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Sous la plume délicieusement audacieuse d’Eva Rossi, chaque page devient un écrin de sensualité. Cette collection de récits contemporains explore le désir dans ce qu’il a de plus trouble, de plus sincère et de plus enivrant. Amour conjugal, jeux de pouvoir, plaisirs interdits : dans une France quotidienne et reconnaissable, des femmes s’éveillent, s’affirment, se perdent et se retrouvent dans l’intimité brûlante de leurs secrets. Dans Les Aventures de ma Femme, Sylvie mène une vie apparemment ordinaire. Mariée, posée, attentive aux détails du quotidien… jusqu’au jour où un simple coup de sonnette fait basculer sa routine. Son patron, inattendu, impose sa loi, et son mari, témoin silencieux, devient complice malgré lui d’un scénario où pudeur et abandon ne font plus qu’un. « Je me suis avancée lentement, le souffle court. Sous leurs regards conjoints, je sentais ma peau s’enflammer. Ma robe glissa sur le sol, et j’ai compris que je venais d’entrer dans un monde dont je ne reviendrais plus tout à fait. » Chaque histoire d’Eva Rossi est une invitation à franchir le seuil — celui du fantasme, du plaisir, du vertige. Un parfum de soumission, une caresse d’interdit, et la promesse d’un frisson qui vous suit longtemps… très longtemps.
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Seitenzahl: 95
Veröffentlichungsjahr: 2025
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Les Aventures de ma Femme
Histoires Erotiques de Sexe Explicite Hard pour Adultes - Contes Interdites et Taboues
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
Camille au XIVe siècle
Premier jour
Deuxième jour
Troisième jour
Quatrième jour
Les aventures de ma femme, par Titan
Chapitre 1
Chapitre 2
Chap. 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chaussures vernies...
Entraînement
Éduquer un mari au chômage...
Cathy et Richard
Chapitre 1
Chap. 2
Avant de partir...
Imprint
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
Introduction
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Avant de commencer...
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Camille au XIVe siècle
Premier jour
Le seigneur du château était veuf depuis une dizaine d'années et la rumeur courait dans le village qu'il cherchait une nouvelle épouse. Il la voulait jeune et pure pour avoir des enfants. J'avais à peine vingt ans, j'étais fille de paysan, je ne connaissais que mon village et je m'imaginais très bien en dame du château. Le curé du village demanda à toutes les jeunes filles âgées de 20 à 25 ans de se rendre à la chapelle du château pour passer une épreuve, afin d'être présentées au seigneur du château. Le rendez-vous était fixé à un jour de semaine. Après avoir terminé mes tâches, je suis entrée dans l'église et le curé m'attendait.
Il était assis sur un banc dans le confessionnal, un endroit très étroit, et m'a demandé de me tenir debout à côté de lui. Je devais répondre à ses questions :
— Un garçon du village t'a-t-il déjà embrassée, ma fille ?
— Non, mon père.
— Un garçon du village a-t-il déjà essayé de te toucher ?
« Non, mon père ».
« As-tu déjà fait des rêves impurs ? ».
— J'ai hésité, mais j'ai fini par dire oui, père...
— Oh, pauvre petite ! Enlève ta jupe, pour que nous voyions si tu dis la vérité.
Je suis devenue rouge comme une tomate, j'ai enlevé mes jupes, il a passé sa main entre mes cuisses et m'a touché le sexe, j'ai sursauté.
— Qu'as-tu rêvé dans tes rêves ? Parle sans crainte, ma fille.
— J'ai rêvé qu'un homme me faisait l'amour tout le temps, avec sa bouche, ses doigts et le reste...
— Je comprends, tu as la luxure en toi, je vais devoir te purifier, puis je te livrerai au seigneur du château.
Il passa un doigt entre mes jambes et j'étais toute mouillée, il enfonça un doigt en moi pour vérifier ma pureté, je l'étais, je tremblais.
— À genoux, prends dans ta bouche l'organe de notre seigneur et bois bien tout ce qu'il t'offrira.
Je ne comprenais rien quand il m'a plié le bras vers le bas et m'a forcé à m'agenouiller devant lui, sortant de sous sa soutane un pénis turgescent et tout gonflé. Il m'a saisi la tête et a pressé ma bouche contre son gland, j'ai dû ouvrir les lèvres. Il est entré d'un coup au fond de ma gorge, bougeant ma tête très rapidement sur lui, me soulevant et m'abaissant, et en quelques secondes, un liquide épais et âcre s'est déversé dans ma bouche. Dès qu'il s'est retiré, j'ai tout vomi. Il m'a relevé en souriant :
« Je comprends, ma petite, tu fais ta liste, ça ne va pas plaire au château, habille-toi et suis-moi. »
Il m'emmena dans les souterrains du château, où deux servantes nous attendaient, et leur dit :
« Donnez-lui un bain et préparez-la, je vais prévenir le seigneur. »
On m'a déshabillé, lavé, coiffé et, malgré mes coups de poing et mes coups de pied, on m'a attaché dans une cellule, les bras au-dessus de la tête et les jambes bien écartées, les chevilles fixées à des anneaux au sol. J'étais en sous-vêtements et je pleurais. Lorsque j'entendis tourner la clé dans la serrure, le maître apparut. Il était très grand, très imposant, tout vêtu de noir, je tremblais.
« Tu serais donc ma future femme ? Mais en attendant, tu vas apprendre à m'obéir et à être docile, sinon tu le regretteras toute ta vie. »
Il a sorti un fouet et m'a frappée, les coups tombaient sur tout mon corps, je criais, mais il était évident qu'il prenait plaisir à me faire souffrir. Il m'a frappée au moins vingt fois, mon corps était en feu, puis il s'est approché de moi et m'a arraché mes sous-vêtements, laissant des marques sur ma peau tendre. Il s'est mis à rire et a enfoncé deux doigts dans mon vagin sec et serré, j'ai crié encore plus fort, il les a bougés avec force de haut en bas, séparant les parois.
« Oui, crie, j'aime ça, tu es très serrée ».
Puis il m'a enfoncé un doigt dans le cul et l'a bougé rapidement, je continuais à crier. Il s'est agenouillé et, en écartant mes grandes lèvres, j'ai senti sa bouche collée à mon sexe et il m'a léché. Il me léchait longuement, en écartant bien mes petites lèvres, j'ai commencé à gémir, j'aimais cette sensation.
« Oui, très bien, c'est un bon début, le prêtre ne s'est pas trompé, tu es parfaite, une future épouse soumise et docile ».
Et il continua à me lécher la chatte, il mit sa langue sur mon clitoris, le caressa longuement, je criai, je venais de jouir pour la première fois. Il se leva et alla chercher une plaque de cuir souple fixée à un manche en bois avec un . Le manche me sembla très épais, mais je n'eus pas le temps de me poser d'autres questions, les coups s'abattirent sur mon jeune sexe, il me frappa plusieurs fois, très fort. Je criais de plus en plus fort, mais les coups continuaient de tomber, me fouettant à intervalles réguliers. Au bout d'un moment, il s'est arrêté et m'a regardé en souriant, mais j'ai crié à nouveau, j'avais compris, et d'un seul coup, il m'a enfoncé le manche de l'engin dans mon sexe vierge. Il était gros, je ne m'y attendais pas, ni à cette douleur :
— Crie, petite chatte, ce n'est que le début, mais si je veux pouvoir te baiser à ma guise, vu ma taille, il faut commencer petit à petit. Il est déjà bien enfoncé dans ta petite chatte serrée, mmmmh, tu es parfaitement vierge, tu feras une bonne épouse si tu deviens une petite salope docile.
Et je commençai à mouiller, je commençai à ressentir une sorte de bien-être dans mon petit sexe serré, ouvert par le manche en bois qui me pénétrait sans relâche. Il s'agenouilla à nouveau et me lécha le clitoris tout en bougeant le manche en moi, et je jouis à nouveau avec ces nouvelles sensations. J'étais sur le point de m'évanouir quand il me détacha. Il partit, me laissant sur le sol. Des domestiques sont arrivées, m'ont relevée, m'ont lavée et m'ont donné à manger. Je me suis effondrée sur le matelas qui se trouvait là et je suis tombée dans un sommeil réparateur.
Deuxième jour
Je fus réveillé par le bruit de la clé dans la serrure de la cellule. Il était là, vêtu de noir, mais il n'était pas seul, il était accompagné de deux énormes molosses qui bavaient. Je n'avais jamais vu de chiens aussi monstrueux, je me mis à trembler.
« Debout ! Debout, je vais t'attacher !
« Non, je t'en prie, je ferai tout ce que tu veux », pleurais-je.
« Oui, tu feras tout ce que je veux, et on commence tout de suite. »
Il m'a soulevée, j'ai résisté, il a sifflé ses chiens, qui se sont approchés de manière menaçante en grognant. J'étais paralysée par la peur. Il m'a attachée au mur, les bras levés et attachés à des anneaux fixés au mur, ainsi que mes poignets, les jambes écartées.
« Tu dois me prouver que tu seras une bonne épouse si je décide de t'épouser, soumets-toi à mes plaisirs et tu ne le regretteras jamais, mais maintenant tu as dit non, tu m'as mis en colère ».
Et il reprit la sorte de palanquin en cuir de la veille, je criai et les coups commencèrent à tomber sur mes seins, puis sur mes cuisses. Je gesticulais, mais il continuait, puis je sentis les coups sur mon sexe, il visait bien et frappait fort. J'étais toute rouge. Après un temps qui me parut très long, il siffla l'un des chiens, qui se précipita et je sentis son énorme langue me lécher la chatte. Je criai à nouveau, mais sa langue sépara mes grandes lèvres et s'introduisit dans mon sexe.
— Quel spectacle merveilleux, tu m'excites comme un taureau, je ferai de toi une bonne chienne soumise à tous mes désirs, avoue que tu aimes que cette grande langue te lèche, comme la chienne que tu es.
— Oui...
— Parfait, tu commences à comprendre, continuons encore longtemps.
Et le chien continuait à me lécher avec dévouement, sa langue sèche buvait mon humidité, car j'étais mouillée comme une folle, il me léchait de bas en haut, sans se tromper, chaque fois qu'il touchait mon clitoris, je sursautais, j'allais bientôt jouir. Il continua et, soudain, je criai, mais cette fois de plaisir. Le seigneur du château siffla et l'autre chien prit sa place, il était très excité par mon humidité, il me léchait comme un fou. Je criais de plaisir, le chien léchait à toute vitesse, comme quand il lèche l'eau après une longue promenade. Je mouillais de plus en plus et le chien léchait avec sa langue appuyée contre mon vagin pour mieux tout recueillir. J'étais sur le point de jouir à nouveau, je tremblais, il continuait et continuait, et soudain, mon orgasme arriva, explosant dans mon ventre.
— Bien, tu t'es bien amusée, mais maintenant tu dois les récompenser pour tout le plaisir qu'ils t'ont donné...
— Je ne comprends pas.
— Tu comprendras, ne t'inquiète pas. Il disait cela tout en me détachant.
