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Vous avez été nombreux à demander une version simplifiée du livre LE COACHING SDHEA, manuel en langue française de 636 pages * presque inadapté aux néophytes mais bible pour tous les professionnels, médecin ou psychologues, pour les réflexologues, Naturopathe, psychiatre, du monde médical et de la thérapies techniques systémiques contenues dans le livre permettent toutes de former un professionnel en un délai très court de quelques heures à quelques semaines seulement. Mais ce n'est pas l'objet de cet ouvrage mais plutôt de permettre une relecture de l'ouvrage sous un angle nouveau qui vous concerne et qui débutez. Le lecteur ne cherchera pas de solutions pour son cas personnel (stress, désordres dus à des situations de catastrophes, démoralisation, idée de suicide ou apathie diverses, perte d'un être cher...), mais il les trouvera, s'il lit ce livre. Il découvrira alors lui-même la solution à son problème, presque sans s'en rendre compte. Vous avez déjà accès gratuitement sur le site internet à des outils MP3 qui vous permettront de réduire votre stress ou de l'éliminer. https://www.successcoach.fr/la-relaxation-sdhea Des outils utilisables comme la gestion des émotions, la diététique ou le sport, la maîtrise de la mémoire, la PNL, l'Hypnose Eriksonnienne, la relaxation ou la Sophrologie sur le mode systémique permettent de répondre à la problématique du moment. Ce livre est édité en six langues.
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Seitenzahl: 329
Veröffentlichungsjahr: 2023
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INTRODUCTION
TOME 1
CHAPITRE I L’ANALYSE DES SYSTEMES HUMAINS ET DE SANTE
CHAPITRE II LES EMOTIONS ET L’EQUILIBRE EMOTIONNEL
CHAPITRE III EXCELLENCE DU CORPS ET DE L’ES-PRIT
EXERCICES
TOME 2
CHAPITRE I : LA SYNCHRONISATION
EXERCICES
TOME 3
CHAPITRE I : LA TRANSE
CHAPITRE II : TRAVAIL DE TRANSE PROPREMENT DIT : ABSORPTION – CONFUSION – RATIFICATION – SIGNALING - REASSOCIATION
CHAPITRE III : SUGGESTIONS HYPNOTIQUES LA METHODE D ’EMILE COUÉ
CHAPITRE IV : REASSOCIATION - SORTIE DE TRANSE
CHAPITRE V : LES TECHNIQUES PRATIQUES D’IN-DUCTION
EXERCICES
TOME 4
LA RELAXATION : DEFINITION
EXERCICES
TOME 5
LA SOPHROLOGIE
TECHNIQUES UTILISEES EN SOPHROLOGIE SDHEA
TOME 6
LA PROGRAMMATION NEUROLINGUISTIQUE
EXERCICES
Votre coaching SDHEA pour débutant permet à chacun de tout connaître du fonctionnement de soi et des autres grâce à l’analyse des systèmes humains, à la gestion des émotions, à l’excellence de la santé par la diététique, le sport, le tantrisme, la mémoire, mais aussi la parole thérapeutique, la PNL, l’hypnose, la relaxation et la sophrologie.
Vous en saurez assez pour prendre ou reprendre votre vie en mains et aller mieux instantanément.
Pour approfondir le COACHING SDHEA et changer de métier, s’installer en indépendant dans le domaine de la santé, il vaut mieux aborder cette étude par la bible « LE COACHING SDHEA » de 636 pages en vente sur Amazon* sans frais de port et sans délai.
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L’ANALYSE DES SYSTEMES HUMAINS ET DE SANTE ET LA GESTION DES EMOTIONS L’EXCELLENCE DU CORPS ET DE L’ESPRIT
Quelle est la définition du coaching ?
Le terme coaching contient l’idée de déplacement progressif d ’une situation initiale équilibrée, mais qui n’est plus voulue à une autre situation finale, qui elle est désirée.
Par exemple, vous fumez, vous êtes bien, mais vous voulez arrêter on ne sait pour quelle raison. Le coaching vous accompagne pour arrêter de fumer, c’est tout (et surtout ne plus refumer !)
Et le coaching SDHEA alors, pourquoi SDHEA ?
C’est la même chose que le coaching mais l’approche est différente. Nous allons utiliser l’analyse de la situation initiale en termes de système, nous allons faire ce que l’on appelle de l’analyse des systèmes,
y-a-t-il des règles à observer dans le coaching SDHEA ?
Oui, la première règle est que s’il n’y a pas de demande de la part de quelqu’un (que l’on appelle le coaché), on ne peut pas le coacher de force.
La deuxième règle est que l’on ne doit pas chercher de solution vers la situation finale équilibrée (on dit aussi homéostatique, çà fait mieux !). On appelle cela « la position basse du thérapeute » car il dit qu’il ne sait rien (mais je dirais tout !)
Est-ce que l’on vous croît capable de faire quelque chose ?
C’est ce qu’on appelle l’efficience, c’est-à-dire la croyance en vous que vous pouvez faire quelque chose. Il faut tout d’abord commencer par croire en vous-même que vous êtes capable de modifier la situation du coaché, mais surtout pas de trouver la solution, c’est lui qui va la trouver, pas vous, et pour cela il va devoir choisir (ou on choisit pour lui si c’est plus facile) parmi les techniques proposées, celles qui va le mener droit au but.
Et comme disait Pierre DAC « est-ce qu’il peut le faire ? oui, il peut le faire… !! »
Quels sont les premiers outils du coaching ?
Il y a la reformulation. C’est la pratique de l ’écoute de la personne en reformulant ce que vous entendez.
Exemple : la personne vous dit : « il faudrait que je maigrisse », vous lui répondez « alors comme ça il faudrait que tu maigrisses » et elle continue en disant « oui, mais je ne sais pas comment m’y prendre, vous continuez en disant « si j’ai bien compris tu ne sais pas comment t’y prendre ? »
Lorsque vous êtes en face d’une demande, dites-vous bien que la solution n’est pas loin de la demande, mais ne la cherchez surtout pas.
Quelle est la différence entre le coaching et coaching SDHEA ?
La différence est que le coaching SDHEA est tout terrain. Voici un exemple tiré du vécu d’une séance de coaching SDHEA :
Une personne est arrivée un jour en consultation pour demander de changer sa croyance acquise dans une méfiance manifeste envers toute personne avec qui elle voulait s ’associer. Elle avait ce besoin pour réussir sa vie professionnelle. Cette personne était couverte de plaques d ’eczéma sur presque tout le corps et sa demande ne concernait pas cet état physique manifeste parce qu’elle ne savait pas que le Coaching thérapeutique pouvait traiter ce genre d ’affection. La réussite de sa demande est passée par la prise de conscience de sa relation ancienne avec son frère qui était décédé depuis plusieurs années et avec qui il était très lié affectivement. Ses plaques d ’eczéma, qui sont une forme de communication « à fleur de peau »
ont disparues en même temps que la solution de sa croyance saine retrouvée. C’est le chemin du soin d ’eczéma qui a été suivi et traité par l ’hypnose Eriksonnienne
Quelle est la démarche du Coach SDHEA ?
C’est une démarche thérapeutique au sens large.
Thérapeutique est tiré du Grec ancien substantivé thérapeutikê qui signifie « l ’art de prendre soin de quelqu’un ».
Prendre soin de quelqu’un ne signifie pas que ce quelqu’un soit malade. Dans le mot « psychothérapeute » ou dans le mot « thérapie », le terme thérapeutique n ’est pas associé nécessairement au traitement d ’une maladie, ce qui en France comme dans bon nombre de pays est réservé exclusivement aux médecins.
Ce qui compte le plus dans le Coaching SDHEA est l ’évolution, le mouvement, d ’une situation en équilibre vers une autre situation désirée en équilibre également. Le coach SDHEA considère donc que la santé de son client est bonne mais pas suffisamment et que l ’on peut mieux faire.
Quels sont les outils utilisés par le Coach SDHEA ?
Le Coach SDHEA va utiliser des outils pour réussir ce changement ou cette évolution.
Les outils que nous allons utiliser sont l ’Analyse des systèmes, la gestion des émotions, la parole thérapeutique, le fameux terpnos logos, l’hypnose Eriksonnienne, la relaxation, la sophrologie, et la PNL.
Toutes ces techniques vont être développées pour permettre le passage d’un état à un autre et faire du coaching SDHEA.
qu’est-ce que l’analyse de systèmes ?
L’analyse des systèmes est une démarche de l’esprit qui considère la personne humaine dans son environnement comme étant un système.
Pour pouvoir faire de l ’analyse des Systèmes, il faut donc être en face d’un système. Pour cela il faut apprendre à reconnaître ce qu’est un système.
Alors comment reconnaît-on un système ?
Tout d’abord c’est l’individu en tant que tel qui est un système on verra pourquoi ensuite.
Mais il y a d’autres systèmes, comme le groupe, la famille, le groupe de travail et bien d’autres environnement qui forment un ou des systèmes.
On reconnaît un système lorsque l’on est capable de déterminer quatre facteurs qui le compose.
Ces quatre facteurs sont des éléments, des interactions (entre les éléments), un objectif ou but à atteindre (que suivent les éléments en interactions), et en dernier un contrôle (qui contrôle que le tout va bien à son objectif et pas à côté).
Est-ce qu’on peut avoir des exemples concrets ?
Oui, par exemple les éléments :
Ce sont des personnes ou êtres vivants comme vous et moi et le coach SDHEA, le conjoint, les parents, les enfants, le chien, le chat, le corps médical ou paramédical, hospitalier, chirurgical, des objets qui ont une signification comme les cadeaux reçus ou donnés, des substances ou produits comme les médicaments, les alicaments (vitamines, oligo-éléments), la nourriture, les drogues, les produits soumis à compulsion comme chocolat, graisses, sucres, en fait tous les éléments de type matériel avec lesquels on risque d’avoir une interaction que l’on va voir maintenant.
voici des exemples d’interactions :
Ce sont les relations émotionnelles avec le milieu de vie, l’entourage avec lequel on est en relation dans un contexte donné, mais aussi toutes les paroles échangées entre les gens, et principalement celles qui impliquent le coach SDHEA et son coaché.
L’objectif poursuivi, c’est quoi alors ?
Ce peut être un état de santé modifié, des capacités physiques ou mentales, des comportements, de la confiance en soi, de l’énergie, du calme, de la concentration, des performances, des ressources, et ainsi de suite. Sachez que pour former un système, il faut et il suffit d’un objectif, car si on en a deux, il y a obligatoirement deux systèmes.
Je vais vous donner un exemple. Je viens voir le Coach SDHEA parce que je mange trop de chocolat et que j’ai des allergies au poil de chat. Eh bien cela fait deux systèmes à analyser. On verra plus tard comment.
Le contrôle alors à quoi sert-il ?
On va prendre un exemple pour voir comment un contrôle maintient un objectif : celui de trop manger de chocolat.
Aussi simple que cela paraisse, dans l’exemple ci-dessus comme manger trop de chocolat, c’est une réponse à la question comment savez-vous que vous en manger trop ?
Ce n’est pas si simple à voir mais simple à comprendre. La meilleure preuve que l’on décroche le contrôle de ce problème est en faisant manger plus de chocolat encore à la personne comme une sorte de punition, et là, elle décroche, reprend en main son contrôle et se remet à manger du chocolat normalement. On dira par exemple que c’est sa sœur qui lui dit tout le temps qu’elle mange trop de chocolat, c’est comme cela qu’elle le sait, mais ce n’est qu’une indication, cela peut être aussi de l’urticaire ou un écœurement passager, ou encore des malaises dus à la boulimie de chocolat. Mais en cherchant un peu, on trouvera que c’est une recherche de plaisir qui compense un manque d’affection qui maintient la boulimie et il faudra alors enlever ce contrôle pour le rendre à son cortex préfrontal ou lobe frontal.
Donc le contrôle est tout ce qui maintient un objectif dans un état d’équilibre même non voulu. Pensez par exemple à la demande de « je ne veux plus fumer ou je veux m’arrêter de fumer », mais aussi il y a « j’ai des pensées suicidaires » Alors que faire avec de tels contrôles qui maintiennent de tels objectifs ?
Alors à quoi sert la démarche d’analyse des systèmes pour le Coach SDHEA en fait ?
La démarche d ’analyse des systèmes permet au Coach SDHEA d ’obtenir un nouvel équilibre homéostatique pour le Coaché, équilibre qui répond à sa demande consciente ou inconsciente. S ’il y a plusieurs objectifs ou sous objectifs emboîtés les uns dans les autres, il y aura autant de systèmes ou de sous-systèmes correspondants. A chaque système correspond un objectif et son contrôle pour l ’obtenir, ou le maintenir en équilibre ou homéostasie.
Mais revenons quelque peu sur l’efficience : Ça marche comment ?
L’efficience est la croyance du Coaché dans la capacité du Coach SDHEA à changer son état vers celui qu’il désire. Avec l’analyse des systèmes on peut déjà voir mieux dans quel système il est et où il veut aller, même si on ne sait pas encore comment l’accompagner. Mais cela reste suffisant.
C’est là que le développement personnel du coach joue un rôle car il permet l’interaction « écoute active » indispensable au système d ’efficience.
En conclusion, retenez que tous les outils contenus dans ce livre ne serviront à rien d’autre qu’à renforcer votre croyance et obtenir de l’efficience. Le coaché ou la personne avec qui vous êtes en relation va le sentir et va faire fonctionner ses systèmes pour les modifier, et vous n’aurez rien à faire, même pas à chercher une solution, c’est lui qui va la trouver. Voilà comment cela fonctionne. Le coaché croît en vous et cela change ses capacités et ses comportements.
Qu’est-ce qu’on appelle une structure en matière de système ?
Le système humain est un système composé d ’un très grand nombre d ’éléments, interactions, objectifs et contrôles qui sont eux-mêmes des systèmes composés de sous-systèmes multiples. Le système humain ou coaché arrive en consultation dans un état équilibré apparent dit homéostatique.
Ce système dont toutes les parties qui en sont arrivé là ont toutes des intentions positives à l ’origine ont bien fait leur travail et le contrôle est terminé. Cette position d’un système dont le contrôle a fini son travail et se trouve en position off ou fermé est appelé STRUCTURE.
Pouvez-vous nous donner un exemple de changement réussi grâce à l’analyse des systèmes ?
Une personne vient avec un stress au bruit provoqués par ses voisins de palier qu’elle ne supporte plus. Le changement de système peut consister en :
1. Modification des éléments :
Il déménage ou élimine tous ses voisins bruyants, c’est la solution lourde.
2. Modification des interactions :
Il isole son appartement ou va s ’acheter des boules quiès, solution parfois suffisante
3. Modification de son contrôle au bruit (perception du bruit gênant provenant d ’un excès de cortisol dans son système endocrinien (relaxation) ou modification de la sensibilité auditive par modification des submodalités correspondantes avec la PNL, c’est la solution coaching SDHEA Modification de son objectif :
obtenir l ’objectif gestion de son mauvais stress par la respiration et par la relaxation profonde, l ’objectif relatif au bruit des voisins devient secondaire
5. Modification du contrôle par le recadrage. Il associe le bruit à la présence virtuelle de sa grand-mère qu’il aimait beaucoup et qui est venu aménager sur le palier avec ses voisins (recadrage avec la PNL).
Voilà un exemple concret, et c’est le coaché qui choisit sa solution, bien souvent la dernière et tout seul et avec beaucoup d’émotions.
Qu’est-ce que le développement personnel du Coach SDHEA ?
Le développement personnel est un ensemble de repères psychosociologiques nécessaire pour acquérir un niveau d’efficience satisfaisant.
Le coach SDHEA va devoir maîtriser son propre système émotionnel, augmenter sa croyance dans son efficience, élever ses valeurs morales et d ’intégrité, ainsi que son éthique dans le déroulement de son travail. Il devra même augmenter son niveau d’excellence comme on le verra ci-après. Il doit être inconditionnellement positif en toute circonstance, et reçoit un entraînement pour obtenir cet état d ’esprit permanent. Il accède ensuite à toutes les autres techniques efficaces comme l’écoute active et continue ainsi de développer son inconscient.
Enfin, le Coach SDHEA doit croire dans toutes les intentions positives de son client, et lui en faire part.
Voici un exemple : Si un candidat se présente avec un surpoids de 50 kg, qu’il est obèse, vous commencez par le féliciter pour tout ce travail qu’il a dû supporter pour en arriver là, c’est une réussite en soi. En revanche, il n’en veut plus, il aspire à une autre sorte de réussite, et là il faut commencer par l’écouter sans aucun apriori.
Comment élever ses valeurs morales et l’intégrité ?
L’intégrité est une qualité intrinsèque qui vous permet d’intervenir sur votre client de manière inconsciente. Toutes les solutions utiles à votre client sont en lui et non en vous. En étant intègre, vous accédez à toutes vos parties inconscientes et vous en faites vos alliées pour obtenir une ou des solutions.
Comment être inconditionnellement positif ?
C’est un état dans lequel il faut être en permanence pour vous permettre de progresser en Coaching SDHEA. C’est une application de la voie du milieu, sorte de TAO de l’existence. Dans toute situation apparemment négative il existe toujours un élément positif qui est à la source. Entraînez-vous à rechercher le positif de toute situation de façon inconditionnelle. Seule cette attitude vous permet de faire découvrir des solutions aux problématiques qui vous sont soumises. Vous devez être le catalyseur ou le témoin de la solution.
Il s’agit d’obtenir un état d’esprit positif sans condition aucune de la réalité, peu importe les conditions apparentes de la réalité. Voici les raisons d’un tel état d’esprit :
1° Tout le système effectue son travail du mieux qu’il peut. C’est dans ce sens que toutes les problématiques doivent être considérées comme positives.
2° en vous comportant de façon positive avec votre client, vous changez déjà la perception de son problème.
3° Votre efficacité est décuplée si vous considérez la problématique de votre client de façon inconditionnellement positive.
Remarque : Il ne s’agit pas de considérer que ce qui arrive à votre client est positif ; il s’agit d’avoir un état d’esprit habituel inconditionnellement positif.
Qu’est-ce que la théorie de la voie du milieu ?
Travaillez sur ce paradoxe : « La vérité contient le mensonge » VRAI ou FAUX ? ou autre paradoxe : Le mensonge contient la vérité VRAI ou FAUX ?
Avec la reformulation inconditionnellement positive, vous avez appris que dans une appréciation d’une situation négative, il existe toujours quelque chose de positif. La reformulation par la voie du milieu est une forme de reformulation qui consiste cette fois à associer la partie négative et la partie positive d’une situation :
- Pensez et ne pensez pas au chiffre 6…
- Ne pensez pas à un éléphant rose, ou pensez-y, ou d’une autre couleur ou non…
- Avoir beaucoup d’argent ou pas beaucoup
- Plongez ou non avec une infinie lenteur dans cette piscine remplie d’eau chaude ou d’eau tiède ou dont la température vous convient.
Exemple de reformulation par la voie du milieu :
Lorsque vous reformulez ce qui vous est dit, faites-le par la voie du milieu : Pour cela vous ajoutez le contraire de la situation avec des formules des plus simples aux plus sophistiquées comme : …ou pas (vous avez compris…ou pas… ?) …à certains moments, et non à d’autres moments… peut-être oui, peut-être non… …certaines fois oui, certaines fois non…donc il est vrai ou faux de dire que…. Vous reformulez : « Je voudrais maigrir » en « donc, vous voudriez parfois maigrir et parfois non… ? Ou encore « j’ai des malaises… » en « oui, vous avez des malaises c’est bien et aussi des bien-aises c’est mal… »
Si je vous dis : « Vous êtes la personne la plus intelligente que je connaisse ou pas », le contenu de ma reformulation va décharger la charge émotionnelle du jugement que je pourrais avoir sur vous dans le cadre d’une valeur ou d’une croyance qui a la maîtrise de cette information qui vous parvient. Dans ces conditions, l’effet est neutre et sans effet sur le plan conscient. En revanche, ce n’est pas une phrase vide de sens pour l’inconscient qui lui aura parfaitement entendu le contenu de ma phrase qui parle de votre intelligence.
Comment pratiquer l’écoute active de votre coaché ?
Partez du principe que toute la solution se trouve principalement dans le Coaché et non en vous. Dans ces conditions, le premier travail consiste à écouter activement votre client et à faire le vide des solutions possibles qui vous viendraient à l’esprit. Rassurez-vous, aucune n’est la bonne. La seule solution va émerger de votre client dès l’instant qu’il va être écouté et qu’il va entendre ce qu’il dit à partir de votre écoute. C’est l’écoute active.
Que sont les croyances et les valeurs pour le Coach SDHEA ?
L’ensemble des croyances forme le fondement suprême du possible ou de l’impossible. En métaphore informatique il s’agirait des programmes sources quasiment commun à chacun permettant de faire fonctionner tous les autres programmes personnels.
Un exemple avec la croyance d’identité Cela signifie que j’accepte ce que je suis (âge, physique), j ’ai de la valeur, je suis respecté(e), je m ’aime et je me respecte, je mérite ce que je suis, j ’ai un champ de possible pour être, je réalise ma mission et ainsi de suite. En rétablissant l’une de ces croyances d ’identité, vous accéder à la mise en place des valeurs.
Les valeurs doivent être classées pour mieux comprendre son propre fonctionnement avant d’écouter le fonctionnement de l’autre.
Exemple : la réussite, le respect, le pouvoir, la sécurité, la conformité, la tradition, la bienveillance et bien d’autres.
Les valeurs permettent les filtres cérébraux et les tris des éléments et interactions du Coach lui permettant d ’accéder à ses objectifs. Il s’agit d’avoir une image de Coach SDHEA différente (modélisation) ou de la valeur par exemple respecter les règles de morales et de correction comme les règles d’éthiques et de déontologie de l’association FONDS SDHEA.
Voici donc quelques exemples de croyances et de valeurs utiles à votre développement personnel
Quelques exemples de séances de coaching SDHEA ?
1° exemple : Une personne vient avec un mal de tête qui persiste depuis 20 ans. Le Coach SDHEA « c’est super ! Vous devez y tenir depuis le temps »
2° exemple : Votre coaché : “ Je fume trop ”. (Et non je voudrais m’arrêter de fumer qui est une formulation positive pour le patient) Réponse du Coach SDHEA : “ Vous fumez trop ? ” Le patient “ oui, je fume trop, j’en ai marre … ” Le Coach SDHEA : “ Eh bien voilà quelque chose que vous réussissez drôlement bien ” Le Patient : “ qu’est-ce que je réussis ? ” Le Coach SDHEA « À fumer trop…puisque vous réussissez très bien à maintenir cela… jusqu’à maintenant ”
3° exemple : « je suis venu vous voir car je voudrai perdre 20 kg » Réponse du Coach SDHEA « Qu’est- ce que vous allez faire de toute cette légèreté que vous allez gagner ? »
4° exemple : « je n’ai pas confiance en moi et… » Le Coach SDHEA : « c’est tout à fait normal, c’est parce que vous ne vous ne connaissez pas assez, alors vous ne vous faites pas confiance.
Est-ce que vous voudriez gagner à être connue par vous ? »
A quoi servent les émotions ?
Les émotions sont des facteurs d ’évolution de l’être humain et un moyen de communication-action (faire faire ou faire agir).
Qui gère les émotions dans le cerveau ?
C’est le système hypothalamo limbique ou en abrégé SHTL
Ce développement permet une diversification des émotions à partir des 5 sens et non plus seulement de l ’olfactif comme à l’origine grâce au système limbique et à l’hypothalamus. En effet, les émotions sont gérées par le système limbique via l’amygdale qui commande directement aux systèmes nerveux et système endocrinien (via l ’hypophyse)
Qu’est-ce que le système émotionnel ?
Le système émotionnel contient quatre émotions de base :
La peur : Sentiments d’angoisse, de honte, de surprise, culpabilisation, remords, crainte, phobies, humiliation, mépris consternation, épouvante, évitement, soumission, dégoût, embarras, contrariété, inquiétude, nervosité, panique, terreur.
La colère : Sentiments de mécontentement, de rancune, d’autoaccusation, d’indignation, de ressentiment, d’exaspération, de fureur, de haine, de violence, d’agressivité, de protestation, et d’animosité.
La tristesse : chagrin, regret, frustration, injustice, mélancolie, morosité, nostalgie, dépression, rancœur, désespoir, apitoiement, larmes, départ, séparation.
La joie, amusement et intérêt : Contentement, admiration, intérêt, érotisme, amusement, souhait, fierté, joie, tendresse, attente, besoin, frisson, euphorie, extase, plaisir.
NOTE : Si vous êtes convaincu(e)s qu’il existe d’autres émotions que les 4 primaires ci-dessus, rappelez-vous que l’essentiel est dans l’optimisation de l’efficacité du Coach SDHEA (efficace-pas efficace) et non dans l’axe vrai-faux de la réalité d’ailleurs mal connue.
Comment fonctionne le système émotionnel ?
Le système émotionnel est à l ’origine un moyen de communication pour agir ou faire évoluer ou faire agir. Les refoulements, inadaptations ou absences de mouvement à la suite d’une émotion créent un cercle vicieux qui s ’emballe. Les sentiments sont de véritables émotions stockées qui modifient la vie affective des personnes.
Que dire des mouvements provoqués par une émotion ?
C’est le principe de la Gestalt qui est une thérapie mise au point vers 1950 par Perls Fritz et son équipe.
La théorie est que si des émotions ont été stockées par le Coaché sous forme de sentiments par suite de blocage du mouvement naturel associé, il y a de fortes chances que ses objectifs se situent non loin de ces stockages. Les émotions jouent un rôle naturel dans la communication sociale et sont à l ’origine de mouvements dans un contexte donné. Si vous changez le contexte ou le mouvement, vous changez le type d ’émotions ou son intensité. Il s ’agit donc en quelque sorte d ’obtenir qu’une interaction ait du sens dans son contexte. Imaginez des mouvements pour la colère et l’amour par exemple.
Mais le mouvement peut-il créer une émotion ?
Absolument, et cela je l’ai appelé Imotions comme Émotions peut s ’exprimer par E mouvement vers l ’extérieur, de même il est possible d ’utiliser Imotions pour mouvements vers l’intérieur. Le mouvement crée une émotion.
Une émotion doit partir d ’un état mental signifiant vers un ou des mouvements permettant une communication avec autrui. Lorsque dans un contexte existe un ou des mouvements utilisés habituellement pour exprimer une émotion, vous pouvez créer une imotion, c’est à dire une émotion inversée entrante. Si l’émotion copiée existe également sous forme de sentiment (émotion stockée), il est fort probable qu’une réaction va avoir lieu permettant le déstockage total ou partiel de cette émotion. La personne récupère alors un ressenti de libération et une énergie psychique nouvelle, celle-ci n ’étant plus utilisée pour maintenir le stockage de cette émotion. C’est le principe simplifié de la Gestalt.
Et comment faire pour ne plus ressentir d’émotions ?
Les mouvements peuvent être créés virtuellement par la reconstitution kinesthésique dans un imaginaire « comme si » pour l ’obtention des mêmes résultats. Le processus est dit associé ou l ’on dit que la personne est associée, le contraire étant dissociée.
De ce fait, une personne qui se dissocie de son kinesthésique même construit par la pensée ne peut plus ressentir d ’émotions et encore moins déstocker des émotions anciennes.
Et les pulsions, qu’est-ce que c’est ?
Le cerveau reptilien ou tronc cérébral est en étroite relation avec les pulsions fondamentales de l ’être humain depuis des millions d ’années. On distingue les pulsions de vie (faim, soif, contact, évitement), les pulsions d’évolution (agressivité) les pulsions sexuelles (attractions, plaisir), les pulsions d’intérêt (social, jeux,), mais aussi l’absence de pulsions (satiété, repli, pulsion de mort) Le développement progressif du cerveau reptilien a permis la mise en place d ’une bordure appelée limbique permettant deux éléments nouveaux fondamentaux :
1) La mise en mémoire utilisable à court terme des états pulsionnels fréquents ou habituels grâce aux amygdales
2) La mise en mémoire à long terme par l ’hippocampe des contextes donnant du signifiant au travail des amygdales. C’est la conjonction des travaux pulsionnels et des mises en mémoire des amygdales et de l ’hippocampe qui permet à l ’hypothalamus de déclencher les mouvements du système émotionnel.
Y-a-t-il d’autres émotions de bases ?
On distingue quatre émotions fondamentales attachées à des systèmes hormonaux et relatifs aux mouvements et aux pulsions de base. Toutes les autres quasi-émotions (honte, fierté, embarras, orgueil, timidité, culpabilité, jalousie, surprise, dégoût) sont des mélanges d ’émotions ou des émotions affinées par le néocortex ou des ressentis ou encore des sentiments construits. Par exemple l ’attachement d ’une mère pour son enfant est une construction tardive du néocortex et non une émotion du système limbique, encore moins une pulsion du cerveau reptilien primitif. On distingue l’association d ’émotions de base ou du stockage d ’émotions associées.
Stockage d’émotions et de pulsions, l’apparition du contexte comme stockage d’énergie.
Il ne faut pas confondre stockage d ’émotions et stockage des pulsions. Ce stockage des pulsions est une mémorisation inconsciente. Il est normal et résulte de l ’évolution humaine depuis le début de l ’humanité sur terre. Lorsqu’il y a absence de mouvements avec l ’énergie émotionnelle, cette énergie est stockée comme contexte par l ’hippocampe (énergie contextuelle)
Qu’est-ce que le tempérament et l’humeur ?
Le tempérament est le maintien permanent d ’une des émotions de base par le travail conjugué du néocortex et du système limbique. Cela provoque les mêmes effets endocriniens que l ’émotion elle-même, ainsi qu’un effet de quasi-stockage des émotions ou sentiments. Ceux-ci deviennent alors l ’équivalent d ’un mouvement cellulaire du corps que l ’on appelle le sentir, base du comportement du corps.
L ’humeur est la tendance naturelle au tempérament ci-dessus, mais à court terme et de façon non permanente (bonne ou mauvaise humeur, humeur changeante...).
Comment fait-on pour maîtriser les émotions ?
- La seule prise de conscience du système émotionnel par le néocortex permet la maîtrise du processus émotionnel, c’est à dire son contrôle.
- La mise en place d ’une respiration contrôlée à 4 temps permet la maîtrise émotionnelle (voir plus loin la définition).
- un soin thérapeutique extérieur permet de modifier le système, surtout s ’il est déréglé. Ce peut être le travail direct sur le système émotionnel, le travail sur le contrôle inconscient mené en transe Eriksonnienne, le travail sur la conscientisation du corps par la sophrologie analytique ou relaxation. Enfin, le travail entre les pulsions, les émotions et les sentiments d ’une part, et les contextes mémorisés par l ’hippocampe d ’autre part pourra être mené par la PNL.
Quels sont les mouvements qui maîtrisent les émotions ?
On distingue 7 actions possibles pour maîtriser les émotions :
1° Les positions du corps et les mouvements induisent des émotions si elles sont stockées préalablement (sentiments et sentir).
2° L ’écoute réflexive active du coaché permet la prise de conscience par lui de ses sentiments et sentir et induit un contrôle des émotions parasites (mettre les maux en mots).
3° Le changement de contexte d ’une mise en mémoire émotionnelle modifie ou libère un stockage d ’émotions.
4° La mise en place d ’un comportement positif (émotions « amour ») abolit la plupart du temps tous les autres comportements (une émotion chasse l ’autre).
5° La relaxation permet de couper les mouvements et le retour sur le déstockage des émotions mais ne déstocke pas. Il faut prendre le contrôle par la respiration contrôlée quatre temps ou par les mouvements contrôlés du corps pour pouvoir maîtriser et déstocker.
6° Lorsqu’une personne ne peut exprimer une émotion avec son corps (interdit contextuel), une autre émotion peut être exprimée pour utiliser l ’énergie inutilisée.
7° La dissociation interne ou externe de la conscience et du kinesthésique annule le ressentir du système émotionnel.
L’excellence du coach va porter sur 4 parties :
La première basée sur la diététique du corps et du cerveau.
La seconde basée sur le sport, l’apologie du mouvement, le travail sur les quatre piliers du sport et la théorie de la beauté, la plasticité et la santé.
La troisième sur le tantrisme, le toucher thérapeutique comme chemin de bien être Le quatrième enfin sur la mémoire naturelle et le sport cérébral ou mémoire artificielle.
A – L’EXCELLENCE PAR LA DIETETIQUE :
Comment pratiquer la diététique du corps et du cerveau ?
Pour pratiquer de la diététique, il faut respecter quelques règles de base, faute de quoi, c’est comme un jardin avec de mauvaises herbes éparses, c’est moins beau…mais bon ! Nous allons retenir des règles essentielles pour simplifier.
Devant le nombre impressionnant d’informations relatives à ce qu’il faut faire ou ne pas faire en matière de poids, de régime alimentaire, de mode de nutrition normal ou végan ou bio ou encore adapté à une croyance persistante, il faut retourner à l’essentiel pour obtenir un résultat probant.
Quels sont les nutriments indispensables ?
Quel que soit votre indice corporel (excédentaire ou en déficit par rapport à la norme moyenne), il est nécessaire dans un premier temps de fournir au corps, aux organes vitaux, aux viscères et au cerveau les nutriments minimums journaliers, faute de quoi tout l’édifice du système nutritionnel nouvellement acquis disparaîtra tôt ou tard, c’est ce qu’on appelle couramment « l’effet yoyo ». Ce que vous avez atteint en termes de poids jusqu’à aujourd’hui est votre poids d’équilibre même s’il est en mutation plus ou moins rapide. Ce n’est peut-être pas le poids idéal d’excellence qu’il vous faudrait, mais c’est celui que vous avez réussi à atteindre de votre vivant.
Donc en termes d’équilibre systémique c’est le bon poids même s’il est excessif, ce point est à bien comprendre pour pouvoir appliquer les modifications voulues. Pour modifier votre poids (à la baisse comme à la hausse d’ailleurs), il faut d’abord veiller à fournir à votre corps tous les nutriments nécessaires à votre corps entier y compris à votre cerveau. Donc vous oubliez les méthodes basées sur les diètes.
Il faut des protéines en quantité suffisantes Comptez à partir de votre poids idéal que vous voulez atteindre, sinon vous allez faire des calculs sur votre poids actuel erroné. Par exemple si vous mesurez 1M70, votre poids idéal est de 63 Kg (homme ou femme d’ailleurs, cela n’a aucune importance à ce stade). Protéines principales : riz – lait – soja). Selon votre activité, il vous faut un apport journalier en protéine de 1 à 2 grammes de protéine par Kg de poids soit ici dans l’exemple entre environ 63 gr et 126 gr de protéines par jour ce qui fait, réparti sur 3 repas par jour environ 20 gr à 40 gr de protéines par repas (soit environ de 100 à 200 gr de viande, poisson ou fromage). Les lipides. Vous prendrez soin de favoriser le plus possible les produits gras végétaux riches en oméga 3 et en oméga 6 (2 gr d’oméga 3 et 10 gr d’oméga 6 par jour pour un homme respectivement 1,6 gr d’oméga 3 et 8 gr d’oméga 6 par jour pour une femme. (Source OMS - On recommande l’huile de colza et l’huile de pépin de raisin). Bannissez tous les autres corps gras sauf les moments de plaisirs partagés ou solitaires que vous pouvez vous réservez une fois par semaine par exemple (1 à 2 cuillères à soupe par repas).
Quels est le principe des lunettes à protéines ?
Cette façon de voir les aliments par les protéines absorbées ne vous focalisera pas sur les calories hautes ou basses car cette technique est beaucoup plus privative et traumatisante pour le cerveau. Vous adapterez alors votre alimentation en fonction des protéines absorbées sans tenir compte de la correspondance avec les calories c’est-à-dire sans tenir compte du mode de cuisson utilisé. En effet, celui-ci modifie les calories absorbées mais pas les quantités de protéines nécessaires. C’est cela qui est nouveau dans cette approche. Vos lunettes ne sont pas des lunettes à calories mais bien des lunettes à protéines ce qui est très différent. En effet, la plupart des régimes dits « basses calories » vous font diminuer les quantités en vous affamant, et modifient vos modes de cuissons préférés sans matières grasses en dehors de vos goûts préférés, ce qui mène au désastre alimentaire mené à l’échec. A partir du moment où vous éliminez en grande partie de votre alimentation tous les autres corps gras tirés de l’alimentation animale dits graisses saturées, l’apport calorique ajoutés est faible en proportion des protéines consommées.
Et les glucides, que faut-il prendre et en quelles quantités ?
Vous éviterez les sucres rapides, glucose ou fructose à indice glycémique élevé c’est-à-dire nécessitant une dégradation au niveau du pancréas et du foie avec l’insuline. Pourquoi ? Pour deux raisons, la première c’est qu’ils créent des fringales fréquentes par l’hypoglycémie que ces sucres provoquent et le signal qui en est la conséquence sur l’organisme, et la seconde raison c’est parce qu’à force de prendre des doses importantes de sucres rapides on devient réfractaire aux transformations du pancréas qui ne joue plus son rôle et cela entraîne tout naturellement une augmentation du taux de sucre dans le sang, sucre n’ayant pu être traité à l’insuline. On devient alors prédiabétique puis rapidement diabétique de type B. C’est une calamité pour le cœur. Un bon produit de substitution du sucre rapide est le sucre tiré de l’écorce du bouleau le xylitol que l’on trouve dans le commerce (Amazon, greenweez) ou le sucre bio de coco. Vous en trouverez encore d’autres sur internet.
Les féculents comme la pomme de terre, les pâtes, le riz sont également des glucides, ils sont classés dans les glucides lents mais ils peuvent avoir un indice glycémique élevé. Pour abaisser cet indice glycémique, il faut utiliser des patates douces à la place des pommes de terre normale, et pour le riz et les pâtes, il faut favoriser des produits semi-complets ou complets qui contiennent des fibres, ou rajouter des fibres dans les préparations (tomates entières, salades, carottes, épinard, poireaux en purée etc.)
Faut-il rajouter des fibres alimentaires ou des probiotiques ?
Les fibres et les bactéries probiotiques ferments lactiques (Lacto Bacillus gasseri par exemple que l’on retrouve dans les yaourts). Ces éléments sont souvent absents de l’alimentation en France et pourtant, il faut les incorporer dans l’alimentation quotidienne.
Elles permettent d’atteindre la satiété, donc on a tendance à manger moins, et facilite le transit intestinal et la digestion c’est-à-dire la transformation de ce que vous mangez en nutriments assimilables. Retenez tout de même que les aliments ingérés sont transformés dans une certaine proportion en votre propre chair et que l’on ne plus distinguer ensuite de différence entre votre corps avant et après l’ingestion, comme la petite aiguille de l’horloge qui semble ne jamais avancer sur le cadran. La partie non ingérée est éliminée par le gros intestin. La qualité des aliments ingérés fabrique donc votre propre excellence.
Existe-t-il des coupes faims naturels ?
Une fibre est à noter, le glucomannane tiré d’une plante à tubercule, le konjac. C’est une fibre qui absorbe 100 fois son poids en eau, piège les graisses et les sucres dissous dans l’eau et elle permet d’accompagner une alimentation en augmentant son effet rassasiant, et élimine les effets de creux. Ce produit se trouve en vente chez Amazon ou dans les magasins de diététiques en complément alimentaire.
Ou doit-on trouver les vitamines et les sels minéraux ?
Les vitamines des groupes B, C, D et surtout E (de alpha à gamma la plus antioxydante de toute) que l’on retrouve dans les fruits et les légumes ou les huiles.
Les minéraux comme le zinc, le magnésium, le fer, le sélénium, le cuivre, l’iode, que l’on trouve naturellement en quantité dans la viande et le poisson.
Mais alors, qu’est-ce qui fait grossir ?
Quelle est la relation entre les nutriments (protides, les protéines), lipides, les huiles et graisses, glucides (les sucres) et les calories. Pour ce qui nous concerne, retenez que lorsque vous dépassez la quantité de Kcal qui vous est nécessaire par jour en fonction principalement de vos activités et de votre âge, une partie est stockée au lieu d’être envoyée dans le gros intestin. Cette partie ce sont les glucides qui se stockent en glycogène puis en graisse. Ce ne sont pas les graisses et huiles qui font de la graisse, car les excès de celles-ci sont éliminés par le gros intestins, mais les responsables sont les glucides qui contiennent les sucres rapides et les sucres lents ou féculents. Dès que votre consommation de calorie journalière est inférieure à la quantité ingérée et que cette quantité contient des glucides (lents ou rapides) vous stockez la différence. C’est à ce moment-là qu’on dit qu’un produit fait grossir comme les pommes de terre, les pâtes ou le pain. Mais cela ne vient que lorsqu’il y a un surplus de calorie Cela vient d’une vieille habitude de votre cerveau, qui, craignant de manquer les jours de disettes, stocke le trop plein de glucides pour le cas où. Donc, si vous consommez moins de calorie que nécessaire dans une journée vous pouvez consommer des produits sucrés sans grossir. Inversement, si vous consommez plus de calorie que nécessaire mais que vous ne consommez pas de sucre ou de féculents (sucres lents) vous ne grossissez pas non plus. Le fait de conserver un repas normal par jour permet de mieux réguler ce trop-plein et donc d’éviter de prendre du poids. Par ailleurs tout déficit journalier a l’avantage dans ce cas de déstocker la graisse en glycogène puis en glucose pour que les muscles ou le cerveau obtiennent leur ration journalière minimum : habituellement, vous maigrissez. Recommandation Munissez-vous d’une balance Sanitas modèle SBG21 qui vous fournit votre poids, IMG, calories utiles, masse graisseuse, osseuse, eau. Elle n’indique pas les protéines nécessaires malheureusement.
Quels sont les produits nécessaires au cerveau alors ?
Il faut distinguer les produits gazeux, liquides et solides :
Les produits gazeux
Il y a trois sortes de produits gazeux ayant un effet sur le cerveau.