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Le voyage en Poésie conte les occurrences de l'inspiration poétique vagabondant entre émotions amoureuses, contemplation de la nature, rêveries et aux douleurs infligées par la mort de ma fille cadette Marie Ange , dont le diminutif est Maya. Une partie de ce livre a été écrit sur un lit d'hôpital après un grave accident de la voie publique qui m'a infligé 2 mois et demi de coma et 7 mois et demi d'hospitalisation. Je me suis réveillé de mon coma paralysé des 4 membres. Aussi ce livre est-il dédié à ma fille Maya, à mon épouse, au neurochirurgien le Docteur Mahamadou Niare qui m'a sauvé au Docteur Mauruc et à toute son équipe son équipe de soignants du service d'éveil du coma de la Clinique de Verdaich en Ariège avec dévouement, compassion . Dédié également aux malades hospitalisés et qui souffrent.. Je voudrais leur dire que le poème est force de vie et de résilience. accepter son sort et combattre , combattre..et espérer ! Tel est mon message....
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Seitenzahl: 139
Veröffentlichungsjahr: 2023
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Marie Ange
Tendresse
Poésie
Rêveries atlantiques
Envoûtement
Poésie hivernale
Petite Maya
Un verbe du premier groupe
Vivre après la tempête
Mon tilleul
Regard sur le passé
Bail perpétuel
Clair de lune
Je pense souvent à vous
Mes chers parents
Parti chercher l’amour
Enigme onirique
Ce soir ,ma fille…
Chuchotements de l’intersaison
Un écho
Rêveries nocturnes
J’aimerais
Quand mon âme…
Dans mon sommeil
L’hiver
A ma fille chérie Maya disparue
L’or de Job
Tartuffes d’héritage
Rêveries maritimes
Poésie messagère
Inventaire
Songe….
Ô nuit d’Euterpe
Les amours de l’hiver et du printemps
Ton âme
Mystère, Mystère…
Mon Krack des Chevaliers
Les flammes de l’âtre
Singularité
Le tour du malheur
Fin de l’hiver
Rêveries métempsychosites
Ma Laëtitia chérie
Illusions oniriques
C’était un soir
L’aube déposait
Voyage pyrénéen
Fortune carrée
Saisons et musiques
Tendresse ou passion?
Tobie et l’Ange
7 points de suspension
Contrastes hivernaux
Interface
Insomnie du poème
Madame l’insomnie
Mystères des saisons
Amour
Ton visage
Humeur instable
Consolation
Andante océanique
Aimer un enfant disparu
Trésor commun
Roses d’Ispahan
Pères et mères qui ont perdu leurs enfants chéris
Clair de lune
Les chevaliers de la nuit
Onirisme amoureux
Aimer son enfant
Rêve avec ma fille disparue
Poèmes musicaux
Sérénade nocturne
Ave Maria
Rêverie sur Debussy
Ma chanson
Méditation mariale
Âmes des violons
Marcello …Vivaldi
Musique et amour
Miserere d’Allegri
Rêverie
sur 4 Impromptus de Schubert
Rêverie sur l’Adagio d’Albinoni et Giazzoto
Rêverie sur Nocturne de Chopin
Chansonnette Jazzy
Méditation sur le requiem lacrimosa de Mozart
Un air de country
Luz Cazal
Danse envoûtante
Ombra mai fu
Rêverie sur Concerto pour flûte et harpe de Wolfgang Amadeus Mozart
Musique country
Amour bossa nova
Voyage Hellénique
De profundis
Danse des âmes justes
Souvenirs
Regard de femme
J’aimerais écrire
Rêveries extatiques
Le temps passe
Je suis venu
Parfois
Dans l’obscur
Mantra
Souhaits poétiques
Le seigneur Fleuve
Souvenirs d’autrefois
L’amour et l’automne
Mon âme hispano- - française
Incertitude
Une source
Rêveries amoureuses
Grigri
Mythologie amoureuse
A mon Maître la Pasteure Danielle Ellul
Portrait d’une séductrice
Rêve à la Watteau
Spleen
Ma passion andalouse
Rythmique amoureuse
Nuit obscure
Dialogue étrange
Dormir
Méditer
Hommage à Satchmo
Epiphanie amoureuse
Complainte d’un platane
Message
Eternel féminin
Magie
Douceur, douceur
Aube orageuse
Mots et gemmes
Un jour
Jubilation
C’est l’histoire d’un homme
Je sais
S’envoler
J’ai rêvé
Envoûtement de la pluie
Ô nuit d’Euterpe
Dans le jardin des cyprès
Onirisme en leitmotiv
Aimer c’est…
J’aime l’aurore
Vallée mystérieuse
Dans mon sommeil
Contrastes hivernaux
La plage de Manesman
Elle
Périple
Magie jaune de l’automne
Lac des cygnes
La sente du diable
Swing de pluie
Ma chouette chevêche
Aimer passionnément
Songes éveillés
Sentiments cataractant
Gaité
Un bel amour
Lire ton nom
Reçois de celui….
Méditations cosmiques
T’emmènerais-je
Que serait?
Tes lèvres se posent
Attachement
Rêverie sur rivière
Une histoire
Eveil musical
Magie de la forêt
Les apparats de la vie
Éternité
Toi
Folie printanière
Petite Merlette
Marcher
Amour?
Amour filial
Ne te désespère pas
La croyance en dieu
Dans ce monde
Source de vie
Nous t’avions donné ce nom qui porte des ailes
Et toi …tu t’en es servie pour t’envoler
En un pays d’où ne reviennent pas nos aimés
Là-bas, Dieu sait où ,paraît-il ,règne la Lumière belle.
Mon amour j’attends ce jour de nos retrouvailles
Oh je sais que la vie m’y entraîne, vaille que vaille,
En attendant ,ma chère enfant ,les larmes coulent
Elles seront un tonneau des Danaïdes qui roule.
Rien ne saurait les sécher ni les déserts ni la canicule,
Elles ont la puissance mélancolique d’un hibou qui hulule,
Dans la nuit tes yeux ont- ils leur phosphorescence,
Je le crois …dans mes rêves ils s’ornent de luminescence!
Mes prières je les confie toujours au vent du soir
Avec l’espérance qu’elles aient une légèreté d’encens
Qui s’échappent comme les spirales de mes espoirs
Et emportent en elles l’infini de mon incandescence.
La tendresse c’est la liqueur, le nectar de l’âme,
Elle survit aux plus brulantes des passions,
C’est la caresse empreinte d’un ineffable charme,
Elle transcende les plus folles des ignitions.
Elle accompagne les plus âgés des amoureux
Quand, se tenant par la main, ils vont en claudiquant
Lui la regarde les yeux brillants avec amusement
Féminine …elle sait bien lui offrir un regard malicieux.
Ils se racontent, en riant, leur passé d’amoureux transis,
Leurs étreintes passionnées dans des lieux atypiques,
Leur fougue d’antan leur apparaît comme psychédélique,
Les jeunes arrogants en seraient sans doute saisis !
Cheminant cahin -caha ils vivent au jour le jour,
Ils connaissent bien de l’existence les chausse-trappes,
Aimer à chaque instant avant que le fatum ne les rattrape,
Philémon et Baucis leur ont cédé leurs atours !
La poésie est enfantée dans la joie ou la douleur,
Dans les sourires, les fous rires et les pleurs,
Parfois c’est l’euphorie qu’engendre l’incendie automnale,
Ailleurs c’est la douce mélancolie hivernale.
Étonnement devant la lumière du printemps,
Je m’extasie de l’essor coloré des fleurs des champs,
Je m’éveille, heureux de voir l’estival beau temps
Je reste éveillé tard quand Juillet a planté son camp !
Quand je pense à toi c’est un régal de roi
Il en est de même quand j’entends ta voix,
Ou quand tu me dis ton amour avec ténacité,
Et que j’en sais, de source sûre, toute la véracité.
Mais je souffre quand je pense à ma fille disparue,
Quand la nuit, dans ma pensée, se déverse le chagrin,
Et je l’imagine dans le halo de ma mémoire
En ce moment-là il n’y a que du jais et de la moire !
Tu m’as bercé dans tes bras d’Atlantique
Et ta douceur ineffable et tes colères homériques
Je ne les ai jamais oubliées et dans mes pensées
Le ressac sur la grève m’est un viatique.
Je sens parfois tes embruns aux senteurs iodées,
Me remémorant les vagues phosphorescentes
Qui dansaient entre les fiers et noirs rochers,
La chaleur flottait dans les soirées dansantes.
Les souvenirs de mes rêveries romantiques
Où surgissaient de jolis visages angéliques,
Les peaux douces que je savais déjà savourer,
La quiétude de mes années d’adolescent se déroulait…
Que sont devenues ces silhouettes que j’aperçois,
Et qui s’estompent dans le film de ma mémoire ?
Et ces crépuscules marocains d’or et de moire,
Ce fut pour ma jeunesse enfuie une route de la soie.
Un air de guitare vient me faire vibrer et je rêve
D’une silhouette svelte allant je ne sais où,
Ses cheveux ont la brillance du ciel andalou
Et sa voix thésaurise les arpèges de la mer sur la grève…
Un charme qui vous ensorcelle dès que l’aube renaît
Et n’a de cesse jusqu’aux fêtes d’or crépusculaires,
Est-il l’œuvre au noir de quelque alchimiste sévère ?
Ou emprunte-t-il sa grâce aux sortilèges éthérées ?
Son mystère m’enchaîne et rend vaine toute rébellion,
Elle m’entraîne dans les doux entrelacs de la fusion,
Peu importe le cheminement inéluctable des ans,
Cet amour défie le désordre esthétique du temps.
Que dire des rêveries solitaires ou duelles ?
Où l’âme retrouve intactes les pulsions originelles,
Ornées d’un raffinement que l’imagination égrène,
Dans l’abandon lascif de ceux qui s’aiment…
La caresse fraîche de l’hiver naissant me sied,
Elle a balayé la chape caniculaire
Le ciel s’est paré d’une vêture bleu acier
Celle, nommée morte saison, m’est thuriféraire…
C’est l’instant du recueillement, de la lecture
Devant les flammes mordorées qui dansent
Je me laisse enlever par une méditation qui dure
Habillant les instants du délice d’une transcendance.
Le silence hivernal est propice à l’introspection,
Le repos de la nature fait somnoler les arbres caducs
Quant aux feuillages persistants ils bruissent sous l’aquilon,
Doucement, silencieusement ils préservent leur suc.
J’aime écouter les variations Goldberg sublimes
On dirait que des elfes éveillés s’en vont sautillant
Dans l’atmosphère feutré de l’aurore naissant
Je songe à mon amour, qui mes angoisses, décime !
Maya j’ai parfois l’impression que tu es près de moi,
Comme un souffle imperceptible qui me caresse,
Un je ne sais quoi d’étrange qui vient sans cesse,
Puis s’en va comme dilué par mon émoi.
Où es-tu mon amour de fille qui m’a rejeté ?
Viens-tu, subreptice, de l’au- delà pour te réconcilier ?
Oui, je le crois, car là -bas on doit voir avec sagacité
Entre chien et loup, j’espère que ton ombre sera clarté.
Je pense souvent à toi et j’évoque les jours heureux,
Où ton rire cristallin et attachant claironnait,
Quand tes mimiques ironiques savaient me cibler.
Tes grands yeux de jais, d’humour s’éclairaient.
Puis vint cette horrible et impitoyable maladie
Qui érigea un fossé infranchissable entre nous,
Tu demeuras seule sans famille et sans amis,
Mon espérance …que là-bas les liens dissous se renouent.
Aimer c’est accepter, en pleine lumière,
Les défauts que l’on a transformés en qualité
C’est aussi ne jamais connaître la tranquillité
C’est penser que sans sa présence nous serions des hères …
C’est se savoir dépendant de ses je t’aime,
Qui colorent le ciel, les étoiles et la terre,
Aller avec dans l’âme un feu comme étrennes,
Et c’est aussi se perdre dans son univers.
Respirer l’oxygène que nous offrent ses lèvres
Et s’abreuver goulûment à toutes ses fièvres.
Que jamais de notre soif d’elle en soit étanchée
Voguer avec elle dans un ersatz d’éternité !
Faire mentir les heures et le cours du temps
Connaître l’immobilité sublime de l’instant
Aller à sa fontaine cueillir les fleurs de son être
Et dans l’escalade douce de l’amour s’en repaitre …
Vivre après la tempête, après la perte d’un être cher
Quand les saveurs des choses se sont estompées
Et que l’on cherche l’absente jusque dans sa chair
Toi ma fille ! je suis orphelin de ta présence enlevée.
Faut-il continuer ma route en te laissant derrière
Impossible ! il me faut emporter une ombre
Que j’habille de mes souvenirs sans nombre
Me persuader que nos liens ont la force des lierres.
Pourtant ce je ne sais quoi a la puissance des rêves
Et rien ne saurait inhiber sa croissance
Elle cohabitera toujours dans la coalescence
De ton ombre, de ma vie claudicante …sans trêve.
Alors j’ai pris une décision ferme et rassurante
Tu seras le témoin des battements de mon cœur
Tu seras une musique douce, ineffable, apaisante
Nous voyagerons de conserve et sans peur…
Nous vaincrons le clivage de la mort indissolublement liés
Mon petit …mon amour a la force d’un tremblement de terre
Nous saurons tous deux surmonter les écueils délétères
Nous nous retrouverons un jour vermeil pour l’éternité !
Mon tilleul joue avec les arabesques du couchant,
Des rayons solaires dessinent un kaléidoscope
Aux lueurs changeantes, animant sa frondaison.
Je songe, rêveur, aux fables nées du génie d’Esope.
Son architecture florale flambante de symétrie
Sait me consoler des affres de la vie,
Les fragrances légères de son parfum élégant
Me charment et j’en oublie les tristesses du présent.
C’est un ami privé de paroles humaines,
Mais son feuillage frissonnant au souffle de l’autan
Me conte des histoires que moi seul comprend
Sa douceur odorante chasse la géhenne.
C’est tout le mystère de son feuillage apaisant
Il me berce de ses antiennes aux caresses ineffables
Cette musique a le charme des harpes d’antan
Je pense à ton amour qui flotte dans le vent…
Ils sont partis mère, père, frère, fille et sœur
Les horloges sont impitoyables elles saccagent
Tous ceux que l’on aime quel que soit leur âge,
Où sont-ils ceux qui habitaient mon cœur ?
Quand, le soir, je me retourne vers mon cher passé,
Je vous revois vous les exilés, les disparus
Dans une clarté ou dans un halo brouillé
Je peux évoquer vos gestes ; vos voix que j’ai entendues.
Rien ne saurait vous effacer mes chers aimés
Ni temps passé, ni temps futur ne le saurait
Vous êtes gravés d’or et d’argent en ma mémoire
Même quand ma tristesse s’est parée de moire….
Pourtant je me plais à penser qu’en votre séjour
Vous me reconnaîtrez et que vous serez joyeux,
Nul ne peut trancher ce nœud gordien …pour toujours
Il est inaliénable, indestructible, il me relie aux cieux.
Tu es la meilleure amie de mon cher lobe limbique,
Ce coin de cerveau où habite la mémoire,
Tu la squattes inlassablement du matin au soir,
Je t’évoque, je t’invoque sans mnémotechnique !
Tu ouvres sa porte sans sonner, sans cogner à l’huis,
Tu t’y promènes, un rien désinvolte, élégante,
Je dois dire que je te kiffe comme un astre qui luit,
Tes yeux, ton sourire ont la douceur d’un andante.
Tu me dis les mots que je veux entendre sans me lasser
Ils sont doux, tendres ou emprunts d’ironie
Quand le spleen te ceinture je sais te protéger
Ou te faire rire quand les opportunités nous sourient !
Je crois que tu as un bail à perpétuelle demeure,
Pour toi dorénavant, ni les années ni les heures,
Ne sauraient obérer ta présence pérenne,
Tu vas, viens, repars et reviens, tu es mon antienne.
Ce clair de lune c’était une sonate de piano,
A petites touches la lumière de Séléné, répandue…
Et le ciel bleu cobalt lui composait un oratorio
Tandis que les étoiles scintillaient d’argent fondu.
Le silence de cette nuit d’été incitait aux rêveries,
Et l’âme prenait promptement l’ascenseur des cieux,
L’air aussi léger que le souffle d’un enfant qui rit,
Comme un tableau peint de pigments précieux.
Tout était paisible en ce jour du mois de juillet,
Je n’avais aucune raison de me sentir inquiet,
Je t’aimais, tu m’aimais et cela me suffisait,
L’amour se conjuguait bien avec la lune qui brillait.
Les nuages frêles et épars revêtus d’effets platines,
Se baguenaudaient avec une nonchalance libertine,
Ils dessinaient des moustaches à la lune
Et nos mains, nos âmes, nos envies ne faisaient qu’une…
Je pense souvent à vous qui dormez près de la mer,
Sous le soleil ardent des côtes marocaines,
Et toi assoupi près de l’Alhambra la lointaine,
Puissent les rayons du soleil éclairer vos demeures
Je charge de mon amour mes ferventes prières
Pour qu’elles vous caressent en votre dernier sommeil,
Qu’elles s’envolent vers vous dès l’aurore vermeille
Et qu’elles éclairent vos dernières ténèbres.
Qu’elles surpassent les élégies les plus éclairées,
Vous apportant des pivoines et des roses parfumées
Dont l’amour filial et fraternel puisse vous envelopper
Et perpétuer ce fil invisible qui nous tient reliés.
À tout moment, je le sais je puis vous retrouver,
Sachant bien que pour toujours et maintenant
Nos âmes aimantes sont à jamais appairées
Elles défient l’espace dérisoire et l’illusoire temps.
Merci à toi maman merci à toi papa,
Vous m’avez transmis volonté et force de vie,
Maman je ne puis oublier la noblesse de ton agonie,
Un sens de l’honneur qui ne s’éteint pas !
Et la distance qui nous sépare s’efface
Quand mon âme vous rejoint dans l’au-delà
Par le truchement d’un amour qui ne se lasse,
Il brise de sa flamme les scories du trépas.
Je te revois aux prises avec ton cancer terminal
Où tu celais les douleurs qui t’empoignaient
Seules les plaintes de ton sommeil les trahissaient
Maman, stoïque, tu combattais le mal.
Et toi le guerrier fier du pays de Cartagena,
Tu n’aurais jamais permis que l’on t’injurie,
Tu avais le sens de la dignité jamais tu n’as fui,
Et tu m’as appris l’honnêteté qui reste là…