Demain La Paix E-Book

Sandrine Adso

• Herausgeber: Books on Demand
• Kategorie: Poesie und Drama
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 41

Veröffentlichungsjahr: 2024

Beschreibung

Un nouveau message pour tous les jours et toutes les nuits de paix. Qui parle d'amour et de respect pour... toi, mon inconnu, mon prochain (?)

Das E-Book Demain La Paix wird angeboten von Books on Demand und wurde mit folgenden Begriffen kategorisiert:
Humanité, Conscience, Espoir, déclaration, Demain

Leseprobe

Certaines déclarations sont le chant d’espoir de l’humanité. Il s’agit là de la prise de conscience pour tous les demains.

Table des matières

Le choix

Et si tu m’attendais

J’aime

Je serai là

J’emporte

J’irai

Avant de partir

Ce poème

Ce regard

Chaque fois

Comment ferais-je ?

Demain

En allant vers toi

J’irai là-bas

Je suis ton parchemin

Je suis

Je te donne mon feu

La page est blanche

La vague

Le dernier temps

Le premier Soleil

Le retour

Le soleil dans mon cœur

Les mots

L’heure étrange

Ma chance

Mon chant

Pardon

Pour le plaisir

Pour Toi

Pourquoi la haine ?

Si toi aussi, tu crois

Souvent

Ton visage

Une couleur

Le choix

J’ai le choix à chaque instant de t’aimer un peu plus fort

Et je t’adore.

J’ai le choix de t’ouvrir la porte de ma maison

En toutes saisons,

Mais toujours, avec le soleil, le sourire

Tu es mon plus bel avenir.

Tu m’apprends à discerner le bleu du noir

Tu m’apprends à faire jaillir l’espoir,

Celui de notre histoire d’amour

De notre histoire de feu, dans la nuit et le jour,

Et peut-être quelquefois aussi de cascades dans les forêts.

Tu es un guerrier,

Un homme de paix.

L’homme avec qui je n’aurais jamais peur

D’aller au bout de la page,

Et…, d’écrire, d’écrire à toutes heures

Je t’emmène dans tous mes voyages,

Car j’ai besoin d’avoir toujours le choix,

De choisir toi !

Tu es ma réussite et ma liberté,

Le sentier perdu, puis libéré.

Un oiseau qui ne cesse de chanter

Une fenêtre ouverte sur la magie

De trouver devant nos pieds, tout l’infini.

Tu es le choix d’être, ou ne pas être

La gentillesse, qui répond au peut-être.

Le mystère de toute ma folie,

Le pardon de tout ce que j’écris,

Et oui, j’irais danser avec toi au bout de la nuit.

Je n’ai plus peur du loup

Car tu tiens du bout des doigts

Cette lyre au chant les plus doux

Qui improvise à sa façon,

Chaque instant du choix.

Et si tu m’attendais

Et si tu m’attendais de l’autre côté de l’océan

Laisserais-tu aller en liberté, ce cheval blanc ?

Et si tu sentais ma bienveillance, comme un muguet,

Dans chacune de mes paroles,

Tu comprendrais qu’il suffit d’être deux

Pour détruire les idoles

Et rendre grâce à ce souffle de vie,

Qui dans le mystère nous réunit,

Alors peut-être bien que j’irai au bout du monde

Pour t’offrir le temps et la seconde,

Où tu iras chanter,

Pour que revienne la dernière fée.

La fée du pays lointain

Dont s’est épris le marin,

Dans son périple et son chemin.

Il est ainsi, constamment accompagné du soleil

Et pose des nœuds à chacun de ses éveils

Pour tresser la couronne de ses rêves, là au bord du miroir ;

Et qu’importe qu’il soit le matin ou le soir,

La fée est amoureuse de cet homme qui chevauche la mer.

Et si tu m’attendais de l’autre côté de la terre ?

Y’aurait-il encore un printemps et un hiver ?

Peut-être un trèèèèèèès long printemps,

Un très long instant,

D’amour, de chant

Et de vents,

Et soufflent, soufflent sur le petit navire

Quelques aquilons, quelques zéphyrs,

Je suis là,

Et je t’attends

Au bout de la respiration, de la vie et de ta voix

Encore, et maintenant.

L’éternité est clémente,

La licorne est palpitante

Dans l’orée de la forêt,

Elle trace le chemin

D’aujourd’hui à demain.

J’aime

J’aime ton visage, tes mains et tes bras

J’aime voyager vers toi.

Tu es ma terre inconnue,

Tu es la main chaude et nue

Qui m’élève depuis la terre jusqu’à toi,

Alors je sens monter en moi, une puissance

Qui devient encore et encore, une autre fois,

Une autre fois, une autre magnificence,

Puisque tu es ce destrier bleu-nuit

Qui capture en une foulée

Le jour, la nuit, peut-être même l’éternité,

Ou bien, même la vie,

Toute entière.

Seul suffira l’éclair

Pour me faire aimer, jusqu’à ta dernière frontière.

Tu es la magie qui a surgi dès l’enfance,

Tu es le souvenir d’une vie sans violence,

Et je suis le creux de tes mains

Dans lequel, je pose un baiser chaque matin.

Alors mon souffle t’accompagne, jusqu’au refuge

Où sont assis tous les juges,

Du pardon

Et de la tentation.

Tu es l’innocence,

La puissance,

L’intelligence.

Je suis près de ton âme, depuis l’éternité

Je suis pleine de ce soleil qui ne cesse de t’éclairer.

Autour de nous, flottent les musiques,

Pour nous seconder un corps éthérique.

Tu trouveras au bout de mes bras, les bracelets

Que j’ai longuement choisis pour toi,

Dans une joie effrénée

Dans un instant que l’au-delà

Ne nous volera pas.

Nous sommes libres de nous aimer.