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Fulgurances :ce titre fait référence à l'occurrence du poème. C'st parfois la survenue soudaine d'une musique dodécasyllabique,ailleurs c'est la chute d'une feuille d'automne ou le sentiment éclatant d'aimer, des souvenirs qui surgissent... Telle est l'inspiration poétique,soudaine,en éclair,vive et fragile. Elle impose l'écriture immédiate sous peine d'oubli ,d'obsolescence. Le premier vers est chargé de cette émotion et il contient en lui l'ADN du poème. Dés qu'il s'impose à moi je sais que les vers, les strophes vont se succéder comme l'encre d'une aquarelle sur le papier. Quand le message arrive à son terme c'est une évidence comme la dernière note d'une composition musicale.
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Seitenzahl: 26
Veröffentlichungsjahr: 2021
Quatrième dimension
Éclaircie
Peut-être, Peut-être
Aimer
Pluie,vents,nuages
Orchestre du point du jour
Fantasmagorie des rêves
Aux quatre points cardinaux
Rêve d’orage et de pluie
Joie de vivre
Intemporalité
Anniversaire
Monologue
Eaux amoureuses
Un rêve singulier
Impossibilité de vivre
Novembre
Le clair-obscur
L’aurore paraissait…
Rêveries méditerranéennes
Séduction féminine
Un air de saxo
Où sont-ils
Éclats d’aurore
Passé empiétant
Alter ego
Naissance d’un poème
Magie d’un instant
Rêve idyllique
Symbiose
Vibrations des âmes
Tu es ici et là .
Tes baisers sont pour moi des parures diamantées
Et leurs éclats ornent l’autel de notre amour
Sur lequel repose l’écrin de tes atours
Qui inondent les sentes de ma psyché.
Au soleil zénithal ou dans la pénombre
Tes yeux d’agate éveillent des rêves sans nombre
Les couturiers de la nuit t’ont vêtue de brume
C’est alors que mon âme en toi se parfume.
Quand j’unis mes pensées à l’or du crépuscule
Lorsque tu te mêles au vermeil de l’aurore
Mon ciel est troublé de mystérieux météores
Mes rêveries éveillées me tiennent en leur férule.
Il est des heures où s’épousent le rêve et le réel
Ce sont celles où s’amassent en mon escarcelle
Les images de ta beauté et de ta voix veloutée
Qui caracolent en farandole dans ma pensée.
C’est comme une symphonie silencieuse
Qui ,peu à peu, libère ses arpèges envoûtants
Étoilés de rêveries dans un monde flottant
Une irruption dans une quatrième dimension.
Quand je ne t’entends plus le temps est glacial,
Les septentrions se saisissent de moi,
Mon ciel s’obscurcit, je ne vis plus sans toi,
Ma vie perd sa fantaisie, elle devient martiale.
Un paysage désertique s’offre à moi
Dans les dunes ocres ne surgit point d’oasis,
Le vide abyssal se dresse comme l’effroi,
Des ombres hiératiques, en moi, se glissent.
Pourtant il suffit que ta tessiture s’offre à moi
Pour que l’inlandsis devienne un feu de joie
Une flûte traversière s’unit au violoncelle ,
Dans les sentiers les elfes dansent une tarentelle.
Les paysages idylliques ont chassé la tristesse
Ils se sont vêtus d’argent et de vermeil
Les fleurs ont ouvert leur corolles au soleil
Je songe à tes baisers au goût de groseille.
Peut-être… un mot plein de mystère
Qui suscite l’espoir ou crée l’illusion
Un belvédère de rêve ,un coin de terre
Où poussent les fruits de l’imagination.
J’aime cette brume, ce champ des possibles
Cette réponse à mes questionnements me plaît
Le oui et le non font naître l’indicible
L’incertitude boit l’amour à grand trait.
Naissance des rêves éveillés et de l’espoir
Point de fuite d’un tableau imaginaire
Qui met en scène l’orage qui semble choir
L’équilibre instable des contraintes font la paire.
Virtuosité du charme féminin
La mimique est précieuse, indéchiffrable
L’œil matois et le sourire coquin,
Elle s’amuse du soupirant affable.
Parfois annonce de délices idylliques ,
Ailleurs prémices d’une séduction avortée,
Une parole de trop c’est l’échec annoncé