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"Les réflexions d’un homme positif" est né de l’observation de la stagnation des idées, du manque d’échange et de l’intolérance face à la différence. Il met en lumière un monde où ceux qui ne partagent pas les mêmes opinions sont souvent perçus comme ignorants. Cet essai invite à la réflexion, à l’ouverture d’esprit et à un dialogue constructif, prônant la possibilité de penser autrement et d’aller au-delà des stéréotypes.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Lionel Blottin, écrivain passionné par la communication et la découverte de l’autre, explore la richesse de la diversité, cette force qui génère la lumière, tout en mêlant habilement réflexion et perspectives profondes. À travers cet ouvrage, il interpelle et invite à la découverte de nouvelles façons de penser et d’être ensemble.
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Seitenzahl: 142
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Lionel Blottin
Les réflexions d’un homme positif
Essai
© Lys Bleu Éditions – Lionel Blottin
ISBN : 979-10-4226-455-0
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Villarency
Gil GAJEAN
J’ai pris plaisir à lire vos deux ouvrages écrits à l’encre du bon sens et de la bienveillance.
La fluidité des mots traduit celle d’une pensée qui s’exprime simplement avec une fraîcheur réjouissante pour le lecteur.
Des propos utiles en ces temps turbulents, où l’humanité ferait bien de revenir aux fondamentaux (dont vos livres sont les porte-paroles).
Armelle Canitrot
Journaliste critique photo
Ces réflexions sont d’ordre personnel et n’engagent que l’auteur.
Je conçois volontiers qu’il existe bien d’autres formes de réflexions que celles que je ferai évidemment, et me garde de tout jugement sur tout un chacun. L’échange est de plus en plus compliqué dans ce monde virtuel des réseaux sociaux.
Par inclination et conviction personnelle, j’ai privilégié l’écriture à tout autre mode d’expression.
En tout état de cause, je souhaite que cela soit source de débat(s) souvent très sensibles sur des faits sociétaux.
Le huit octobre 2022, je viens de terminer mon dernier chapitre.
Il me reste la vérification de l’orthographe, des répétitions inutiles, de possibles incohérences puis censurer lorsque nécessaire.
Après avoir abordé moult sujets, force est de constater que l’actualité semble me poursuivre en traitant quelques-uns (pour n’en citer qu’un seul : la pornographie à portée des enfants).
Octobre 2022, la CGT bloque les raffineries de pétrole, donc plus de ravitaillement dans les stations-service. La France est paralysée. Le gouvernement ne peut pas intervenir dans les négociations si ce n’est faire pression sur les entreprises et les syndicats.
De plus, la réquisition n’est possible qu’avec l’aval du tribunal.
Mes remerciements aux trois ou quatre personnes qui ont critiqué mon premier livre. J’en ai tenu compte et ai ainsi enchaîné sur l’écriture de ce deuxième ouvrage.
J’ai profité de ce livre pour vous présenter une partie de mes tableaux qui séparent chaque sujet (O. P Œuvre Personnelle/OC Œuvre copiée).
La logique définit les formelles que doit respecter tout raisonnement. Cela doit rester rationnel.
La logique est de fournir un moyen de répondre aux ambiguïtés.
Il faut avoir un esprit cartésien et la capacité de régler les problèmes de manière simple et efficace.
Pour désigner une démonstration purement logique, on parlera de preuve (c’est une règle générale).
La règle d’or consiste en une action, une attitude, qui repose sur une logique de réciprocité et d’équivalence entre des individus.
Un exemple type de la règle d’or : ne pas faire à autrui ce que l’on détesterait que l’on nous fasse.
La règle générale est un principe fixé par la loi ou les coutumes.
La règle générale est un principe dans le déroulement normal des choses quand il n’y a pas d’exception.
Je dois dire que ce qui est logique pour moi ne l’est pas systématiquement pour mon voisin.
J’aimerais faire comprendre mon étonnement de voir le comportement de certaines personnes en ayant observé leur propre fonctionnement.
Je m’en explique : il n’est pas rare d’entendre une personne critiquer de façon systématique le comportement de ses voisins, ses amis, ses partenaires de travail ou de sport.
Par exemple, on vous dira que vous n’êtes pas organisé, que vous manquez de courage, de persévérance, d’ambition, on pointera votre radinerie et votre tendance à l’alcoolémie et la liste est loin d’être exhaustive bien sûr… Certaines personnes ne s’expriment qu’en fonction de la présupposée situation (financière, morale ou culturelle) de la personne à qui elles s’adressent.
C’est, à mon sens, la plus regrettable faiblesse chez certains individus – hommes ou femmes.
À cet égard, la logique féminine et masculine semble avoir leurs propres spécificités que vous me réserverez de développer plus tard.
Revenons pour l’instant sur la logique globale, générale.
Quelle aberration de voir et écouter une personne « bien dans sa peau », bénéficiant d’une stabilité professionnelle et sentimentale, humilier, profiter d’un état de faiblesse d’autrui, agresser et avilir ce dernier. Un tel donneur de leçons ne pourra être qu’injuste ne pensant vraiment pas à ses propres défauts ni au mal profond que ses propos négatifs provoquent.
Si cette personne se mettait dans la peau de celle qu’elle agresse et donc imaginait un renversement des rôles, nul doute qu’elle changerait d’attitude.
Dans l’ensemble, on manque beaucoup d’humilité. La jalousie, la perfidie l’emportent. On ne peut que regretter cet état de fait.
Il serait plus simple, au préalable, de s’autoanalyser pour mieux comprendre qu’une agression verbale peut blesser autrui plus profondément que des coups.
Logique du racisme
On peut noter que le problème du racisme (lié à l’intolérance) procède souvent d’un manque de logique avec soi-même.
Pour ne prendre qu’un exemple : vous avez une altercation ou tout autre problème avec un étranger, immédiatement c’est la communauté de ce dernier qui est en cause. Puis c’est l’emballement collectif. Mauvaise direction !
Si des problèmes ont lieu à fréquence répétée – par exemple dans des banlieues – il semblerait pertinent d’en vouloir à une certaine communauté (peu importe l’origine).
La justice n’est pas rendue de la même manière selon votre appartenance.
On peut faire prévaloir la règle générale.
Un fort sentiment d’insécurité et de lassitude perturbe les habitants de ces banlieues, des affrontements verbaux sous forme d’injures sont devenus monnaie courante.
Il convient donc de garder son sang-froid, ne pas surréagir et ainsi prendre son temps afin de ne pas faire porter de néfastes conséquences sur des personnes qui n’y sont visiblement pour rien.
Toute personne a son seuil de tolérance. Le respect mutuel est donc primordial pour parvenir à une paix durable.
Logique juive
Le peuple juif a la réputation de diriger le monde des affaires et des finances. Chez certains cela engendre de l’hostilité à leur endroit. Le peuple juif est solidaire. Les juifs ont un sens profond de la famille, de leur communauté. Cela illustre particulièrement l’affirmation que l’union fait la force. Nous manquons sans doute de logique. En effet, quelles sont les raisons qui nous empêchent d’adopter l’esprit de communauté propre aux juifs ?
Pour ce faire, oublions notre égoïsme et constituons des groupes soit sous l’aspect financier ou sous forme d’aides diverses et multiples.
Réunissez six de vos amis, d’un commun accord, vous décidez en connaissance de cause d’une somme à atteindre qui sera alimentée mensuellement. Rapidement vous serez à la tête d’un certain capital qui vous permettra par exemple à monter une affaire à aider à l’acquisition de biens immobiliers, etc., etc.
Vous aidez un(e) de vos ami(e)s à faire face à un problème ponctuel, et réciproquement chacun des 6 amis se fera aider au moment adéquat lorsque nécessaire.
Donc, cessons d’en vouloir à des personnes ou des communautés qui réussissent. Il suffit d’appliquer ce principe d’esprit communautaire, tout simplement. Il faut un groupe très solidaire pour réussir, particulièrement dans une période de crise économique.
Partant des responsabilités professionnelles je me sens obligé de vous parler du chef d’entreprise, nous sommes là en pleine règle générale. Ce chef d’entreprise doit dépenser une énergie exceptionnelle, tant pour traiter ses marchés que pour régler l’aspect financier, la qualité du travail ainsi que le rendement tout en gérant l’aspect social. Ce même chef d’entreprise, souvent incompris, contesté par une majorité alors que sans son intervention et sa gestion il serait très difficile d’avoir une économie dynamique et progressiste.
Le chef d’entreprise sera la façade extérieure, adulé s’il mène à bien ses projets – suscitant aussi de la jalousie – et si, d’aventure il se confronte à un échec, ces mêmes personnes qui le soutenaient peuvent alors faire preuve de lâcheté et le déstabiliser, lui faire perdre confiance.
Ses qualités d’hier sont transformées et deviennent ses défauts d’aujourd’hui. L’inverse est également possible.
La logique voudrait qu’un chef d’entreprise soit respecté et non vilipendé même et surtout.
S’il traverse une période ardue.
À partir du moment où le chef d’entreprise est respectueux des lois – et donc respectable –, il se confronte aux difficultés des marchés qui ne laissent pas toujours le choix, la notion de respect devrait prévaloir sur toute autre considération.
Les lois et les contraintes du dirigeant d’entreprise ne sont pas toujours au diapason pour ce qui est de ses responsabilités quant à l’emploi et l’économie. Le gouvernement ne laisse pas le choix !
L’entreprise doit vivre ou survivre. Laisser mourir une entreprise est toujours une décision difficile à prendre. En règle générale il y a toujours une solution si toutes les parties y mettent du leur. En ce sens, me vient toujours à l’esprit le dicton : Pas de Social sans Capital. Fondamental.
En effet, je ne vois pas du tout comment on pourrait faire fonctionner un système social sans un dynamisme du chef d’entreprise qui met tout en œuvre pour acquérir du capital et le redistribuer le plus équitablement possible, en d’autres termes, en tenant compte des compétences, du dévouement et du courage des uns et des autres. Sinon rien ne peut fonctionner d’une façon démocratique.
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La jeune génération subit les nouveaux maux de la société et qui ont pour nom : la surconsommation, l’indiscipline et l’individualisme. D’enfants, ils passent bien vite à l’âge adulte ne faisant qu’effleurer l’adolescence au passage.
Ils sont souvent désabusés et malmenés par les crises, touchés notamment par les gilets jaunes, la pandémie, la crise en Ukraine. …
Beaucoup modifient leurs projets professionnels. Ils se sentent incompris par leurs aînés. Les jeunes sont ceux qui passent le plus de temps sur leur smartphone. (4 heures par jour en moyenne.) Bref, une génération enfermée dans sa bulle numérique. À leurs yeux la valeur de collaboration dans le travail est primordiale. Ils n’ont pas de plan de carrière et vont vers les offres les plus alléchantes.
Ils sont désabusés, mais toujours engagés. Ils attachent plus d’importance à l’éthique, au bien-être animal et aux droits humains.
Ils veulent la lumière tout de suite et sans effort.
Les jeunes n’aiment pas la hiérarchie pour la hiérarchie : le responsable doit valider sa légitimité sur sa compétence de manager et de leader.
Leurs emplois (en dépit du salaire) doivent leur permettre d’élargir leurs connaissances et leurs compétences.
Ils ont un tempérament grégaire, c’est-à-dire qu’ils fonctionnent ensemble. Il semble difficile de les individualiser.
Quels sont les rapports avec leurs parents, leurs ambitions et leurs défauts ?
Beaucoup de parents élèvent leurs enfants comme des princes (Enfant Roi).
Malheureusement un constat s’impose : la perte d’autorité parentale et un non-respect notoire.
Confrontés à l’adolescence, les parents perdent souvent le contrôle. Indispensable au maintien de la motivation, à la soif d’apprendre toute sa vie durant.
Il serait souhaitable que notre jeunesse apprécie à sa juste valeur la chance ou le privilège de pouvoir étudier gratuitement dans leur propre pays. La France et l’Allemagne étant les seuls pays d’Europe à offrir une scolarité gratuite.
C’est un vrai privilège d’avoir accès au savoir. Ceux qui nous ont précédés l’ont obtenu de haute lutte. Des générations de politiques ont failli dans leur mission, n’ont pas su montrer l’exemple, donner de vraies pistes d’information, donner de vrais moyens.
Le savoir-vivre, l’élégance et le sens de l’effort cèdent la place à la vulgarité, l’agressivité et la médiocrité intellectuelle.
Fort malheureusement, les parents eux – mêmes se trouvent souvent dans un état de désespérance, voire de dépression et donc ne réagissent plus. Le seul espoir pour espérer s’en sortir (sur le plan professionnel et personnel) est de s’appuyer sur des mesures gouvernementales. Bien sûr il s’agit d’assistanat permanent spécifique à notre pays. On se voile la face pour ne pas accepter cet état de fait.
En tout état de cause, les parents n’arment pas leurs enfants pour affronter la vie actuelle.
Considérant l’aide apportée aux jeunes de 17 ans à 25 ans – un nouveau RSA, en étude actuellement, valable sans doute pendant la COVID 19 ne devrait pas perdurer.
Le président actuel suggère de travailler 14 heures par semaine pour compenser cette aide ; une obligation bien compréhensible que personne ne devrait contester. Les syndicats opposent l’argument du libre choix de ces jeunes qui ne disposent pas d’assez de temps pour rechercher un emploi.
Un politicien est allé jusqu’à proposer ne pas faire payer les impôts sur le revenu avant l’âge minimum de 30 ans.
Mais où va se nicher l’inconscience ? De qui se moque-t-on ?
Que deviennent le sens du terme républicain et la notion de participation ?
Nos infrastructures (hôpitaux, écoles, la sécurité…) ont besoin de la participation du plus grand nombre.
À partir du moment où une réglementation se met en place, quelle qu’elle soit (RSA par exemple), il sera difficile de revenir en arrière : les concitoyens, les syndicats s’y opposeront.
Une nouvelle assistance pour les jeunes sera sans doute mise en place.
De ce fait, on l’habituera à encore plus de dépendance de l’état.
Une mesure transitoire et répétée sera considérée comme définitivement acquise.
Il importe d’être de bon conseil auprès d’un enfant, dans sa vie professionnelle, voire sentimentale. Il ne faut surtout pas briser ses rêves.
Il lui faudra passer par ses propres expériences, positives et négatives.
On parle de plus en plus du contrôle continu en milieu scolaire. Il me semble que c’est une bonne solution pour l’avenir de nos étudiants. Il me paraît plus juste d’évaluer les savoirs d’un élève sur toute l’année scolaire et non pas sur quelques journées d’épreuves. Le stress causé par les examens peut être néfaste, car ne pas être représentatif du niveau réel de l’apprenant.
Néanmoins, on pourrait peut-être concevoir une évaluation sur l’année qui porterait sur la maîtrise de soi, la spontanéité ? En d’autres termes, acquérir une méthode pour contrôler son stress, car l’école de la vie, c’est aussi cela.
J’ai remarqué, comme tout un chacun, que le taux de réussite au bac peut être très élevé (95 %).
Les exigences de niveau à l’université imposeraient une présélection plus rigoureuse afin de permettre à la majorité des étudiants de mieux suivre les cours. Le climat universitaire y gagnerait en évitant ainsi la démotivation de trop nombreux étudiants.
Cette lucidité devrait déboucher sur une sélection plus rigoureuse à l’entrée de l’université, sans doute, car un étudiant en grande difficulté finira par choisir un autre circuit que celui dans lequel il s’est hélas fourvoyé.
Je fais partie des grands-parents depuis nombre d’années et je constate que mon attitude vis-à-vis de mes petits-enfants est différente de celle que j’avais face à mes propres enfants. Je suis plus patient, plus tolérant. Peut-on parler de sagesse relative acquise au fil des ans ?
Je suis un homme de 70 ans et mes rapports avec mes petits enfants passent par la transmission de mes propres expériences, quand bien même leurs propres parents peuvent ne pas toujours être d’accord d’ailleurs.
Pourquoi en est-il ainsi ? Tout simplement parce que j’aspire à aider mes petits enfants en leur parlant de mes erreurs de parcours afin qu’ils soient vigilants dans leur vie future. Oh ! bien sûr ils pourront n’en faire qu’à leur tête, mais je veux croire qu’il en restera quelque chose malgré tout !
Actuellement, dans certaines villes, de plus en plus de rodéos sauvages constituent une nuisance pour les riverains, sont source d’insécurité, à la fois pour leurs auteurs et toute personne croisant leur route au mauvais moment.
Force est de constater que le gouvernement semble impuissant à résoudre au mieux ce problème. On peut légitimement se poser la question de savoir si la police se sent suffisamment soutenue par ceux qui nous gouvernent ou par nos concitoyens souvent prompts tant à la critique qu’à l’encensement.
Quand bien même des mesures sont prises, que la police agit, on peut se demander quelle en est l’efficacité lorsque les tribunaux remettent trop vite les jeunes délinquants en liberté. On comprend alors l’exaspération de la police et des citoyens. Une répression plus sévère, plus organisée, s’imposerait.
Des groupes de jeunes vont jusqu’à l’agression en réunion ayant souvent pour cible les anciens, des personnes faibles souvent isolées.
Les valeurs de base semblent peu importer. Peut-on incriminer, en partie, entre autres facteurs, une démission parentale ? Il semble que oui.
Difficile de comprendre l’indulgence coupable de certains parents qui cèdent, par exemple aux demandes de leurs enfants, de n’acheter que objets de marque (vêtements, un smartphone, un scooter et la liste serait longue).
Notons que fort souvent ces mêmes parents n’ont pas vraiment les ressources suffisantes, ce qui est souvent source de conflits au sein d’une cellule familiale. Ne peut-on être élégant sans porter de marque !?