La mariée réticente - Vanessa Vale - E-Book

La mariée réticente E-Book

Vale Vanessa

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Beschreibung

Emily Woodhouse a perdu son mari, un parieur invétéré qui la traitait mal. Sa situation est désespérée, la voici désormais veuve, sans un sou vaillant et à la rue. Bien décidée à rembourser ses dettes jusqu'au dernier centime, elle accepte d'épouser Tyler et Xander et contracte un mariage pour le moins original. Un homme pour le prix de deux.

Pour Tyler et Xander c’est le coup foudre. Emily est la femme de leur vie. Ils veulent protéger cette jeune veuve. Emily aurait bien besoin de protection mais n'a guère envie de se remarier. Elle se montre rétive, ces deux hommes vont lui montrer ce qu'être aimée, protégée et possédée veut dire.

Ils devront faire table rase d'un passé qu'ils auraient préféré oublier pour envisager enfin un avenir serein.

 

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La mariée réticente

La série du ménage Bridgewater - 6

Vanessa Vale

Copyright © 2019 par Vanessa Vale

Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les événements sont les produits de l’imagination de l’auteur et utilisés de manière fictive. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, entreprises, sociétés, événements ou lieux ne serait qu’une pure coïncidence.

Tous droits réservés.

Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme ou par quelque moyen électronique ou mécanique que ce soit, y compris les systèmes de stockage et de recherche d’information, sans l’autorisation écrite de l’auteur, sauf pour l’utilisation de citations brèves dans une critique du livre.

Conception de la couverture : Bridger Media

Création graphique : Bigstock- John Bilous; Period Images

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Table des matières

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

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À propos de l'auteur

1

EMILY

J'étais si tendue que j’avais du mal à respirer. Mon cœur battait à tout rompre, il allait presque sortir de ma poitrine. Mes doigts fourmillaient, la sueur coulait dans mes yeux. J'inspirai profondément, levai la main et toquai.

Seraient-ils là ? C'était l'heure du déjeuner, ils prenaient peut-être leur repas avec les autres. En temps normal j'auraiseu faim mais il m'aurais été impossible d'avaler quoi que ce soit aujourd'hui. J'avais pris mon courage à deux mains pour venir jusqu'ici. J'avais rebroussé chemin à maintes reprises avec mon cheval. En attendant, je regardai derrière moi : l'immense ranch de Bridgewater s'étendait à perte de vue. J'apercevais une maison au loin, les écuries, la grange, d'autres bâtiments étaient situés de l'autre côté d'une butte. Les propriétés étaient éloignées les unes des autres afin de préserver l’intimité. L'espace ne manquait pas à Bridgewater.

J'entendis des pas et me retournai, la porte s'ouvrit. Je me tordais les mains.

« Mme Woodhouse. » M. Tyler essuya ses mains dans une serviette et me regarda d'un air surpris, ne s'attendant visiblement pas à me voir. « Il est encore tôt. Nous n’avons pas fini de déjeuner. Si vous voulez vous donner la peine d'entrer—

— Merci, » répondis-je. Je ne pouvais me retenir plus longtemps, je craignais de changer d'avis ou fondre en larmes. Leur proposition de mariage me terrorisait littéralement mais je n'avais pas d'autre solution que d'accepter la proposition de M. Tyler et M. Xander. L'homme qui se tenait devant moi était très séduisant avec ses cheveux blonds ébouriffés, son regard bleu, ses lèvres pulpeuses esquissant un demi-sourire, il ferait aisément l'affaire. Si seulement leur proposition ne me fichait pas autant la frousse.

« Vous êtes d'accord ? »

Je fermai brièvement les yeux et inspirai profondément. Je m'étais jetée à l'eau. La sensation d'oppression dans ma poitrine se dissipa quelque peu. Rien ne disait qu'il voudrait bien de moi, ni que M. Xander serait d'accord. Un jour plein s'était écoulé. Ils avaient peut-être changé d'avis depuis. Qu'allais-je devenir ? « Votre proposition. Que vous me baisiez tous les deux. Je suis d'accord. »

Il me regarda si intensément que je dus baisser les yeux. C'était bizarre, c'était la première fois que j'employais le mot baiser, terme qu'il avait employé la veille. Pas relations ou rapports sexuels. Baiser. Le rouge me monta aux joues, c'était plus fort que moi.

« Xander sera ravi de l'apprendre. Vous n'entrez pas ? »

Je hochai la tête, il recula pour me laisser entrer dans le hall. Il y régnait une odeur de propre. Il ne sentait pas l'alcool comme Frank.

« Xander ! » cria-t-il.

Des bruits de pas retentirent au premier puis dans les escaliers. Cette immense maison n'était pas la leur, leurs silhouettes imposantes en jetaient. Nous étions chez Kane, Ian et Emma, leur femme. Ils étaient partis quelques jours à Billings et avaient confié leur petite fille à Andrew, Robert et Ann. M. Tyler et M. Xander gardaient la maison durant leur séjour chez Olivia, la cousine de M. Tyler. Je me serais montrée moins audacieuse si la demeure avait été occupée. La conversation était déjà assez difficile comme ça, sans témoins.

Je levai les yeux et aperçus M. Xander, grand et mince, descendre une marche à la fois. J'observai sa taille étroite, ses doigts effilés, son torse musclé, avant même son visage. Je ne quittais pas des yeux ce visage viril, avec sa barbe brune et ses épais sourcils. Il m'avait regardée très ardemment les rares fois où je l'avais croisé, j'en étais tout excitée.

« Mme Woodhouse, » murmura-t-il en s'approchant un peu trop près.

Je refusai de reculer, de lui laisser croire que j'avais peur de lui. Je n'avais pas vraiment peur de cet homme ; il ne me ferait aucun mal. C'était de moi, dont j'avais peur. J'étais gênée car il me plaisait. Je n'avais pas l'habitude, c'était … très intimidant.

« Mme Woodhouse a dit oui, » lui annonça M. Tyler.

M. Xander ne se montra nullement surpris, il plissa les yeux, tel un prédateur ayant piégé sa proie.

« Vraiment ? Est-ce vrai ? » Sa voix grave laissait augurer de la suite. Cet homme n'était pas un gentleman, mais un étalon sauvage.

Je dus lever la tête pour le regarder, il mesurait trente bons centimètres de plus que moi. J'humectai mes lèvres, me raclai la gorge et déclarai tout à trac. « J'accepte de vous épouser.”

— Tous les deux ? »

Je savais ce qui attendait les femmes de Bridgewater, Olivia avait abordé le sujet voilà six mois. J'étais restée stupéfaite, mon mari de l'époque ne m'intéressait déjà pas, alors deux ! Mais aujourd'hui …

« Tous les deux. »

Je reculai alors qu'il s'approchait. Il avança de nouveau. Mon dos se heurta à la porte close, il s'appuya dessus et posa son avant-bras près de ma tête. Je sentis son haleine chaude dans mon cou. Une odeur mentholée, de feu de bois. Il ne me touchait pas, la pointe de mes seins frôlerait sa poitrine si je respirais un peu trop fort.

« Vous savez ce que ça implique ? murmura-t-il. Nous ne voulons pas savoir ce que vous faisiez avec votre mari ou pas. Nous vous avons fait part de nos attentes en matière de mariage hier. »

Je jetai un œil en direction de M. Tyler, bientôt rejoint par M. Xander. Ils étaient immenses, costauds, très… virils. Je me souvenais parfaitement de leurs exigences. Je n'avais ni refusé ni accepté leur proposition de mariage lorsqu'ils m'avaient raccompagnée jusqu'à mon ranch la veille. Ils me savaient aux abois —doux euphémisme— et m'avaient fait l'honneur de me demander en mariage. Ils ignoraient que les dettes de jeu de Frank étaient largement supérieures à ce qu'il devait à la banque. Il était également redevable à un dénommé Ralph, qui s'était rappelé à mon bon souvenir. Ce n'était pas un homme respectable. J'allais devoir travailler des mois pour rembourser ses dettes. Ralph estimait que la mort d'un conjoint n'effaçait pas ses dettes pour autant.

« Vous m'avez dit quoi, tout à l'heure ? » demanda M. Tyler, j'oubliais le dénommé Ralph sur le champ.

Je léchai de nouveau mes lèvres et essayai de calmer mon cœur battant mais M. Xander me troublait.

« Je veux bien vous épouser… et, et… coucher avec vous deux. »

M. Xander ôta mon chapeau. Je l'entendis tomber mollement par terre, il caressa ma joue. Il planta son regard perçant dans le mien, impossible de baisser les yeux. « Tu n'es pas vierge. » Ce n'était pas une question.

Je secouai la tête. Je ne l'étais plus depuis belle lurette. Ils n'allaient pas déflorer une vierge innocente.

« Tu ne te rebelleras pas ? »

Je n'en étais pas si sûre. J'étais très réticente mais j'avais envie de lui comme jamais. Je n'allais pas me contenter de caresses sur la joue. Avec deux hommes ? Ces hommes ? Je secouai de nouveau la tête.

« Tu savais qu'on allait te sauter, mais Tyler t'a caché qu'il allait défoncer ta chatte avec sa queue et te pilonner jusqu'à ce que tu jouisses. Tu ignorais que j'allais déflorer ton joli petit cul et éjaculer en toi, tu vas dégouliner par les deux trous toute la journée. »

Je hoquetai devant son langage cru, mon vagin se contractait devant pareil tableau. J'ignorais qu'un homme puisse enfoncer… sa bite dans l'anus. Je supposais que baiser signifiait se fourrer sous les couvertures dans le noir et relever ma chemise de nuit jusqu'à la taille, comme avec Frank. M. Tyler me rendrait visite un soir, M. Xander le lendemain. Pas ça. J'avais les joues en feu, mes tétons pointaient sous mon corset.

« On ne t'a pas encore dit ce qu'on allait faire de toi, hormis… » ajouta M. Tyler. J'ouvris les yeux—ils étaient donc fermés ?—et lus le désir dans son regard, dans son visage tendu.

« Hormis baiser ? » hasardai-je. De quoi pouvait-il s'agir ? S'embrasser ? Frank était monté sur moi durant notre mariage. J'avais écarté les jambes, il m'avait pénétrée, pilonnée, avait éjaculé. Ça avait duré une minute ou deux tout au plus. Je faisais tout pour l'éviter depuis qu'il buvait.

« Elle est super étroite, » dit M. Xander. Il me regarda brièvement, s'agenouilla et souleva ma robe.

J'essayai de le repousser mais il ne se laissa pas faire.

« Qu'est-ce qui vous prend ? » criai-je. Se marier était une chose … baiser en était une autre, surtout sur le champ.

« Je vais te montrer comment ça va se dérouler.

— Oui mais pourquoi êtes-vous à genoux ? On ne fait pas ça dans un lit ? Il ne fait pas nuit, » balbutiai-je, les mains plaquées sur la porte en bois.

Il me regardait en souriant. Ses dents blanches contrastaient avec sa peau halée et sa barbe brune.

« Tu te rebelles on dirait. »

Je faisais soudain preuve d'une grande réticence.

« Ne t'inquiète pas ma beauté, il va te faire jouir, » dit doucement M. Tyler. Il s'approchait de moi. Je n'avais nulle part où aller, plaquée contre la porte, un homme à mes pieds, l'autre à côté de moi.

Les larges mains de M. Xander remontaient ma robe au fur et à mesure sur mes chevilles, mes genoux, mes cuisses. Il voyait tout de moi, je frissonnai. M. Tyler avait remonté ma robe jusqu'à ma taille et contemplait mes jambes à loisir.

« Tu n'auras plus besoin de porter ce genre de vêtements lorsque nous serons mariés. » M. Xander tira sur le ruban qui nouait ma culotte, elle glissa sur mes hanches jusqu'à mes pieds. « Enlève-la.

— Pourquoi ? soufflai-je.

— Pourquoi ? répéta-t-il. Pour qu'on ait libre accès à ta chatte, mon trésor. »

2

EMILY

Il ramassa mes dessous et les posa sur son épaule, ma liquette blanche offrait un contraste saisissant sur sa chemise à carreaux. Il grommela en me regardant… là. Je jetai un coup d'œil à M. Tyler, lui aussi me reluquait. Je sentais l'air frais sur mes cuisses au niveau des bas, mon sexe palpitait sous leurs yeux. Masquer mon intimité serait peine perdue. Toute dissuasion était inutile quand Frank avait envie d'avoir des rapports. Je n'étais pas vierge. Je savais ce qu'ils voulaient, ce qu'ils allaient me faire. Ici ? Je fermerai les yeux, serrerai les dents et attendrai que ça passe. Je voulais juste savoir s'ils comptaient faire ça à genoux.

« Je sens ton excitation d'ici, » dit M. Xander.

Il la sentait ?

« Sa vulve est toute luisante ; elle mouille et on ne l'a même pas encore touchée.

— Je ne suis pas mouillée, rétorquai-je, gênée, en faisant mine de me couvrir. Je vous assure que j'ai pris un bain ce matin M. Xander, je ne sens pas, je ne suis pas mouillée.

— Appelle-moi Xander. Et tutoie-moi. » Il posa ses mains sur mes fesses et m'attira contre lui. « Si tu veux utiliser la formule officielle appelle-moi monsieur, je vais te lécher et te doigter, branler ta jolie chatte toute douce. Comme tu voudras. »

Me lécher ? Je n'eus pas le temps de réfléchir, il léchait déjà ma vulve, sa langue glissait le long de ma fente, encerclait mon clitoris.

« Oh, Dieu du ciel, » m'écriai-je en ondulant du bassin. Je n'aurais jamais imaginé qu'un homme fasse—puisse faire—une chose pareille.

« Appelle-le par son prénom, mon trésor, » chuchota M. Tyler en m'embrassant dans le cou, il me mordillait, léchait cette zone érogène. « Un homme aime entendre s'appeler par son prénom lorsqu'il fait un cunnilingus à sa femme. »

Xander enfouit sa main entre mes cuisses et se mit à titiller ma … chatte tout en léchant et suçant ma peau douce. J'agrippai sa tête, fourrai mes doigts dans ses cheveux. Je ne savais pas trop si je devais le repousser ou l'attirer contre moi.

Il introduisit un doigt en moi, le recourba et trouva une zone qui me tira un cri. Je prononçai son prénom en grommelant de surprise.

« Xander. »

Il retira son doigt, je me sentis vide. Il leva la tête et me regarda. Ses lèvres et sa barbe étaient mouillées. Il retira sa main, effleura ma lèvre inférieure du doigt, la laissant moite.

« Tu mouilles. Tu dégoulines. Une femme excitée humecte les doigts, la bouche et la bite d'un homme avec sa mouille. » Il introduisit le bout du doigt entres mes lèvres et ma bouche. « Goûte. »

Je le pris sur ma langue et suçotai. Xander ouvrit grand les yeux et serra les dents. Il retira sa main en grommelant.

« J'ai envie de la goûter, » dit M. Tyler.

Xander se leva et tint le bas de ma robe tandis qu'il se plaçait à son tour entre mes jambes.

M. Tyler me regarda longuement. « Son clitoris ressort. Elle s'excite vite. » Il me demanda, « T'as envie de jouir mon trésor ? »

Je voulais bouger, je ne tenais plus en place. Mon cœur battait à tout rompre, ma peau s'échauffait ; je sentais mon goût douceâtre sur ma langue.

J'avais déjà joui, pas avec Frank, en me masturbant en pleine nuit. Il ne rentrait pas toujours le soir, je découvrais mon corps, je me touchais comme j'en avais envie. Je n'avais jamais rien ressenti de tel.

« Oui, murmurais-je. Mon Dieu, oui.

— Je ne suis pas Dieu. Juste Tyler. Tu vas hurler avant que j'en ai fini avec toi. »

Tyler se fraya un passage entre mes cuisses, j'écartai les jambes. Il se pencha et plaqua sa bouche sur moi. Xander s'était montré délibérément intrusif, Tyler était concentré et attentif. Il s'attardait spécialement sur mon clitoris, il suçait mes petites lèvres tour à tour avant d'enfouir sa langue dans mon sexe. J'avais déjà eu droit aux doigts de Xander et au membre de Frank dans ma chatte mais une langue, jamais. Elle n'était pas assez grosse et ne s'enfonçait pas suffisamment profondément pour me procurer un orgasme mais je m'agrippai aux épaules de Tyler, en songeant qu'il me pénétrerait bientôt. Je m'abandonnai, je me laissai aller.

Ces hommes. Sans parler de pouvoirs divins, ces hommes étaient doués. Je commençais à comprendre ce que j'avais perdu. J'étais dans l'entrée, ma robe relevée sur ma taille, un homme—séduisant—entres mes jambes, qui me faisait des choses avec ses doigts ! Un autre qui regardait. C'était … chaud.

« Tu vas jouir pour Tyler quand je te le dirai, » murmura Xander, sa barbe chatouillant mon cou procurait une sensation nouvelle à mon corps brûlant.

J'ignorais comment il savait que j'étais à deux doigts de jouir. Tyler plaqua sa langue contre mon clitoris et enfila non pas un mais deux doigts en moi. Je ne savais comment l'arrêter.

J'humectai mes lèvres sèches et hurlai mon plaisir. Je succombai à cette douce sensation les yeux clos.

« Pas encore, Emily. Tu vas attendre bien sagement que tes époux t'autorisent à jouir. Ton plaisir nous appartient désormais. »

Je me tournai vers Xander, lui et son arrogance pouvaient aller se faire voir ailleurs. Son visage était à quelques centimètres du mien. Il ne me quittait pas des yeux, nos respirations se mêlaient.

« Stop. »