Les français ont droit au bonheur - Tome 3 - Michel Menneson - E-Book

Les français ont droit au bonheur - Tome 3 E-Book

Michel Menneson

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Beschreibung

L'objectif de ces différents ouvrages est de susciter la réflexion, d'encourager les lecteurs à prendre position, à approuver ou désapprouver en étant informés. Depuis trop longtemps, de nombreux élus, au lieu d'agir en tant que représentants des citoyens, prennent des décisions unilatérales, axées principalement sur leurs propres carrières, sans considération pour l'honneur et la gloire.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Après avoir constaté que les analyses étaient abondantes mais les solutions sérieuses absentes de la part des élus, Michel Menneson a ressenti le besoin de proposer une base de discussion pour parvenir à débloquer la situation.

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Michel Menneson

Les Français ont droit

au bonheur

Tome III

Essai

© Lys Bleu Éditions – Michel Menneson

ISBN : 979-10-422-0270-5

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Introduction

Il y a 5 ans le tome 1 présentait une nouvelle organisation de la société. Il fut complété par le tome 2 dont le but était de clarifier le système social et fiscal de notre pays. Il semblait nécessaire d’établir aussi les peines encourues par les contrevenants, les délinquants et les criminels. Il y avait aussi lieu de revoir le mode électoral qui avait prouvé son incapacité à donner une vraie représentativité des élus. Il était aussi urgent de clarifier les lois concernant le respect de la nature, la liberté d’expression et le système bancaire.

Dans un premier temps, il sera nécessaire de changer les différents modes électoraux pour éviter les désordres que l’on connaît depuis novembre 2018. Quand une immense majorité des inscrits ne se déplace plus lors des élections, on se retrouve avec un parlement qui n’a plus aucune légitimité et c’est fatalement le désordre qui s’installe. Le gouvernement peut utiliser la force, cela ne masque en rien la réalité d’un rejet total des élus et du système. Cette période peut s’apparenter à « la chute de l’Empire romain ». Un président haï par son peuple qui se maintient contre la volonté de la majorité et soutenu par une assemblée de courtisans déconnectée de toute réalité. Il est évident qu’avoir concentré tous les pouvoirs entre les mains d’une seule personne ne pouvait à terme que provoquer un rejet massif. Nous devons donc donner plus de pouvoir au peuple en réorganisant complètement le pays. Pour ce faire nous ne garderons que trois échelons administratifs (état, département, commune) avec pour chacun un système d’impôts et de taxes clairement fléchés et identifiés pour que chaque citoyen sache qui fait quoi et où part l’argent qu’il a confié soit à l’état, soit au département, soit à la commune. Le code électoral déterminera précisément les cadres des fonctions électives ainsi que le mode de financement et les responsabilités des élus. Il ne sera plus question de dépenser l’argent des citoyens sans avoir reçu leur consentement.

Dans un second temps il s’agira de mettre en place un code de la nature et de l’éthique. Car à force de faire n’importe quoi, on se retrouve avec un environnement dégradé qui augure mal de l’avenir de notre pays. Dans une société en plein bouleversement, il est nécessaire de définir les obligations de chacun sans lesquels il est impossible d’harmoniser le pays. Depuis bien trop longtemps, on a privilégié une production de masse sans tenir compte des limites biologiques et éthiques. La France peut sans difficulté produire tout ce dont les Français ont besoin. Elle doit pour cela mettre en place une autre politique respectueuse de l’environnement et de la diversité de ses climats. En tout elle devra favoriser la production nationale tant métropolitaine qu’outre-mer. La France doit redevenir le pays de l’excellence alimentaire : le seul label France doit signifier à tous, produit de qualité fabriqué dans le respect de la nature et de l’humain. Nous devrons donc bannir tous les produits qui pourraient souiller la terre l’air et l’eau. Oui cela semblera difficile, mais il en va de notre avenir. Toute remise en question est ardue, mais face à un mur il est nécessaire de fabriquer un escalier pour passer. Tout devra être mis en œuvre pour arriver à cette excellence. Il faudra aussi déterminer des lois éthiques afin de limiter les dégâts que peuvent provoquer certaines, soi-disant avancées technologiques. Car il est bien de parler d’écologie, mais sans déterminer de cadre c’est comme souffler dans un violon. Il sera sans aucun doute complété par les différents parlements, mais il ne devra en aucune manière contenir plus de 100 articles. Le propos de ce code est de mettre fin aux dérives sur l’environnement et l’éthique, donc de faciliter la vie des juges qui pourront s’appuyer sur des lois claires et précises. Peut-on sérieusement refuser à un enfant le droit de connaître son père et sa mère biologique ? Peut-on continuer à voir nos terres et nos rivières souillées par des produits chimiques ? Peut-on laisser des produits plastiques dériver au point de devenir des îles flottantes contaminant toute la faune marine ? Peut-on encore plus défigurer nos paysages en installant des éoliennes aussi inesthétiques qu’inefficaces ? Certains produits utilisés en agricultures ont apporté des maladies graves, il est donc urgent d’encadrer tout cela, voire de faire en sorte que plus aucun de ces produits ne soit autorisé. Si d’autres pays veulent utiliser ces produits, ils ne pourront plus les commercialiser en France et pourront même être poursuivis si ces produits se retrouvent en France.

Dans un troisième temps, il sera question de remettre le système bancaire dans l’ordre et de protéger les citoyens. Depuis trop longtemps les banques se sont arrogé des droits sans que personne n’y redise quoi que ce soit. S’il est parfaitement logique que les prestations soient facturées au juste prix, il est aussi judicieux de déterminer des plafonds pour que les organismes financiers ne s’enrichissent sur les déboires de leurs clients. Il y a aussi lieu de permettre aux organisations syndicales et politiques de pouvoir se financer ainsi, aucune banque qui aura accordé un prêt à l’un ne pourra refuser un prêt à un autre sur des prétextes autres que la saine gestion des comptes.

Dans un quatrième temps, il s’agira de repenser notre système de santé. Car, depuis trop longtemps l’assurance maladie coûte une fortune sans apporter une prestation conforme aux attentes des assurés, il y aura lieu de revoir l’organisation totale du système d’assurance et de soins. Il sera aussi question de rendre aux départements la gestion des hôpitaux et des organismes de soins. Les départements auront aussi la charge de déterminer les barèmes applicables dans le département.

Dans un cinquième temps, il s’agira de revoir l’organisation des médias qui ne doivent en aucune manière être concentrés dans les mêmes mains. Nous envisagerons aussi la création de réseaux sociaux 100 % francophones pour permettre la libre expression des francophones et favoriser les relations internationales en langue française ; laisser les francophones à la merci de la bonne volonté de réseaux sociaux anglophones est pure folie. Ainsi les réseaux sociaux anglophones seront taxés comme tous les autres médias, mais la création de médias francophones pourra être aidée et accompagnée par l’état. Il va de soi qu’après la création les médias seront dans le champ de la libre concurrence. En aucun cas les médias ne seront subventionnés après leurs mises sur le marché. Tout ce qui pourra aider au rayonnement de la langue française pourra être favorisé par tout État partageant avec la France la langue française. Tout média francophone sera aidé pendant un temps raisonnable à son implantation dans un pays désireux de promouvoir la langue française.

Dans un sixième temps, nous mettrons en place une autre organisation du système d’enseignement et de formation. L’État se montre de moins en moins performant dans la gestion tant des enseignants que des établissements, il y aura donc lieu de donner une véritable indépendance aux établissements. Il y aura lieu aussi de mettre en place des examens intermédiaires afin de ne plus transformer les établissements scolaires en simples garderies. Il y aura aussi lieu de responsabiliser les parents pour que l’ordre soit restauré dans tous les établissements. Il ne doit plus être question d’obliger les enseignants à travailler n’importe où et surtout là où ils ne veulent pas. Les contrats de travail des enseignants seront déterminés par les établissements dans lesquels ils seront employés.

Dans un septième temps, il s’agira de réorganiser l’administration du pays en obligeant les administrations à respecter les administrés qui doivent être défendus. Il y aura lieu d’encadrer voire de mettre en concurrence certaines administrations dont la pertinence n’est pas vraiment avérée. Ainsi nous ne garderons que trois échelons administratifs (État, département, commune) avec pour chacun des rôles bien définis et une fiscalité propre et fléchée.

Dans un huitième temps, il y aura lieu de déterminer les procédures suivant les cas afin de permettre à chacun de savoir se situer et le cas échéant d’ester dans la bonne juridiction.

Dans un neuvième temps, nous définirons les différences entre contravention, délit et crime ainsi que les peines encourues. Car même en faisant tout le nécessaire pour qu’il soit possible de bien vivre en France en étant honnête, il y aura toujours des individus refusant de respecter les lois.

Oui bien sûr ce serait mieux de ne pas avoir besoin de cet arsenal, mais l’humain est ainsi fait qu’il a besoin de la carotte et du bâton pour aller dans la bonne direction. Il faut graduer les peines en fonction des fautes et donc déterminer clairement les fautes. Comme tout ne peut tenir dans un livre, tant les cas peuvent être variés, le Code pénal se voudra de rester un cadre général sans aller trop dans le détail. Nous déterminerons aussi, dans ce même code, les procédures applicables dans les trois principaux cas. Tous les Français doivent savoir ce qu’ils peuvent et ce qu’ils ne peuvent pas, ce qu’ils doivent et ce qu’ils ne doivent pas. Quant aux étrangers vivants en France, ils doivent savoir que seules les lois françaises sont reconnues en France et aucune autre.

Parce que nul n’est censé ignorer la loi, il faut qu’elle soit comprise et admise par tous. Et pour cela elle doit être logique et compréhensible. Dans ce but aucun code spécifique ne devra comporter plus de cent articles.

 

 

 

 

 

Code électoral

 

 

 

Car il est paradoxal de se dire un pays démocratique quand plus de la moitié des électeurs ne se déplace plus, il est indispensable de changer le mode électoral du parlement, des départements et des communes. La démocratie ne peut, en aucune manière, être uniquement le fait d’une élection présidentielle. Elle doit se vivre au quotidien sur tout ce qui concerne les citoyens qui doivent en être les seuls vrais décisionnaires. Les élus doivent être les représentants des électeurs en aucune manière ils ne doivent décider en leur place, mais seulement porter leurs demandes.

 

Conditions générales :

 

Article E 1 :

Sont électeurs tous citoyens français disposant de leurs droits civiques âgés de 18 ans révolus le jour du scrutin.

Toute élection exige la présence physique des électeurs au bureau de vote dont il dépend. (Ainsi le vote par correspondance ou par voie dématérialisée n’est pas recevable et donc ne sera pas comptabilisé.)

 

Article E 2 :

Sont éligibles tous les citoyens français disposant de leurs droits civiques âgés de plus de 21 ans.