. Répondit-elle avec un émoji coquin
Du jour au lendemain, leur conversation SMS, ils se parlaient tous les jours, on dirait que leurs émotions étaient homogènes pour l’autre et différente pour l’autre.
Le soir tombé, c’est le moment d’être à table. L’atmosphère est tendue quant à Maria qui cherche des réponses et Nickandro qui décide de rester fermé à la discussion.
Maria : Tu n’as rien mangé. C’est pourtant ton plat préféré.
Nickandro : Je manque d’appétit pour l’instant. Ne t’inquiète pas, il me reviendra.
C’est comme un enfant à qui on a offert plusieurs jouets et quand il découvre un nouveau, il délaisse les anciens jouets. C’est ainsi que Nickandro fonctionnait. Il se désintéressait de Maria avec qui il avait cinq mois de relations et s’intéressait à Francesca qu’il avait rencontrée dans un concours de mode. Le fait qu’il se désintéresse de Maria n’était pas parce qu’il ne ressentait plus aucun sentiment mais parce que Maria ne lui accordait plus satisfaction et ne croyait pas en lui. Mais avant de la quitter, il voulait se rassurer que Francesca puisse lui apporter ce dont il veut vraiment ? On ne pouvait le savoir car c’était un homme qui ne parlait pas beaucoup ou du moins ne parlait de lui. Toutes ses carapaces lui empêchaient de faire face au véritable amour et même s’il avait une femme qui l’aimerait entièrement, il serait capable de passer à côté de son bonheur. Il est temps de se coucher et c’est le moment de découvrir la vérité. Dans la nuit, pendant son sommeil Maria prit l’audace de fouiller son téléphone. Il lui faisait tellement confiance qu’il n’avait jamais pensé qu’elle fouillerait son téléphone. Elle décortiqua le contenue et est tombée des nues quand elle prit connaissance de ce qu’il contenait pendant son sommeil. Elle avait les réponses à ses questions et comprenait le changement radical de Nickandro.
Qu’à cela ne tienne le gentleman Nickandro n’était point précipité car en aucun cas il ne cachait quoique ce soit à Maria et donc avait prétendument compris que tôt au tard il devrait annoncer la présence d’une femme autre femme dans sa vie. Elle le prit plutôt bien et compris qu’elle ne rendait pas heureux. Le jour levé, Tout le monde parti à ses occupations et la seule chose qui le préoccupait était d’écrire à Francesca.
Messenger
Nickandro : Bonjour ma belle, j’espère que tu vas bien. J’espère que tu veux déjà me revoir. Bonne journée.
Francesca : Hum c’était très rapide Monsieur, C’est quand tu voudras. Ma porte est ouverte.
Nickandro : Super. Je m’attendais à ce genre de réponse. Je veux que tu viennes me chercher c’est important. Je t’attendrai à Paris quand tu voudras venir ?
Francesca : Probablement ce week-end.
Nickandro : Très bien, alors à ce weekend. Bisous.
Nickandro n’avait pas perdu du temps. Il prit très vites les choses au sérieux. Elle avait de part et d’autre les critères qu’il recherchait. Mais la question était-il pour lui, de courir après l’amour pour toujours justifier de ses actions. ? D’être presque dépendant de la personne ? Pour le moment Il voulait se convaincre à l’idée de découvrir ce que ce que vraiment aimé sans avoir à rendre compte à qui que ce soit. Il était différent. La manière qu’il comprenait les choses n’était commune mais basé sur la personne que nous sommes. C’était le cadet de ses soucis. C’était un calculateur au-delà des situations. A chaque fois qu’il avait une conquête, c’était le demi-dieu du love sexe. Le genre d’homme qui aime plaire du moment qu’il trouve son intérêt. Dans sa perception des choses, la vie c’était donnant – donnant. Il était convaincu que chaque personne qu’il devait rencontrer ou chaque relation qu’il entretiendrait va dans ce sens car pour lui, il était persuadé d’apporter un plus dans la vie de celle qui partagerait ses mœurs. Le week-end arriva à grand pas et Francesca prit la route pour Paris à la rencontre de Nickandro. Elle était heureuse de le rejoindre mais n’était au courant de la surprise qu’il lui avait réservé. Sur les routes de la campagne italienne, huit heures de route, elle était déjà arrivée à destination, elle se gare sur le parking de l’immeuble de la petite amie de Nickandro. Pendant ce moment-là :
Francesca : Je suis arrivé. Je suis garée devant
Nickandro : J’arrive !
En l’absence de Maria, Nickandro fit ses valises et était prêt. Son choix était fait. Au vu du comportement qu’elle affichait et du manque d’attention qu’il vivait, son choix s’imposait d’être décisif et changer le cours de son histoire. Maria suivait des cours de droit à l’Université et elle avait fini sa journée. Elle était donc sur le chemin du retour. La chance qu’elle eût c’est que son université était à quelques mètres de son appartement et elle montait les escaliers. C’était prévu, c’était la raison pour laquelle il avait demandé Francesca de venir jusqu’à lui. L’idée cachée derrière sa tête était de montrer à Maria la chance qu’elle a laissé partir car personne n’a su comment Nickandro avait souffert en amour mais tout en étant capable d’aimer quelqu’un à sa juste valeur. Cette raison était-elle une excuse ? Ou cette raison décrivait vraiment la personne qu’il était ou prétendait être ?
Le bruit des talons hauts de Maria de douze centimètres cassait le parquet du couloir. A sa démarche, Nickandro savait bien que c’était elle qui faisait son approche. Ensuite le bruit de la clef dans la serrure, Maria s’attendait à tout sauf à son départ.
Maria : bonjour ! Tu prends des vacances ?
Nickandro : Oui et non. Mais ce qui est sûre c’est que je déménage.
Maria : Ha je comprends et pour cela elle était obligée de venir jusqu’à mon adresse ? Je sais que c’est elle qui t’attend en bas. Ne t’inquiète pas j’étais au courant de tout.
Nickandro : Je sais que tu es au courant de tout. Peu importe le moyen dont tu as pris connaissance de tout ça, je te pardonne parce que ‘était déplacé de fouiller dans mon portable. Je ne veux pas en discuter. A titre informatif, si je lui ai demandé de venir, c’est aussi pour lui faire passer un message. Elle m’enlever à toi et toi te donner l’occasion de voir la femme qui enlevé celui qui devait partager ta vie. Je suis désolé que ça se passe comme ça et je te remercie d’avoir été de passage dans ma vie
Maria : Tu n’as pas à t’excuser. J’espère qu’elle te fera devenir l’homme à quoi tu aspires.
Nickandro : Je l’espère aussi.
Avant de descendre, il lui fit un câlin et lui fit un dernier baiser sur ses lèvres pulpeuses.
Francesca : Je t’accompagne.
Arrivé sur le parking en à côté de l’immeuble, Francesca sortit de la voiture, elle le fit un câlin et le vit avec ses valises.
Francesca : Tu déménages ? Lui posa-telle la question.
Nickandro : Oui, ça ne te fait pas plaisir ?
Francesca : Bien sûr que si ! Et ta voiture ? Je reviendrais la récupéré. Une fois les affaires de Nickandro dans le coffre, Ils montèrent dans la voiture. Tout à coup, on frappa sur la vitre. C’était Maria.
Maria : Alors c’est vous qui m’enlevez mon Nickandro ?
Francesca : Bonjour, Oui en effet. Ce pendant ce n’est plus le vôtre. Je suis désolé mais nous avons de la route à faire. Ça a été un plaisir de vous rencontrer
Maria : Bonne route. Nickandro appelle moi à ton arrivé je te prie.
C’était impossible de faire un retour en arrière. Sa décision avait pris la marche.
Nickandro : Je sais que les conditions ne sont pas parfaites mais j’espère que tu es contente de me voir ?
Francesca : Je suis plus que contente. Je ne savais pas que tu avais déjà quelqu’un dans ta vie. Ça a duré longtemps ?
Nickandro : Je sais et je m’en excuse. Si j’ai jugé de ne pas te le dire, c’est que ce n’était sans doute pas important. Tu sais tout à l’heure, quand tu l’as aperçu, tu n’étais pas obligée d’être désagréable. Je n’ai pas apprécié que tu lui parle sur un ton hautain. Peu importe ce qui se passer entre nous, et peu importe qui je te présente, je ne voudrais plus que cela se répète.
Francesca : Oui c’est vrai que j’étais un peu sure moi. Ça ne se réputera plus.
Les choses étaient dites. Nickandro avait marqué cette forme de respect car tout ce qu’il détestait, c’était de prendre des gens de haut alors que l’Homme en lui-même est en quelque sorte une grosse défaillance.
Sous un soleil d’Italie et à l’intérieur de la
La route fut courte avec les discussions sur n’importe quel sujet. A ce moment précis, Nickandro su que c’était une femme comme parmi de milliers de femmes, évoluent avec des qualités, des principes et des valeurs.
Enfin arrivée à destination, la route était plus ou moins longue et les deux tourtereaux se contentaient d’un apéro typiquement français avec une bouteille de vin Manor et du Rhum ; accompagné d’un bon saucisson italien. Assis en terrasse du balcon, la conversation commençait à être plus que sérieuse.
Francesca : Alors qu’est ce qui t’a poussé à quitter ton ex ?
Nickandro : Rien de très spécial. Je ne pense pas qu’il faut tout le temps de trouver une raison pour prendre son départ. Puis je t’ai rencontré et j’ai craqué. Je pense que sans avoir à chercher très loin, tu es déjà une bonne raison si je ne me trompe pas.
Ma présence ne te ravis pas ? Lui posa-t-il la question.
Francesca : Je ne peux pas me plaindre. Je trouve que c’est dommage qu’elle t’ait laissé filer sans rien faire. Et c’est une chance pour moi.
Nickandro : Alors j’espère que j’ai fait le bon choix et que tu ne me décevras pas.
Francesca : Et qu’est-ce que tu trouves en moi que ton ex n’avait pas ? Que recherches-tu exactement ?
Nickandro : Chaque personne est différente. Je ne te connais pas encore parfaitement mais je me fie à mon intuition. Elle me trompe rarement. Et pour répondre à ta question, qu’est-ce qu’un homme comme moi pourrait bien rechercher à ton avis ?
La question fut gênante car elle ne voyait rien d’expressif sur le visage de celui qu’elle avait en face d’elle. A voir son regard, c’était déjà confus, mais avait la même appréhension que d’autres femmes pensaient de Nickandro : Le fait qu’il soit vu comme un homme à femme posait un problème à la gent féminine.
Les premières semaines étaient de bonheur dans cette petite ville romantique d’Italie. Le temps passait rapidement et les choses s’accéléraient. Le jeune Nickandro néanmoins était suspicieux de la vitesse grand V à laquelle les choses avançaient. Lui qui a toujours été un « Don Juan », Nouveau dans une ville inconnue pour lui, ces journées étaient reposantes avec un esprit détente. Pendant que Francesca occupait ses journées à son travail, il s’occupait de faire connaissance avec sa nouvelle ville d’adoption. Il était tombé sur le charme de cette ravissante ville. Les deux tourtereaux vivaient en harmonie et plus le temps passait, plus les sentiments s’installaient. Le temps avait fait comprendre au jeune Nickandro la véritable forme et le fond d’une femme qui partagerait sa vie. Francesca était une femme belle et Nickandro avait le sentiment qu’elle-même ne le savait pas. Elle craignait ses rondeurs et s’habillaient tous les jours en noir. Malgré ses sentiments proliférés, il décida de passer à l’action vis à vis de cette problématique. Il était seize heures passées et elle était sue le chemin de son retour. De retour de son travail, elle était juste contente de rentrer et d’enfin trouver une odeur forte et sauvage de masculinité. A son retour c’était également le comble chez le mâle de la maison. D’un son sourd, elle entra la clef dans la serrure de sa porte et entra dans son appartement. Elle se dirigea vers sa chambre à coucher et vit en fin Nickandro.
Francesca : Bonjour toi, comment tu vas ? Tu as passé une bonne journée ?
Nickandro : Bonjour chérie, je vais très bien, je te remercie ; comment a été ta journée ? Je ne pensais que tu finissais aussitôt et je ne t’ai même pas senti partir du beau matin.
Francesca : Oui, très bien… Ma journée s’est très bien passée. Je suis désolé je ne voulais pas te réveiller. Je t’ai quand même dit au revoir en te faisant un bisou.
Nickandro : Je trouve ça mignon ! Je n’ai rien senti sans doute parce que j’étais profondément endormi. Je suis désolé
Francesca : Tu n’as pas à t’excuser parfois, le sommeil ne se contrôle pas. Je compte rendre visite à mes parents qui vivent à quelques kilomètres de chez moi. Même si je connais en avance ta réponse, je préfère quand même te poser la question : Ça te dirait de m’accompagner voir mes parents ?
Nickandro : J’adorais, mais pour le moment je préfère prendre mes marques. Merci de ta proposition chérie mais chaque chose vient à son temps. Dit-il avec fermeté.
Francesca : Très bien chéri, ne t’inquiète pas. Tu as tout ton temps.
Pour Nickandro, les événements étaient précipités et il voulait prendre son temps comme elle le lui avait informé. Il est resté confus sans pour autant prendre tout au sérieux en se disant qu’il vivrait jour pour jour afin de voir l’évolution de son nouveau départ. Elle fit changer ses vêtements et prit la route vers l’habitation de ses parents ; qui habitaient une maison renfermée par une clôture dont on pouvait avoir accès par une petite route non goudronnée.
Francesca : Bonjour Papa, bonjour Maman, vous allez bien ? Elle embrassa ses parents d’un air souriant et confiant : C’était un moment important.
Franco le papa de Francesca et Evelina la mère, étaient ravis de revoir leur fille car cela faisait plus d’un mois qu’elle n’était pas allée les rendre visite. Le moment était venu de parler de sa nouvelle rencontre ; après avoir parlé de tout et de rien avec ses parents, elle prit le courage à deux mais et expose le sujet.
Francesca : Comment ça va le boulot papa ?
Franco : Super bien pour le moment, tout se passe bien !
Francesca : Content que tu sois épanouie dans ce que tu fais. N’oublie pas que c’est important de faire ce qu’on aime… et toi maman ?
Evelina : Moi ça se passe super bien : je ne me plein pas mais il est temps que je consulte un spécialiste pour mon dos. Vu les grosses journées assises, Ça n’arrange pas les choses.
Francesca : Je vois, dit-elle en s’inquiétant pour sa mère : En tout cas il faudrait que tu prennes soin de toi, j’ai en encore besoin de toi et toi aussi papa.
C’était une famille solide qui veillait chacun l’un sur l’autre. Le père était un vétéran de l’armée et continuait d’offrir ses services à la nation mais ce n’est pas tout, c’était un businessman qui investissait dans de nouvelle startup, il plaçait son argent un peu partout et avait un bras long. Pour ce qui était de la mère, c’était une femme de poigne qui déjà continuait à faire son premier travail, celui d’être une épouse respectueuse vis à vis de son mari et une mère fastidieuse et aimante vis-àvis de ses filles Francesca, Flora et Amanda.
Francesca : Bon assez parler de vous : j’ai une nouvelle à vous annoncer : J’ai rencontré quelqu’un. Mais pour le moment rien de sérieux vu que je ne vous l’ai pas encore présenté.
Evelina : Vraiment ? Alors comment il est ? C’est un apollon je suppose ?
Francesca : Hum … et il ne déplaît pas et il s’appelle Nickandro.
Evelina : Et qu’est-ce- qu’il fait dans la vie ce jeune homme ? Ton père et moi s’inquiétons pour toi. Je ne veux pas qu’on se joue encore de ta naïveté et qu’on te fasse souffrir.
Francesca : Je vous remercie de vous inquiéter pour moi, mais à présent je suis une grande femme. Pour le moment, on apprend à se connaître et si tout se passe bien, vous le verrez peut-être bientôt. Bon je dois y aller, j’ai des choses à faire. Répondit-elle à sa mère d’un ton froissé.
Le temps de cette visite était court que le moment était venu de se dire au revoir. Elle monta dans sa voiture pour retrouver l’étranger séduisant qui occupait son salon et son lit à coucher depuis quelques semaines.
En attendant la clef dans la serrure, il se doutait bien que c’était elle qui était de retour. Elle le trouva dans la salle de bain vêtu d’une chemise légère enfilé dans un pantalon italien. Il avait préparé une petite attention à son égard : petit dîner aux chandelles.
Francesca : Je suis rentrée, ou est-ce que tu te caches ?
Nickandro : Ha non je ne me cache pas, je suis juste là !
Francesca : Tu es beau. Dit-elle avec un sourire. Ou vas-tu donc si joliment habillé ?
Nickandro : Merci ! Je suis flatté. Je ne vais nulle part. Prend une douche et enfile ta plus belle robe : Ce soir c’est dîner aux chandelles. C’est pour me faire pardonner. J’ai été très dure tout à l’heure. Lui réplique –t-il en se tournant vers elle avec un sourire tendre et l’embrassa d’un « smak » langoureux. Elle s’exécuta et le rejoignait dans son petit salon décoré de plats exotiques et de bougies parfumées d’odeurs framboisée.
Francesca : Waouh !! C’est à mon attention tout ceci ? Je vois que tu sais t’y faire avec les femmes …
Nickandro : Oh que oui mais ça n’a rien d’extraordinaire, cependant on peut encore annuler si tu le veux ! Tu penses que tu ne le mérites pas ?
Francesca : Non ! Non ! Ça me va très bien. Je suis flattée. Je suis tellement insignifiante que personne n’a le temps de m’apporter attention. Je te remercie ! Ça me touche profondément.
Avant de s’asseoir, il se leva et lui tira la chaise :
Francesca : Quel homme ! Merci de cette délicatesse. J’avais le sentiment que ce genre d’homme n’existerait plus sur notre planète. Je pense que c’est trop pour moi : Je ne serais pas à la hauteur de ce que je pourrais t’apporter. Dit-elle en s’asseyant.
Nickandro : Je t’en prie ! Ça me fait plaisir. Ne te mets pas la pression tu sais ! Ce n’est qu’un dîner à la maison.
Nickandro : Ça été avec tes parents ? Comment ils vont ?
Francesca : Ils vont bien, je te remercie : d’ailleurs je leur ai dit que j’ai rencontré quelqu’un.
Nickandro : Ah bon ! Comment l’ont-ils pris ?
Francesca : Ma mère passe le temps à s’inquiéter pour moi pourtant je suis une déjà une grande femme mais ça va ! Rien d’alarmant. Je suis sure qu’ils vont t’adorer.
Nickandro : J’espère ! Vu comment tu parles, ça m’étonnerait. Mais bon, on n’en est pas encore là. Bon appétit chérie !
Francesca : Je te remercie. A toi aussi ! La dégustation se poursuivait mais Nickandro ne savait vraiment pas les rapports que la jeune Francesca entretenait avec sa famille : C’était quelqu’un qui avait une bonne oreille et savait écouter les gens, il savait analyser chaque situation pour voir si cela correspondait avec ce qu’il recherchait. Il venait de loin et recherchait quelque chose en particulier : Celui de trouver une famille qui saura l’accepter, le chérir et lui apporter toute l’affection qu’il n’avait jamais eue.
Il ne se limitait pas à une relation à deux, encore faudrait-il que Francesca comprenne sa problématique. C’était un homme qui a été habitué à la dureté de la vie et à qui la vie lui avait fait prendre des chemins différents. Les femmes qu’il avait l’habitude de côtoyer étaient des femmes de pouvoirs qui l’ont habitué à la facilité d’avoir une vie pleine de diamants. Toutes les actions qu’il faisait étaient d’abord pour lui, pour son intérêt et sans devoir. C’était une forme de protection de sa personne. Mais au stade où il se trouvait, il ne savait pas de quel pied danser. Il était loin du compte et se demandait comment faire. Lorsqu’il repensait à son ex petite ami qu’il a quitté pour une femme ordinaire aux yeux rempli gentillesse et d’amour.
Le dîner terminé, il se leva et mis un disque soul à jouer des années 90 en attendant le dessert à la demande de la jeune Francesca. Puis se dirigea vers son petit balcon et alluma une cigarette.
Francesca : Tu as l’air pensif, j’espère que je ne t’ai pas brusqué.
Nickandro : Non ! Au contraire, j’ai le sentiment de me sentir protégé. C’est un sentiment que j’avais perdu. Lui répondit-il en se tournant vers elle en la fixant du regard.
Il attrapa sa taille de sa main droite et la rapprocha vers son buste. Le souffle de sa respiration s’accélérait sur ce balcon d’air hivernal de – 3°. Ses lèvres tremblaient et ses dents caquetaient. Le courant d’air froid soulevait ses poils et le jeune Nickandro profita de moment de connexion pour exprimer ses désirs de fantasmes. C’était un moment intense auquel il s’était déjà fait référence dans ses sombres désirs. Ce sentiment de frustration éveillait en elle l’envie de le manger. C’était claire ! Elle avait faim. Ils étaient debout, sa jambe droite chevauchant son entre jambes ; son pantalon au contact de son collant noir trémoussait à l’intérieur de Francesca au point d’interrompre un propice majestueux.
Francesca : Tu veux qu’on rentre ? Je prends de froid.
Nickandro : Oui en effet, Je vois que tu as besoin d’être réchauffée. Répondit-il avec un sourire.
Ils entrèrent dans la pièce à vivre et se mirent à l’aise. C’était indéniable, il y’avait une attirance, c’était sure. Il y’avait comme une certaine fusion. Il l’a ressenti, elle aussi. Nickandro était stigmatiser par la fraîcheur de sa paume de main. Il caressa lentement son épaule, vers son avant -bras puis la serra la main ; il rapprocha sa bouche tout en se penchant près de son cou, avec sa forte respiration, il voulait s’appréhender de son odeur comme si c’était un trophée, comme s’il lui appartenait. Sa chair de poule et ses poils tendues et touchaient le bout de ses lèvres ; Il l’embrassa d’un baiser baveux, puis encore et encore. Je vous fais un dessin ?
Le jour levé chacun occupait ses journées d’une certaine manière. L’un attendait une réponse pour son futur emploi. Un poste qu’il devait occuper en