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Certes, il y a autant d'idées sur les causes de l'existence et sur la réalité des âmes que de gens qui existent et cela est totalement respectable, car qui aurait l'audace d'affirmer que c'est lui qui détient la vérité de ce qui ne se voit pas ? Le mystère de l'origine de l'existence, de sa présence sur la terre et de la présence même de l'univers sont des défis pour la conscience et pour ce que l'humanité appelle la science . Mais ceci n'est pas une raison pour occulter l'évident constat que des savoirs spirituels enseignés par diverses écoles initiatiques ou traditions mystiques qui ne se côtoient pas ou ne partagent pas leurs connaissances, aboutissent aux mêmes affirmations. Il est donc juste de ne pas rejeter pour faux, sans analyse, les déclarations de ces organismes qui proposent l'étude des âmes et de leur créateur nommé de plus de noms que seulement Dieu selon les érudits qui en parlent. Ce livre est la proposition faite au lecteur de se laisser guider dans un parcours poétique où chaque sujet émane d'une perspective différente faite pour contempler une certaine lumière intérieure. . Il n'y a que la clarté en soi qui puisse découvrir les splendeurs du monde des âmes ! De nombreux aspects de spiritualité sont ici déposés sur les pages de l'ouvrage pour rendre attrayant le voyage ! Bonne route !
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Seitenzahl: 57
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Écrire, c’est comme peindre par des mots le tableau de son âme !
Patrick Édène
PRÉSENTATION
QUESTIONS
FOI
L’ÉGO
GEN ÈSE
LES INSTANTS
MATÉRIALISME
DUALITÉ
L'AILLEURS
RELATIVITÉ
CYCLES
NAISSANCE
TOUS ESSENTIELS
REPENTIR
L’ESPACE UNIVERSEL
CRÉATION
MON ÂME
VÉRITÉ
LES OPPOSÉS DU TEMPS
LA ROSE ET LA CROIX
LE SENTIER DES ÂMES
LE MESSAGER
DÉLIVRANCE
TABLEAU DE L’ÊTRE
TOI
CRÉATION
RÉFLEXIONS
LE LIVRE DIVIN
AU JEUNE MATÉRIALISTE
LA VOIE DU CIEL
TANT
LOGIQUE SPIRITUELLE
PARCOURS TERRESTRE
SIMILITUDE
L’ÂME ET LE TEMPS
L’INÉVITABLE
RÉINCARNATION
RYTHME EXISTENTIEL
REFUS MYSTIQUE
FATALITÉ
CIEL NOCTURNE
DU PEU AU TOUT
SPECTACLE NOCTURNE
CHEMIN DE CROIX
LE TRÉSOR DE LA VÉRITÉ
RÉFLEXION MYSTIQUE
LE SERMON
LA CONSCIENCE DE SOI
LA VIE
L’AMOUR
RÉVÉLATIONS MAJEURES
QUI ?
SE TROUVER
MIRACLES
Sur BoD
Confidence poétiques
Messages d’un poète
Fleurs de vers
La trilogie d’Édène
Contemplations et fantaisies
Femina
La merveilleuse alliance
Multiple monde
Versitude
Fables et fantaisies d’Édène
Le pont des mondes
Le Grand destin
Trésors poétiques
Couverture et dessins site freepik.com
Je précise, ci-dessous, les motivations qui m’ont fait choisir une forme poétique personnelle plutôt que celle à laquelle elle ressemble et qui est nommée classique.
Ce qui m’intéresse en poésie, c’est que les nombres réguliers des syllabes des vers et les fins de ces vers écrites en rimes font, pour ainsi dire, chanter les concepts des poèmes dans l’esprit de celui qui les lit. Ainsi, l’œuvre emporte le lecteur au cœur de mélodies sonores et conceptuelles qui peuvent alors faire écho au chant divin de son âme. La poésie libre étant le plus souvent sans rimes et sans nombres réguliers de syllabes, elle ne peut donc me convenir à l’instar de la poésie classique trop codifiée.
Par conséquent, j’aime que mes écrits riment, que les syllabes des vers harmonisent le poème et qu’ainsi les sons et les sens des mots s’unissent dans un accord étroit pour créer une symphonie poétique ! Cela exprimé, les règles que j’emploie faisant partie de la poésie classique, elles me confrontent à ses autres règles complexes que je considère excessives et que je ne cherche pas à appliquer. Ces règles ont été précisées et codifiées par François de Malherbe (1555-1628) et Nicolas Boileau (1636-1711), et ont donc été appelées la poésie classique.
Selon mon propre calcul, j’applique un même nombre de syllabes pour les vers d’un poème, les élisions qui sont les non comptages des syllabes des fins de mots en « e » devenant, ainsi, des syllabes muettes si elles se trouvent devant un autre mot qui commence par une voyelle et les rimes que j’essaie de rendre parfaites.
Mais je ne veux pas, par exemple, limiter ma créativité par les formes fixes de la poésie classique telles que sonnet, pantoum, ballade, triolet, villanelle, rondeau, rondel, lai, iambes et terza rima. Leurs structures pourraient réduire les possibilités des précisions conceptuelles que je jugerais primordiales pour mon œuvre. De temps à autre, certes, par plaisir du challenge ou par désir d’expérience personnelle, je peux choisir la base de l’un de ces modèles si j’estime pouvoir réussir à lui donner l’expression exhaustive de mon propos. D’ailleurs, j’invente, comme tout auteur de poèmes peut le faire, des formes qui peuvent devenir un jour, pourquoi pas, des formes fixes pour ceux qui les aimeraient.
Je ne me préoccupe pas des diphtongues, appelées diérèses pour lesquelles on compte deux syllabes dans les mots qui contiennent deux voyelles qui se suivent ; à mon avis, cette règle perturbe la beauté rythmique d’un vers contenant un tel mot, puisqu’à notre époque nous ne les prononçons pas en deux sons. Victor Hugo, par exemple, compta deux syllabes dans le mot « lion » de l’un de ses poèmes, mais peut-être qu’à son époque les gens prononçaient li-on. Je ne m’occupe ainsi que de la prononciation actuelle des mots qui ont deux et parfois trois voyelles qui se suivent et non des règles classiques à ce sujet. « Lion » et « mieux » sont des mots qui ne créent qu’un seul son, et par conséquent, qu’une seule syllabe. Quand il y a deux sons dans la prononciation contemporaine de tels mots, cela arrive, je compte évidemment deux syllabes.
Je n’applique pas l’obligation d’écrire un mot commençant par une voyelle quand le mot qui le précède se termine par une voyelle alors qu’il est placé à la césure d’un vers. Je ne m’oblige pas à écrire après un mot finissant par deux voyelles, un mot commençant par une voyelle ; même si je respecte que des poètes utilisent ce genre d’obligation pour penser qu’ils écrivent ce qui est l’idéal en poésie que je considère, pour ma part, défavorisé par ce genre de règle.
Je ne cherche pas à éviter les échos qui sont des mots aux sons qui se ressemblent et placés dans un même vers ou dans deux vers proches l’un de l’autre. Je ne m’occupe pas d’éviter les mots qui contiennent des hiatus qui sont, selon les règles classiques qui n’en tolèrent que quelques-uns, des heurts entre deux voyelles dans un ou deux mots tels que « aérée » et « il y a ». Si mon poème l’exige, j’unis une rime masculine à une rime féminine quand leurs sons et leurs sens enrichissent mon propos. Qui plus est, cela me semble ainsi correspondre à la loi la plus puissante de la nature ! Pour les mêmes raisons de richesse de sens, je ne me préoccupe nullement de l’interdiction de lier des rimes au pluriel et au singulier. Je rejette les licences que s’autorisent un peu facilement les poètes classiques qui changent ainsi l’orthographe des mots. Et j’évite le plus possible les enjambements, les rejets et les contre-rejets qui découpent les phrases en morceaux pour utiliser les derniers mots de ces parties de phrases en tant que rimes.
En ce qui me concerne, je tente simplement d’atteindre, à ma manière, la plus belle union possible de sens et de sons pour chacun de mes poèmes et j’espère, chère lectrice et cher lecteur, que vous penserez que j’ai eu raison !
Nous sommes dans l’univers, donc l’univers est en nous ! Patrick Édène
Certes, il y a autant d’idées sur les causes de l’existence et sur la réalité des âmes que de gens qui existent, et cela est totalement respectable, car qui aurait l’audace d’affirmer que c’est lui qui détient la vérité de ce qui ne se voit pas ?
Les mystères de l’origine de l’existence, de sa présence sur la terre et de la présence même de l’univers sont des défis pour la conscience et pour ce que l’humanité appelle la science.